• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 4
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 6
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Identité et conscience européenne à travers les relations de Jean Monnet et de l'élite américaine 1938-1963 / European identity and conscience through the relation between Jean Monnet and the American elite,1938-1963;

Kim, Yoojoung 06 May 2011 (has links)
Les Asiatiques n‘ont, jusqu'à présent, jamais eu l‘occasion d‘organiser leur paix propre. C‘est sur ce chemin qu‘il faut chercher une forme de coexistence et de coopération asiatique tout comme l‘Europe l‘a réalisée après la seconde guerre mondiale. C‘est pour cette raison que l‘idée d‘unification européenne et en particulier celle de Jean Monnet est capitale. Bien entendu, il ne s‘agit pas de transposer mécaniquement et intégralement un modèle européen théorique, en écartant tout particularisme asiatique, mais plutôt de reprendre l‘esprit et les idées du modèle ainsi que la démarche (voire la méthodologie) adoptée lors de sa construction. / (no summary)
2

Piédestal et indépendance féminine : la hiérarchie de genre sudiste pendant la guerre civile et la Reconstruction

Dansereau, François January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
3

Piédestal et indépendance féminine : la hiérarchie de genre sudiste pendant la guerre civile et la Reconstruction

Dansereau, François January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
4

Le rôle de l'Université Ouverte al-Quds (UOQ) dans la formation de la nouvelle élite palestinienne

Hodali, Imad 04 December 2013 (has links) (PDF)
A partir de 1948 la société palestinienne est déstabilisée suite à la guerre qui voit la perte de la Palestine historique. La grande majorité des Palestiniens se retrouve dispersée dans les pays de la région et au-delà de la Méditerranée. Aussi l'élite ancienne construite à partir de fondements religieux, familiaux ou de richesses foncières se retrouve elle aussi expulsée de ses terres. Elle perd donc ses positions de privilèges, désemparée et désorientée, elle ne reviendra plus jamais au devant de la scène nationale palestinienne. Ce sont les hommes qui dirigeront la lutte pour la récupération de la Palestine de 1948, ensuite et à partir de 1967 contre l'occupation de la Cisjordanie et de la bande de Gaza (partie de la Palestine historique) d'abord sous forme de lutte armée ensuite par la diplomatie et la politique de négociations, qui deviennent les nouvelles figures sur la scène politique palestinienne. Ils sont originaires non de l'ancienne bourgeoisie religieuse et familiale mais de la classe moyenne des villes et des zones rurales qui vont recruter dans les camps de réfugiés les futurs combattants. Ce sont les nouveaux dirigeants. C'est un processus qui a commencé dès la moitié des années 1960 pour se consolider avec la création de partis et mouvements palestiniens opérant dans les divers pays d'accueil de la région. Cette nouvelle élite se conforme aux changements et aléas de la diplomatie internationale et d'un rapport de force inégal face à Israël tout au long du conflit israélo-palestinien. Pour comprendre l'évolution des élites palestiniennes il fallait donc adopter l'approche historique des événements et faits marquants touchant le peuple palestinien depuis 1948 jusqu'à l'après-Oslo (1993) ; vingt ans d'Autorité Nationale Palestinienne caractérisée par une souveraineté limitée aux principales villes de la Cisjordanie et de la bande de Gaza, au contraire de ce qu'avaient stipulé les Accords de 1993 : ceux-ci devaient progresser vers le statut définitif des Territoires occupés en 1967. C'est dans ces territoires occupés depuis 1967, en Cisjordanie et dans la bande de Gaza, que se situe donc notre terrain de recherche. À partir de 1993 les dirigeants rapatriés de l'exil formant les membres dirigeants de l'Autorité nationale, vont favoriser les initiatives de palestiniens, en particulier, les figures proéminentes des villes, dans la création d'établissements universitaires. Ceci est entrepris non seulement pour répondre aux besoins d'éducation d'une population jeune dans un acte de résilience face à l'occupation, mais aussi pour répondre aux exigences du projet de construction des institutions du futur Etat à l'intérieur des Territoires de 1967. De nouvelles compétences, de nouveaux savoir-faire devenaient nécessaires dans cette nouvelle situation du post-Oslo où, en parallèle à la lutte politique, l'enseignement supérieur devenait un enjeu vital pour l'existence de la société palestinienne dont l'ambition est d'avoir une place à part entière parmi les nations modernes du monde. D'autres figures émergeront à partir de ces universités pour former une nouvelle et différente élite qui gouvernera dans un contexte de règles démocratiques où le pouvoir ne sera pas exclusivement dans la main de quelques dirigeants. L'OLP, dès 1990, va créer une Université pour tous, l'Université Ouverte Al-Quds (l'UOQ), se basant sur le mode ouvert et à distance. C'était un choix devenu urgent pour surmonter les difficultés et les entraves qu'imposait l'occupation. L'UOQ connaîtra un grand succès comme en témoigne le nombre grossissant de ses inscrits dans un contexte de tension. Plus tard et malgré son offre limitée dans les disciplines d'études, elle va attirer les jeunes à la recherche d'un métier, les adultes pour poursuivre des études inachevées, les femmes pour la proximité de ses centres d'études.
5

