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Le fu lyrique des Six Dynasties et le Fu sur la résidence dans les faubourgs de Chen Yue (441-513)

Cinq-Mars, Jean 05 1900 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal. / La thèse se propose d'analyser le développement du fu lyrique sous les Six Dynasties (220-589). Comme le lyrisme est une notion occidentale, il faudra, avant d'aller du côté chinois, expliquer sa signification en Occident et voir ensuite comment elle peut être appliquée à la Chine tout en respectant son intégrité et sa spécificité culturelles. La thèse montrera comment le narratif et le descriptif font partie du lyrisme ainsi que l'expression des sentiments personnels. Des textes critiques tels que L'esprit littéraire et la sculpture de dragons de Liu Xie et les préfaces à certains fu, entre autres, seront utilisés afin de toujours garder à l'esprit la façon chinoise de concevoir le poème lyrique. Le nouvel horizon épistémique des Six Dynasties sera aussi présenté et son impact sur les fu et les shi sera discuté. Le fu est un genre littéraire mi-descriptif, mi-narratif, qui combine prose et rimes et qui a aussi hérité de quelques éléments venant du shi ; c'est pourquoi il en sera question ici. Le Fu sur la résidence dans les faubourgs de Shen Yue (441-513) a été choisi pour illustrer le lyrisme car au-delà de la forme rigoureuse dictée par le genre, Shen Yue y a introduit de nouveaux éléments. Le premier chapitre définira le genre, discutera de ses origines à l'aide de l'opinion des chercheurs qui s'y sont consacrés et en décrira les caractéristiques sous les dynasties Han (-206-+220). Loin de rester stable, il évoluera vers le lyrisme à la fin de ces dynasties. Pour le montrer, des fu de Sima Xiangru, Yang Xiong et Zhang Heng seront présentés. Au deuxième chapitre, il sera question de l'évolution du fu lyrique depuis la fin des Han jusqu'à Tao Qian. Puis il sera question de l'autre genre en développement, le shi. Après une brève récapitulation de ses origines, les Dix-neuf poèmes anciens, des shi de Ruan Ji et de Xie Lingyun seront présentés afin de discerner comment ce genre a évolué. Ceci permettra d'évaluer la contribution de Shen Yue à cet égard en regardant ses fu et ses shi. Cela mène naturellement au troisième chapitre qui se penchera sur le Fu sur la résidence dans les faubourgs, mais en gardant en perspective le Fu sur la résidence en montagne de Xie Lingyun, qui a servi de "modèle" à celui de Shen Yue. Cependant tel n'est pas le cas et ce chapitre s'appliquera à le montrer en examinant le traitement que Shen Yue a fait des narrations et des descriptions, du parallélisme, de la métrique et de la prosodie. Cet examen permettra de voir que le temps et l'espace sont traités de façon particulièrement intéressante par Shen Yue et que son fu n'est nullement une imitation de celui de Xie Lingyun. Il a raccourci les sections descriptives et a introduit des narrations historiques en faisant de fréquents passages de l'une à l'autre. Shen Yue joue beaucoup avec les couleurs et les formes. Sa poésie comporte donc un aspect visuel important, et dans tout ceci, c'est sa vision de la réclusion qu'il apporte. Cette vision est en accord avec l'horizon épistémique des poètes des Six Dynasties. Le fu des Six Dynasties a été peu étudié et cette étude aura permis de dégager son fonctionnement et ses caractéristiques. En appendice, on retrouvera une traduction française annotée de ce fu. Vu qu'il n'existe que deux traductions anglaises, et une partielle, en japonais, de ce fu, j'ai alors décidé de présenter ma propre traduction.
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Nakagami Kenji : un projet littéraire et social autour du statut des intouchables japonais

