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Unstable Income and the Welfare State in AsiaYen, Wei-Ting, Yen January 2018 (has links)
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The Willpower ParadoxGoschke, Thomas, Job, Veronika 19 March 2024 (has links)
Self-control denotes the ability to override current desires to render behavior consistent with long-term goals. A key assumption is that self-control is required when short-term desires are transiently stronger (more preferred) than long-term goals and people would yield to temptation without exerting self-control. We argue that this widely shared conception of self-control raises a fundamental yet rarely discussed conceptual paradox: How is it possible that a person most strongly desires to perform a behavior (e.g., eat chocolate) and at the same time desires to recruit self-control to prevent themselves from doing it? A detailed analysis reveals that three common assumptions about self-control cannot be true simultaneously. To avoid the paradox, any coherent theory of self-control must abandon either the assumption (a) that recruitment of self-control is an intentional process, or (b) that humans are unitary agents, or (c) that self-control consists in overriding the currently strongest desire. We propose a taxonomy of different kinds of self-control processes that helps organize current theories according to which of these assumptions they abandon. We conclude by outlining unresolved questions and future research perspectives raised by different conceptions of self-control and discuss implications for the question of whether self-control can be considered rational.
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Trois essais en économie des ressources naturellesAtewamba, Calvin 05 1900 (has links)
Cette thèse est composée de trois articles en économie des ressources naturelles non-renouvelables. Nous considérons tour à tour les questions suivantes : le prix in-situ des ressources naturelles non-renouvelables ; le taux d’extraction optimal et le prix des res- sources non-renouvelables et durables.
Dans le premier article, nous estimons le prix in-situ des ressources naturelles non-renouvelables en utilisant les données sur le coût moyen d’extraction pour obtenir une approximation du coût marginal. En utilisant la Méthode des Moments Généralisés, une dynamique du prix de marché derivée des conditions d’optimalité du modèle d’Hotelling est estimée avec des données de panel de 14 ressources naturelles non-renouvelables. Nous trouvons des résultats qui tendent à soutenir le modèle. Premièrement, le modèle d’Hotelling exhibe un bon pouvoir explicatif du prix de marché observé. Deuxièmement, bien que le prix estimé présente un changement structurel dans le temps, ceci semble n’avoir aucun impact significatif sur le pouvoir explicatif du modèle. Troisièmement, on ne peut pas rejeter l’hypothèse que le coût marginal d’extraction puisse être approximé par les données sur le coût moyen. Quatrièmement, le prix in-situ estimé en prenant en compte les changements structurels décroît ou exhibe une forme en U inversé dans le temps et semble être corrélé positivement avec le prix de marché. Cinquièmement, pour neuf des quatorze ressources, la différence entre le prix in-situ estimé avec changements structurels et celui estimé en négligeant les changements structurels est un processus de moyenne nulle.
Dans le deuxième article, nous testons l’existence d’un équilibre dans lequel le taux d’extraction optimal des ressources non-renouvelables est linéaire par rapport au stock de ressource en terre. Tout d’abord, nous considérons un modèle d’Hotelling avec une fonction de demande variant dans le temps caractérisée par une élasticité prix constante et une fonction de coût d’extraction variant dans le temps caractérisée par des élasticités constantes par rapport au taux d’extraction et au stock de ressource. Ensuite, nous mon- trons qu’il existe un équilibre dans lequel le taux d’extraction optimal est proportionnel au stock de ressource si et seulement si le taux d’actualisation et les paramètres des fonctions de demande et de coût d’extraction satisfont une relation bien précise. Enfin, nous utilisons les données de panel de quatorze ressources non-renouvelables pour vérifier empiriquement cette relation. Dans le cas où les paramètres du modèle sont supposés invariants dans le temps, nous trouvons qu’on ne peut rejeter la relation que pour six des quatorze ressources. Cependant, ce résultat change lorsque nous prenons en compte le changement structurel dans le temps des prix des ressources. En fait, dans ce cas nous trouvons que la relation est rejetée pour toutes les quatorze ressources.
Dans le troisième article, nous étudions l’évolution du prix d’une ressource naturelle non-renouvelable dans le cas où cette ressource est durable, c’est-à-dire qu’une fois extraite elle devient un actif productif détenu hors terre. On emprunte à la théorie de la détermination du prix des actifs pour ce faire. Le choix de portefeuille porte alors sur les actifs suivant : un stock de ressource non-renouvelable détenu en terre, qui ne procure aucun service productif ; un stock de ressource détenu hors terre, qui procure un flux de services productifs ; un stock d’un bien composite, qui peut être détenu soit sous forme de capital productif, soit sous forme d’une obligation dont le rendement est donné. Les productivités du secteur de production du bien composite et du secteur de l’extraction de la ressource évoluent de façon stochastique. On montre que la prédiction que l’on peut tirer quant au sentier de prix de la ressource diffère considérablement de celle qui découle de la règle d’Hotelling élémentaire et qu’aucune prédiction non ambiguë quant au comportement du sentier de prix ne peut être obtenue de façon analytique. / This thesis consists of three articles on the economics of nonrenewable natural re- sources. We consider in turn the following questions : the in-situ price of nonrenewable natural resources, the optimal extraction rate and the price of nonrenewable and durable resources.