Le rôle de l’Université Ouverte al-Quds (UOQ) dans la formation de la nouvelle élite palestinienne / The role of Al-Quds Open University in the formation of the new palestinian elite.

Hodali, Imad 04 December 2013 (has links)
A partir de 1948 la société palestinienne est déstabilisée suite à la guerre qui voit la perte de la Palestine historique. La grande majorité des Palestiniens se retrouve dispersée dans les pays de la région et au-delà de la Méditerranée. Aussi l'élite ancienne construite à partir de fondements religieux, familiaux ou de richesses foncières se retrouve elle aussi expulsée de ses terres. Elle perd donc ses positions de privilèges, désemparée et désorientée, elle ne reviendra plus jamais au devant de la scène nationale palestinienne. Ce sont les hommes qui dirigeront la lutte pour la récupération de la Palestine de 1948, ensuite et à partir de 1967 contre l'occupation de la Cisjordanie et de la bande de Gaza (partie de la Palestine historique) d'abord sous forme de lutte armée ensuite par la diplomatie et la politique de négociations, qui deviennent les nouvelles figures sur la scène politique palestinienne. Ils sont originaires non de l'ancienne bourgeoisie religieuse et familiale mais de la classe moyenne des villes et des zones rurales qui vont recruter dans les camps de réfugiés les futurs combattants. Ce sont les nouveaux dirigeants. C'est un processus qui a commencé dès la moitié des années 1960 pour se consolider avec la création de partis et mouvements palestiniens opérant dans les divers pays d'accueil de la région. Cette nouvelle élite se conforme aux changements et aléas de la diplomatie internationale et d'un rapport de force inégal face à Israël tout au long du conflit israélo-palestinien. Pour comprendre l'évolution des élites palestiniennes il fallait donc adopter l'approche historique des événements et faits marquants touchant le peuple palestinien depuis 1948 jusqu'à l'après-Oslo (1993) ; vingt ans d'Autorité Nationale Palestinienne caractérisée par une souveraineté limitée aux principales villes de la Cisjordanie et de la bande de Gaza, au contraire de ce qu'avaient stipulé les Accords de 1993 : ceux-ci devaient progresser vers le statut définitif des Territoires occupés en 1967. C'est dans ces territoires occupés depuis 1967, en Cisjordanie et dans la bande de Gaza, que se situe donc notre terrain de recherche. À partir de 1993 les dirigeants rapatriés de l'exil formant les membres dirigeants de l'Autorité nationale, vont favoriser les initiatives de palestiniens, en particulier, les figures proéminentes des villes, dans la création d'établissements universitaires. Ceci est entrepris non seulement pour répondre aux besoins d'éducation d'une population jeune dans un acte de résilience face à l'occupation, mais aussi pour répondre aux exigences du projet de construction des institutions du futur Etat à l'intérieur des Territoires de 1967. De nouvelles compétences, de nouveaux savoir-faire devenaient nécessaires dans cette nouvelle situation du post-Oslo où, en parallèle à la lutte politique, l'enseignement supérieur devenait un enjeu vital pour l'existence de la société palestinienne dont l'ambition est d'avoir une place à part entière parmi les nations modernes du monde. D'autres figures émergeront à partir de ces universités pour former une nouvelle et différente élite qui gouvernera dans un contexte de règles démocratiques où le pouvoir ne sera pas exclusivement dans la main de quelques dirigeants. L'OLP, dès 1990, va créer une Université pour tous, l'Université Ouverte Al-Quds (l'UOQ), se basant sur le mode ouvert et à distance. C'était un choix devenu urgent pour surmonter les difficultés et les entraves qu'imposait l'occupation. L'UOQ connaîtra un grand succès comme en témoigne le nombre grossissant de ses inscrits dans un contexte de tension. Plus tard et