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Paul Morand, du voyage Paris-Tombouctou au texte littéraire Magie noire /

Naud, François, January 1987 (has links)
Mém. maitrise--Lettres modernes--Nantes, 1987.
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Literatur und Technik : Aspekte des technisch-industriellen Fortschritts im Werk Paul Morands /

Winterberg, Birgit. January 1900 (has links)
Diss.--Hannover--Universität, 1990.
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L’ “esilio” francese di d’Annunzio (1910-1915). Ricostruzione di un’esperienza intellettuale e letteraria / L’ “exil” français de d’Annunzio (1910-1915). Reconstruction d’une expérience intellectuelle et littéraire / D’Annunzio’s French ‘‘exile’’ (1910-1915). Reconstruction of an intellectual and literary experience

Quarta, Andrea 10 November 2018 (has links)
La reconstruction de l’expérience intellectuelle et littéraire mûrie par Gabriele d’Annunzio durant son ‘exil ’ volontaire en France (1910-1915) a mis en évidence de nombreux aspects jusqu’alors peu analysés dans les travaux biographiques et critiques, ouvrant ainsi de nouvelle pistes de recherche. L’étude, conduite sur des documents inédits, vise à éclaircir les rapports d’amitié et de collaboration qu’il développa avec plusieurs personnalités françaises. Dans le cas de Marguerite Yourcenar, on a retrouvé les publications – jusqu’ici inconnues - qu’elle offrit à d’Annunzio, enrichies d’une dédicace autographe; un tel témoignage documentaire représente un facteur important dans la reconstruction de l’influence exercée par d’Annunzio à son égard. L’analyse de la relation d’Annunzio-Gide a fait émerger des éléments inédits (lettres et livres avec dédicace) qui changent en partie la perspective des études autour de ces deux figures, imposant une réécriture de l’histoire de leur rapport. D’autre part, concernant Paul Morand la recherche a révélé l’influence de d’Annunzio qui atteint son apogée dans France la doulce. En outre, des découvertes significatives ont été faites sur d’Annunzio lui-même, en particulier grâce à l’examen de ses notes, dont certaines complètement inédites. Une comparaison entre les citations (rapportées dans les “feuilles volantes”) et les livres présents dans sa collection privée a permis de démontrer que lors de la rédaction de certaines œuvres écrites en France, il se servit de sources littéraires françaises (De Lisle, Flaubert, Chateaubriand). Parmi elles, et cela constitue une nouveauté, figurent aussi des auteurs comme Claudel, Suarès et Barbusse, c’est-à-dire des intellectuels avec qui d’Annunzio était en contact direct pendant cette période. / The reconstruction of the intellectual and literary experience acquired by Gabriele d'Annunzio during his voluntary French 'exile' (1910-1915) has highlighted numerous aspects which have not yet been fully analyzed in biographical and critical works relating to the writer, effectively opening up new avenues of research. The study, using unpublished documents, aimed to clarify the professional and personal relationships developed between him and various French figures. In the case of Marguerite Yourcenar, publications have been found where she has paid homage, with autographed dedication, to d'Annunzio and were hitherto unknown; this documentary reference represents an important factor in the reconstruction of the influence exercised by d'Annunzio on their behalf. Analysis of the d’Annunzio-Gide relationship unearthed unpublished material (letters and books with dedications) that partly change the perspective of the studies around these two figures, imposing a rewriting of the history of their relationship. Furthermore, research has brought to light an influence by d'Annunzio on Paul Morand that finds an apex in the title France la Doulce. Significant discoveries have also been made regarding d'Annunzio himself, in particular by examining his notes, some of them completely unpublished. A comparison between citations (noted in the "loose papers") and books in his private collection, has allowed an assertation that, for the drafting of some works written in France, he used various French literary sources (De Lisle, Flaubert, Chateaubriand); among these, representing a new development, there are also authors such as Claudel, Suarès and Barbusse, namely intellectuals with whom d'Annunzio was in contact in those years.
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Réception de Paul Morand au sein des mouvements modernistes japonais et chinois pendant les années 1920 et 1930 / The Reception of Paul Morand in the Japanese and the Chinese Modernism Movements of 1920s’ and 1930s’