Brisset, Maxime 08 1900 (has links)
L’étude porte sur la question des burakumin, les intouchables japonais, dans deux oeuvres de l’écrivain japonais Nakagami Kenji (1946-1992), lui-même issu de cette communauté. Mille ans de plaisir, recueil de six contes basés sur des récits de vie, et le roman Miracle forment une suite organisée autour des mêmes lieux, des mêmes personnages et des mêmes thèmes. Ils décrivent la condition sociale d’une collectivité mise au ban de la société japonaise malgré sa modernisation. Ils se distinguent par leur caractère d’ethnofiction. Nakagami cherche à réhabiliter les burakumin en valorisant le patrimoine religieux et folklorique dont ils sont dépositaires. Il puise dans les genres traditionnels comme le monogatari ou les contes et légendes du Japon. Il s’inspire également d’auteurs modernes japonais (Mishima, Tanizaki) et d’auteurs étrangers (Faulkner, García-Márquez). À partir de cet intertexte et pour faire barrage à l’occidentalisation, il élabore un style « hybride » digne de la littérature nationale (kokubungaku). Les oeuvres traditionnelles sont réinterprétées dans une esthétique postmoderne ayant une fonction ironique et critique contre l’idéologie impériale répressive qui continue d’alimenter la discrimination envers les burakumin. L’analyse porte sur les procédés qui sous-tendent le projet social et le projet littéraire de l’auteur. Elle se divise en trois parties. La première donne un aperçu biographique de l’auteur et décrit les composantes de son projet social qui consiste à vouloir changer l’image et le statut des burakumin. La deuxième partie décrit les éléments religieux et folkloriques des deux oeuvres et analyse en contexte leur signification ainsi que leur fonction, qui est de mettre en valeur les traditions préservées par les burakumin. La troisième partie montre en quoi le répertoire traditionnel (monogatari) et les intertextes sont mis au service du projet littéraire proprement dit. / This study addresses the issue of burakumin, Japanese untouchable or social outcast, in the works of the Japanese novelist Nakagami Kenji (1946-1992), who had himself come from this community. Together, A Thousand Years of Pleasure, a collection of six tales based on life stories, and the novel Miracle, form a continuum articulated around the same places, characters and themes. They describe the social condition of a community exiled by the Japanese society in spite of its modernization and stand out as works of the ethnofiction genre. Nakagami tries to rehabilitate the burakumin by the valorization of the religious and folk heritage of which they are the custodians. He draws from the traditional works such as monogatari, the folk tales and legends of Japan. He also draws from contemporary Japanese authors (Mishima, Tanizaki) as well as from foreign ones (Faulkner, García-Márquez). With this intertext as a starting point and to stand against westernization, he elaborates a “hybrid” style worthy of the national literature (kokubungaku). The traditional works are reinterpreted with postmodern aesthetics that introduce an ironic and critical tone against the repressive imperial ideology still feeding discrimination towards burakumin. The analysis bears on the processes underlying the social and literary projects of the author. The thesis is divided in three parts. The first one provides a biographic overview of the author`s life and describes the components of his social project which consisted in changing the image and status of burakumin. The second describes the religious and folk elements of both works and analyzes in context their meaning and their function, which is to emphasize the traditions upheld by the burakumin. The third and last part shows how the traditional repertoire (monogatari) and intertexts are used to support the literary project itself.
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Multiplicité et sensation dans l'oeuvre d'Aida Makoto : une approche schizo-analytique

Davre, Amandine 08 1900 (has links)
La question posée dans ce mémoire de recherche concerne l’artiste contemporain japonais Aida Makoto, comme figure provocante et ironique, remettant en question les appareils de répression et d’aliénation de la société capitaliste japonaise. L’objectif de ma réflexion est de montrer l’apport de la schizo-analyse dans l’analyse d’œuvres plastiques comportant des prédispositions à l’utilisation de celle-ci. À travers les œuvres de l’artiste Aida Makoto où une multiplicité de corps emplit l’espace de la toile, et à partir des concepts de multiplicité et de sensation théorisés par Gilles Deleuze et Félix Guattari, la recherche apportera une seconde lecture aux œuvres de cet artiste en mettant en avant les aspects révolutionnaires de sa création artistique. Constitué de deux chapitres, le mémoire porte dans un premier temps sur la picturalité de l’œuvre, d’ordre technique, esthétique et éthique, en mettant en avant les composés de sensation présents sur la toile, ceci afin, dans un second temps, d’appréhender la figuration, de la visagéité à la multiplicité, comme aspect central de l’œuvre. Ainsi, la Figure, au sens deleuzien du terme, permettrait à l’artiste Aida Makoto d’entamer une fuite schizophrénique à l’occasion de laquelle il pourra créer à l’abri de toute répression ou normalisation de ses machines désirantes par la société capitaliste japonaise. / The question posed in the research concerns the contemporary Japanese artist Aida Makoto, as a provocative and ironic figure, challenging the machinery of repression and alienation of the Japanese capitalist society. The purpose of my reflection is to show the contribution of schizoanalysis in the analysis of visual artworks. Through the artworks of the artist Aida Makoto, where a multiplicity of bodies fill the space of the canvas, and from the concepts of multiplicity and sensation, theorized by Gilles Deleuze and Félix Guattari, this research will bring a second reading to Aida’s works highlighting the revolutionary aspects of his artistic creation. Constituted of two chapters, the thesis focuses mainly on the pictoriality of the work from technical, aesthetic and ethics points of view, emphasizing the compounds of sensation present on the canvas, in order to, secondly, understand the figuration of faciality to multiplicity as a central aspect of the work. Thus the Figure, in the deleuzian sense, would allow the artist Makoto Aida to start a schizophrenic escape during which he can create freely from repression and normalization of desiring machines in the Japanese capitalist society.
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Nakagami Kenji : un projet littéraire et social autour du statut des intouchables japonais