malgré son offre limitée dans les disciplines d'études, elle va attirer les jeunes à la recherche d'un métier, les adultes pour poursuivre des études inachevées, les femmes pour la proximité de ses centres d'études. / Starting from 1948 the Palestinian society is destabilized by the war which saw the loss of historic Palestine. The vast majority of Palestinians are scattered in the countries of the region and beyond the Mediterranean. The old elite originating from religious, family or land ownership backgrounds lost also all its possessions and, consequently, all its influential positions. Helpless and disoriented, this elite will never return to the forefront of the Palestinian national scene. It is the men who lead the struggle for the recovery of Palestine of 1948, and then, from 1967 onwards, against the occupation of the West Bank and the Gaza Strip (part of historic Palestine), first in an armed struggle then through diplomacy and political negotiations, who become the new figures of the Palestinian political scene under the umbrella of the Palestine Liberation Organization, the PLO. They come from outside the well-known religious families and the Palestinian bourgeoisie, but rather from the middle class of towns or from rural areas who will recruit in the refugee camps the future fighters. These are the new leaders. It is a process that began in the mid-1960s and was progressively consolidated through the creation of Palestinian parties and movements operating in various host countries in the region. This new elite adapts itself to the changes and vagaries of international diplomacy and to an imbalance of power against Israel throughout the years of the Israeli-Palestinian conflict. In order to understand the process of the forming of Palestinian elites it was necessary to adopt the approach of historical events and facts related to the Palestinian people since 1948 until the post-Oslo (1993). The last twenty years saw a Palestinian National Authority characterized by sovereignty limited to the main cities of the West Bank and Gaza strip, contrary to what had been stipulated in the Oslo Agreements of 1993 : these were to lead to a final settlement concerning the status of the Territories occupied in 1967. The focus of our research is therefore the society in the West Bank and the Gaza Strip. Starting from 1993, the leaders returning from exile and who formed the ruling members of the National Authority supported the initiatives of Palestinians, in particular, the prominent figures of the cities, in the creation and development of academic establishments and universities as a way not only to meet with the need of education of the young in a resiliency act to face occupation, but also to respond to the demands of building the future State institutions inside the 1967 lines. New skills, new competences were required in this new phase of the post-Oslo evolution where, along the political struggle, higher education became vital to the existence of the Palestinian society who ambitions to have a full-fledged position among the modern states of the world. Other new figures will arise from these universities to form a new, different elite in a context of democracy rules where power will not be exclusively in the hands of a few rulers. The PLO in 1990, had created a University for all, the al-Quds Open University (QOU), based on the mode of open and distance learning. This was a choice made urgent by the restrictions and the obstacles imposed by the occupying forces. QOU became particularly attractive as evidenced by the large numbers of its registered students and as the situation grew more tense. Later on and despite its limited offer of study disciplines it drew students needing to secure job, adults wanting to pursue unfinished studies, women who found it easy to access the University study centers.
6

