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Resolving hiatus /

Casali, Roderic F. January 1900 (has links)
Revised version of: Diss.--Linguistics--Los Angeles--University of California, 1996. / Bibliogr. p. 209-221. Index. Exemples en diverses langues africaines.
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Tone in lexical phonology /

Pulleyblank, Douglas George, January 1986 (has links)
Texte remaniée de: Diss.--Philosophy--Cambridge--Massachussetts institute of technology, 1983. / Bibliogr. p. 237-241. Index.
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Élaboration d'un vocabulaire de base du kirundi écrit : Problématique, description et applications

Ntirampeba, Pascal January 1999 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Contribution à l'étude de la genèse d'un créole : l'atlas linguistique d'Haïti, cartes et commentaires /

Fattier, Dominique. Chaudenson, Robert, January 1998 (has links)
Thèse de doctorat--Linguistique--Université de Provence, 1998. / Reproduction en l'état de l'exemplaire de soutenance. Deux volumes de commentaires et quatre volumes de cartes. Bibliogr. vol. 2, p.1017-1029.
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Description de la langue bijogo (Guinée Bissau)

Segerer, Guillaume 03 April 2000 (has links) (PDF)
La langue bijogo est parlée dans l'archipel des Bijagós, en Guinée Bissau, par une population d'environ 20000 personnes. Elle est classée dans la branche atlantique de la famille Niger-Congo, dont elle constitue un rameau isolé. La variation dialectale est assez importante, aussi a-t-on limité cette étude au parler de l'île de Bubaque. La description, fruit de trois séjours sur le terrain, s'attache surtout à exposer les principaux caractères morphologiques de la langue. Après une présentation du système phonologique (7 voyelles en triangle et 18 consonnes dont la rétroflexe ™), l'inventaire des parties du discours est établi sur des critères morpho-syntaxiques. Il fait apparaître une distinction principale entre verbe et nom. Une attention particulière est portée à la catégorie des prépositions. La troisième et la quatrième partie sont consacrées respectivement à l'examen détaillé de la sphère nominale et de la sphère verbale. Le système nominal est marqué par l'existence de 14 classes d'accord. Cet accord porte sur le verbe, l'ensemble des déterminants, ainsi que les relatives. Le système verbal est organisé autour de l'opposition aspectuelle accompli/inaccompli, que complète un ensemble de marques dont les valeurs sont classées en termes de temps, négation et visée. En conclusion sont évoquées les nombreuses ressemblances typologiques entre le bijogo et les langues bantoues. Un lexique de plus de 1800 mots est fourni en annexe.
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L’ikposso uwi : phonologie, grammaire, textes, lexique / Ikposo Uwi : Phonology, grammar, texts, lexicon

Soubrier, Aude 28 June 2013 (has links)
Cette thèse est une description phonologique et grammaticale de l’ikposso uwi, langue de la famille kwa, du phylum Niger-Congo. Elle est parlée au Togo par la population akposso, située dans la Région des Plateaux et comptant environ 150 000 personnes. Cette langue se divise en six dialectes : le logbo, l’uma, l’uwi, le litimé, l’ikponou et l’amou-oblo. Le corpus sur lequel se base cette étude est constitué (i) de 36 textes narratifs, (ii) de phrases élicitées à partir de livres d’images, (iii) du lexique issu de ces données, (iv) ainsi que de phrases d’élicitation libres, généralement en rapport avec les textes. La langue de travail et de traduction a toujours été le français. Phonologie et tonologie : La phonologie segmentale de l’ikposso uwi (chap. 1) est relativement simple. Les schèmes syllabiques sont peu nombreux et peu complexes. La principale caractéristique de la phonologie segmentale est l’harmonisation vocalique, avec un système à 10 voyelles. L’ikposso est une langue tonale (chap. 2). Les tons sont essentiels au niveau lexical mais supportent aussi des informations grammaticales. Il y a quatre tons ponctuels en uwi. Morphologie : Le nom et le syntagme nominal sont étudiés dans le chap. 3. La morphologie nominale est peu développée, contrairement à la morphologie verbale qui est très riche. Les adpositions font l’objet du chap. 4 et les pronoms celui du chap. 5. Les autres catégories de mots