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Research on nanodelivery systems for nasal vaccine / Recherche sur les systèmes de nanotransporteurs pour les vaccins nasauxLe, Minh Quan 25 October 2018 (has links)
L'administration nasale a un grand avantage pour stimuler l'immunité protectrice locale et systémique. Cependant, des systèmes d'administration et des adjuvants sont souvent nécessaires pour améliorer l'efficacité du vaccin intranasal. Nous avons appliqué la technologie des nanoparticules en tant que système universel de délivrance de vaccins contre la grippe dans le projet européen FP7 appelé UniVacFlu.Nous avons évalué différentes nanoparticules (NP) pour rechercher le meilleur nanovecteur. Pour cela, nous avons comparé 5 types de nanoparticules avec différentes charges de surface (anioniques ou cationiques) et diverses compositions internes comme vecteurs potentiels: des liposomes cationiques ou anioniques, des NP de PLGA cationique ou anionique (poly acide lactique co-glycolique) et une NP cationique composée de maltodextrine fonctionnalisée par un agent cationisant avec un coeur de lipides anioniques (NPL). Nous avons d'abord quantifié leur temps de résidence nasale après l'administration nasale chez la souris en utilisant l'imagerie in vivo et les NPL ont montré le plus long temps de résidence. L'endocytose in vitro sur des cellules muqueuses (cellules épithéliales des voies respiratoires, macrophages et cellules dendritiques) en utilisant des nanoparticules marquées a été réalisée par cytométrie de flux et microscopie confocale. Parmi les 5 nanoparticules, les NPL ont été majoritairement captées par 3 lignées cellulaires différentes représentatives d’un épithélium respiratoire et les mécanismes d'endocytose ont été caractérisés. Afin d’évaluer le meilleur vecteur en tant que véhicules, le chargement d'antigènes et la délivrance intracellulaire ont été évalués dans des cellules de la muqueuse des voies respiratoires (cellules épithéliales des voies aériennes, macrophages et cellules dendritiques) par cytométrie de flux. Nous montrons que les NPL sont les meilleurs candidats capables de délivrer la plus grande quantité de protéines dans les cellules. Pris ensemble, notre étude a révélé que parmi 5 nanoparticules, la NPL était le meilleur nanovecteur en termes de temps de résidence nasale, d'endocytose par les cellules et de délivrance de protéines dans l'épithélium des voies respiratoires. Les NPL ont donc été sélectionnées comme nanovecteurs pour le projet UniVac Flu.Les antigènes de la grippe CTA1-3M2e-DD et HA ont été formulés avec les NPL. Le CTA1-3M2e-DD est un antigène chimérique adjuvanté et ciblé. Il est composé de la sous-unité A1 de la toxine du choléra et un épitope conservé du virus grippal A (M2e), ainsi que le dimère de l'analogue synthétique de la protéine A de Staphylococcus aureus (DD) utilisé comme agent de ciblage des lyphocytes B. Pour améliorer l'effet antigénique, l’HA recombinant de H1N1 a été combinée avec CTA1-3M2e-DD. Ces formulations ont été évaluées chez la souris par le consortium UniVacFlu. Les résultats ont montré que CTA1-3M2e-DD et HA chargé dans les NPL formeraient un vaccin intranasal prometteur contre la grippe. Ce travail de thèse montre que les NPL sont des nanovecteurs d’intérêt pour le vaccin nasal. / Nasal administration has great advantage for stimulating the immune system, such as stimulating local and systemic protective immunity. However, delivery systems and adjuvants are often necessary to improve the efficacy of the intranasal vaccine. We applied nanoparticle technology to deliver a universal influenza vaccine via the nasal route in a European FP7 project called UniVacFlu.We evaluated different nanoparticles to search the best nanocarrier for an intranasal vaccine. Here we compared 5 types of nanoparticles with different surface charges (anionic or cationic) and various inner compositions as potential vectors: cationic and anionic liposomes, cationic and anionic PLGA (Poly Lactic co-Glycolic Acid) nanoparticles and zwitterionic maltodextrin nanoparticles (cationic surface with an anionic lipid core: NPL). We first