Is anybody following? : elite polarization and how masses react to it

Çakır, Mehmet Ali Semih 02 1900 (has links)
Il y a une préoccupation croissante parmi les experts en ce qui a trait à la polarisation idéologique des élites politiques en raison de son potentiel à pousser les masses vers les extrêmes et à exacerber la polarisation affective. Ces préoccupations sont-elles justifiées? Cette thèse comprend trois articles distincts mais liés, chacun contribuant à apporter une réponse à cette question. Le premier chapitre empirique (chapitre 2) examine si la polarisation idéologique des élites a augmenté au fil du temps en Europe de l’Ouest. Pour ce faire, ce chapitre se concentre sur la polarisation des partis politiques (c’est-à-dire la polarisation idéologique des élites) sur trois dimensions (économique, sociale et sur la question de l’intégration européenne) simultanément, car la transformation post-industrielle de l’espace politique européen a entraîné une politique multidimensionnelle qui n’est pas toujours alignée avec l’une et l’autre. De plus, le chapitre 2 compare ces tendances à celles fondées sur la dimension traditionnelle gauche-droite. En utilisant les jugements d’experts du Chapel Hill Expert Survey comme indicateur des positions des partis, la polarisation des parties est mesurée en fonction de leur dispersion moyenne des partis par rapport au centre relatif du système politique. Ce chapitre montre une tendance vers une plus grande polarisation des partis sur la dimension gauche-droite ainsi que sur les dimensions économique et sociale, mais pas sur la dimension d’integration européenne. Les partis prennent de plus en plus de positions distinctes sur les questions économique et sociales, et le "menu" idéologique servi aux citoyens est devenu plus diversifié u fil du temps. De plus, il montre que la polarisation des partis sur les dimensions économique, sociales et d’intégration européenne est modérément corrélée à celle de la dimension gauche-droite traditionnelle, tandis que les corrélations de la polarisation des partis sur ces dimensions entre elles sont plutôt faibles. Bien que la dimension gauche-droite agisse comme une position super-thématique qui absorbe les positions des partis sur d’autres dimensions, elles ne sont pas nécessairement alignées les unes sur les autres. Ayant établi que la polarisation idéologique des élites est en hausse en Europe de l’Ouest, le deuxième chapitre empirique (chapitre 3) examine comment les masses réagissent à l’augmentation de la polarisation idéologiques des élites. Plus précisément, la question est de savoir si la polarisation idéologique des élites conduit à une polarisation idéologique des masses. En d'autres termes, lorsque des propositions de politique plus extrêmes sont disponibles pour les citoyens, adoptent-ils également des préférences de politique plus extrêmes? Ce chapitre avance que les masses se polarisent suivant deux mécanismes. En vertu de la théorie de l’identité sociale, les partisans devraient suivre leur parti et adopter une position idéologique plus extrême, tandis que les non-partisans devraient réagir à l'opposé. De plus, ce chapitre soutient que si les partisans se polarisent en fonction des changements qui surviennent à l'interieur de leur parti dépend de leur position spatiale par rapport à ce même parti sur l’échelle idéologique. Par exemple, seuls ceux qui sont parfaitement alignée avec leur parti ou plus à droite que leur parti devraient se conformer aux mouvements des élites. Ce chapitre teste ces attentes dans un cadre réel en s’appuyant sur un design quasi-expérimentale. Le chapitre exploite une augmentation subite de la polarisation idéologique de l’élite qui s’est produite lorsque le Parti travailliste au Royaume-Uni a subi une changement de position soudain avec l’élection de Jeremy Corbyn à titre de nouveau chef. À l’aide des données du British Election Study Internet Panel, ce chapitre ne trouve que des éléments de preuves limitées supportant l'hypothèse que la polarisation de l’élite entraîne une polarisation idéologique de masse : ni les partisans du Parti travailliste ni les autres partisans ne sont devenus plus polarisés à la suite du changement de position du Parti travailliste. Seule une petite minorité de partisans travaillistes situés à droite du parti ont suivi le parti en adoptant une position plus à gauche sur le plan idéologique. De plus, contrairement aux attentes, la plupart des partisans et des non-partisans ont modéré leurs positions. Ce chapitre examine les raisons potentielles de cet effet inattendu. Dans