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Prieurés bénédictins, aristocratie et seigneuries : une géopolitique du Bas-Maine féodal et grégorien (fin 10e-début 13e siècle)

Legros, Sébastien 08 December 2007 (has links) (PDF)
L'étude des prieurés bénédictins du Bas-Maine est réalisée en deux temps dans une perspective de géographie politique. La première partie du travail envisage l'apparition des établissements et analyse chaque fondation comme un processus étiré dans le temps et très contrôlé : l'étude s'attache ici à présenter les antécédents historiques et les caractéristiques géographiques des sites d¤implantation, la sociologie des partenaires sollicités par les moines et la chronologie de leur action qui, entre 1040 et 1130, recoupe largement l¤évolution politique générale. L'analyse de la terminologie prieurale, relativement fluctuante, incite à voir dans l¤apparition du terme de « prieur » un indice de consolidation des maisons. La seconde partie du travail s¤attache plus spécifiquement à mettre en relation le fait prieural avec le monde politique et à analyser l'évolution des rapports entre les moines et l'aristocratie. Une histoire en deux temps se dessine à cet égard : dans une première phase d'association, les prieurés ont sanctionné et renforcé la légitimité de la domination seigneuriale de leurs partenaires aristocratiques ; dans ce cadre, ils se sont laissés instrumentaliser dans les luttes féodales. Parallèlement intégrés au projet grégorien de monachisation du monde, ils se sont aussi constitués comme des seigneuries libres qui, à la charnière des 11e et 12e siècles, ont paru excessivement concurrencer celles de leurs bienfaiteurs laïcs. Les relations entre les moines et l¤aristocratie sont alors entrées dans une phase de dissociation, tandis que la montée de la puissance royale envenimait également les relations entre les seigneurs laïcs et les prieurés.
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Recherches sur les prieurés réguliers, monastiques et canoniaux des anciens diocèses de Chalon et Mâcon : (Xe - XIVe siècles) / Research on regular priories, monastic and canonic in the formes dioceses of Chalon and Mâcon from the 10th to the 14th centuries

