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L'architecture monumentale à l'époque nationale-socialiste : la tentative d'un retour aux formes fondamentales dans l'architecture d'Etat / Monumental architecture of national-socialist period : a tentative return to fundamental forms in state architecture

Fourcade, Anne-Marie 12 September 2013 (has links)
L'architecture officielle nationale-socialiste adopte dès 1934, par sa monumentalité, une allure qui la distingue en tant que telle de tout ce qui s'est fait auparavant. L'analyse des caractéristiques et des sources de cette architecture est le thème principal de cette thèse. P. L. Troost dessine les premiers édifices du Parti à Munich; Ernst Sagebiel est l'architecte de l'aéroport de Tempelhof et du ministère de Göring à Berlin; Hans Reissinger imagine à Bayreuth un édifice à l'enveloppe composite pour l'association des enseignants du Reich; Ludwig et F. Ruff dessinent un hall gigantesque destiné aux congrès du parti à Nuremberg. Leurs œuvres présentent des formes de monumentalité très éloignées de la seule référence à un néoclassicisme simplifié. Leurs édifices, marqués par une grande exigence de représentation, répondent néanmoins, avec beaucoup d'efficacité pour certains d'entre eux, à la fonction à laquelle ils sont destinés. L'étude de ces édifices s'attache à observer l'évolution des esquisses et des maquettes dans le sens d'une monumentalité toujours plus grande, l'effet recherché l'emportant sur toute autre considération. Une iconographie sculptée à la gloire Reich et du Parti, en ses emblèmes et ses bas-reliefs, complète cette mise en scène. La notion de tectonique germanique privilégiée par les historiens de ce régime pour exprimer l'essence de l'architecture dans sa recherche de formes originelles est soigneusement examinée. Les racines dont elle se prévaut font appel à une Allemagne mythique entièrement recréée et berceau de l'univers. L'examen des édifices retenus est donc tout d'abord une analyse architecturale, complétée par la prise en compte de l'important appareil éditorial qui en a assuré la présentation officielle pendant le Reich. En contrepoint, il a été tenu compte des nombreuses publications que cette architecture a suscitées en Allemagne depuis les années 1970. / As early as 1934, the official National-Socialist architecture takes a stand which sets it apart from ail things past, bringing out the very peculiar monumentality of the period. Analyzing the characteristics and the sources of this state architecture during the early years of the Third Reich, constitutes the main theme of the present thesis. P.L. Troost, who designed the first buildings of the Party in Munich, Ernst Sagebiel, author of the Tempelhof Airport and Göring's Ministry in Berlin, Hans Reissinger who designed a building with a composite envelop meant for the Reich teachers' Association in Bayreuth, and finally Ludwig and F. Ruff who designed a gigantic hall to accommodate the Party's conventions in Nuremberg, are the architects who se works are being reviewed. Their buildings present monumental forms which are quite remote from simplistic neo-classical references. These works are marked by great representational demands and yet, in some cases, they also respond to functionality in a highly efficient way. This study of the chosen buildings attempts to observe, from the moment of conception through the evolution of sketches and models, an ever-increasing monumentality: the establishment of a mode of composition favoring organizing symmetries of plans and elevations and the final embellishment of the facades with added-on elements, the reached-for effect being always more important than any other consideration. A sculptured iconography glorifying the regime and the Reich, with its signs, symbols and freezes, completes this setting. The concept of a German tectonic, so privileged by historians of the regime, expressing the essence of this official architecture in its search for original forms, is therefore examined in detail, revealing the roots it refers to: at its center is a newly-recreated mythical Germany as cradle of the universe. The analysis of the chosen buildings is thus first architectural, then completed by examining the editorial apparatus which has ensured its official presentation during the Third Reich. On the other hand, the numerous publications spurred by this architecture in Germany since the 1970's, have also been taken into account.
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Novum monumentum : étude de la nouvelle monumentalité métropolitaine / Novum monumentum : study of the new metropolitan monumentality

