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Der Englische Pavillon in Pillnitz: Ein Sanktuarium oder Tabernakel für Wissenschaft und KunstWelich, Dirk 03 February 2020 (has links)
Untersucht wird der Englische Pavillon von 1780 im Pillnitzer Schlosspark. Wie ist er in den Park eingebettet? Welche Vorbilder dienten dem Architekten? Welche Ikonografie liegt dem Bau und seiner Innenausstattung zugrunde? Alle Facetten weisen auf Kurfürst Friedrich August III. als Bauherren, seine generelle Verehrung der Künste und sein spezielles Interesse an der Schmetterlingskunde.
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Chinese moon pavilion at Montrose Harbor Chicago, IllinoisFu, Xuan January 1991 (has links)
After studying modern architectural designs during my one-andone-half year residence in the United States, I have deepened my intellectual consciousness for Modern Chinese Architecture, a subject which I had previously researched through my studies in China. As a multi-national country, the United States has absorbed various foreign cultural systems, including the Chinese culture and its architecture. This has revealed itself in part through many unique "China-towns" such as those in New York, San Francisco, Chicago and other major metropolitan areas.Restricted by city planning and highway systems in the in the United States, the Chinese-like buildings in these American Chinatowns can not perfectly show the principles, philosophy and spirit of authentic Chinese architectural concepts. Rather, they are similar only on their facades by incorporating superficially reproduced symbols, responding to a pragmatic commercial need. This problem brings me to an unanswered question of how to present the Chinese concepts of space in modern architecture, and addresses the significant issues I have studied with my colleagues at the Beijing Institute of Architectural Design. After having worked both for S.O.M. in Chicago and at Ball State University I have made a new attempt to understand the philosophy and built forms of my homeland, based on this oneand-one-half year of study and new experience within western architectural design. Combining this older quest with my new experience became the focus of my thesis. / Department of Architecture
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Prévalence des infrasons dans le pavillon Président Kennedy de l'Université du Québec à Montréal /Belhachmi, Raja January 1999 (has links)
Mémoire (M.Sc.)--Université du Québec à Montréal, 1999. / En tête du titre: Université du Québec à Montréal. "Mémoire présenté à l'Université du Québec à Trois-Rivières comme exigence partielle de la maîtrise en physique offerte par extension à l'Université du Québec à Montréal en vertu d'un protocole d'entente avec l'Université du Québec à Trois-Rivières."--p. de t. CaQTU CaQTU Bibliogr.: f. [68]-70.
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L'identité nationale exposée représentations du Québec à l'Exposition universelle de Montréal 1967 (Expo 67) /Curien, Pauline, January 1900 (has links) (PDF)
Thèse (de doctorat)--Université Laval, 2003. / Titre de l'écran-titre (visionné le 23 mars). Bibliogr.
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Der Elbpavillon im Schlosspark PillnitzKretschmann, Iris 21 February 2020 (has links)
2008 wurde der Elbpavillon im Pillnitzer Schlossgarten nach den Flutschäden des Jahres 2002 saniert und restauriert. Der Artikel bietet gleichermaßen Quellen- und Bauforschung und eine Beschreibung der Sanierungsmaßnahmen an dem kleinen Gebäude des frühen 19. Jahrhunderts.
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L'espace bâti comme soutien aux processus d'orientation et de mémorisation : les cas de deux bâtiments universitairesJacques, Guillaume 18 April 2018 (has links)
Un bâtiment est découvert progressivement à travers une succession d’espaces. Son organisation et les moyens mis en oeuvre pour communiquer cette dernière sont des conditions essentielles pour y trouver son chemin. Par ailleurs, le processus d’orientation est influencé par des facteurs reliés à la mémorisation de l’espace, à la situation de s’orienter et au contexte du lieu. La recherche analyse deux bâtiments universitaires (Pavillons Vandry et PEPS de l’Université Laval) aux conditions d’orientation différentes et démontre – à l’aide de visites des lieux et d’un questionnaire complété par un groupe d’étudiants au baccalauréat en architecture – que, selon les lieux visités, les effets de neuf éléments et dimensions de l’environnement (configuration du bâtiment, configuration des circulations, percées visuelles, aménagement intérieur, lumière naturelle et artificielle, couleur, ambiance sonore, présence de gens, signalisation) varient en importance. Il faut donc tenir compte de ces variations dans les études et dans les pratiques professionnelles afin d’éviter l’application automatique de principes généraux à chaque projet.