quantified their nasal residence time after nasal administration in mice using in vivo live imaging and NPL showed the longest residence time. In vitro endocytosis on mucosal cells (airway epithelial cells, macrophages and dendritic cells) using labeled nanoparticles were performed by flow cytometry and confocal microscopy. Among the 5 nanoparticles, NPL were taken up to the greatest extent by the 3 different cell lines and the endocytosis mechanisms of NPL were characterized. In order to compare different nanoparticles as vaccine carriers, antigen loading and cell delivery were evaluated. In this study, we compared the loading and delivery of labeling ovalbumin with airway mucosa cells (airway epithelial cells, macrophages and dendritic cells) by flow cytometry. Our data showed that NPL were the best candidate that can payload with highest amount of protein and eventually the most efficient cellular protein delivery capacity. Taken together, our study revealed that among 5 nanoparticles, NPL were the best nanocarrier that own longer nasal residence time, efficiently uptake and deliver protein into airway epithelium. NPL were then selected as nanocarrier for the UniVac Flu project.The flu antigens CTA1-3M2e-DD and HA were formulated with NPL. The CTA1-3M2e-DD is an adjuvanted antigen composed of the A1 subunit of cholera toxin and a conserved epitope of influenza A virus (M2e), as well as the dimer of the synthetic analogue of Staphylococcus aureus protein A (DD) used to target B cells. To improve antigenic effect, recombinant HA from H1N1 was combined with CTA1-3M2e-DD. These formulations were evaluated in mice by the UniVacFlu consortium. We observed that CTA1-3M2e-DD and HA loaded into NPL could be a promising universal intranasal influenza vaccine.
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Évaluation de l'utilisation des agents prévenant la résorption osseuse en situation réelle et impact de la non-adhésion au traitement sur la survenue de fractures ostéoporotiques : l'utilisation et les coûts directs des soins de santéBlouin, Julie January 2008 (has links)
Thèse diffusée initialement dans le cadre d'un projet pilote des Presses de l'Université de Montréal/Centre d'édition numérique UdeM (1997-2008) avec l'autorisation de l'auteur.
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Évaluation de l'utilisation des agents prévenant la résorption osseuse en situation réelle et impact de la non-adhésion au traitement sur la survenue de fractures ostéoporotiques : l'utilisation et les coûts directs des soins de santéBlouin, Julie January 2008 (has links)
Thèse diffusée initialement dans le cadre d'un projet pilote des Presses de l'Université de Montréal/Centre d'édition numérique UdeM (1997-2008) avec l'autorisation de l'auteur.
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Infections of common marmosets with calpox virusKramski, Marit 29 January 2009 (has links)
Die vorsätzliche Freisetzung von Variola Virus (VARV) und schwere Erkrankungen des Menschen durch zoonotische Affen- (MPXV) und Kuh- (CPXV) pocken Viren stellen nach wie vor eine Bedrohung für die Bevölkerung dar. Klassische Pockenimpfstoffe bergen die Gefahr einer schweren Erkrankung. Deshalb ist die Entwicklung neuer Impfstoffe und Therapeutika von entscheidender Bedeutung. Deren Wirksamkeit und Sicherheit muss zunächst in verschiedenen Tiermodellen bewiesen werden. Existierende Makakken-Primatenmodelle leiden unter sehr artifiziellen Bedingungen der letalen Krankheitsinduktion durch VARV oder MPXV. Aus diesem Grund wurde das Calpox Virus/Krallenaffen-modell etabliert, welches auf einem CPXV aus natürlich infizierten Neuweltaffen (Marmosets) basiert. Das neue Modell hat drei wesentliche Vorteile: Die Arbeit mit Calpox Virus kann unter Sicherheitsstufe 2 durchgeführt werden und ist folglich einfacher in der Handhabung. 2. Die intranasale (i.n.) Infektion von Marmosets (Krallenaffen; Callithrix jacchus) spiegelt den natürlichen Infektionsweg von VARV wieder. Infizierte Affen entwickelten Pocken ähnliche Symptome und verstarben innerhalb von 2-3 Tagen nach Auftreten erster Symptome. Hohe Viruslasten wurden im Blut, Speichel und allen untersuchten Organen nachgewiesen. 