Yeung, Choi Kit 02 February 2018 (has links)
Quels étaient les modernismes existant en Asie de l’Est pendant les années 1920 et 1930 où la première vague des mouvements modernistes a eu lieu ? À travers les études du transfert littéraire de Paul Morand à partir de la France vers la Chine, en passant par le Japon, on s’interroge sur la façon dont les acteurs du monde littéraire japonais et chinois impliqués dans la réception littéraire de Morand ont pensé le modernisme et la modernité. On compare les réflexions des communautés littéraires des deux pays vis-à-vis du modernisme au sein de cette réception morandienne en trois grandes parties : tout d’abord, les traducteurs principaux japonais et chinois des œuvres morandiennes, Horiguchi Daigaku et Dai Wangshu ; ensuite, les critiques qui ont introduit Morand dans le débat du modernisme des années 1920 et 1930, allant jusqu’à créer un champ littéraire dédié à la réception de Morand. Dans le cas japonais, ce sont Chiba Kameo, la communauté littéraire établie, l’École des sensations nouvelles japonaise et sa revue de cercle L’Époque littéraire. Tandis que dans le cas chinois, ce sont l’École des sensations nouvelles chinoise et sa revue littéraire affilée Trains sans rail ; enfin, les deux écrivains représentatifs des Écoles des sensations nouvelles japonaise et chinoise, Yokomitsu Riichi et Liu Na’ou, dont les styles littéraires ont souvent été comparés avec celui de Morand. Par les analyses de ces trois parties, nous voudrions présenter les configurations particulières du modernisme en Asie de l’Est de l’époque. / What were the modernisms of East Asia during the 1920s and the 1930s? By studying the literary journey of Paul Morand from France to China via Japan, we question how the intellectuals of Japanese and Chinese literary world who were involved in this literary reception during the 1920s and the 1930s, considered modernism through French ideas. The Japanese and the Chinese reflections on modernism are compared in three main aspects: first, the translation of Morand’s works done by Horiguchi Daigaku and Dai Wangshu. Second, the criticisms which involved Morand into the debate concerning modernism in this period, created a literary field for the reception of Morand in these two countries. For the Japanese case, the parties that were concerned the most were Chiba Kameo, the established literary community, the Japanese Neo-Perception School and her coterie magazine Age of Literature. Whereas for the Chinese case, the Chinese Neo-Perception School and her affiliated magazine Trains without Railway were the most relevant. Third, two representative writers of the Neo-Perception Schools, Yokomitsu Riichi and Liu Na’ou, whose literary styles were often compared to those of Morand’s. Through the analysis of these three aspects, we seek to show the configurations of modernism in East Asia.
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Les mauvais genres de la droite pessimisme historique, hybridité générique et surenchère négative chez Paul Morand et Louis-Ferdinand Céline