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L'identité nationale exposée : représentations du Québec à l'Exposition universelle de Montréal 1967 (Expo 67)Curien, Pauline 11 April 2018 (has links)
Pourquoi étudier l'identité du Québec à Expo 67? La réponse tient en une courte proposition : parce que l'Expo a fourni l'occasion d'une catharsis, constitutive de l'identité québécoise moderne. Je veux montrer que, dans l'ordonnancement rigoureux de l'exposition universelle de Montréal en 1967, se sont produits des failles et dérapages résultant en ce que j'appellerai une catharsis identitaire . De deux façons : 1) le portrait du Québec présenté dans son pavillon a damé le pion à la stratégie identitaire du gouvernement québécois; 2) les visiteurs québécois ont donné corps à une nouvelle identité québécoise. Au cours des années soixante, le Québec a vu s'accélérer l'évolution des représentations au point que l'image dominante du ± Canada-français catholique * a cédé le pas au ± grand récit collectif du Québec moderne *. L'Exposition universelle, en tant qu'espace-temps où se précipitent de multiples enjeux économiques, politiques et identitaires, fournit un laboratoire original et inédit pour illustrer ce passage d'un récit à l'autre, non pas en comparant deux récits en diachronie, mais en analysant leur coexistence en synchronie. Il s'agit donc d'une étude de cas, qui vise notamment à démythifier cette période et à mettre en évidence la possibilité d'une expression démocratique par adhésion plutôt que par conflits. Cette recherche est bifocale dans la mesure où son objet comporte deux ± foyers * : l'image du Québec telle que la véhicule le pavillon du Québec (l'identité officielle), et celle que construisent sur place les visiteurs québécois de l'Expo (l'identité populaire). Compte tenu de l'ampleur des sources disponibles et des biais qui affligent toute méthode retenue, le corpus est limité, et la méthode de travail triangulée de la façon suivante : le pavillon du Québec fait l'objet d'une analyse du discours qui porte sur le contenu du pavillon (les exhibits et leur mise en scène) et sur le fascicule officiel du gouvernement québécois qui s'y trouve diffusé; des entrevues sont menées avec des témoins ± experts * de l'époque; et deux focus groups recueillent les témoignages de visiteurs de l'Expo. La consultation des archives nationales (Canada et Québec) et du Centre d'histoire de Montréal unifie le tout. Il ressort de cette analyse que de nouvelles représentations du Québec sont advenues à Expo 67 et qu'elles ont perduré jusqu'à nos jours. D'une part, dans le portrait officiel (sous ses deux aspects : pavillon et fascicule), le Québec a pris le rang de nation moderne dans le concert des pays occidentaux, bien que plusieurs indicateurs révèlent un pays encore en train de se faire; du côté des visiteurs de l'Expo d'autre part, s'est édifié un nouveau ± Nous *, aussi soudain que gratifiant. Il y a donc une certaine convergence entre ces portraits. Ils ne se sont pourtant pas construits de la même façon : l'audacieux portrait diffusé dans le pavillon, relevant de l''Oeuvre d'art, a pu voir le jour grâce à l'inadaptation du l'appareil étatique québécois à prendre en charge le contenu discursif du projet, tandis que le portrait du fascicule, plus conformiste, émanait d'un organisme public; quant au portrait populaire, il s'est édifié à partir d'une appropriation symbolique des prouesses de l'Expo, appropriation exaltante qui a modifié les frontières symboliques entre ± Nous * et les ± Autres *. Au bilan, il faut reconnaître que le portrait du pavillon est fidèle à l'euphorie économique des années soixante, mais ne reflète rien de l'agitation politique qui règne à l'époque. Cependant, l'Expo dans son ensemble a sans doute produit un effet générationnel sur les Québécois, dans la mesure où elle a enfoncé le clou du nouveau récit collectif du Québec moderne.