3. Die i.n. Titration des Calpox Virus ergab eine 50 % Affen-Infektions-Dosis (MID50) von 8.3x102 pfu. Diese ist um den Faktor 10000 niedriger als in anderen Pocken-Primatenmodellen. Neun bis zehn Wochen nach einer Immunisierung mit dem Lister-Elstree Impfstoff waren alle Krallenaffen gegen eine letale Dosis des Calpox Virus (10 MID50) geschützt. Damit konnte der Nutzen des Calpox Virus/Krallenaffen-modells für die Erforschung neuer Impfstoffe gezeigt werden. Das Calpox Virus/Krallenaffen-modell überwindet wesentliche Nachteile bestehender Primatenmodelle und ist somit ein geeignetes Model für die Evaluierung von neuen Impfstoffen, Impfstrategien und antiviralen Therapien. / The intentional re-introduction of Variola virus (VARV), the agents of smallpox, into the human population remains of concern today. Moreover, zoonotic infections with Cowpox (CPXV) and Monkeypox virus (MPXV) cause severe diseases in humans. Smallpox vaccines presently available can have severe adverse effects that are no longer acceptable. The efficacy and safety of new vaccines and antivirals have to be demonstrated by different animal models. The existing primate models, using VARV and MPXV, need very high viral doses that have to be applied intravenously to induce a lethal infection in macaque monkeys. To overcome these drawbacks, the main objective of this study was to develop a primate model in which a smallpox-like disease could be induced by a CPXV virus designated calpox virus which was isolated from a lethal orthopox virus (OPV) outbreak in New World monkeys (marmosets). The new non-human primate model has three major advantages: 1. Working with calpox virus is less challenging and can be done under bio-safety-level two. 2. Mimicking the natural route of VARV infection, intranasally infected marmosets (Callithrix jacchus) reproducibly developed clinical symptoms of an OPV infection and died within two to three days after onset of the first symptoms. High viral loads of calpox virus were detected in blood, saliva and all analyzed organs. 3. Intranasal titration of the virus resulted in a 50 % monkey infectious dose (MID50) of 8.3x102 pfu, a lethal infectious dose 10,000 lower than those used in any other primate model. Moreover, we showed the aptitude of the primate model for the testing of new vaccines since nine to ten weeks after immunization with Vaccinia virus Lister-Elstree marmosets were completely protected against intranasal challenge with 10 MID50 of calpox virus. As the calpox virus/marmoset model overcomes major limitations of current primate models it is suitable to evaluate new vaccines, new vaccination strategies and antiviral therapies.
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Intrakavitäre High-Dose-Rate-Brachytherapie zur Behandlung von Nasentumoren beim HundKrastel, Dorothee 24 June 2010 (has links) (PDF)
Für die Therapie maligner intranasaler Neoplasien beim Hund existieren nur mäßig be-friedigende Behandlungsstrategien. Als Therapiemodalität der Wahl wird die Radiothe-rapie angesehen, die gegenwärtig v.a. in Form einer perkutanen Bestrahlung (Telethe-rapie) mit aufwendigen, bis zu 20 Fraktionen umfassenden Protokollen kurativer Intenti-on angewendet wird. Die erreichbaren Überlebenszeiten sind meist limitiert durch das Auftreten eines Rezidivs des Nasentumors innerhalb des Bestrahlungsfeldes, sodass eine Erhöhung der applizierten Gesamtdosis nötig erscheint. Dies ist jedoch im Rahmen einer Teletherapie aufgrund nicht vertretbarer akuter Nebenwirkungen nicht möglich. Alternativ steht die Brachytherapie zur Verfügung, die aufgrund ihrer physikalischen Charakteristika zur besseren Schonung des umliegenden Normalgewebes beiträgt. Ge-genwärtig existieren keine anderen Untersuchungen zur Anwendung der fraktionierten High-Dose-Rate-Brachytherapie bei Nasentumoren des Hundes. Ziel dieser Studie war es daher, die Durchführbarkeit dieser Therapiemodalität beim Hund erstmals zu unter-suchen und die akuten und chronischen Nebenwirkungen sowie die erzielbare progres-sionsfreie Zeit und die Überlebenszeit zu dokumentieren.
