• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 21
  • 8
  • 2
  • 1
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 34
  • 34
  • 7
  • 5
  • 5
  • 5
  • 5
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • 3
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
31

Marivaux, juge et témoin de son temps d'après ses journaux

Sheu, Ling-Ling January 1996 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
32

Portrait anthropologique d'un acteur social dans une famille industrielle verviétoise (Belgique, Province de Liège) au XIXe siècle / Portrait anthropologique d'un acteur social dans une famille industrielle verviétoise (Belgique, Province de Liège) au dix-neuvième siècle

Mauffette-Vachon, Michelle 24 April 2018 (has links)
Ce mémoire construit le portrait anthropologique d'un acteur social qui a vécu au XIXe siècle (1806-1875) dans une famille entrepreneuriale de la bourgeoisie verviétoise du textile (Belgique - province de Liège). Il s'agit d'un travail ethnohistorique basé sur des archives. Le document principal est un journal personnel rédigé p en d an t une période de vingt ans (1843-1864) par l'acteur étudié. L'approche est ethnographique et l'éclairage théorique est transactionnaliste. Le travail décrit de façon détaillée, en s’approchant par paliers des enjeux prioritaires de l'acteur, quelques aspects de son insertion sociale, incessamment entretenue et reproduite. L'étude s'attarde à la position particulière de cet acteur né second fils dans une famille qui possède et transmet un bien industriel, et qui restera sans enfants, au moment où il agit dans son milieu local, et où interagissent, avec lui et entre eux, les membres de sa famille et ceux des familles alliées. Tous s'entrecroisent dans les horizons - tangents aux domaines du textile, des mines et de l'agriculture, des journaux, de la politique et de la religion - que sont les affaires, les oeuvres sociales et de charité. Le but de ce mémoire est de montrer qu'en s'intéressant de près aux acteurs dans les contextes sociaux de leurs vies, on peut com prendre leurs stratégies, leurs interprétations et leurs limites.
33

L'art dans les journaux intimes de M. Eliade, E. Ionesco, M. Sebastian et N. Steinhardt, 1927-1987 / Art in the Diaries of Mircea Eliade, Eugène Ionesco, Mihail Sebastian, and N. Steinhardt, 1927-1987

Lupas, Maria Cristina 10 June 2011 (has links)
Une interrogation sur la nature et les pouvoirs de l’art traverse les journaux intimes de Mircea Eliade, Eugène Ionesco, Mihail Sebastian et Nicolae Steinhardt. Cette interrogation remonte aux débats littéraires de la Grande Roumanie, contexte historique d’où émergent ces écrivains. A cette période est aussi liée leur pratique du journal intime, genre qui caractérise la ‘jeune génération’, groupement de jeunes acteurs culturels lancé par Eliade. Les réceptions (selon le terme de H. R. Jauss) des œuvres d’art que ces quatre auteurs consignent dans leurs journaux intimes permettent d’illustrer trois pouvoirs de l’art mis en relief par leur jeunesse roumaine et leur cheminement après la guerre. L’art a un pouvoir formateur : il les enseigne en leur ouvrant des mondes présentés par les œuvres. Il a aussi un pouvoir nationaliste car, dans le nouvel état-nation roumain, dans le contexte d’une « littérature mineure », l’art tendait à être politisé et l’état roumain pratiqua une politique nationaliste qui n’épargna pas le domaine des arts. Enfin, l’art a un pouvoir thérapeutique car il permet d’aborder des expériences douloureuses telles que celle de la crise nationaliste roumaine, par des voies indirectes et plus attrayantes. Les quatre journaux intimes, établis à partir de textes publiés en Roumanie et en France, font découvrir quatre cheminements qui se croisent et s’éclairent mutuellement, notamment sur leurs relectures difficiles du passé roumain. Le parcours de Ionesco ressort particulièrement comme celui d’une thérapie par l’art et d’un ‘travail de mémoire’, selon le terme de Ricœur, sur son passé personnel et sur le XXe siècle européen. / Reflections about the nature and powers of art pervade the diaries of Mircea Eliade, Eugène Ionesco, Mihail Sebastian, and Nicolae Steinhardt. These reflections stem from the literary debates in fashion in Greater Romania in which all four authors took part. Their practice of diary keeping also goes back to this period. It especially characterized a group of young intellectuals launched by Eliade called the ‘Young Generation.’ The diary genre lends itself well to a type of study H. R. Jauss has called ‘reception.’ The receptions of art in the four diaries illustrate three powers of art. Art has a formative power: it teaches by opening the receiver to the world proposed by the work of art. Art also has a nationalistic power: as an instrument of national-identity building for the new Romanian nation-state, art did not escape the danger of politicization characteristic of so-called ‘minor literatures,’ a term this dissertation discusses, and the Romanian state practiced nationalist policies with regards to the arts. Lastly, art has a therapeutic power: it can help in coming to terms with painful experiences like that of the Romanian nationalist catastrophe by indirect and more attractive means. The text of the four diaries is here established from fragments published in Romanian and in French publications. The diaries reveal four lives that crossed paths and that shed light on each other and especially on the difficult re-readings of the Romanian past. Ionesco’s diary in particular emerges as an example of a therapy by art and of what Paul Ricœur has called a ‘work of memory,’ about his personal history, that of his generation and of twentieth-century Europe.
34