l’ensemble, ces résultats améliorent nos connaissances sur la manière dont les masses réagissent à la polarisation de l’élite et contribuent à dissiper les préoccupations des experts selon lesquelles les masses deviendraient elles-mêmes idéologiquement polarisées lorsque les partis politiques se polarisent. Le troisième chapitre empirique (chapitre 4) étend l’étude aux réactions affectives des citoyens. Les masses deviennent-elles affectivement plus polarisées lorsque la polarisation idéologique de l’élite augmente ? En se basant sur le contexte britannique, qui a connu une montée de la polarisation idéologique de l’élite en raison du virage à gauche du Parti travailliste et du conflit du Brexit en cours, ce chapitre constate qu’une augmentation de la polarisation idéologique de l’élite conduit à une polarisation affective plus élevée des masses, même parmi les partisans de l’opposition et ceux qui ne sont pas attachés à un parti (c’est-à-dire les indépendants). Les résultats montrent que l’effet de la polarisation de l’élite sur la polarisation affective des masses est davantage influencé par les sentiments envers le parti avec lequels identifient les individus que par les sentiments que ceux-ci entretiennent envers le parti opposé. Ces résultats suggèrent que la polarisation affective ne reflète pas nécessairement de l’animosité envers le parti opposé, mais peut fluctuer en raison des changements dans le niveau d’enthousiasme à l'égard de son propre parti. Ce chapitre constate également une relation causale bidirectionnelle entre la perception par des citoyens de la polarisation idéologique de l’élite et leur polarisation affective. Cela signifie que la polarisation affective est enracinée à la fois dans l’identité et l’idéologie. Les résultats suggèrent que la polarisation affective peut être tempérée dans une certaine mesure par une position modérée des partis, mais que certains niveaux de polarisation affective sont inhérents aux systems démocratiques. Les analyses présentées dans cette thèse permettent d'apporter une réponse claire mais nuancée concernant les préoccupations des experts concernant sur l’augmentation de la polarisation idéologique et ses effets potentiellement néfastes. La polarisation idéologique des élites a augmenté en Europe de l’Ouest. Cependant, l’augmentation de la polarisation idéologique des élites ne conduit pas nécessairement à une polarisation idéologique accrue des masses, bien qu’elle conduise à une polarisation affective accrue parmi les citoyens. Dans la mesure où des niveaux excessifs de polarisation affective peuvent compromettre les démocraties représentatives, il peut être raisonnable pour les experts de s’inquiéter de l’augmentation des niveaux de polarisation idéologique des élites. Cependant, si la polarisation affective ne représente pas une menace pour les démocraties représentatives et ne conduit pas au délitement du tissu social, il peut ne pas être nécessaire de s’inquiéter immédiatement de l’impact de la polarisation idéologique des élites sur ce phénomène. / There is a growing concern among experts and policymakers about the increasing elite ideological polarization due to its potential to push the masses to the extremes and exacerbate affective polarization. Are these concerns warranted? This dissertation has 3 standalone articles, each of which contributes to providing an answer to this overarching question. The first empirical chapter (Chapter 2) examines whether elite ideological polarization has increased over time in Western Europe. To do so, it focuses on party polarization (i.e., elite ideological polarization) on three dimensions (the economic, social, and European integration dimensions) simultaneously, as the post-industrialization transformation of the European political space has resulted in multi-dimensional politics that are not always aligned with each other. Additionally, it compares these trends to those based on the traditional left-right dimension. Using mean expert judgments from the Chapel Hill Expert Survey as an indicator of party positions, party polarization is measured based on the average dispersion of parties from the relative center of the political system. This chapter finds a trend towards more party polarization on the left-right, economic, and social dimensions, but not on the European integration dimension. Parties increasingly take more distinct positions from each other on economic and social issues, and the available ideological menu available to citizens has become more diverse over time. Moreover, it shows that party