Im Zeitraum von 2001 bis 2007 gingen 18 Hunde in die Studie ein. Das diagnostische Vorgehen beinhaltete neben einer klinischen Untersuchung und der Röntgenuntersu-chung von Nase und Thorax auch die kernspintomographische Beurteilung der Nasen-höhlen und eine nachfolgende Rhinoskopie inklusive Biopsie. Die Therapie bestand aus zwei wöchentlichen Fraktionen, bei denen in Vollnarkose über einen in der Nasenhöhle applizierten Katheter mithilfe des Radioisotops 192Iridium jeweils 5 Gy appliziert wurden. Die damit über vier Wochen erreichte Gesamtdosis lag bei 40 Gy, und entsprach damit der biologischen Effizienz einer perkutan applizierten konventionell fraktionierten Ge-samtdosis von circa 60 Gy. Im Anschluss an die Therapie wurden die Hunde monatlich klinisch untersucht und die auftretenden Nebenwirkungen anhand des Radiation Morbi-dity Scores der VRTOG beschrieben. Es wurden außerdem weiterführende Untersu-chungen in Form von MRT, Rhinoskopie und Biopsie durchgeführt. Die aufgetretenen Nebenwirkungen waren mit denen in der Literatur nach Teletherapie beschriebenen vergleichbar, beziehungsweise fielen im Bereich von Augen und Maulschleimhaut ge-ringer aus. Nebenwirkungen im Bereich der Haut traten in Form von Alopezie, Hyper-pigmentation oder Leukotrichie auf. Im Bereich der Nasenschleimhaut zeigten fast alle Hunde eine leichte chronische Rhinitis. Als problematische Nebenwirkungen traten bei drei Patienten Osteoradionekrosen auf, die einer aufwendigeren chirurgischen Versor-gung bedurften. Die mediane progressionsfreie Zeit lag bei 13 Monaten, die mediane Überlebenszeit bei 17 Monaten. Die Adenokarzinome wiesen die längste Überlebens-zeit auf, dies war jedoch aufgrund der insgesamt kleinen Patientenzahl nicht signifikant. Ein Zusammenhang zwischen dem Tumorstadium und der progessionsfreien Zeit oder Überlebenszeit bestand nicht.
Bei dem beschriebenen Protokoll handelt es sich um eine unter klinischen Bedingungen praktikable Therapieform, die mit ihren insgesamt acht Fraktionen für Besitzer und Tier wesentlich weniger belastend ist als teletherapeutische kurative Protokolle mit 12-20 Fraktionen. Gleichzeitig gelingt es, eine Gesamtdosis von verhältnismäßig hoher biolo-gischer Effizienz zu applizieren, ohne jedoch stärkere Nebenwirkungen in Kauf nehmen zu müssen. Im Bereich von Auge und Maulschleimhaut sind die Nebenwirkungen sogar geringer. Bei einem kleinen Teil der Patienten treten jedoch auch hier, ebenso wie nach teletherapeutischen Protokollen, problematische chronische Nebenwirkungen auf, die die Lebensqualität der betroffenen Tiere beeinträchtigen und die einer aufwendigeren Therapie zwingend bedürfen. Die mit diesem Protokoll erreichten Remissions- und Ü-berlebenszeiten sind mit denen aus der Literatur vergleichbar bis tendenziell besser. Aufgrund der oben genannten Vorteile erscheint die vorgestellte Therapie daher als Al-ternative zu Teletherapie bei der Behandlung kaniner Nasentumoren durchaus geeig-net. Weitere Studien mit größeren Patientenzahlen unter Einbeziehung einer anders therapierten Kontrollgruppe sind jedoch notwendig
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Intrakavitäre High-Dose-Rate-Brachytherapie zur Behandlung von Nasentumoren beim HundKrastel, Dorothee 06 April 2010 (has links)
Für die Therapie maligner intranasaler Neoplasien beim Hund existieren nur mäßig be-friedigende Behandlungsstrategien. Als Therapiemodalität der Wahl wird die Radiothe-rapie angesehen, die gegenwärtig v.a. in Form einer perkutanen Bestrahlung (Telethe-rapie) mit aufwendigen, bis zu 20 Fraktionen umfassenden Protokollen kurativer Intenti-on angewendet wird. Die erreichbaren Überlebenszeiten sind meist limitiert durch das Auftreten eines Rezidivs des Nasentumors innerhalb des Bestrahlungsfeldes, sodass eine Erhöhung der applizierten Gesamtdosis nötig erscheint. Dies ist jedoch im Rahmen einer Teletherapie aufgrund nicht vertretbarer akuter Nebenwirkungen nicht möglich. Alternativ steht die Brachytherapie zur Verfügung, die aufgrund ihrer physikalischen Charakteristika zur besseren Schonung des umliegenden Normalgewebes beiträgt. Ge-genwärtig existieren keine anderen Untersuchungen zur Anwendung der fraktionierten High-Dose-Rate-Brachytherapie bei Nasentumoren des Hundes. Ziel dieser Studie war es daher, die Durchführbarkeit dieser Therapiemodalität beim Hund erstmals zu unter-suchen und die akuten und chronischen Nebenwirkungen sowie die erzielbare progres-sionsfreie Zeit und die Überlebenszeit zu dokumentieren.