sont répertoriées dans le chap. 6. La morphologie verbale est beaucoup plus complexe que la morphologie nominale, avec de nombreux auxiliaires et préfixes de personne et d’aspect (chap. 7). Ce chapitre montre la richesse du système aspectuel.Syntaxe : L’ikposso est une langue avec un ordre des mots relativement fixe, SVOX. Cette caractéristique est toutefois en évolution, comme le montrent les constructions sérielles avec le verbe yɔ̄‘prendre’ (chap. 13) qui conduisent à un ordre des mots SOVX dans certains contextes discursifs. Le chap. 8 présente les différents types énonciatifs de phrases ainsi que les prédicats non verbaux. Le chap. 9 décrit le système de transitivité et de valence de la langue..... / Introduction : This thesis is a phonological and grammatical description of Ikposo Uwi, language of the phylum Niger-Congo and Kwa family. It is spoken in Togo by the people Akposso, about 150 000 people that live in the Région des Plateaux. This language divides itself into six dialects : Logbo, Uma, Uwi, Litimé, Ikponou and Amou-Oblo. The study relies on a corpus composed of (i) 36 narratives, (ii) elicitedsentences from picture books, (iii) the lexicon build on these data, (iv) and elicited sentences, generally in connection with the texts. The language used during work session and for translation has always been French.Phonology et tonology : The segmental phonology of Ikposo Uwi (Chapter 1) is quite simple. There are few syllabic schemes and they are not complex. The main characteristic is vocalic harmony, with a 10 vowel system.Ikposo is a tonal language (Chapter 2). Tones are very important on a lexical level, but they encode grammatical informations too. There are four level tones in the Uwi dialect.Morphologie : Nouns and nominal phrases are studied in Chapter 3. Nominal morphology is not very much developed, on the contrary to the rich verbal morphology, with auxiliaries, person index and aspectual prefixes (Chapter 7). Adpositions are studied in Chapter 4 and pronouns in Chapter 5. The other categories are identified in Chapter 6.Syntaxe : The word order is quite rigid : SVOX. This feature is however evolving, as we can see with the yɔ̄ serial verb construction (Chapter 13) that lead to a SOVX word order in some specific discursive contexts.Chapter 8 presents the different enunciative sentence types as well as non verbal predicates.Chapter 9 describes the transitivity and valency system of the language. Modifications in the argument structure are generally not morphologically marked. The only exception is the grammaticalization of 3rd person singular commitative pronoun fà : it makes a transitive-causative construction out fromverbs usually found in intransitive constructions. Ikposo uses massively serial verb constructions. Syntax and types of Ikposo’s serial verb constructions are studied in Chapter 10.The verb dʊ́‘to be at, to put’ (Chapter 11) is one of the most frequent positional verbs, due to its broad meaning. It is also used a lot as V2 in serial verb constructions : with this function dʊ́ undergoes either a grammaticalization process or a lexicalization process. The verb ká‘to give’ (Chapter 12), as V2 of serial verb constructions, undergoes a grammaticalization process, with a global dative meaning.The verb yɔ̄‘to take’ (Chapter 13) is used in serial verb constructions that tend to modify the word order of the arguments from SVO to SOV in some discursive contexts. yɔ̄introduces the object of the main verb or represents it on the main verb. In the latter case, the grammaticalized verb is prefixed yɔ̄-.Chapter 14 gathers the other frequent verbs that do not have a dedicated chapter. Among them, we find lɛ́‘to be, to be at’ used as a copula, bá‘to come’ and ɣā‘to go’ used as deictic verbs, tʊ̄‘to come from’ that grammaticalizes into a prepositional locution, and bā ‘to exceed’ used in comparative serial verbconstructions. Chapter 15 analyses the complex sentences of Ikposo. Among them, completivesare probably the most interesting. They are from two types : build with nominalized verbal predicates or with the quotative nʊ̄, more generally marker of reported speech.Finally, Chapter 16 shows the information structure of the language. I mostly studied the morphological markers of that structure, but a deeper analysis should show that the structure is more complex that these markers let think.
