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Max Frisch Uwe Johnson. Eine literarische Wechselbeziehung / Max Frisch Uwe Johnson. Une interaction littéraire / Max Frisch Uwe Johnson. A literary interaction.Letawe, Céline 25 May 2007 (has links)
In der vorliegenden Dissertation wird die literarische Wechselbeziehung zwischen den deutschsprachigen Schriftstellern Max Frisch (1911-1991) und Uwe Johnson (1934-1984) untersucht. Zu diesem Zweck werden nicht nur die literarischen Texte besprochen, sondern auch ihre Produktion und Rezeption, und zwar anhand von veröffentlichtem und unveröffentlichtem Material. Durch die Untersuchung der verschiedenen Lektoratsarbeiten Johnsons an Frischs Werken, des Projekts "Stich-Worte" und der intertextuellen Bezüge zwischen dem Werk von Frisch und dem von Johnson wird ein literarischer Austausch zwischen den beiden Schriftstellern rekonstruiert, bei dem die Frage nach der Identität und deren literarischer Darstellung sowie die Problematik von Biographie und Autobiographie im Zentrum stehen. Es wird gezeigt, dass die beiden Schriftsteller einander bei diesem Austausch erheblich beeinflusst haben.
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L´objet de la présente thèse de doctorat est l´interaction littéraire qui sest développée entre les écrivains de langue allemande Max Frisch (1911-1991) et Uwe Johnson (1934-1984). Afin de mieux circonscrire le dialogue qu´ils ont mené tout au long de leur relation et l´influence qu´ils ont exercée l´un sur l´autre, l´analyse des textes littéraires proprement dits a été combinée à l´étude de leur production et de leur réception sur la base de documents publiés et de documents darchives. De l´étude des travaux de relecture réalisés par Johnson sur quatre manuscrits de Frisch, des "Stich-Worte" et des liens intertextuels tissés entre l´uvre de Frisch et celle de Johnson, il ressort que le dialogue entre ces écrivains a pour thème central la question de l´identité et de sa représentation littéraire, la problématique de la biographie et de l´autobiographie et que, par le biais de ce dialogue, ces deux auteurs se sont influencés de façon considérable.
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The subject of this thesis is the literary interaction between the German-speaking writers Max Frisch (1911-1991) and Uwe Johnson (1934-1984). In order to better circumscribe their lifelong dialogue and mutual influence, not only the literary texts were analysed, but also their production and reception, which was done on the basis of published and unpublished material. The analysis of Johnsons comprehensive editing on four manuscripts by Frisch, of the "Stich-Worte" and of the intertextual links between the works of Frisch and Johnson, reveals that the dialogue between these two writers centers on the issue of identity and its literary representation, as well as the problems posed by biography and autobiography; Ultimately, it appears that through this dialogue Frisch and Johnson influenced each other to a considerable extent.
