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Du mythe à la subversion trois manifestations de la figure du zombie filmique

Pepin, Amélie January 2011 (has links)
L'apparente pérennité de la figure du zombie, sa résurrection périodique à des moments charnières de l'histoire et son évolution suggère qu'elle pourrait jouer un rôle symbolique au sein de la société où elle prend forme. Le mandat de cette étude consiste donc d'abord à dresser un portrait du zombie contemporain en clarifiant la provenance ainsi que les origines du mythe et en prenant bien soin de définir les caractéristiques récurrentes du monstre à travers les époques et nations. Ensuite, il tient à étudier trois différents films provenant de trois différentes époques soient : White Zombie (1932) de Victor Halperin, Dawn of the Dead (1978) de George A. Romero et 28 Days Later (2002) de Danny Boyle et Alex Garland. Ces films sont analysés en fonction de l'attitude du zombie, de ses caractéristiques, des motivations apparentes, de son pouvoir et impact sur la population. En somme, l'objectif vise ici à établir un portrait de la figure du zombie au cinéma, à donner un aperçu de son évolution, et à déterminer la nature du rôle, qu'il semble exercer sur la société représentée où il sévit.
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Les zombies et le visible, ce qu'il en reste : une pratique artistique de la hantise cinématographique / The zombie and the visible, what is left of it : an artistic practice of the cinematografic haunting

Charredib, Karim 29 March 2013 (has links)
Cette thèse explore les figures de la revenance et de la hantise d'un point de vue politique et esthétique, c'est-à-dire dans leur rapport à la société et à l'image. A cette fin le cinéma est le champ d'expérimentation et de manipulation puisque le cinéma, et notamment le cinéma américain, fait partie de ces mythologies modernes qui ont bercé le XXe siècle, avec ses histoires, codes et figures imposées. Les images produites par le cinéma sont ancrées dans l'inconscient et l'imagerie collectifs des spectateurs. C'est donc toute sa grammaire qui est à l'étude sous l'angle du mort-vivant : du héros au second rôle, de la perspective saturée du décor au hors-champ mortel. Si le zombie est la figure de proue de cette thèse, il s'agit moins de l'étudier d'un point de vue ethnographique que d'user de ses particularités afin de questionner le visible sur le mode de la persistance, de la pratique du retour incessant et de l'envahissement, c'est-à-dire comme une forme de résistance. Les revenants dévoilent lentement mais inexorablement l'envers du décor et délimitent une nouvelle topographie, déplacent les seuils et les frontières convenus : entre morts et vivants, entre visible et caché, entre champ et hors-champ. Les limites de l'espace et du corps sont mises à l'épreuve. Dans ma pratique, cette redéfinition des limites transforme l'image et l'univers filmique en ce que l'on pourrait nommer des « limbes filmiques » par des actions simples dans et sur l'image cinématographique : envahissement, contamination, pourrissement, corruption, dévoration, prolifération, raréfaction. Les morts-vivants revisitent ainsi, tels de riches touristes, les mythologies du cinéma. / The thesis explores the concepts and figures of revenance and haunting from a political and aesthetic point of view that is to say in their relation to historical and social contingencies, the real and the image. Cinema, and in particular American cinema, forms a significant part of the modern mythologies that have rocked the cradle of the 20th century, with its stories, codes and figures. The images produced by cinema are seamlessly embedded and archived in the spectator's unconscious and the collective imagery. I aim to reconsider the grammar of cinema through the angle of the living dead: the supporting roles as well as the principal characters, the saturated perspective of the sets as much as the deadly off-screen. The zombie is the figurehead of the thesis, but my purpose is less about studying it from ethnographical point of view than of making use of its particularities to question the visible on the mode of persistence, of the practice of the unceasing comebacks and of invasion, that is to say as an act of resistance. The revenants unveil slowly but inexorably the secrets beyond the door, and mark the boundaries of a new topography, shifting and altering the seemingly fixed thresholds; accessing the space between the dead and the living, in between the visible and the hidden, and in between on-screen and off-screen. This redefining of the margins and the boundaries transforms the image and the filmic universe into what could be called « cinematic limbo » by simple actions in and on the image: invasion, contamination, rotting of, corruption, devouring of, proliferation. The living dead continuously revisit, like sad tourists, the mythology of the cinema.
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Mortuaires suivi de La mort-vivance comme motif d'écriture dans Aurélia de Gérard de Nerval