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A grammar of Cuwabo (Bantu P34, Mozambique) / Une grammaire du Cuwabo (Bantu P34, Mozambique)

Guerois, Rozenn 04 June 2015 (has links)
Le cuwabo est une langue bantoue parlée par plus de 800.000 locuteurs au Nord-Est du Mozambique. Elle est répertoriée sous le code P34 selon la classification de Guthrie et appartient donc au groupe makhuwa (P30). Le cuwabo se divise en cinq variétés: le cuwabo central, le karungu, le mayindo, le nyaringa, et le manyawa. Ce travail se base sur le cuwabo central parlé dans le district de Quelimane. Des données de première main ont pu être collectées auprès d’une dizaine de locuteurs, lors de trois terrains réalisés entre 2011 et 2013, totalisant 10 mois. Cette thèse fournit une description grammaticale de la langue couvrant en détail les domaines de la phonologie et de la morphosyntaxe. La phonologie comprend deux chapitres : le premier est dédié à la phonologie segmentale tandis que le deuxième analyse le fonctionnement du système tonal de la langue. Notons que le cuwabo est l’unique langue P30 ayant retenu un ton lexical contrastif sur les thèmes lexicaux et verbaux. Morphologiquement, le syntagme nominal est dominé par un riche système d’accords des classes nominales, typique dans les langues bantoues. Le verbe cuwabo a une morphologie de type agglutinant, qui renferme un riche système de Temps-Aspect-Mode combinant préfixes et suffixes finaux. Il convient de noter l’existence de plusieurs enclitiques selon les constructions (enclitiques locatifs, enclitiques pronoms personnels dans les relatives, enclitiques comitatif ou instrumental). Enfin, la syntaxe s’étend sur trois chapitres : le premier s’intéresse aux constructions prédicatives verbales et non-verbales ; le deuxième s’intéresse aux constructions relatives et à la formation des questions ; le dernier aborde la question de l’ordre des constituants en lien avec la structure informationnelle. Les domaines préverbaux et postverbaux sont examinés, ainsi que leur interaction avec le marquage morphologique sur le verbe qui distingue les formes conjointes et les formes disjointes. L’annexe de cette thèse compile sept textes, glosés et traduits, qui permettent d’illustrer en contexte un grand nombre d’items grammaticaux présentés dans les chapitres descriptifs. / Cuwabo is a Bantu language, spoken by more than 800,000 people (INE 2007) in the north-eastern part of Mozambique. It is numbered P34 in Guthrie’s classification, and thus belongs to the P30 Makhuwa group. Cuwabo can be subdivided into five main varieties: central Cuwabo, Karungu, Mayindo, Nyaringa, and Manyawa. This work is based on central Cuwabo spoken in the district of Quelimane. First-hand data were recorded from 10 speakers in the course of three fieldtrips realised between 2011 and 2013, achieving a total duration of 10 months. This thesis provides a grammatical description of the language, covering in detail its phonology and its morphosyntax. Phonology is divided into two chapters: the first is devoted to segmental phonology whereas the second describes the tonal system of the language. Note that Cuwabo is the only P30 language whose nominal and verbal stems have retained a lexical tone contrast. Morphologically, the noun phrase is marked by a rich agreement system ruled by the noun classes, as typical in Bantu. Cuwabo has a highly agglutinative verbal morphology, which conveys a rich Tense-Aspect-Mood system combining both prefixes and final suffixes. Note the existence of several enclitics depending on the constructions (locative enclitics, personal pronoun enclitics in relative clauses, comitative or instrumental enclitics). The last three chapters address syntactic issues: the first presents a description of the basic clause structure, involving verbal and non-verbal predication; the second looks into the relative constructions in close interaction with question formation; the last one investigates word order and information structure in Cuwabo. Preverbal and postverbal constituents are examined, as well as their interaction with the morphological marking on the verb, distinguishing conjoint and disjoint tenses. The appendix contains seven Cuwabo texts glossed and translated into English, which allow to illustrate in context many of the grammatical items presented in the descriptive chapters.