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Ingeborg Bachmann - Elfriede Jelinek. Intertextuelle Schreibstrategien in "Malina","Das Buch Franza", "Die Klavierspielerin" und "Der Tod und das Mädchen V (Die Wand)" / Ingeborg Bachmann Elfriede Jelinek. Stratégies décriture intertextuelles dans « Malina », « Franza », « La Pianiste » et « La Jeune Fille et la Mort (Le Mur) » / Ingeborg Bachmann Elfriede Jelinek. Intertextual writing strategies in Malina, Franza, The Piano Teacher and Death and the Maiden V (The Wall).Pommé, Michèle 08 September 2008 (has links)
Die Dissertation widmet sich den intertextuellen Schreibstrategien in Ingeborg Bachmanns (1926-1973) Todesarten-Romanen Malina und Das Buch Franza und Elfriede Jelineks (1946-) Roman Die Klavierspielerin und Dramolett Der Tod und das Mädchen V (Die Wand). In diesem Zusammenhang werden zum einen die Systemreferenzen der beiden Österreicherinnen auf die Psychoanalyse und zum anderen die Bezüge auf einzelne sowohl literarische als auch philosophische und mythologische Texte untersucht. Es wird gezeigt, inwiefern sich Bachmanns Inszenierung der Hysterie in Anlehnung an die Schriften Sigmund Freuds und Josef Breuers von Jelineks Inszenierung des psychoanalytischen Diskurses unterscheidet. Bei Bachmann, die sich auf psychoanalytische Schriften beruft bzw. diese zugunsten ihrer eigenen Krankheitskonzeption verwirft, stellt die Hysterie den literarischen Gegenstand dar. Jelinek hingegen erhebt die Hysterie zum Schreibprinzip, insofern sie die inkriminierten Strukturen durch eine Art hysterische Mimesis parodierend bloßzustellen versucht. Die Funktion der Einzeltextreferenzen wird im Kontext von Bachmanns utopischer und Jelineks satirischer Schreibweise erarbeitet. Während Bachmann durch Bezüge u.a. auf Virginia Woolf und Paul Celan Bedeutungszusammenhänge schafft, bringt Jelinek ihre Texte durch die Anhäufung intertextueller Verweise u.a. auf Heidegger, Platon, Hesiod, Homer und Christa Woolf sowie auf Leben und Schaffen Bachmanns, Sylvia Plaths und Marlen Haushofers an den Rand der Bedeutungsimplosion. Die intertextuellen Strategien der beiden Schriftstellerinnen werden zum Schluss im Licht der Moderne/Postmoderne-Diskussion betrachtet.
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La thèse est consacrée aux stratégies décriture intertextuelles dans les romans « Malina » et « Franza » du cycle « Manières de mourir » dIngeborg Bachmann (1926-1973) et au roman « La Pianiste » et au dramolet « La Jeune Fille et la Mort V (Le Mur) » dElfriede Jelinek (1946-). Sont examinés dans ce cadre dune part les références systémiques des deux Autrichiennes à la psychanalyse et dautre part les renvois à divers textes, tant littéraires que philosophiques ou mythologiques. Il est montré dans quelle mesure la mise en scène de lhystérie par Bachmann à lappui des écrits de Sigmund Freud et Joseph Breuer diffère de la mise en scène du discours psychanalytique par Jelinek. Chez Bachmann, qui se base dans sa nosographie sur des écrits psychanalytiques tout en rejetant ces derniers au profit de sa propre conception de la maladie, lhystérie constitue lobjet littéraire. Jelinek, par contre, élève lhystérie au rang de principe décriture dans la mesure où elle tente de ridiculiser de manière parodique les structures incriminées par une sorte de mimesis hystérique. La fonction des références intertextuelles est investiguée dans le contexte des procédés décriture utopique de Bachmann et satirique de Jelinek. Alors que Bachmann met en place des rapports de sens au moyen de références entre autres à Virginia Woolf et Paul Celan, Jelinek mène ses textes au bord de limplosion sémantique par la multiplication des références intertextuelles, entre autres à Martin Heidegger, Platon, Hésiode, Homère et Christa Wolf ainsi quà la vie et à luvre de Bachmann, Sylvia Plath et Marlene Haushofer. Pour terminer, les stratégies intertextuelles des deux auteurs sont étudiées à la lumière de la discussion moderne/postmoderne.