Voces femeninas de la América decimonónica: Juana Manuela Gorriti, Soledad Acosta de Samper y Joséphine Marchand-Dandurand en sus diarios íntimos y publicaciones periódicas

Michaud-Mastoras, Danaé 07 1900 (has links)
Cette recherche a reçu le soutien financier du CRSH, de la FESP et du DLLM. / Le XIXe siècle représente une période prépondérante de l'histoire des femmes en Occident, celle de la naissance d’une conscience féminine de nature publique, des premiers balbutiements du féminisme. Dans ce contexte, il est important d'étudier où se situent certaines personnalités féminines dans leur société. À cette époque, deux pratiques d'écriture connaissent leur apogée, la presse et le journal intime, qui permettent aux femmes de prendre la parole et d’intervenir dans la sphère publique. Ces formes d'écriture peuvent être considérées comme des espaces discursifs nés de conflits et de tensions sociales; elles sont le produit d’une même personne qui commente l’actualité de façon quotidienne, hebdomadaire ou mensuelle. La femme de lettres reconstitue les événements et faits du passé, transmet ses observations et opinions personnelles sur divers sujets; elle remet aussi en question le discours normatif institutionnel à partir de ses propres expériences et connaissances. Les écritures intime et journalistique témoignent de la vision plurielle du monde des intellectuelles et de leur participation au devenir historique, d'où l'intérêt de les étudier en parallèle dans ce travail. À travers l'étude d’écrits intimes et journalistiques, l'objectif principal de cette thèse est de faire entendre trois voix féminines de l’Amérique face à la culture patriarcale: celles de l'Argentine Juana Manuela Gorriti, de la Colombienne Soledad Acosta de Samper et de la Québécoise Joséphine Marchand-Dandurand. Nous nous demandons dans quelle mesure leur écriture s’inscrit dans un projet collectif lié à l’avancement des femmes et de la nation. L’hypothèse qui guide notre travail est que les auteures développent et partagent une écriture de dénonciation et de revendication liée à la situation des femmes et de la nation. Nous partons du contexte universel d'invisibilité des femmes, de leur manque de reconnaissance comme sujets de la société du XIXe siècle ; nous suivons la ligne foucaultienne de la généalogie, en y ajoutant la variable de genre, dans le but de récupérer les traces d’une contre-mémoire manifeste dans les textes choisis et de mettre l’accent sur la contribution des auteures. L’analyse explore le dialogue entre le discours des écrivaines et l’hégémonie masculine. Elle reconstitue le contenu social de nature idéologique, indique les fonctions des textes analysés, examine attentivement leur contexte de création ainsi que l’expérience biographique des auteures et leur apport intellectuel. Alors que Gorriti, Acosta de Samper et Marchand-Dandurand proviennent de cultures et d’époques différentes, l'objectif est de préciser les éléments homologues sur les plans thématique et stratégique, tant dans leur écriture personnelle que dans leurs publications périodiques. Cet exercice permet de vérifier si, tant au niveau privé qu’au niveau public, les intellectuelles expriment les mêmes idées avec les mêmes stratégies énonciatives ; s’il existe une continuité ou, au contraire, une rupture entre les écrits autobiographiques et les essais publics qui rendent légitime leur vision du monde. Par la même occasion, nous examinons si le « je » des écrits intimes correspond à celui des publications périodiques de chacune des auteures à l’étude. / The nineteenth century is a key period in the history of Western women. This is when a public female consciousness emerges for the first time and an incipient feminism can be observed. In this context, it is important to study how certain female public figures positioned themselves in their respective societies. During this period two genres of writing, journalism and the personal diary, were at their height, and allowed women to take the floor and enter the public sphere. These forms of writing can be regarded as discursive spaces arising from social conflicts and tensions, but they are also the product of an individual who comments daily, weekly or monthly on current events. The woman writer reconstructs events and facts from the past, and reveals her personal observations and opinions on various subjects. She also uses her own experiences and knowledge to cast doubt on normative institutional discourses. Journalistic and personal writing bear witness to the pluralistic worldview of these female intellectuals and to their participation in contemporary historical developments; hence the interest in studying them comparatively in this investigation. The main objective of this dissertation is to analyse, through the study of their journalism and diaries, the work of three female writers from the Americas—the Argentinian Juana Manuela Gorriti, the Colombian Soledad Acosta de Samper, and the Quebecer Joséphine Marchand-Dandurand—whose voices have been silenced by patriarchal culture. Fundamentally, this