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Lexiques proto-bantous étude des cooccurrences segmentales et supra-segmentales /Teil-Dautrey, Gisèle Van der Veen, Lolke J.. January 2004 (has links)
Reproduction de : Thèse de doctorat : Sciences du langage : Lyon 2 : 2004. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr.
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La construction d'une langue savante en Europe du Ve au XIXe siècle le latin et le grec dans les sciences /Bonnet, Valérie. Rémi-Giraud, Sylvianne. January 2001 (has links)
Thèse de doctorat : Sciences du langage : Lyon 2 : 2001. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr.
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La linguistique naturaliste en France (1867-1922) : nature, origine et évolution du langage /Desmet, Piet. January 1996 (has links)
Texte remanié de: Th. de doctorat--Linguistique--Katholieke universiteit Leuven, 1994.
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Phylogenetic Models of Language DiversificationRyder, Robin 10 January 2010 (has links) (PDF)
Language diversi cation is a stochastic process which presents similarities with phylogenetic evolution. Recently, there has been interest in modelling this process to help solve problems which traditional linguistic methods cannot resolve. The problem of estimating and quantifying the uncertainty in the age of the most recent common ancestor of the Indo-European languages is an example. We model lexical change by a point process on a phylogenetic tree. Our model is speci cally tailored to lexical data and in particular treats aspects of linguistic change which are hitherto unaccounted for and which could have a strong impact on age estimates: catastrophic rate heterogeneity and missing data. We impose a prior distribution on the tree topology, node ages and other model parameters, give recursions to compute the likelihood and estimate all parameters jointly using Markov Chain Monte Carlo. We validate our methods using an extensive cross-validation procedure, reconstructing known ages of internal nodes. We make a second validation using synthetic data and show that model misspeci cations due to borrowing of lexicon between languages and the presence of meaning categories in lexical data do not lead to systematic bias. We fit our model to two data sets of Indo-European languages and estimate the age of Proto-Indo-European. Our main analysis gives a 95% highest posterior probability density interval of 7110 9750 years Before the Present, in line with the so-called Anatolian hypothesis for the expansion of the Indo- European languages. We discuss why we are not concerned by the famous criticisms of statistical methods for historical linguistics leveled by Bergsland and Vogt [1962]. We also apply our methods to the reconstruction of the spread of Swabian dialects and to the detection of punctuational bursts of language change in the Indo-European family.
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Le proto-oti-volta-oriental : essai d'application de la méthode historique comparative /Sambiéni, Coffi. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Dissertation--Berlin--Humboldt-Universität, 2004. / Bibliogr. p. [290]-303.
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Diachronic change in Erzya word stress /Estill, Dennis. January 2004 (has links)
Texte remanié de: Väitöskirja--Suomalais-ugrilainen kielentutkimus--Helsinki--Helsingin yliopisto, 2004. / Bibliogr. p. [240]-249.
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Sprachgeographische Distribution und chronologische Schichtung : Untersuchungen zu M. Bartoli und neueren geographischen Theorien /Weinhold, Robert. January 1985 (has links)
Diss. : Philosophische Falcultät : Augsburg : 1981. - Bibliogr. p. 257-277. Index. -
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Analyticity and syntheticity : a diachronic perspective with special reference to romance languages /Schwegler, Armin, January 1990 (has links)
Texte remanié de: Ph. Diss.--Berkeley--University of California, 1986.
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La réanalyse historique comme outil de validation des théoriesNoske, Roland 10 December 2001 (has links) (PDF)
Dans la partie oeuvre originale de ce mémoire d'habilitation, la validité de deux analyses phonologiques synchroniques sont testée par des comparaison avec des données historiques. Les deux analyses concernent l'alternance schwa/zéro en allemand et le r intrusif en anglais britannique.<br /> En ce qui concerne l'allemand, nous montrons que notre analyse de 1992 est confirmée par les donnée historiques. Dans cette annalyse, le comportement différent d'adjectifs d'une part et de verbes et de substantif d'autres part était analysé comme étant le résultat de l'existence d'un morphème adjectival sous forme de schwa. par des données historiques. Dans l'histoire de l'allemand on voit naître le comportement différent de schwa en ce qui concerne les adjectifs.<br />En ce qui concerne le r instrusif en anglais, nous montrons que l'analyse d'Anttila et Cho (1968) dans le cadre de la Théorie d'optimalité présente de sérieux problèmes comparée à l'analyse d'inversion de règles de Vennemann (1972) : elle n'explique ni le fait que les segments effacés et insérés sont identiques, ni le fait qu'il s'agit précisément de r (oude n dans un cas pareil en du néerlandais). En outre, la spécificité des contextes des<br />deux processus est ignorée.