Brisset, Maxime 08 1900 (has links)
L’étude porte sur la question des burakumin, les intouchables japonais, dans deux oeuvres de l’écrivain japonais Nakagami Kenji (1946-1992), lui-même issu de cette communauté. Mille ans de plaisir, recueil de six contes basés sur des récits de vie, et le roman Miracle forment une suite organisée autour des mêmes lieux, des mêmes personnages et des mêmes thèmes. Ils décrivent la condition sociale d’une collectivité mise au ban de la société japonaise malgré sa modernisation. Ils se distinguent par leur caractère d’ethnofiction. Nakagami cherche à réhabiliter les burakumin en valorisant le patrimoine religieux et folklorique dont ils sont dépositaires. Il puise dans les genres traditionnels comme le monogatari ou les contes et légendes du Japon. Il s’inspire également d’auteurs modernes japonais (Mishima, Tanizaki) et d’auteurs étrangers (Faulkner, García-Márquez). À partir de cet intertexte et pour faire barrage à l’occidentalisation, il élabore un style « hybride » digne de la littérature nationale (kokubungaku). Les oeuvres traditionnelles sont réinterprétées dans une esthétique postmoderne ayant une fonction ironique et critique contre l’idéologie impériale répressive qui continue d’alimenter la discrimination envers les burakumin. L’analyse porte sur les procédés qui sous-tendent le projet social et le projet littéraire de l’auteur. Elle se divise en trois parties. La première donne un aperçu biographique de l’auteur et décrit les composantes de son projet social qui consiste à vouloir changer l’image et le statut des burakumin. La deuxième partie décrit les éléments religieux et folkloriques des deux oeuvres et analyse en contexte leur signification ainsi que leur fonction, qui est de mettre en valeur les traditions préservées par les burakumin. La troisième partie montre en quoi le répertoire traditionnel (monogatari) et les intertextes sont mis au service du projet littéraire proprement dit. / This study addresses the issue of burakumin, Japanese untouchable or social outcast, in the works of the Japanese novelist Nakagami Kenji (1946-1992), who had himself come from this community. Together, A Thousand Years of Pleasure, a collection of six tales based on life stories, and the novel Miracle, form a continuum articulated around the same places, characters and themes. They describe the social condition of a community exiled by the Japanese society in spite of its modernization and stand out as works of the ethnofiction genre. Nakagami tries to rehabilitate the burakumin by the valorization of the religious and folk heritage of which they are the custodians. He draws from the traditional works such as monogatari, the folk tales and legends of Japan. He also draws from contemporary Japanese authors (Mishima, Tanizaki) as well as from foreign ones (Faulkner, García-Márquez). With this intertext as a starting point and to stand against westernization, he elaborates a “hybrid” style worthy of the national literature (kokubungaku). The traditional works are reinterpreted with postmodern aesthetics that introduce an ironic and critical tone against the repressive imperial ideology still feeding discrimination towards burakumin. The analysis bears on the processes underlying the social and literary projects of the author. The thesis is divided in three parts. The first one provides a biographic overview of the author`s life and describes the components of his social project which consisted in changing the image and status of burakumin. The second describes the religious and folk elements of both works and analyzes in context their meaning and their function, which is to emphasize the traditions upheld by the burakumin. The third and last part shows how the traditional repertoire (monogatari) and intertexts are used to support the literary project itself.
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Of master Hongyi's last calligraphic work