thesis asks to what extent their writing is inscribed in a collective project related to the advancement of women and the nation. This investigation’s hypothesis is that the authors develop and share a critique of both the situation of women and the nation, as well as calling for women's recognition. Starting from the basis that women's invisibility is universal, and that women were not recognised as subjects in nineteenth-century society, the study deploys the Foucault’s theory of genealogy, adding the gender variable, in order to rescue the traces of a counter-memory in the texts selected and to value the contributions of the authors. The analysis explores the dialogue between the discourse of women writers and male hegemony, restoring the social content of an ideological nature, pointing out the functions provided by the texts analyzed and carefully examining the contexts of their production, as well as the biographical experiences of the writers and their intellectual contributions. Even though Gorriti, Acosta de Samper and Marchand-Dandurand come from different cultures and epochs, the objective is to define the similarities in their personal and journalistic writing on both a thematic and strategic levels. This exercise allows us to verify if these female intellectuals expressed the same ideas in both public and private spheres with the same enunciative strategies; if there is continuity or rupture between autobiographical writings and public essays, which legitimize their worldview. At the same time, the study examines if there is any correspondence between the authorial self of the intimate writings and that of the periodical publications. / El siglo XIX es un período clave en la historia de las mujeres occidentales ya que es el momento en el que surge una conciencia femenina de naturaleza pública y en el que se observan los primeros balbuceos del feminismo. En este contexto, resulta importante estudiar el posicionamiento de ciertas individualidades femeninas frente a la sociedad de su tiempo. Tanto la prensa como el diario personal son dos prácticas escriturales que conocen su auge en esta época y que permiten a las mujeres tomar la palabra y el espacio público. Estas formas de escritura pueden ser consideradas como espacios discursivos surgidos de conflictos y tensiones de carácter social, siendo producto de una misma personalidad que comenta diaria, periódica o mensualmente la actualidad. La mujer escritora reconstituye acontecimientos y hechos del pasado, da a conocer sus observaciones y opiniones personales sobre varios temas; cuestiona también el discurso normalizado e institucionalizado a partir de su propia experiencia y en función de sus conocimientos. Las escrituras íntima y periodística constituyen testimonios de la visión plural del mundo de las intelectuales y de su participación en el devenir histórico. De ahí el interés de estudiarlas en paralelo en este trabajo. El objetivo principal de esta tesis es el de hacer oír, a través del estudio de escritos íntimos y periodísticos, tres voces femeninas americanas frente a la cultura patriarcal: las de la argentina Juana Manuela Gorriti, de la colombiana Soledad Acosta de Samper y de la quebequense Joséphine Marchand-Dandurand. Nos preguntamos en qué medida su escritura se inscribe en un proyecto colectivo relacionado con el avance de la mujer y de la nación. La hipótesis que guía nuestra investigación es la de que las autoras desarrollan y comparten una escritura de denuncia y de reivindicación relacionada con la situación de la mujer y de la nación. Partiendo del contexto universal de invisibilidad de la mujer, de su falta de homologación como sujeto en la colectividad decimonónica, seguimos la línea foucaultiana de la genealogía, agregándole la variable de género, con el fin de rescatar las huellas de una contramemoria manifiesta en los textos seleccionados y de valorar las aportaciones de las autoras. El análisis considera la interlocución entre el discurso de las escritoras con la hegemonía masculina, restituyendo el contenido social de naturaleza ideológica, señalando las funciones y apuestas que proporcionan los textos analizados y examinando cuidadosamente el contexto de su creación, así como la experiencia biográfica de las escritoras y su aporte intelectual. Si bien Gorriti, Acosta de Samper y Marchand-Dandurand proceden de culturas y épocas distintas, el objetivo es deslindar los elementos que pueden ser considerados homólogos a nivel temático y estratégico, tanto a través de su escritura personal como de sus publicaciones periódicas. Este ejercicio nos permite comprobar si, tanto en el plano privado como en el público, las intelectuales expresan las mismas ideas con las mismas estrategias enunciativas, si existe continuidad o si, por el contrario, se evidencia una ruptura entre los escritos autobiográficos y los ensayos públicos, que legitiman su visión del mundo. Al mismo tiempo, examinamos si hay una concordancia entre el yo autoral de los escritos íntimos y el de las publicaciones periódicas.

Page generated in 0.0588 seconds