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L'identité nationale exposée : représentations du Québec à l'Exposition universelle de Montréal 1967 (Expo 67)Curien, Pauline 11 April 2018 (has links)
Pourquoi étudier l'identité du Québec à Expo 67? La réponse tient en une courte proposition : parce que l'Expo a fourni l'occasion d'une catharsis, constitutive de l'identité québécoise moderne. Je veux montrer que, dans l'ordonnancement rigoureux de l'exposition universelle de Montréal en 1967, se sont produits des failles et dérapages résultant en ce que j'appellerai une catharsis identitaire . De deux façons : 1) le portrait du Québec présenté dans son pavillon a damé le pion à la stratégie identitaire du gouvernement québécois; 2) les visiteurs québécois ont donné corps à une nouvelle identité québécoise. Au cours des années soixante, le Québec a vu s'accélérer l'évolution des représentations au point que l'image dominante du ± Canada-français catholique * a cédé le pas au ± grand récit collectif du Québec moderne *. L'Exposition universelle, en tant qu'espace-temps où se précipitent de multiples enjeux économiques, politiques et identitaires, fournit un laboratoire original et inédit pour illustrer ce passage d'un récit à l'autre, non pas en comparant deux récits en diachronie, mais en analysant leur coexistence en synchronie. Il s'agit donc d'une étude de cas, qui vise notamment à démythifier cette période et à mettre en évidence la possibilité d'une expression démocratique par adhésion plutôt que par conflits. Cette recherche est bifocale dans la mesure où son objet comporte deux ± foyers * : l'image du Québec telle que la véhicule le pavillon du Québec (l'identité officielle), et celle que construisent sur place les visiteurs québécois de l'Expo (l'identité populaire). Compte tenu de l'ampleur des sources disponibles et des biais qui affligent toute méthode retenue, le corpus est limité, et la méthode de travail triangulée de la façon suivante : le pavillon du Québec fait l'objet d'une analyse du discours qui porte sur le contenu du pavillon (les exhibits et leur mise en scène) et sur le fascicule officiel du gouvernement québécois qui s'y trouve diffusé; des entrevues sont menées avec des témoins ± experts * de l'époque; et deux focus groups recueillent les témoignages de visiteurs de l'Expo. La consultation des archives nationales (Canada et Québec) et du Centre d'histoire de Montréal unifie le tout. Il ressort de cette analyse que de nouvelles représentations du Québec sont advenues à Expo 67 et qu'elles ont perduré jusqu'à nos jours. D'une part, dans le portrait officiel (sous ses deux aspects : pavillon et fascicule), le Québec a pris le rang de nation moderne dans le concert des pays occidentaux, bien que plusieurs indicateurs révèlent un pays encore en train de se faire; du côté des visiteurs de l'Expo d'autre part, s'est édifié un nouveau ± Nous *, aussi soudain que gratifiant. Il y a donc une certaine convergence entre ces portraits. Ils ne se sont pourtant pas construits de la même façon : l'audacieux portrait diffusé dans le pavillon, relevant de l''Oeuvre d'art, a pu voir le jour grâce à l'inadaptation du l'appareil étatique québécois à prendre en charge le contenu discursif du projet, tandis que le portrait du fascicule, plus conformiste, émanait d'un organisme public; quant au portrait populaire, il s'est édifié à partir d'une appropriation symbolique des prouesses de l'Expo, appropriation exaltante qui a modifié les frontières symboliques entre ± Nous * et les ± Autres *. Au bilan, il faut reconnaître que le portrait du pavillon est fidèle à l'euphorie économique des années soixante, mais ne reflète rien de l'agitation politique qui règne à l'époque. Cependant, l'Expo dans son ensemble a sans doute produit un effet générationnel sur les Québécois, dans la mesure où elle a enfoncé le clou du nouveau récit collectif du Québec moderne.