Im Zeitraum von 2001 bis 2007 gingen 18 Hunde in die Studie ein. Das diagnostische Vorgehen beinhaltete neben einer klinischen Untersuchung und der Röntgenuntersu-chung von Nase und Thorax auch die kernspintomographische Beurteilung der Nasen-höhlen und eine nachfolgende Rhinoskopie inklusive Biopsie. Die Therapie bestand aus zwei wöchentlichen Fraktionen, bei denen in Vollnarkose über einen in der Nasenhöhle applizierten Katheter mithilfe des Radioisotops 192Iridium jeweils 5 Gy appliziert wurden. Die damit über vier Wochen erreichte Gesamtdosis lag bei 40 Gy, und entsprach damit der biologischen Effizienz einer perkutan applizierten konventionell fraktionierten Ge-samtdosis von circa 60 Gy. Im Anschluss an die Therapie wurden die Hunde monatlich klinisch untersucht und die auftretenden Nebenwirkungen anhand des Radiation Morbi-dity Scores der VRTOG beschrieben. Es wurden außerdem weiterführende Untersu-chungen in Form von MRT, Rhinoskopie und Biopsie durchgeführt. Die aufgetretenen Nebenwirkungen waren mit denen in der Literatur nach Teletherapie beschriebenen vergleichbar, beziehungsweise fielen im Bereich von Augen und Maulschleimhaut ge-ringer aus. Nebenwirkungen im Bereich der Haut traten in Form von Alopezie, Hyper-pigmentation oder Leukotrichie auf. Im Bereich der Nasenschleimhaut zeigten fast alle Hunde eine leichte chronische Rhinitis. Als problematische Nebenwirkungen traten bei drei Patienten Osteoradionekrosen auf, die einer aufwendigeren chirurgischen Versor-gung bedurften. Die mediane progressionsfreie Zeit lag bei 13 Monaten, die mediane Überlebenszeit bei 17 Monaten. Die Adenokarzinome wiesen die längste Überlebens-zeit auf, dies war jedoch aufgrund der insgesamt kleinen Patientenzahl nicht signifikant. Ein Zusammenhang zwischen dem Tumorstadium und der progessionsfreien Zeit oder Überlebenszeit bestand nicht.
