Mém.--Muséologie--Ecole du Louvre, 2000. / Bibliogr., 2 p.

Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

Thesis (M.A.)--University of Louisville, 2004. / Department of History. Vita. "December 2004." Includes bibliographical references (leaves 86-94).

Thesis--University of London. / Includes bibliographical references (p. [1]-x).

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En este trabajo se analizarán las estrategias narrativas de José Miguel Varas en la novela Milico para abordar los vacíos (silencios) de lo irrepresentable, ligados a la problemática de la representación de la violencia y el trauma postdictatoriales. Se pondrá especial énfasis en evidenciar los límites de la escritura cuando se trata de presentar el horror absoluto y lo indecible de la experiencia traumática.

Análisis e Interpretación de la novela autobiográfica El río como la reconstrucción que realiza un narrador adulto del origen y el destino de un joven delincuente adolescente. Escritura que muestra un proceso de individuación a través de varios géneros –autobiografía, confesión, testimonio, melodrama-, reflejando a través de su escritura a una cultura popular y delincuencial, y elaborando una mirada crítica frente a la sociedad. Narrador que tiene su doble en un sujeto escritor cronista que continúa escribiendo por una década en la revista ‘Aquí está’ ejerciendo una labor remunerada y un rol significativo dentro de la sociedad. Sujeto que de vuelta de un viaje de más de dos décadas por la delincuencia decide reconvertirse a través de la escritura e inscribirse en un espacio letrado como representante del mundo popular, y así dialogar con el resto de la comunidad.

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Ethnographic collections in western museums such as the Royal Albert Memorial Museum (RAMM) carry many meanings, but by definition, they represent an intercultural encounter. This history of this encounter is often lost, overlooked, or obscured, and yet it has bearing on how the objects in the collection have been interpreted and understood. This thesis uncovers the hidden history of one particular collection in the RAMM and examines the multiple meanings that have been attributed to the objects in the collection over time. The Richard Dennett Collection was made in Africa in the years when European powers began to colonise the Congo basin. Richard Edward Dennett (1857-1921) worked as a trader in the Lower Congo between 1879 and 1902. The collection was accessioned by the RAMM in 1889. The research contextualises the collection by making a close analysis of primary source material which was produced by the collector and by his contemporaries, and includes publications, correspondence, photographs and illustrations which have been studied in museums and archives in Europe and North America. Dennett was personally involved with key events in the colonial history of this part of Africa but he also studied the indigenous BaKongo community, recording his observations about their political and material culture. As a result he became involved in the institutions of anthropology and folklore in Britain which were attempting to explain, classify and interpret such cultures. Through examining Dennett’s history this research has been able to explore the Congo context, the indigenous society, and those European institutions which collected and interpreted BaKongo collections. The research has added considerably to the museum’s knowledge about this collection and its collector, and the study responds to the practical imperative implicit in a Collaborative Doctoral Project, by proposing a small temporary exhibition in the RAMM to explore these histories and meanings. In making this proposal the research considers the current curatorial debate concerning responsible approaches to colonial collections, and assesses some of the strategies that are being employed in museums today.

Cette thèse fait l'histoire conjointe des notions de " race " et de " dégénération/ dégénérescence " entre le XVIIe et le XIXe siècle. Elle envisage cette histoire tant du point de vue d'une épistémologie historique - " comment race et dégénérescence sont devenues les concepts de savoirs divers " (histoire naturelle, anthropologie, psychiatrie) - et d'une histoire des pratiques de gouvernement - " comment race et dégénérescence sont devenues des problèmes de gouvernement ". En prenant au sérieux la liaison entre ces deux notions, on vise à rendre compte de la formation, au XIXe siècle, d'un champ de savoirs qui se donnent pour objet ce que nous appelons " l'homme anormal ", c'est-à-dire cette figure bien particulière en laquelle la folie, la criminalité et les races " inférieures " viennent communiquer comme autant de déviations de la norme humaine, à la lisière du normal et du pathologique. Notre thèse décrit les catégories fondamentales qui organisent ce champ de savoirs. Plus profondément, il s'agit ainsi de montrer comment, loin d'être exclusif d'un discours universaliste et humaniste, loin d'être systématiquement corrélé à un dispositif d'exclusion, le discours de la race et de la dégénérescence est intimement lié à un humanisme théorique et pratique, ainsi qu'à des pratiques d'inclusion qui se focalisent non sur la race, la folie et le crime comme altérités radicales, mais comme des altérations qu'il convient de régénérer, de corriger et de perfectionner par des dispositifs de pouvoir particuliers. Ce sont les ambiguïtés et les apories qui logent au cœur de cette volonté d'inclusion et dans cette analyse de réalités hétérogènes en termes d'altérations d'une norme que nous étudions à travers ce parcours historique. Nous démontrons en particulier le lien profond qui existe entre l'entrée de la notion de " race " dans le champ naturaliste et une position monogéniste ; et d'autre part, qu'on ne saurait comprendre l'entrée de la même notion dans le champ politique et - plus généralement - le développement de tout un ensemble de savoirs sur l'homme anormal, sans les resituer dans la logique du libéralisme politique du début du XIXe siècle.