Wang, Fei 08 1900 (has links)
Hongyi (1860-1942) est le maître de l’école bouddhiste appelée « Terre Pure » en Chine moderne. Dans l'histoire du bouddhisme chinois, il est le seul maître bouddhiste qui peut se classer parmi les plus grands calligraphes chinois. Dans l'histoire de la calligraphie chinoise, il est le premier moine-calligraphe qui allie sa foi bouddhiste avec son art calligraphique tout en appliquant des principes de la peinture occidentale à son travail de calligraphie. Son art serve bien sa croyance religieuse et n’est pas indépendent de celle-ci, ce qui est extraordinaire dans l’histoire calligraphique. Il utilise le concept bouddhiste de «une forme sans forme» pour interpréter la calligraphie chinoise, et propose une série de théories calligraphiques bouddhistes pour guider sa pratique. D’ailleurs, sa calligraphie ne sert qu'à retranscrire les textes bouddhistes classiques et contemporains. Ses œuvres illustrent donc l'influence du bouddhisme chinois sur la calligraphie chinoise. Traditionnellement, la dernière œuvre d'un calligraphe est souvent considérée comme son chef-d'œuvre en fonction de deux critères: sa technique et son contenu moral. En outre, quelques-unes des dernières œuvres de grands calligraphes ont survécu. La rareté les rend encore plus précieuses. Bei xin ji jiao («悲欣交集») est la dernière œuvre de Hongyi, qui a été achevée trois jours avant son nirvana. Ce mémoire sera d'étudier et d'analyser l'influence de sa pensée bouddhiste sur le contenu littéraire et la forme artistique de cette œuvre, et d’expliciter qu’elle guide pleinement vers l'état ultime de sa pratique bouddhiste au plus haut niveau de sa calligraphie. / Hongyi (1860-1942) is a Master of Pure Land Buddhism in modern China. In the history of Chinese Buddhism, he is the only Buddhist Master who can rank among the greatest Chinese calligraphers. In the history of Chinese calligraphy, he is the first monk calligrapher who combines his Buddhist faith with his calligraphic art, and applies Western painting principles in his work of calligraphy. His calligraphic art well serves his religious belief, not independent from the latter as it is in most cases in the history. He uses the Buddhist concept of “a form without form” to interpret Chinese calligraphy, and puts forward a series of Buddhist calligraphic theories to guide his practice. Moreover, his calligraphy serves only to transcribe classical and contemporary Buddhist texts. In this sense, his calligraphic work exemplifies the influence of Chinese Buddhism on Chinese calligraphy. Traditionally, the last work of a calligrapher is often considered as his masterpiece according to two standards: its technique and its moral content. Furthermore, few of the last works by great calligraphers have survived. Scarcity makes these works even more valuable. Bei xin jiao ji (“悲欣交集”) is Hongyi’s last calligraphic work, which was completed three days before his nirvana. This thesis will study and analyze the influence of Hongyi’s Buddhist thought on the literary content and artistic form of this work and expounds that his last work fully displays the ultimate state of his Buddhist practice and the highest level of his calligraphy.
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Of master Hongyi's last calligraphic work

Wang, Fei 08 1900 (has links)
Hongyi (1860-1942) est le maître de l’école bouddhiste appelée « Terre Pure » en Chine moderne. Dans l'histoire du bouddhisme chinois, il est le seul maître bouddhiste qui peut se classer parmi les plus grands calligraphes chinois. Dans l'histoire de la calligraphie chinoise, il est le premier moine-calligraphe qui allie sa foi bouddhiste avec son art calligraphique tout en appliquant des principes de la peinture occidentale à son travail de calligraphie. Son art serve bien sa croyance religieuse et n’est pas indépendent de celle-ci, ce qui est extraordinaire dans l’histoire calligraphique. Il utilise le concept bouddhiste de «une forme sans forme» pour interpréter la calligraphie chinoise, et propose une série de théories calligraphiques bouddhistes pour guider sa pratique. D’ailleurs, sa calligraphie ne sert qu'à retranscrire les textes bouddhistes classiques et contemporains. Ses œuvres illustrent donc l'influence du bouddhisme chinois sur la calligraphie chinoise. Traditionnellement, la dernière œuvre d'un calligraphe est souvent considérée comme son chef-d'œuvre en fonction de deux critères: sa technique et son contenu moral. En outre, quelques-unes des dernières œuvres de grands calligraphes ont survécu. La rareté les rend encore plus précieuses. Bei xin ji jiao («悲欣交集») est la dernière œuvre de Hongyi, qui a été achevée trois jours avant son nirvana. Ce mémoire sera d'étudier et d'analyser l'influence de sa pensée bouddhiste sur le contenu littéraire et la forme artistique de cette œuvre, et d’expliciter qu’elle guide pleinement vers l'état ultime de sa pratique bouddhiste au plus haut niveau de sa calligraphie. / Hongyi (1860-1942) is a Master of Pure Land Buddhism in modern China. In the history of Chinese Buddhism, he is the only Buddhist Master who can rank among the greatest Chinese calligraphers. In the history of Chinese calligraphy, he is the first monk calligrapher who combines his Buddhist faith with his calligraphic art, and applies Western painting principles in his work of calligraphy. His calligraphic art well serves his religious belief, not independent from the latter as it is in most cases in the history. He uses the Buddhist concept of “a form without form” to interpret Chinese calligraphy, and puts forward a series of Buddhist calligraphic theories to guide his practice. Moreover, his calligraphy serves only to transcribe classical and contemporary Buddhist texts. In this sense, his calligraphic work exemplifies the influence of Chinese Buddhism on Chinese calligraphy. Traditionally, the last work of a calligrapher is often considered as his masterpiece according to two standards: its technique and its moral content. Furthermore, few of the last works by great calligraphers have survived. Scarcity makes these works even more valuable. Bei xin jiao ji (“悲欣交集”) is Hongyi’s last calligraphic work, which was completed three days before his nirvana. This thesis will study and analyze the influence of Hongyi’s Buddhist thought on the literary content and artistic form of this work and expounds that his last work fully displays the ultimate state of his Buddhist practice and the highest level of his calligraphy.

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