Bei dem beschriebenen Protokoll handelt es sich um eine unter klinischen Bedingungen praktikable Therapieform, die mit ihren insgesamt acht Fraktionen für Besitzer und Tier wesentlich weniger belastend ist als teletherapeutische kurative Protokolle mit 12-20 Fraktionen. Gleichzeitig gelingt es, eine Gesamtdosis von verhältnismäßig hoher biolo-gischer Effizienz zu applizieren, ohne jedoch stärkere Nebenwirkungen in Kauf nehmen zu müssen. Im Bereich von Auge und Maulschleimhaut sind die Nebenwirkungen sogar geringer. Bei einem kleinen Teil der Patienten treten jedoch auch hier, ebenso wie nach teletherapeutischen Protokollen, problematische chronische Nebenwirkungen auf, die die Lebensqualität der betroffenen Tiere beeinträchtigen und die einer aufwendigeren Therapie zwingend bedürfen. Die mit diesem Protokoll erreichten Remissions- und Ü-berlebenszeiten sind mit denen aus der Literatur vergleichbar bis tendenziell besser. Aufgrund der oben genannten Vorteile erscheint die vorgestellte Therapie daher als Al-ternative zu Teletherapie bei der Behandlung kaniner Nasentumoren durchaus geeig-net. Weitere Studien mit größeren Patientenzahlen unter Einbeziehung einer anders therapierten Kontrollgruppe sind jedoch notwendig
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Développement d’immunothérapies spécifiques pour le traitement de l’hépatite autoimmune de type 2 chez un modèle murinYang, Roland 12 1900 (has links)
L’hépatite autoimmune (HAI) est une maladie grave affectant le foie et présentant un haut taux de mortalité lorsque non traitée. Les traitements disponibles sont efficaces, mais de graves effets secondaires leur sont associés. Ces effets secondaires sont généralement le résultat d'une forte immunosuppression et d’autres sont spécifiques à chaque médicament. Aucune immunothérapie spécifique n’est présentement disponible pour le traitement de l’HAI. Récemment, un modèle murin d’HAI a été développé dans notre laboratoire par xénoimmunisation des souris C57BL/6 avec les antigènes humains de l'HAI de type 2. Ce modèle présente la plupart des caractéristiques biochimiques et cliniques retrouvées chez les patients atteints d'HAI de type 2. Dans cette étude, nous avons évaluée l’efficacité de deux types de traitement pour l’HAI de type 2 à l’aide de notre modèle murin. Dans un premier temps, l’anticorps anti-CD3ε a été étudié en prophylaxie et en traitement. Nous avons montré qu’une posologie de 5µg d’anti-CD3 i.v. par jour pendant 5 jours consécutifs induit une rémission chez les souris avec HAI de type 2 établie (traitement). Cette rémission est caractérisée par une normalisation des niveaux d’alanine aminotransférase et une diminution significative de l’inflammation hépatique. Cette rémission semble être associée à une déplétion partielle et transitoire des lymphocytes T CD3+ dans la périphérie et une augmentation des lymphocytes T régulateurs CD4+, CD25+ et Foxp3+ dans le foie. La même posologie lorsqu’elle est appliquée en prophylaxie n’a pas réussi à prévenir l’apparition de l’HAI de type 2. La deuxième voie de traitement consiste en l’administration par voie intranasale d’un forte dose de formiminotransférase cyclodésaminase murin (mFTCD), un autoantigène reconnu dans l’HAI de type 2. Une administration en prophylaxie par voie intranasale de 100µg de mFTCD par jour durant 3 jours consécutifs arrive à prévenir l’HAI de type 2 en diminuant l’inflammation hépatique au bout de deux semaines post-traitement. / Autoimmune hepatitis (AIH) is a severe liver disease with high mortality rates if left untreated. Current treatments, while effective, are associated with deleterious side-effects. These side effects are specific to each drug and the result of broad immunosuppression. Recently, a murine model of type 2 AIH has been created in our laboratory in wild-type naïve mice. In this model, DNA immunization with type 2 AIH human autoantigens breaks immune tolerance and induces an autoimmune response against the liver. Lately, new therapeutic strategies based on depletion of specific immune cell populations have been proposed for the treatment of several diseases, including autoimmune diseases. Currently, no immunotherapies using biological agents are available for the treatment of autoimmune liver diseases. Therefore, the goal of this project is to study the efficacy of new immunotherapeutic agents for the treatment of type 2 AIH in an experimental model. We evaluated the effectiveness of two approaches for treating type 2 AIH. First, we tested the anti-CD3ε antibody in prophylaxis and in treatment of type 2 AIH. We showed that a dosage of 5µg i.v. of anti-CD3ε antibody per day for 5 consecutive days induced remission in mice with established type 2 AIH. This remission was defined as a normalization of serum alanine aminostransferase levels and a significant decrease of liver inflammation in treated mice. This remission seems to be associated with a transitory depletion of CD3+ T lymphocytes in peripheral blood mononuclear cells and increased CD4+CD25+Foxp3+ regulatory T lymphocytes in the liver. But when this dosage was applied in prophylaxis, it could not prevent the induction of type 2 AIH. The second approach was to induce tolerance by nasal administration of murin formiminotransferase cyclodeaminase (mFTCD), an autoantigen of type 2 AIH. We showed that nasal administration of 100µg of mFTCD for 3 consecutive days prevented development of type 2 AIH in prophylaxis by reducing liver inflammation.