Philippe, Jennyfer 04 1900 (has links)
Dans Mortuaires, une pièce de théâtre en fragments, deux soeurs se rencontrent dans une chambre d'hôtel; Jiji, la plus vieille, vient de retrouver les cendres de leur mère, morte dix ans auparavant; elle voudrait enterrer l'urne définitivement, alors que la plus jeune, Ge, tient à la garder près d'elle. Ce sera l'occasion pour les soeurs de faire valoir leur propre désir et de célébrer la morte, de reprendre contact avec ce qui reste d'elle dans leur mémoire. Le texte se présente sous forme de mini-scènes sans continuité, bien qu’étant toutes reliées, comme un dialogue interrompu, une cérémonie rejouant la mise en pièces du corps. La fragmentation de la mémoire constitue le projet esthétique de la pièce, dont le ressort dramatique tourne autour du souvenir endeuillé et du corps mort. La mort-vivance comme motif d'écriture dans « Aurélia » de Gérard de Nerval est un essai portant sur le rapport qu'entretient Nerval avec les morts dans le récit, ceux-ci constituant son moteur d'écriture. Au moyen de théories telles que la psychanalyse (Freud, Jackson), la sociologie (Muray) et la théorie de la lecture (Picard), il sera démontré que Nerval, dans Aurélia, se fait spirite en faisant revenir les morts au moyen du rêve. L'écriture se pose comme un lieu de rencontre entre les vivants et les morts, un espace dans lequel chacun doit se faire mort-vivant pour aller retrouver l'autre. Les frontières se brouillent et il devient difficile pour Nerval, ainsi que pour le lecteur, de distinguer le rêve de la réalité. / In Mortuaires, a drama in fragments, two sisters meet in a hotel room; Jiji, the oldest, has just found their mother's ashes, dead 10 years ago; she would like to bury the urn, but the youngest, Ge, intends to keep it. It will be the occasion for them to emphasize on their own desire and, much more, to celebrate the dead mother, to reconnect with what remains of her in their memory. The text presents small scenes without continuity, although linked, like an interrupted dialogue, a ceremony replaying the body's breaking into pieces. The memory's fragmentation is the esthetic project of the drama, whose basic dramatic's spring turns around remembering, mourning, and the place of the dead body. La mort-vivance comme motif d'écriture dans « Aurélia » de Gérard de Nerval is an essay studying the connexion between Nerval and the dead ones. In the story, these ones are very important in the process of writing. Using theories such as psychoanalysis (Freud, Jackson), sociology (Muray) and reading theory (Picard), it will be shown that Nerval, in Aurélia, is a medium and tries to take the dead ones back through dream. The writing of his dreams creates for Nerval a place where the living and the dead ones can meet, a place where everyone has to become a living dead to be in contact with others. In that way, boundaries are blurring and it becomes increasingly hard for Nerval, as for the reader, to distinguish dream from reality.
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Mortuaires suivi de La mort-vivance comme motif d'écriture dans Aurélia de Gérard de Nerval