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La famille et les langues : une étude sociolinguistique de la deuxième génération de l'immigration africaine dans l'agglomération rouennaise /

Leconte, Fabienne. January 1998 (has links)
Texte remanié de: Th. État--Sci. du langage--Rouen. / Bibliogr. p. 271-282.
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Harmonisation des langues africaines transfrontalières par les TIC pour un enseignement-apprentissage plus efficient : le cas du Peul

Diallo, Issa 10 1900 (has links)
Cette thèse s'inscrit dans le cadre de l'harmonisation des langues africaines transfrontalières à tradition écrite émergente au moyen des Technologies de l’information et de la communication. / La langue, objet principal de la linguistique, se trouve également au carrefour d’autres disciplines connexes, toute chose qui repose la problématique de l’interdisciplinarité. Dans la présente thèse, il a été question des langues africaines transfrontalières, notamment le Peul abordé sous l’angle de sa dotation pour un enseignement-apprentissage plus efficient dans un contexte africain où les TIC ne sont plus nouvelles. En effet, les sources écrites du savoir en Peul sont d’exploitation très localisées. Ainsi, un journal, un livre de lecture ou de mathématique produit au Sénégal est inutilisable par les apprenants du Burkina Faso. Il se pose alors un problème d’harmonisation du Peul, objet de la présente thèse qui porte plus exactement sur l’harmonisation du Peul par les TIC pour un enseignement-apprentissage plus efficient. L’harmonisation du Peul qui ne saurait exclure du processus aucun de ses parlers qui sont de véritables richesses (Daff, 2004) participe de son utilisation à des fins d’enseignement-apprentissage plus efficient, l’efficience étant le rapport entre le niveau d’efficacité et les ressources (Gérard, 2001). Pour que le Peul, médium linguistique, participe effectivement d’un enseignement-apprentissage plus efficient, les TIC constituent un outil précieux, elles qui donnent «l’occasion de repenser et de délocaliser, dans le temps et dans l’espace, les échanges entre les enseignants et les élèves et favorisent ainsi la création de nouvelles avenues pour des activités d’apprentissage» (Karsenti, 2004, p. 268). Aussi, les objectifs de la présente étude ont-ils été les suivants : mieux comprendre comment les TIC peuvent aider à lever les defis de l’harmonisation de la terminologie et de l’orthographe du Peul ; mieux comprendre dans quelle mesure la diffusion de ressources peules sur Internet a un impact sur « l’évolution positive » de cette langue ; mieux comprendre comment les TIC peuvent rendre plus efficient l’enseignement-apprentissage du Peul. Pour atteindre les objectifs de la recherche, nous avons eu recours à une méthodologie ayant accordé une place de choix aux TIC dans la collecte des données. La thèse étant rédigée par articles, chacun des objectifs a été mis en relation avec l’un des trois articles. Du reste, l’étude fait ressortir que les TIC contribuent efficacement à l’harmonisation du Peul pour un enseignement-apprentissage plus efficient. / Language, the principal object of linguistics, is also located at the crossroads of other disciplines, anything that lies the issue of interdisciplinarity. In this thesis, it was question of cross-border African languages, including Fulani discussed in terms of its allocation for a teaching / learning process more efficient in an African context where ICT is no longer new. Indeed, the written sources of knowledge in Fulani are very localized. Thus, a newspaper, a book reading or mathematics produced in Senegal is unusable by learners of Burkina Faso. This raises a problem of harmonization of the Fulani, subject of this thesis which focuses exactly on the harmonization of the Fulani of ICT for teaching / learning process more efficient. The harmonization of the Fulani who can not be excluded from the process any of its dialects which are true wealth, part of its use for teaching / learning process more efficient, the efficiency being the ratio between the level of efficiency and resources (Gerard, 2001). For the Fulani, linguistic medium, actually participates in a teaching / learning process more efficient, ICT is a valuable tool, giving them "an opportunity to rethink and relocate in time and space, the exchange between teachers and students and thus promote the creation of new avenues for learning activities "(Karsenti, 2004, p. 268). Therefore, the objectives of this study have they been: better understanding of how ICT can promote harmonization of terminology and spelling of the Fulani; better understand how the distribution of Fulani resources on the Internet has an impact on the "positive development" that language; better understand how ICT can make more efficient teaching / learning of the Fulani. To achieve the research objectives, we used a methodology which granted a place of ICT in data collection. The thesis being drafted by sections, each objective has been linked with one of three articles. Moreover, the study revealed that ICT effectively contribute to the harmonization of the Fulani to a teaching / learning process more efficient.