polarization on economic, social, and European integration dimensions moderately correlates with that on traditional left-right dimension while the correlations of party polarization on these dimensions are relatively weak. While left-right acts like a super-issue position that absorbs party positions on other dimensions, they are not necessarily aligned with each other. Having established that elite ideological polarization is on the rise in Western Europe, second empirical chapter (Chapter 3) turns to how the masses react to the increasing elite ideological polarization. Specifically, the question is whether elite ideological polarization leads to mass ideological polarization. When more extreme policy proposals are available to citizens, do they also adopt more extreme policy preferences? This chapter argues that masses become polarized through two mechanisms. Based on social identity theory, in-partisans should follow their party and adopt a more extreme ideological stance, while out-partisans should backlash and move in the opposite direction. Additionally, this chapter argues that whether in-partisans become polarized when their party does so depends on their spatial location relative to the party on the ideological scale. For example, only those who are perfectly aligned with the party or more right-wing than the party should follow the party to the left when it moves in that direction. This chapter tests these expectations in a real-world setting by relying on a quasi-experimental design. It leverages a sudden increase in elite ideological polarization that occurred when the Labour Party in the United Kingdom underwent a sudden position change when Jeremy Corbyn was elected as its new leader. Using British Election Study Internet Panel data, this chapter finds limited evidence that elite polarization leads to mass ideological polarization: Neither in-partisans nor out-partisans became more polarized following the change in the Labour Party’s position. Only a small minority of Labour partisans that were located to the right of the Labour Party followed the party by adopting a more left-wing ideological stance. Moreover, contrary to the expectations, I find that most in- and out-partisans moderated their positions. This chapter discusses the potential reasons for this unexpected effect. The third empirical chapter (Chapter 4) extends the investigation to citizens’ affective reactions. Do the masses become affectively more polarized when elite ideological polarization increases? Relying on the British context, which experienced a surge in elite ideological polarization as a result of both the leftward pivot of the Labour Party and the ongoing Brexit conflict, this chapter finds that an increase in elite ideological polarization leads to higher mass affective polarization, even among out-partisans (i.e., those who identify with the out-party) and those who lack partisan attachment (i.e., independents). The results show that the effect of elite polarization on affective mass polarization is driven more by in-party feelings than out-party feelings. These results suggest that affective polarization is not necessarily a reflection of out-party animosity, but can fluctuate due to changes in in-party enthusiasm. This chapter also finds a bidirectional causal relationship between how citizens perceive elite ideological polarization and how affectively polarized they are. This means that affective polarization is rooted both in identity and ideology. The findings suggest that affective polarization can be tamed to some extent by moderate position-taking by parties, but some levels of affective polarization are inherent in democratic systems. Coming back to whether pundits' concerns about growing ideological polarization is warranted, this dissertation provides a clear but a nuanced answer. Elite ideological polarization has increased in Western Europe. However, increasing elite ideological polarization does not necessarily lead to more ideologically polarized masses although it leads to more affectively polarized masses. To the extent that excessive levels of affective polarization can undermine representative democracies, it may be reasonable for pundits to express concern about rising levels of elite ideological polarization. However, if affective polarization does not pose a threat to representative democracies and does not hinder societal coexistence, then there may not be a need for immediate concern regarding the impact of elite ideological polarization on this phenomenon.

Page generated in 0.0361 seconds