Philippe, Jennyfer 04 1900 (has links)
Dans Mortuaires, une pièce de théâtre en fragments, deux soeurs se rencontrent dans une chambre d'hôtel; Jiji, la plus vieille, vient de retrouver les cendres de leur mère, morte dix ans auparavant; elle voudrait enterrer l'urne définitivement, alors que la plus jeune, Ge, tient à la garder près d'elle. Ce sera l'occasion pour les soeurs de faire valoir leur propre désir et de célébrer la morte, de reprendre contact avec ce qui reste d'elle dans leur mémoire. Le texte se présente sous forme de mini-scènes sans continuité, bien qu’étant toutes reliées, comme un dialogue interrompu, une cérémonie rejouant la mise en pièces du corps. La fragmentation de la mémoire constitue le projet esthétique de la pièce, dont le ressort dramatique tourne autour du souvenir endeuillé et du corps mort. La mort-vivance comme motif d'écriture dans « Aurélia » de Gérard de Nerval est un essai portant sur le rapport qu'entretient Nerval avec les morts dans le récit, ceux-ci constituant son moteur d'écriture. Au moyen de théories telles que la psychanalyse (Freud, Jackson), la sociologie (Muray) et la théorie de la lecture (Picard), il sera démontré que Nerval, dans Aurélia, se fait spirite en faisant revenir les morts au moyen du rêve. L'écriture se pose comme un lieu de rencontre entre les vivants et les morts, un espace dans lequel chacun doit se faire mort-vivant pour aller retrouver l'autre. Les frontières se brouillent et il devient difficile pour Nerval, ainsi que pour le lecteur, de distinguer le rêve de la réalité. / In Mortuaires, a drama in fragments, two sisters meet in a hotel room; Jiji, the oldest, has just found their mother's ashes, dead 10 years ago; she would like to bury the urn, but the youngest, Ge, intends to keep it. It will be the occasion for them to emphasize on their own desire and, much more, to celebrate the dead mother, to reconnect with what remains of her in their memory. The text presents small scenes without continuity, although linked, like an interrupted dialogue, a ceremony replaying the body's breaking into pieces. The memory's fragmentation is the esthetic project of the drama, whose basic dramatic's spring turns around remembering, mourning, and the place of the dead body. La mort-vivance comme motif d'écriture dans « Aurélia » de Gérard de Nerval is an essay studying the connexion between Nerval and the dead ones. In the story, these ones are very important in the process of writing. Using theories such as psychoanalysis (Freud, Jackson), sociology (Muray) and reading theory (Picard), it will be shown that Nerval, in Aurélia, is a medium and tries to take the dead ones back through dream. The writing of his dreams creates for Nerval a place where the living and the dead ones can meet, a place where everyone has to become a living dead to be in contact with others. In that way, boundaries are blurring and it becomes increasingly hard for Nerval, as for the reader, to distinguish dream from reality.
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Le jour où la Terre en avait vu d'autres. Tome 1 ; suivi de La tension ajarienne

Létourneau, Annie 04 1900 (has links)
La partie création de ce mémoire se veut soutenue par une tension narrative reliée à la curiosité suscitée par le personnage principal, de prime abord énigmatique, qui se dévoile de façon capricieuse par un changement constant de focalisation et de temporalité. Nathan vit à une ère où l’humanité a frôlé l’extinction, et où tout est à repenser après l’annihilation du virus ramenant les morts à la vie. N’ayant pas été témoin de ces horreurs, ses plus grandes préoccupations concernent son cheminement vers l’authenticité. Saltimbanque de métier, il voyage de communauté en communauté, où chacune a fait ses choix pour recréer le monde. Sa volonté de prôner l’art dans un processus de reconstruction sociale et sa poursuite d’une image perdue le pousseront toujours plus loin dans ses pérégrinations; vers des réalités qui le conduiront à redéfinir son univers. La partie essai s’interroge sur les procédés formant la tension narrative des romans d’Émile Ajar, pseudonyme laissant deviner la plume expérimentée de Romain Gary qui se réinvente dans l’anonymat. L’attention est centrée sur les jeux de narration, le rôle actanciel des personnages et l’orchestration formelle des récits, à savoir s’ils sont assez similaires pour lier les opus et les constituer en une série unifiée. Cette réflexion à la recherche de l’essence de l’oeuvre ajarienne, touchante par ses antihéros souvent démunis dans leur quête existentielle, a été une inspiration pour la rédaction de Le jour où la Terre en avait vu d’autres. Les rêves de Nathan sont racontés à la première personne, rejoignant certaines modalités ajariennes où la psyché des protagonistes se révèle par une narration au “je”. Les questionnements sur la tension narrative ont été déclencheurs de cette première démarche d’écriture romanesque, même si elle est située dans un cadre complètement autre et use d’une plume bien différente de celle d’Ajar. / The creative part of this Master’s thesis is based on curiosity about the main character, at first enigmatic, who is to be revealed in an unpredictable way with continuous focal and temporal changes. Nathan lives in an era in which humanity came close to extinction, and where everything is to be rethought after the annihilation of the virus that brings the dead back to life. As a saltimbanco, he travels from community to community, in which each one has made choices to recreate the world. His will to advocate art in the social reconstruction and his pursuit of a lost image will always drag him further in his peregrinations, towards realities that will lead him to redefine his universe. The essay part examines the literary techniques that create the narrative tension of novels authored by Émile Ajar, pseudonym of the accomplished writer, Romain Gary, who reinvents himself anonymously. The attention is centered on the narration, actantial roles of the characters and formal organization of the story, to ascertain if they are similar enough to link them in a unified series. This reflection searches for the essence of Ajar’s work which, along with the moving existential quests of the characters, have been an inspiration for writing Le jour où la Terre en avait vu d’autres. Nathan’s dreams are related in a first person narration, in accordance with some of Ajar’s modalities where the characters’ psyches reveal themselves through that perspective. The ponderings on the narrative tension have been the trigger for this first fiction writing experience, even though it takes place in a completely different setting.
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Le jour où la Terre en avait vu d'autres. Tome 1 ; suivi de La tension ajarienne