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Les termes de la gynécologie obstétrique en igbo : enquête sur un domaine tabou dans une langue sans documents écrits / Igbo gynaecology-obstetrics terminology : a Survey of a Domain Shrouded in Taboo in a language without Written Sources

Ngwaba, Chidinma 23 November 2016 (has links)
La présente étude porte sur la terminologie de la gynécologie-obstétrique en langue igbo. L’objectif principal est double : d’une part, recenser et classer les termes de la gynécologie-obstétrique en igbo et examiner l’adéquation entre la terminologie igbo et la terminologie internationale des langues de grande diffusion comme l’anglais et le français ; d’autre part, tenter de dégager les procédés à l’œuvre dans la création terminologique du domaine. Des vides ayant été constatés dans la terminologie igbo du domaine par rapport au français et à l’anglais, nous avons essayé de les combler, validant ainsi l’idée selon laquelle la langue igbo, à l’instar de toutes les langues, a bel et bien la capacité de désigner tout concept, quel qu’en soit le domaine. Notre recherche vise spécifiquement à recueillir les termes igbo de la gynécologie-obstétrique autant pour permettre les types de jugement théorique que nous nous sommes engagée à faire que pour les fins utilitaires d’un tel recueil. La méthode utilisée pour étudier la terminologie de la gynécologie-obstétrique en igbo devait convenir à l’étude d’un domaine tabou dans une langue sans documents écrits. Nous avons donc dû tenter de recueillir oralement les termes recherchés, en utilisant des techniques permettant de contourner la réticence de nombreux locuteurs igbo à s’exprimer sur le sujet.Pour constituer la nomenclature du domaine, nous avons mené une enquête sur le terrain auprès d’un groupe de locuteurs igbo constitué de 57 professionnels de santé soit 20 gynécologues-obstétriciens, 10 sages-femmes, 3 infirmiers, 15 médecins traditionnels, 5 sages-femmes traditionnelles, deux chefs de village et deux personnes âgées. Notre démarche s’est inspirée de la socioterminologie de Gaudin (2003, 2005) et de la méthodologie d’enquête d’Halaoui (1990, 1991), auxquelles nous avons emprunté l’aspect méthodologique de la recherche en terminologie des langues africaines. Au vu des résultats de notre enquête, nous avons constaté des vides terminologiques que nous avons tenté de combler à partir des propositions des personnes rencontrées et en nous inspirant de la démarche proposée par Diki-Kidiri (2008). Les matrices terminologiques sous-jacentes aux termes proposés ont été dégagées et analysées. Elles témoignent des tendances générales de l’igbo en la matière. Ce travail aboutit donc à la création d’un lexique trilingue anglais-français-igbo des termes de la gynécologie-obstétrique. Ce lexique contient les termes désignant l’anatomie du bassin féminin et parties génitales, l’anatomie des parties génitales internes femelles, l’anatomie de l’organe sexuel masculin, la physiologie du système reproducteur, le développement de l’embryon, la physiologie de la nutrition pendant la lactation et la grossesse, la surveillance fœtale, le travail/accouchement, le nouveau-né, les maladies liées aux organes reproducteurs, les maladies sexuellement transmissibles, les anomalies structurales, le cancer du système reproducteur et les maladies du système urinaire. Notre travail comprend trois parties. La première partie intitulée « La langue igbo du Nigeria » est composée de trois chapitres. Le chapitre 1 : « le Nigeria Terre de diversité ethnique et