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This thesis focuses on the intertextual writing strategies in Ingeborg Bachmanns (1926-1973) novels Malina and Franza (from her cycle of novels Ways of Dying) as well as in Elfriede Jelineks (1946-) novel The Piano Teacher and her drama Death and the Maiden V (The Wall). In this context the authors allusions to psychoanalysis and their references to various literary, philosophical and mythological texts are thoroughly investigated. The analysis reveals that Bachmanns staging of hysteria, in the way it recalls Sigmund Freuds and Josef Breuers writings, differs from the way Jelinek deals with psychoanalytical discourse. Bachmann who partly relies on psychoanalytical writings and partly rejects them in favour of her own concept of malady chooses hysteria as her literary topic. Jelinek, on the contrary, makes hysteria her writing principle in trying to uncover incriminated structures by parodying them in some sort of hysterical mimesis. This thesis also investigates the functioning of the authors intertextual links in the context of Bachmanns utopian, and Jelineks satirical, writing style. While Bachmann creates new meaning through references, among others, to Virginia Woolf and Paul Celan, Jelineks texts reach the point of semantic implosion - by the amassment of intertextual hints (for instance to Martin Heidegger, Plato, Hesiod, Homer and Christa Wolf) and references to the life and work of her fellow writers Bachmann, Sylvia Plath and Marlen Haushofer. Finally, both authors intertextual strategies are examined in the light of the Modernism versus Postmodernism discussion.
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La Littérature comme réécriture. Poétique des "Exercices de style" de Raymond Queneau/Literature as rewriting. The Poetics of Raymond Queneau's "Exercises in style"Goto, Kanako 10 April 2008 (has links)
(Résumé en français)
"Exercices de style" est-elle une oeuvre simplement comique et acrobatique ? Sa réception positive mais plutôt superficielle auprès du public semble avoir dissimulé ses aspects plus profonds et plus problématiques. A nos yeux, en revanche, les 99 "Exercices" d'écriture sont tout à fait aptes à éclairer les problèmes essentiels de la création littéraire et de la transmission de l'énoncé qu'est la communication verbale.
La structure multi-dimensionnelle du livre, où les "Exercices" s'enchaînent, se complètent et se répondent, nous rend sensibles non seulement aux réseaux intratextuels qu'entretiennent les "Exercices", mais également aux liens intertextuels qui lient cetains d'entre eux et les discours littéraires et non littéraires préexistants. D'autres "Exercices" témoignent du regard autoréflexif de l'écrivain, ceux qui peuvent être considérés comme autoparodie. Par ailleurs, la virtuosité des variations stylistiques exige parfois du lecteur une attention particulière - face à quelques variations hermétiques et presque inintelligibles, on devra recourir à d'autres composants du livre qui serviront de "traductions". La terme "traduction" devra être compris non seulement dans le sens de la transmission de messages entre différentes langues, mais aussi dans le sens de la transposition d'un signifiant dans d'autres signifiants, ou bien de la "réécriture" d'un énoncé, tout en restant dans la même langue.
Si le principe des "Exercices de style" est de renouveler à l'infini des exercices d'écrire, ou plutôt de réécrire LE texte original - "qui est d'ailleurs inexistant" -, nous pouvons poser, semble-t-il, que la Littérature est basée sur le même procédé de tâtonnements,auquel le lecteur est enctraîné à participer.
(Abstract in English)
Is "Exercises in style" just a comic and acrobatic book ? The fact that the readers welcomed it so favourably - but rather superficially - seems to have overshadowed its more serious and problematic aspects. In our opinion indeed, Queneau's ninety-nine writing "Exercises" can clearly shed light on the essential problems of literary creation and utterance transmission, i.e. verbal communication.
The book presents an intricate structure:the "Exercises" are linked together, echo each other and complement one another. Through this multidimensional structure, we can see the intratextual networks between the "Exercises" as well as their intertextual relations with pre-existent literary and non-literary discourses. Other "Exercises" show the author's autoreflective, autoparodic attitude. Furthermore, the virtuosity of the stylistic variations sometimes requires particular attention from the reader. To understand some abstruse, sometimes almost unintelligible "Exercises", the reader has to resort to other parts of the book, which will serve as "translation" for these enigmatic passages. The word "translation" here means not only transmission of messages from a language to another, but also transposition of a signifier to other signifiers - in other words, "rewriting" of an utterance in the same language.
If the principle of "Exercices in style" is to practice writing endlessly, or rather rewriting of THE original text - "which actually does not exist" - , we can reasonably deduce that Literature is based on the same trial and error process the reader will inevitably take part in.
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