The purpose of the first article is to estimate the in-situ price of nonrenewable natural resources using average extraction cost data as proxy for marginal cost. Using the regime switching Generalized Method of Moments (GMM) estimation technique, a dynamic of the market price derived from the first-order conditions of a Hotelling model is estimated with panel data for fourteen nonrenewable resources. I find results that tend to support the model. First, it appears that the Hotelling model has a good explanatory power of the observed market prices. Second, although the fitted prices seem to be subject to structural breaks over time, this does not have a significant impact on the explanatory power of the model. Third, there is evidence that marginal extraction cost can be approximated by average extraction cost data. Fourth, when allowing for structural breaks, estimates of the in-situ price decrease or exhibit an inverted U-shape over time and appear to be positively correlated with the market price. Fifth, for nine of the fourteen minerals, the difference between the estimates of the in-situ price with and without allowing for structural breaks is a zero-mean process.
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Trois essais en économie des ressources naturellesAtewamba, Calvin 05 1900 (has links)
Cette thèse est composée de trois articles en économie des ressources naturelles non-renouvelables. Nous considérons tour à tour les questions suivantes : le prix in-situ des ressources naturelles non-renouvelables ; le taux d’extraction optimal et le prix des res- sources non-renouvelables et durables.
Dans le premier article, nous estimons le prix in-situ des ressources naturelles non-renouvelables en utilisant les données sur le coût moyen d’extraction pour obtenir une approximation du coût marginal. En utilisant la Méthode des Moments Généralisés, une dynamique du prix de marché derivée des conditions d’optimalité du modèle d’Hotelling est estimée avec des données de panel de 14 ressources naturelles non-renouvelables. Nous trouvons des résultats qui tendent à soutenir le modèle. Premièrement, le modèle d’Hotelling exhibe un bon pouvoir explicatif du prix de marché observé. Deuxièmement, bien que le prix estimé présente un changement structurel dans le temps, ceci semble n’avoir aucun impact significatif sur le pouvoir explicatif du modèle. Troisièmement, on ne peut pas rejeter l’hypothèse que le coût marginal d’extraction puisse être approximé par les données sur le coût moyen. Quatrièmement, le prix in-situ estimé en prenant en compte les changements structurels décroît ou exhibe une forme en U inversé dans le temps et semble être corrélé positivement avec le prix de marché. Cinquièmement, pour neuf des quatorze ressources, la différence entre le prix in-situ estimé avec changements structurels et celui estimé en négligeant les changements structurels est un processus de moyenne nulle.
Dans le deuxième article, nous testons l’existence d’un équilibre dans lequel le taux d’extraction optimal des ressources non-renouvelables est linéaire par rapport au stock de ressource en terre. Tout d’abord, nous considérons un modèle d’Hotelling avec une fonction de demande variant dans le temps caractérisée par une élasticité prix constante et une fonction de coût d’extraction variant dans le temps caractérisée par des élasticités constantes par rapport au taux d’extraction et au stock de ressource. Ensuite, nous mon- trons qu’il existe un équilibre dans lequel le taux d’extraction optimal est proportionnel au stock de ressource si et seulement si le taux d’actualisation et les paramètres des fonctions de demande et de coût d’extraction satisfont une relation bien précise. Enfin, nous utilisons les données de panel de quatorze ressources non-renouvelables pour vérifier empiriquement cette relation. Dans le cas où les paramètres du modèle sont supposés invariants dans le temps, nous trouvons qu’on ne peut rejeter la relation que pour six des quatorze ressources. Cependant, ce résultat change lorsque nous prenons en compte le changement structurel dans le temps des prix des ressources. En fait, dans ce cas nous trouvons que la relation est rejetée pour toutes les quatorze ressources.