Linguistique », le chapitre 2 : « Description de la langue Igbo » et le chapitre 3 : « Problèmes Terminologiques igbo ». La deuxième partie intitulé « Un domaine Terminologique particulier : La médecine » comporte deux chapitres. Le chapitre 4 : « La maladie et la santé chez les igbo », et le chapitre 5 : « La pratique de la médecine au Nigeria ». La troisième partie : « La terminologie igbo de la gynécologie-obstétrique : Etat des lieux » comprends deux chapitres. Le chapitre 6 : « L’enquête sur le terrain » et Le chapitre 7 : « La création Terminologique en igbo : Le cas de la gynécologie-obstétrique ». / This study focuses on gynaecology-obstetrics terminology in Igbo. Our main objective is to take an inventory of Igbo terms in the area of gynaecology-obstetrics and classify them. This will enable us to examine and evaluate the adequacy of Igbo terms in relation to English and French terms. A second objective involves exposing the methodology used in Igbo term creation in the gynaecology-obstetrics domain.In our research we noticed that gaps exist in the area of gynaecology-obstetrics of the Igbo language when compared to English and French languages. We tried to fill in the gaps thereby validating the idea whereby the Igbo language like all other languages, is capable of naming concepts in any area. Our research specifically aims at collecting Igbo terms from the domain of gynaecology-obstetrics in a way that enables us explain or give information on the method of collection of such terms.The method used in the terminological study of the gynaecology-obstetrics domain in Igbo, should be suitable in studying a taboo domain of a language without written documents. An oral documentary research became necessary. Thus the Igbo terms were compiled by means oral documentation research using techniques that helped us bypass the hesitation or reluctance of many Igbo speakers to express themselves on our area of research.To constitute the nomenclature of the domain, we carried out field work. This involved the observation of and interviews with Igbo speakers namely: traditional doctors, orthodox doctors, midwives both traditional and orthodox, nurses, local chiefs and elderly persons. We thus interviewed 57 resource-persons and experts: 20 doctors, 3 nurses and 10 midwives (for the orthodox medicine component), 15 traditional doctors, 5 traditional midwives, 2 local chiefs and 2 elderly persons (for the traditional medicine component). We were equally inspired by socioterminology as exposed by Gaudin (2003, 2005) and the methodology of research as outlined in Halaoui (1990, 1991) from which we borrowed the methodology of research in terminology of African languages.Looking at our field work result, we noticed terminological gaps which we tried to fill using proposals from the people we interviewed. The work also involved the creation of terms for concepts and objects not already named in Igbo. This naming drew principally on the method described in Diki-Kidiri (2008). An analysis of the process underlying each coinage is included. The result obtained is a clear indication that the Igbo language can be used to name things.This work equally proposes a trilingual glossary: English-French-Igbo. The glossary covers such areas as: Anatomy of the female pelvis and the external genitalia, Anatomy of the internal genital organs – female, Anatomy of the male reproductive system, Physiology of the reproductive system, Development of the embryo, Physiology and nutrition in pregnancy and lactation, Foetal surveillance, Labour, The