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Développement d’immunothérapies spécifiques pour le traitement de l’hépatite autoimmune de type 2 chez un modèle murinYang, Roland 12 1900 (has links)
L’hépatite autoimmune (HAI) est une maladie grave affectant le foie et présentant un haut taux de mortalité lorsque non traitée. Les traitements disponibles sont efficaces, mais de graves effets secondaires leur sont associés. Ces effets secondaires sont généralement le résultat d'une forte immunosuppression et d’autres sont spécifiques à chaque médicament. Aucune immunothérapie spécifique n’est présentement disponible pour le traitement de l’HAI. Récemment, un modèle murin d’HAI a été développé dans notre laboratoire par xénoimmunisation des souris C57BL/6 avec les antigènes humains de l'HAI de type 2. Ce modèle présente la plupart des caractéristiques biochimiques et cliniques retrouvées chez les patients atteints d'HAI de type 2. Dans cette étude, nous avons évaluée l’efficacité de deux types de traitement pour l’HAI de type 2 à l’aide de notre modèle murin. Dans un premier temps, l’anticorps anti-CD3ε a été étudié en prophylaxie et en traitement. Nous avons montré qu’une posologie de 5µg d’anti-CD3 i.v. par jour pendant 5 jours consécutifs induit une rémission chez les souris avec HAI de type 2 établie (traitement). Cette rémission est caractérisée par une normalisation des niveaux d’alanine aminotransférase et une diminution significative de l’inflammation hépatique. Cette rémission semble être associée à une déplétion partielle et transitoire des lymphocytes T CD3+ dans la périphérie et une augmentation des lymphocytes T régulateurs CD4+, CD25+ et Foxp3+ dans le foie. La même posologie lorsqu’elle est appliquée en prophylaxie n’a pas réussi à prévenir l’apparition de l’HAI de type 2. La deuxième voie de traitement consiste en l’administration par voie intranasale d’un forte dose de formiminotransférase cyclodésaminase murin (mFTCD), un autoantigène reconnu dans l’HAI de type 2. Une administration en prophylaxie par voie intranasale de 100µg de mFTCD par jour durant 3 jours consécutifs arrive à prévenir l’HAI de type 2 en diminuant l’inflammation hépatique au bout de deux semaines post-traitement. / Autoimmune hepatitis (AIH) is a severe liver disease with high mortality rates if left untreated. Current treatments, while effective, are associated with deleterious side-effects. These side effects are specific to each drug and the result of broad immunosuppression. Recently, a murine model of type 2 AIH has been created in our laboratory in wild-type naïve mice. In this model, DNA immunization with type 2 AIH human autoantigens breaks immune tolerance and induces an autoimmune response against the liver. Lately, new therapeutic strategies based on depletion of specific immune cell populations have been proposed for the treatment of several diseases, including autoimmune diseases. Currently, no immunotherapies using biological agents are available for the treatment of autoimmune liver diseases. Therefore, the goal of this project is to study the efficacy of new immunotherapeutic agents for the treatment of type 2 AIH in an experimental model. We evaluated the effectiveness of two approaches for treating type 2 AIH. First, we tested the anti-CD3ε antibody in prophylaxis and in treatment of type 2 AIH. We showed that a dosage of 5µg i.v. of anti-CD3ε antibody per day for 5 consecutive days induced remission in mice with established type 2 AIH. This remission was defined as a normalization of serum alanine aminostransferase levels and a significant decrease of liver inflammation in treated mice. This remission seems to be associated with a transitory depletion of CD3+ T lymphocytes in peripheral blood mononuclear cells and increased CD4+CD25+Foxp3+ regulatory T lymphocytes in the liver. But when this dosage was applied in prophylaxis, it could not prevent the induction of type 2 AIH. The second approach was to induce tolerance by nasal administration of murin formiminotransferase cyclodeaminase (mFTCD), an autoantigen of type 2 AIH. We showed that nasal administration of 100µg of mFTCD for 3 consecutive days prevented development of type 2 AIH in prophylaxis by reducing liver inflammation.
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