Dans le troisième article, nous étudions l’évolution du prix d’une ressource naturelle non-renouvelable dans le cas où cette ressource est durable, c’est-à-dire qu’une fois extraite elle devient un actif productif détenu hors terre. On emprunte à la théorie de la détermination du prix des actifs pour ce faire. Le choix de portefeuille porte alors sur les actifs suivant : un stock de ressource non-renouvelable détenu en terre, qui ne procure aucun service productif ; un stock de ressource détenu hors terre, qui procure un flux de services productifs ; un stock d’un bien composite, qui peut être détenu soit sous forme de capital productif, soit sous forme d’une obligation dont le rendement est donné. Les productivités du secteur de production du bien composite et du secteur de l’extraction de la ressource évoluent de façon stochastique. On montre que la prédiction que l’on peut tirer quant au sentier de prix de la ressource diffère considérablement de celle qui découle de la règle d’Hotelling élémentaire et qu’aucune prédiction non ambiguë quant au comportement du sentier de prix ne peut être obtenue de façon analytique. / This thesis consists of three articles on the economics of nonrenewable natural re- sources. We consider in turn the following questions : the in-situ price of nonrenewable natural resources, the optimal extraction rate and the price of nonrenewable and durable resources.
The purpose of the first article is to estimate the in-situ price of nonrenewable natural resources using average extraction cost data as proxy for marginal cost. Using the regime switching Generalized Method of Moments (GMM) estimation technique, a dynamic of the market price derived from the first-order conditions of a Hotelling model is estimated with panel data for fourteen nonrenewable resources. I find results that tend to support the model. First, it appears that the Hotelling model has a good explanatory power of the observed market prices. Second, although the fitted prices seem to be subject to structural breaks over time, this does not have a significant impact on the explanatory power of the model. Third, there is evidence that marginal extraction cost can be approximated by average extraction cost data. Fourth, when allowing for structural breaks, estimates of the in-situ price decrease or exhibit an inverted U-shape over time and appear to be positively correlated with the market price. Fifth, for nine of the fourteen minerals, the difference between the estimates of the in-situ price with and without allowing for structural breaks is a zero-mean process.
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Essays on Government Growth, Fiscal Policy and Debt SustainabilityKuckuck, Jan 29 April 2015 (has links)
The financial crisis of 2007/8 has triggered a profound debate about public budget finance sustainability, ever-increasing government expenditures and the efficiency of fiscal policy measures. Given this context, the following dissertation provides four contributions that analyze the long-run growth of government spending throughout economic development, discuss potential effects of fiscal policy measures on output, and provide new insights into the assessment of debt sustainability for a variety of industrialized countries.
Since the breakout of the European debt crisis in 2009/2010, there has been a revival of interest in the long-term growth of government expenditures. In this context, the relationship between the size of the public sector and economic growth - often referred to as Wagner's law - has been in the focus of numerous studies, especially with regard to public policy and fiscal sustainability. Using historical data from the mid-19th century, the first chapter analyzes the validity of Wagner's law for five industrialized European countries and links the discussion to different stages of economic development. In line with Wagner's hypothesis, our findings show that the relationship between public spending and economic growth has weakened at an advanced stage of development. Furthermore, all countries under review support the notion that Wagner's law may have lost its economic relevance in recent decades.
As a consequence of the 2007/8 financial crisis, there has been an increasing theoretical and empirical debate about the impact of fiscal policy measures on output. Accordingly, the Structural Vector Autoregression (SVAR) approach to estimating the fiscal multipliers developed by Blanchard and Perotti (2002) has been applied widely in the literature in recent years. In the second chapter, we point out that the fiscal multipliers derived from this approach include the predicted future path of the policy instruments as well as their dynamic interaction. We analyze a data set from the US and document that these interactions are economically and statistically significant. In a counterfactual simulation, we report fiscal multipliers that abstract from these dynamic responses. Furthermore, we use our estimates to analyze the recent fiscal stimulus of the American Recovery and Reinvestment Act (ARRA).
The third chapter contributes to the existing empirical literature on fiscal multipliers by applying a five-variable SVAR approach to a uniform data set for Belgium, France, Germany, and the United Kingdom. Besides studying the effects of expenditure and tax increases on output, we additionally analyze their dynamic effects on inflation and interest rates as well as the dynamic interaction of both policy instruments. By conducting counterfactual simulations, which abstract from the dynamic response of key macroeconomic variables to the initial fiscal shocks, we study the importance of these channels for the transmission of fiscal policy on output. Overall, the results demonstrate that the effects of fiscal shocks are limited and rather different across countries. Further, it is shown that the inflation and interest rate channel are insignificant for the transmission of fiscal policy. In the field of public finances, governmental budgetary policies are among the most controversial and disputed areas of political and scientific controversy. The sustainability of public debt is often analyzed by testing stationarity conditions of government's budget deficits.
The fourth chapter shows that this test can be implemented more effectively by means of an asymmetric unit root test. We argue that this approach increases the power of the test and reduces the likelihood of drawing false inferences. We illustrate this in an application to 14 countries of the European Monetary Union as well as in a Monte Carlo simulation. Distinguishing between positive and negative changes in deficits, we find consistency with the intertemporal budget constraint for more countries, i.e. lower persistence of positive changes in some countries, compared to the earlier literature.
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