Létourneau, Annie 04 1900 (has links)
La partie création de ce mémoire se veut soutenue par une tension narrative reliée à la curiosité suscitée par le personnage principal, de prime abord énigmatique, qui se dévoile de façon capricieuse par un changement constant de focalisation et de temporalité. Nathan vit à une ère où l’humanité a frôlé l’extinction, et où tout est à repenser après l’annihilation du virus ramenant les morts à la vie. N’ayant pas été témoin de ces horreurs, ses plus grandes préoccupations concernent son cheminement vers l’authenticité. Saltimbanque de métier, il voyage de communauté en communauté, où chacune a fait ses choix pour recréer le monde. Sa volonté de prôner l’art dans un processus de reconstruction sociale et sa poursuite d’une image perdue le pousseront toujours plus loin dans ses pérégrinations; vers des réalités qui le conduiront à redéfinir son univers. La partie essai s’interroge sur les procédés formant la tension narrative des romans d’Émile Ajar, pseudonyme laissant deviner la plume expérimentée de Romain Gary qui se réinvente dans l’anonymat. L’attention est centrée sur les jeux de narration, le rôle actanciel des personnages et l’orchestration formelle des récits, à savoir s’ils sont assez similaires pour lier les opus et les constituer en une série unifiée. Cette réflexion à la recherche de l’essence de l’oeuvre ajarienne, touchante par ses antihéros souvent démunis dans leur quête existentielle, a été une inspiration pour la rédaction de Le jour où la Terre en avait vu d’autres. Les rêves de Nathan sont racontés à la première personne, rejoignant certaines modalités ajariennes où la psyché des protagonistes se révèle par une narration au “je”. Les questionnements sur la tension narrative ont été déclencheurs de cette première démarche d’écriture romanesque, même si elle est située dans un cadre complètement autre et use d’une plume bien différente de celle d’Ajar. / The creative part of this Master’s thesis is based on curiosity about the main character, at first enigmatic, who is to be revealed in an unpredictable way with continuous focal and temporal changes. Nathan lives in an era in which humanity came close to extinction, and where everything is to be rethought after the annihilation of the virus that brings the dead back to life. As a saltimbanco, he travels from community to community, in which each one has made choices to recreate the world. His will to advocate art in the social reconstruction and his pursuit of a lost image will always drag him further in his peregrinations, towards realities that will lead him to redefine his universe. The essay part examines the literary techniques that create the narrative tension of novels authored by Émile Ajar, pseudonym of the accomplished writer, Romain Gary, who reinvents himself anonymously. The attention is centered on the narration, actantial roles of the characters and formal organization of the story, to ascertain if they are similar enough to link them in a unified series. This reflection searches for the essence of Ajar’s work which, along with the moving existential quests of the characters, have been an inspiration for writing Le jour où la Terre en avait vu d’autres. Nathan’s dreams are related in a first person narration, in accordance with some of Ajar’s modalities where the characters’ psyches reveal themselves through that perspective. The ponderings on the narrative tension have been the trigger for this first fiction writing experience, even though it takes place in a completely different setting.

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