Martel, Jean-Philippe January 2009 (has links)
Paul Morand et Louis-Ferdinand Céline sont deux écrivains français du 20e siècle associés à la Collaboration, qui ont, sans doute à dessein, prétendu éviter l'idéologie en art. Dans le premier chapitre de chacune des parties de cette thèse (pour ainis dire symétriques : la première dévolue à l'oeuvre de Morand, la seconde à celle de Céline), un examen des thèmes et des motifs mis de l'avant dans leur oeuvre révélera la prégnance, chez eux, d'une vision de l'histoire et de la société centrée autour de valeurs exclusives comme le mépris des discours et de toute forme d'intellectualisme, la nation ou l'"ordre naturel" vision qui correspond par ailleurs à la nostalgie d'une époque révolue : la première moitié du 17e siècle dans le cas de Morand, le Moyen Âge de Rabelais et de Villon dans celui de Céline. Dans le deuxième chapitre, cette nostalgie pour un idéal passé, où l'homme trouverait"naturellement" à s'inscrire dans son milieu, sera envisagée d'un point de vue générique. Car, si l'idéal que Morand et Céline mettent de l'avant peut être rapproché du monde de l'épopée, la lecture qu'ils font de leur époque s'oppose point par point à ce dernier. Confrontés à cette impossible épopée moderne, ils privilégient, dans leur écriture, une grande hybridité générique, répondant de telle sorte, sur le plan formel, aux bouleversements de fond que connaît le 20e siècle. Enfin, dans le troisième chapitre, il sera question du traitement des énoncés à teneur idéologique, dans leur fiction. Morand appuie sur le caractère construit de la représentation historique, et appelle, dans ses textes de fiction, à une plus grande lucidité de la part du lecteur. Ces procédés ont pour principal effet de faire ressortir la fictivité de ses oeuvres et, par conséquent, de mettre en perspective leur portée idéologique. Céline, lui, mobilise, de manière de plus en plus évidente dans son oeuvre, des postures signalant un ordre naturel donné pour extérieur aux discours et contre-discours traditionnels. En misant de la sorte sur sa réputation personnelle, dans l'espace même de la fiction, le romancier procède à un brouillage énonciatif qui invite à dépasser les a priori idéologiques à partir desquels cette réputation est mise à mal. Ainsi, tant Céline que Morand récupèrent des éléments de discours et les organisent poétiquement en travestissant leur sens usuel, au profit d'une idée affranchie de l'idéologie et pourtant appuyée sur elle : la littérature.
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Vie, œuvre et carrière de Jean-Antoine Morand, peintre et architecte à Lyon au XVIIIe / Life, work and career of Jean-Antoine Morand, painter and architect in Lyons in the eighteenth century

Chuzeville, Sylvain 22 June 2012 (has links)
Né en 1727 à Briançon, Jean-Antoine Morand a 14 ans lorsqu’il se lance, suite à la mort de son père, dans une carrière artistique. C’est à Lyon qu’il s’installe et fonde, en 1748, un atelier de peinture. Il reçoit des commandes officielles et privées, travaille régulièrement pour la Comédie, se spécialise dans la peinture en trompe-l’œil et la scénographie, y compris les machines de théâtre. À la fin des années 1750, encouragé par Soufflot, il se tourne vers l’architecture et l’embellissement, ainsi que l’y disposent différents aspects de sa première carrière.Architecte autodidacte, Morand souffre d’un déficit de légitimité et tente d’y remédier en recherchant la reconnaissance publique. Mais ses succès, en particulier la construction à titre privé d’un pont sur le Rhône, n’y suffisent pas. La carrière de Morand est tiraillée entre fierté entrepreneuriale et appétence institutionnelle. Son image pâtit de l’opposition entre spéculation foncière et promotion du bien public. Cela concerne en particulier son grand œuvre, un projet d’agrandissement de Lyon sur la rive gauche du Rhône, compris dans un plan général donnant à la ville la forme circulaire.Morand a peu construit et il ne subsiste presque rien de son œuvre pictural. On dispose en revanche d’un fonds d’archives privé d’une grande richesse, sur lequel s’appuie cette thèse, afin de mettre au jour les intentions, les relations et la psychologie d’un architecte autrement méconnu. / Born in 1727, Jean-Antoine Morand is 14 years old when he embraces an artistic career, following his father’s death. Having settled down in Lyon, he establishes his own painter’s workshop in 1748. Receiving public and private commissions and working for the theatre on a regular basis, he specializes in trompe l’œil painting and stage-setting, including machinery. In the late 1750s, spurred on by Soufflot, he turns to architecture and city-planning, as various aspects of his previous career could have prompted him to.As an autodidactic architect, Morand suffers from a lack of legitimacy against which he pursues public recognition. But his successes, which include the building of a privately-owned bridge across the Rhône, aren’t enough. Morand’s career is torn between entrepreneurial pride and his longing for tenure. His public image is marred by the alleged opposition between land speculation and the defense of public good. This concerns mostly his great work, a project for the extension of Lyon on the left bank of the Rhône, included in a circular general city plan.Morand hasn’t built much and very little remains of his pictorial work. This thesis is based on an extensive private archive that allows us to explore this otherwise unsung architect’s intentions, relations and psychology.

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