new born infant, Infections of the reproductive organs, Infections of the reproductive tract, Sexually transmitted diseases, Structural anomalies, Cancers of the reproductive system and Disorders of the urinary system.Our work comprises three parts. Part 1: “The Igbo Language of Nigeria” consists of three chapters. Chapter 1: “Nigeria a Land with ethnicity and Linguistic diversity”, Chapter 2: “Description of the Igbo Language” and Chapter 3: “Problems of Igbo Terminology”. Part 2: entitled “A Distinctive Terminological Domain: Medicine” is made up of two chapters. Chapter 4: “Sickness and Heath among the Igbos” and Chapter 5: “Practicing Medicine in Nigeria”. Part 3 comprises two chapters. Chapter 6: “Field Work” and Chapter 7: “Creating Terms in Igbo: the Gynaecology-Obstetrics Domain”. / Nnyọcha anyị a dabere n’ihe gbasara amụmamụ maka ọmụmụ nwa na nwa ohụụ n’asụsụ igbo.Ebum n’obi anyị nke mbụ bụ ịchọpụta ma hazie aha dị iche iche e nwere n’asụsụ igbo gbasaraọmụmụ nwa na nwa ohụụ na ngalaba amụmamụ maka ọmụmụ nwa na nlekọta nwa ohụụ. Nkea ga-eme ka anyị nwalee aha ndịa e nwere n’asụsụ igbo na ngalaba amụmamụ maka ọmụmụnwa na nlekọta nwa ohụụ na aha ndi e nwere na olu bekee m’obụ frenchi. Ebum n’obi anyị nkeabụọ bụ ikwupụta otu anyị si nwete ma depụta aha gbasara ọmụmụ nwa na nlekọta nwa ohụụn’asụsụ igbo. Anyị kwadoro usoro mkpụrụ edemede nke igbo izugbe.Mgbe anyi n’eme nnyocha a, anyị chọpụtara n’oghere dị n’asụsụ igbo n’ihe metutara mkpọpụtaaha ihe. Nke a mere n’enwere ọtụtụ ihe ndi n’enweghị aha n’asụsụ igbo na ngalaba amụmamụmaka ọmụmụ nwa na nlekọta nwa ohụụ. Ihe ndia nwechara aha n’asụsụ ndi ọzọ. Anyị gbalịrịịfachisi oghere ndia dị n’asụsụ igbo iji gosi n’asụsụ a bụ asụsụ igbo nwekwara ike ịkpọpụta ahaihe ndi ha aka akpọbeghị aha.Usoro anyị kwesiri ịgbaso mgbe anyị na-amụ gbasara mkpọ aha n’asụsụ igbo na ngalabaamụmamụ maka ọmụmụ nwa na nlekọta nwa ohụụ, kwesiri ka ọ bụrụ nke ga-adaba na ọmụmụihe gbasara asụsụ n’enweghị ihe ndeda gbasara ngalaba amụmamụ a na kwa ngalaba nwereọtụtụ nsọ ala. Nke a mere oji dị mkpa na anyị gara mee nchọpụta n’obodo jụọ ajụjụ ọnụ iji mataaha ndi a n’agbanyeghị na ọ dịghịrị ndi mmadụ mfe ikwu maka ngalaba ihe ọmụmụ a.viNdi anyị gakwuru maka ajụjụ ọnụ a bụ ndi dibịa bekee, ndi nọọsụ, ndi dibịa ọdịnala, ndi ọghọnwa, ndi nchịkọta obodo na ndi okenye. N’ihe niile, anyị na ihe dịka mmadụ 57 kparịtara ụka.Nke a gụnyere ndi ọkachamara. N’ime ha e nwere ndi dibịa bekee 20, ndi nọọsụ 3 na ndi ọghọnwa bekee 10 n’otu akụkụ. N’akụkụ nke ọzọ, e nwere ndi dibịa ọdịnala 15, ndi ọghọ nwaọdịnala 5, ndi nchịkọta obodo 2 na ndi okenye 2. Anyị dabekwara na sosioteminọlọjị nkeGaudin (2003, 2005) na kwa usoro Halaoui (1990, 1991). Usoro a gbasara ịjụ ndi igbo ụfọdụajụjụ ọnụ na iso ha nọrọ mgbe ha na-arụ ọrụ.Nchọcha anyị gụnyekwara ịkpọpụta aha dị iche iche n’asụsụ igbo nke sistemu njiamụnwa nkenwoke na nwaanyị, aha gbasara nwa e bu n’afọ na nke nwa a mụrụ ọhụụ. Anyị gbasoro usoroDiki-Kidiri (2008) maka mkpọpụta aha. Anyị mekwara nkọwa iji gosipụta otu anyị si kpọọ ahandịa. N’ikpe azụ anyị depụtara aha ndi niile anyị ji rụọ ọrụ na asụsụ bekee, frenchi na kwa igbo.Aha ndi anyị depụtara gbasara : Amụmamụ ọkpụkpụ ukwu nwaanyị na njiamụnwa, Amụmamụime njiamụnwa kenwaanyị, Amụmamụ ọganụ njiamụnwa kenwoke, Fiziọlọjị sistemunjiamụnwa, Ntolite nwa nọ n’afọ, Fiziọlọjị kenri na mmiriara n’afọ ime, Nledo nwa nọ n’afọna kwa nwaọhụụ, Imeomume, Mbido ndụ nwaọhụụ, Ọrịa ọganụ njiamụnwa, Ọrịa nwaanyị,Nkwarụ, Kansa njiamụnwa na kwa Ọrịa akpamamịrị.

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