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Preuves constructives de complétude et contrôle délimité

Ilik, Danko 22 October 2010 (has links) (PDF)
Motivés par la facilitation du raisonnement sur des méta-théories logiques à l'intérieur de l'assistant de preuve Coq, nous étudions les versions constructives de certains théorèmes de complétude. Nous commençons par l'analyse des preuves de Krivine et Berardi-Valentini qui énoncent que la logique classique est constructivement complète au regard des modèles booléens relaxés, ainsi que l'analyse de l'algorithme de cette preuve. En essayant d'élaborer une preuve de complétude plus canonique pour la logique classique, inspirés par la méthode de la normalisation-par-évaluation (NPE) de Berger et Schwichtenberg, nous concevons une preuve de complétude pour la logique classique en introduisant une notion de modèle dans le style des modèles de Kripke, dont le contenu calculatoire est l'élimination des coupures, ou la normalisation. Nous nous tournons ensuite vers la NPE pour une logique de prédicats intuitionniste (en considérant tous les connecteurs logiques), c'est-à-dire, vers sa complétude par rapport aux modèles de Kripke. Inspirés par le programme informatique de Danvy pour la normalisation des termes du $\lambda$-calcul avec sommes, lequel utilise des opérateurs de contrôle délimité, nous développons une notion d'un modèle, encore une fois semblable aux modèles de Kripke, qui est correct et complet pour la logique de prédicats intuitionniste, et qui est, par coïncidence, très similaire à la notion de modèle de Kripke introduit pour la logique classique. Finalement, en se fondant sur des observations de Herbelin, nous montrons que l'on peut avoir une logique intuitionniste étendue avec des opérateurs de contrôle délimité qui est equiconsistante avec la logique intuitionniste, qui préserve les propriétés de disjonction et d'existence, et qui est capable de dériver le schéma « Double Negation Shift » et le principe de Markov.
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Une étude des sommes fortes : isomorphismes et formes normales

Balat, Vincent 05 December 2002 (has links) (PDF)
Le but de cette thèse est d'étudier la somme et le zéro dans deux principaux cadres : les isomorphismes de types et la normalisation de lambda-termes. Les isomorphismes de type avaient déjà été étudiés dans le cadre du lambda-calcul simplement typé avec paires surjectives mais sans somme. Pour aborder le cas avec somme et zéro, j'ai commencé par restreindre l'étude au cas des isomorphismes linéaires, dans le cadre de la logique linéaire, ce qui a conduit à une caractérisation remarquablement simple de ces isomorphismes, obtenue grâce à une méthode syntaxique sur les réseaux de preuve. Le cadre plus général de la logique intuitionniste correspond au problème ouvert de la caractérisation des isomorphismes dans les catégories bi-cartésiennes fermées. J'ai pu apporter une contribution à cette étude en montrant qu'il n'y a pas d'axiomatisation finie de ces isomorphismes. Pour cela, j'ai tiré partie de travaux en théorie des nombres portant sur un problème énoncé par Alfred Tarski et connu sous le nom du « problème des égalités du lycée ». Pendant tout ce travail sur les isomorphismes de types, s'est posé le problème de trouver une forme canonique pour représenter les lambda-termes, que ce soit dans le but de nier l'existence d'un isomorphisme par une étude de cas sur la forme du terme, ou pour vérifier leur existence dans le cas des fonctions très complexes que j'étais amené à manipuler. Cette réflexion a abouti à poser une définition « extensionnelle » de forme normale pour le lambda-calcul avec somme et zéro, obtenue par des méthodes catégoriques grâce aux relations logiques de Grothendieck, apportant ainsi une nouvelle avancée dans l'étude de la question réputée difficile de la normalisation de ce lambda-calcul. Enfin je montrerai comment il est possible d'obtenir une version « intentionnelle » de ce résultat en utilisant la normalisation par évaluation. J'ai pu ainsi donner une adaptation de la technique d' évaluation partielle dirigée par les types pour qu'elle produise un résultat dans cette forme normale, ce qui en réduit considérablement la taille et diminue aussi beaucoup le temps de normalisation dans le cas des isomorphismes de types considérés auparavant.

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