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Problèmes et méthodes en toponymie française : essais de linguistique historique sur les noms de lieux du Roannais / Problems and Methods in French Toponymy? : an Essay of Historical Linguistics Applied on Place Names of the RoannaisGouvert, Xavier 04 October 2008 (has links)
Le présent travail vise à dresser un bilan critique des travaux de toponymie française et à formuler les principes d’une science des noms de lieux rigoureuse, exigeante et ouverte à la linguistique sous tous ses aspects. La première partie aborde, sous la forme d’une réflexion épistémologique et rétrospective, la place de la toponymie dans l’histoire de la linguistique en France, depuis le XVIIe siècle jusqu’à nos jours. La deuxième est consacrée aux problèmes théoriques de la toponymie, et notamment à une (re)définition du « signe toponymique » : nous soutenons la thèse selon laquelle le nom propre est par essence un signe linguistique « préactualisé », c’est-à-dire actualisé en langue et non en parole. Dans ce cadre, nous redéfinissons la notion même de « lieu » comme une catégorie foncièrement linguistique, i.e. arbitraire, relative et oppositive. Dans une troisième partie, nous entreprenons de définir les buts et les techniques de la toponymie, d’un point de vue pratique et concret. À nos yeux, la toponymie ne saurait emprunter ses méthodes qu’à la linguistique historique, dont elle est une sous-discipline. Afin de mettre en pratique les conceptions et les méthodes élaborées dans les trois premières sections de notre travail, la quatrième partie prend la forme d’un dictionnaire raisonné des noms de lieux de l’ancienne province du Roannais (nord-ouest du département de la Loire). Chaque section du répertoire (fonds français, fonds dialectal, fonds protoroman et fonds gaulois/prélatin) est précédée d’un chapitre introductif où nous livrons une analyse méthodique des problèmes majeurs que pose la strate linguistique considérée. La cinquième et dernière partie se propose d’illustrer, sur la base de trois études de cas approfondies, ce qu’une toponymie plus « contrainte » peut apporter aux autres sous-disciplines de la linguistique, ainsi qu’aux sciences connexes : phonétique géohistorique ; histoire des institutions ; histoire du peuplement. / Le présent travail vise à dresser un bilan critique des travaux de toponymie française et à formuler les principes d’une science des noms de lieux rigoureuse, exigeante et ouverte à la linguistique sous tous ses aspects. La première partie aborde, sous la forme d’une réflexion épistémologique et rétrospective, la place de la toponymie dans l’histoire de la linguistique en France, depuis le XVIIe siècle jusqu’à nos jours. La deuxième est consacrée aux problèmes théoriques de la toponymie, et notamment à une (re)définition du « signe toponymique » : nous soutenons la thèse selon laquelle le nom propre est par essence un signe linguistique « préactualisé », c’est-à-dire actualisé en langue et non en parole. Dans ce cadre, nous redéfinissons la notion même de « lieu » comme une catégorie foncièrement linguistique, i.e. arbitraire, relative et oppositive. Dans une troisième partie, nous entreprenons de définir les buts et les techniques de la toponymie, d’un point de vue pratique et concret. À nos yeux, la toponymie ne saurait emprunter ses méthodes qu’à la linguistique historique, dont elle est une sous-discipline. Afin de mettre en pratique les conceptions et les méthodes élaborées dans les trois premières sections de notre travail, la quatrième partie prend la forme d’un dictionnaire raisonné des noms de lieux de l’ancienne province du Roannais (nord-ouest du département de la Loire). Chaque section du répertoire (fonds français, fonds dialectal, fonds protoroman et fonds gaulois/prélatin) est précédée d’un chapitre introductif où nous livrons une analyse méthodique des problèmes majeurs que pose la strate linguistique considérée. La cinquième et dernière partie se propose d’illustrer, sur la base de trois études de cas approfondies, ce qu’une toponymie plus « contrainte » peut apporter aux autres sous-disciplines de la linguistique, ainsi qu’aux sciences connexes : phonétique géohistorique ; histoire des institutions ; histoire du peuplement.
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