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Le château de Choisy-le-Roi au XVIIIe siècle : architecture, vie sociale, administration / The castel of Choisy-le-Roi in the 18th century : architecture, sociability, administrationBornet, Anaïs 05 January 2019 (has links)
Aujourd’hui disparu, le château de Choisy-le-Roi reste bien souvent dans les esprits un symbole des fantaisies coûteuses de Louis XV et de Mme de Pompadour, idée répandues par la littérature et les chroniques des XVIIIe et XIXe siècles. Choisy occupe cependant une place majeure dans l’histoire de l’architecture des programmes mis en place pour les besoins de la vie de cour de la deuxième moitié du XVIIIe siècle. Proche de la forêt de Sénart, le château devient d’abord une résidence conviviale où se retrouve, après les parties de chasse, une « cour particulière », composée des familiers du roi et de la favorite. Louis XV convie par la suite à Choisy ses enfants, auxquels il consacre de courts séjours dans un cadre moins protocolaire. La suite nombreuse attachée à leur service transforme cet espace auparavant « privé », et le rend plus accessible aux courtisans. Cette augmentation de la fréquentation entraîne de nombreux travaux dirigés par l’architecte Ange-Jacques Gabriel. En conséquence de cette perte d’ « intimité », d’autres lieux particuliers sont alors aménagés ; ainsi, le Petit-Château, premier pavillon d’habitation de Louis XV, est construit. C’est là où prend place la table « volante ». À travers l’étude du domaine royal, on perçoit également le fonctionnement quotidien du château, où vivent de nombreux employés attachés à l’administration des Bâtiments du roi. Le travail sur le terrain est coordonné par un contrôleur des Bâtiments, dont les lettres échangées avec le Directeur de l’administration délivrent de précieuses informations sur la gestion et le personnel. Ainsi, le château de Choisy apparaît comme une pièce majeure pour la compréhension de la cour et de la sociabilité de Louis XV. / Today disappeared, the castel of Choisy-le-Roi remains as a symbol of the Louis XV and Mme de Pompadour’s expensive whims, idea spread by the 18th and 19th centuries literature. However, Choisy has an important part in the history of the programs architecture set up for the needs for the life of court of the second half of the 18th century. Close to the forest of Sénart, the castel becomes at first a friendly residence where finds itself, after the hunting trips, a " particular court ", made up of the king ’s close friends. Louis XV invites later to Choisy his children, to whom he dedicates short stays in a informal settings. The numerous entourage attached to their service transforms this space previously "private", and makes it more accessible to the courtiers. This increase of the company produces many construction works by the architect Ange-Jacques Gabriel. As a result of this loss of "intimacy", other intimate places are then fitted out; so, the Petit-Château, the first detached house of Louis XV, is built. It is where takes place the table « volante ». Through the study of the royal domain, we also notice the daily functioning of the castel, where live numerous employees attached to the administration des Bâtiments du roi. The field works is coordinated by a controller des Bâtiments, from whom letters exchanged with the Director of the administration give valued informations on management and staff. So, the castel of Choisy appears as a major part for the understanding of the court and the sociability of Louis XV.
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Relation entre la géométrie d'un résonateur de longueur finie et son rayonnement. Étude numérique et expérimentale de ses résonances complexes.Mallaroni, Bastien 09 July 2010 (has links) (PDF)
Le but principal de ce travail était de développer un outil numérique permettant de décrire le couplage entre le fluide interne et le fluide externe d'un résonateur de longueur finie, afin d'étudier le lien existant entre la géométrie du résonateur et son rayonnement. Pour cela nous nous sommes attachés à l'étude des résonances complexes, correspondant aux pôles de la fonction de Green du système couplé avec le milieu extérieur. La partie imaginaire des fréquences de résonance est ici directement reliée aux pertes dues au rayonnement. Nous avons basé notre travail sur trois grands axes : une étude analytique à l'aide d'une théorie modale avec la prise en compte des modes non plans, le développement d'une méthode numérique basée sur les éléments finis de frontière ainsi qu'une confrontation expérimentale de nos résultats théoriques. La théorie modale analytique nous a permis d'étudier le rayonnement de résonateurs cylindriques de longueur finie débouchant dans un écran infini, ce qui constitue un cas de référence pour la suite de l'étude. La méthode numérique développée dans un code Fortran parallélisé nous a donné la possibilité d'étudier des résonateurs de géométries plus complexes telles que celles des pavillons. Afin de réduire le temps de calcul, nous avons introduit une méthode hybride utilisant la théorie modale pour décrire la partie conservative du système, permettant des calculs rapides, et une méthode d'éléments finis de frontière, qui permet une représentation précise des géométries complexes, pour décrire la partie rayonnante. Les premiers résultats, concernant les résonances d'un système constitué d'un cylindre et d'un pavillon, ont pu être comparés aux mesures obtenues avec notre montage expérimental dans le cas du pavillon de Bessel et du pavillon conique.
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