Panzeri, Alessandro 20 June 2018 (has links)
De nos jours, parler de monumentalité soulève des questions pour le moins problématiques. Selon des interprétations négatives, cette notion est fruit d’une pensée rétrograde, fondée sur l’historicisme et sur une lecture de l’architecture comme une question de style. A contrario, la monumentalité représente, à l’origine, la qualité immatérielle qui permet au monument d’émerger de son contexte et d’être reconnu comme élément structurant de l’espace urbain. Cette qualité joue un rôle capital au sein de la métropole puisqu’elle s’oppose à une logique de l’architecture basée sur l’économie et qu’elle éveille la conscience collective à la fonction mémorielle du monument et à sa symbolique d’avertissement pour la société. La consultation internationale du Grand Paris (CIGP) a été une vitrine internationale considérable qui a donné aux équipes pluridisciplinaires participantes la possibilité de définir les paramètres fondateurs pour le développement de la métropole du XXIème siècle de l’après-Kyoto. À la demande des décideurs politiques, les équipes de la CIGP ont engagé un questionnement sur la manière de matérialiser les symboles fédérateurs de la société contemporaine. S’agirait-il d’un renouveau de la monumentalité ? Comment faire coexister ce questionnement face aux principes du développement durable ? Serions-nous confrontés à une nouvelle forme de monumentalité émergente ? Cette recherche a l’ambition de présenter la récursivité de l’histoire transformant la notion de monumentalité et d’apporter quelques éléments de réponse concernant la possible émergence d’une nouvelle monumentalité métropolitaine / Talking about monumentality in contemporary times has become at least a problematic issue. This notion most often refers to negative interpretations identifying it as the fruit of retrograde thinking, based on historicism and in reading architecture as a question of style. On the contrary, monumentality originally represents the immaterial quality that allows the monument to stand up from its context and to be recognized as a structuring element of the urban. Faced with the metropolis, this quality plays a capital role by opposing the logic of architecture based on economics and by awakening the collective conscience to the monument’s memorial function and its symbolic warning for society. The Greater Paris International Consultation (CIGP) was a considerable international showcase that gave to its multidisciplinary teams the opportunity to define the founding parameters for the development of post-Kyoto metropolis for the 21st century. As asked by politicians, the CIGP teams started to question how to materialise the unifying symbols of contemporary society. Would it be a renewal of monumentality? How can this questioning coexist facing the principles of sustainability? Would we be faced to a new form of emergent monumentality? The aim of this research is to present the historical appeals that have transformed the notion of monumentality and to provide some answers regarding the possible emergence of a new metropolitan monumentality
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Nationalisme roumain et monumentalité. Le centre civique comme affirmation de réussite nationale / Romanian nationalism and monumentality. The civic center as an assertion of national success

Iosa, Ioana 01 December 2009 (has links)
La volonté d’inscrire l’apologie monumentale que représente le Centre civique de Bucarest dans une histoire urbaine et sociale nous a poussé à analyser les raisons qui ont guidé sa mise en œuvre et, plus largement, à reconstruire le fil narratif de l’histoire bucarestoise à travers l’héritage bâti prestigieux de la ville. C’est ainsi que nous nous sommes intéressés aux rapports entre édification des bâtiments et espaces remarquables et (re)construction d’une identité nationale roumaine, depuis de la déclaration d’indépendance jusqu’à l’intégration européenne perçue comme reconnaissance suprême de l’État roumain. Ce travail analyse donc les techniques d’instrumentalisation de la production architecturale et urbaine dans la définition et la promotion de l’identité nationale. Il complète également le peu d’études scientifiques traitant du Centre civique, à la fois emblème et stigmate en raison des efforts exceptionnels octroyés pour sa construction. Enfin, il aborde la question de la réception d’un ensemble « idéologiquement chargé » et, plus largement, les divers emplois faits des héritages urbains par les régimes politiques qui se sont succédés à la tête de la Roumanie. / This paper aims to place the monumental apology represented by the Civic Center of Bucharest in its urban and socio-political context. Therefore we have analysed the reasons and decisions that led to the way it was conceived and set up, and in addition we have tried to rebuild the narrative of the history of Bucharest through the city’s prominent built heritage. For this reason we have looked into the relations between the fact of erecting buildings and remarkable spaces and the (re)construction of a Romanian national identity, beginning with the Declaration of independence and ending with the European integration, the latter standing for the supreme legitimacy granted to the Romanian State. Therefore this research engages into the analysis of the mechanisms involved in using architectural and urban productions as instruments for defining and promoting national identity. In addition it fills a gap of almost non-existent scientific work dealing with the Civic Center, which is, due to the exceptional efforts engaged in its construction, in the same time Bucharest’s emblem and scar. Finally, it deals with the question of the reception of “ideologically charged” buildings, and more generally, with the fate of urban heritage inherited from totalitarian regimes.

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