Defontaine, Patrick 25 October 2013 (has links)
L’étude présentée est le résultat d’un inventaire des établissements prieuraux présents dans les anciens diocèses de Chalon et Mâcon, étroitement dépendants de la métropole de Lyon. Cet ensemble territorial correspond à l’axe de l’ancien royaume de Bourgogne.Sur les 183 prieurés retenus, il n’y en a que 69 relevant de Cluny, tous les autres appartenant à d’autres familles monastiques ou canoniales de l’ordre de Saint Augustin. La majorité de ces prieurés est l’objet d’une primo-occurrence dans les sources à la jonction des IXe Xe siècles. Les données récoltées ont permis d’établir une carte d’implantation en format poster annexée à la thèse, et un répertoire des sources qui sont en majorité manuscrites en latin. Les prieurés ont construit 200 églises ou chapelles. Les unes étaient réservées à l’usage exclusif des moines, les autres avaient une fonction mixte partagée avec les paroisses. L’étude sur le terrain a porté sur les aspects architecturaux extérieurs et intérieurs, les décors sculptés des chapiteaux et bas-reliefs ou tympans, ainsi que les fresques les plus significatives des 99 édifices restés debout. La vie interne des prieurés est rythmée par la prière régulière des heures canoniales. Il a eté possible de comparer plusieurs manuscrits liturgiques, dont le bréviaire de Saint-Victor-sur-Rhins, aux enluminures célèbres. L’origine sociale des moines, moniales et chanoines est majoritairement issue des familles féodales environnantes qui représentent également les parents à l’origine des plus nombreuses et riches donations. On a également trouvé l’intervention de milieux bourgeois, d’agriculteurs aisés et également quelques serfs. Le respect des règles et coutumes officielles s’associe à un vœu de stabilité qui interdit le passage des moines et chanoines d’une dépendance abbatiale à une autre. On a la preuve d’une coopération de ces clercs réguliers avec les prêtres séculiers dans la cura animarum des fidèles et dans l’encadrement des pèlerinages locaux nombreux et bien identifiés dans les bienfaits attendus par les pratiquants. Les prieurés sont souvent entourés par des enceintes et fortifications ou directement installés dans des châteaux que les moines construisent ou achètent. Ces constructions conçues à l’origine à titre de protection vis-à-vis des féodaux accapareurs transforment les prieurs en seigneurs ecclésiastiques peu différents des laïcs sur le plan juridique. Ils pratiquent rarement des affranchissements, mais exercent leurs droits, semble-t-il, avec plus de souplesse. Les moines et chanoines n’ont pas pratiqué de défrichement, car pour l’essentiel, celui-ci avait été réalisé en période gallo- romaine. Ils sont à l’origine d’aménagements ruraux par la création de chemins, ponts, canaux pour moulins et pêcheries.Tout en favorisant la culture de la vigne, ils ont gardé un équilibre avec la céréaliculture, l’élevage et l’exploitation des forêts. Des documents précis permettent de relever des écarts de conduite par rapport aux règles monastiques et canoniales. Il s’agit essentiellement de l’appât du gain, de vols, d’incontinence et concubinage, de non récitation des heures canoniales, de voies de fait envers des confrères ou des supérieurs. Ces fautes sont relativement rares, comparativement à cellesconnues dans d’autres diocèses. Le recensement de l’effectif global des moines et des chanoines donne un nombre évolutif total variant entre 580 et 720 personnes. Une tendance à la strate inférieure est surtout liée aux conséquences de la peste noire et de la guerre de cent ans au XIVe siècle. Ce siècle est également celui de la papauté d’Avignon puis du grand schisme d’occident. Cette période est marquée par le désordre lié à la nomination de prieurs attachés au pontife avignonnais, mais plus soucieux de percevoir les revenus des prieurés que d’en assurer l’entretien et la direction spirituelle. / The study presented here is the result from an inventory of the priories in the former dioceses of Chalon and Macon, closely dependent on the metropolis of Lyon .This territory corresponds to the main roads of the former realm of Burgundy. Among the 183 priories which have been retained, only 69 depended on Cluny, all the others belonged to the other monastic or canonic families of St Augustine’s order. The majority of these priories was mentioned for the first time by sources from late ninth and beginning of tenth century.The data collected have allowed to draw a map of the implanted sites in the form of a poster attached to the thesis and an index of the sources which are, for the most part, hand-written in latin. Priories built 200 churches or chapels. Some were reserved exclusively to the use of munks, others had a mixed function shared between parishes. The work in the field rested on outside and inside architectural aspects, the carved decorations of the capitals and low-reliefs or tympanums, together with the most significative frescoes of the 99 buildings still existing. The life inside the priory was rythmed by the regular prayers of the canonic hours. It has been possible to compare several liturgic manuscripts, among which the Saint Victor-sur-Rhin breviary with its famous illuminations.The social background of the munks, sisters and canons was mainly from the neighbouring feudal families which also represented the parents who gave the most numerous and important donations . We have also found donations made by middle-class families, wealthy farmers and some villeins. The respect of the rules and official customs was to be associated with a vow of stability which prevented the passage of munks and canons from dependence on one abbey to another. Proof has been made of a operation of these secular clerics with secular priests in the cur animanum of the congregation and in the supervision of local pilgrims, and well identified for the services expected of them by churchgoers. Priories were often surrounded by walls and fortifications or directly set in castles they built or bought. These buildings originally designed as a protection against acquisitive squires turned priors into clerical squires, not very different from laymen on a judicial level. They rarely carried out “emancipations” but they exercised their rights, so it seems, with more flexibility. Munks and canons didn’t proceed to the clearing of land because, for the most part , it had been done in the gallo-roman times .They started country-planning , making lanes, bridges, canals for windmills and fisherie . While promoting the cultivation of vineyards, they maintained a balance with the cultivation of cereal, cattle raising and the exploitation of forests. Detailed documents allow us to note lapses of conduct concerning monastic and canonic rules: mostly the lure of profit making, thefts, lack of restraint, concubinage, not reciting canonic hours ,assaulting fellow members and superiors. These faults were relatively rare compared to those known in other dioceses. The census of the global number of munks and canons amounted to a number varying from 580 to 720 people .A tendency to recruit in lower classes was mainly due to the consequences of the Black Plague and the Hundred years’war in the 14th century. The century was also the time when the Papacy was in Avignon then of the Big Schism in Occident.This was a time of disorder linked to the appointment of priors under the authority of the Pope in Avignon ,more interested in receiving the incomes of priories than insuring the maintenance and their spiritual authority . The canonic priories were composed of a minimum of 4 members whereas the monastic priories were often inhabited by 2 or 3 lay brothers .It happened that only one munk was present with the title and responsibilities of the management of what seemed to be a farm like any other.
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Recherches sur les prieurés réguliers, monastiques et canoniaux des anciens diocèses de Chalon et Mâcon : (Xe - XIVe siècles)

Defontaine, Patrick 25 October 2013 (has links) (PDF)
L'étude présentée est le résultat d'un inventaire des établissements prieuraux présents dans les anciens diocèses de Chalon et Mâcon, étroitement dépendants de la métropole de Lyon. Cet ensemble territorial correspond à l'axe de l'ancien royaume de Bourgogne.Sur les 183 prieurés retenus, il n'y en a que 69 relevant de Cluny, tous les autres appartenant à d'autres familles monastiques ou canoniales de l'ordre de Saint Augustin. La majorité de ces prieurés est l'objet d'une primo-occurrence dans les sources à la jonction des IXe Xe siècles. Les données récoltées ont permis d'établir une carte d'implantation en format poster annexée à la thèse, et un répertoire des sources qui sont en majorité manuscrites en latin. Les prieurés ont construit 200 églises ou chapelles. Les unes étaient réservées à l'usage exclusif des moines, les autres avaient une fonction mixte partagée avec les paroisses. L'étude sur le terrain a porté sur les aspects architecturaux extérieurs et intérieurs, les décors sculptés des chapiteaux et bas-reliefs ou tympans, ainsi que les fresques les plus significatives des 99 édifices restés debout. La vie interne des prieurés est rythmée par la prière régulière des heures canoniales. Il a eté possible de comparer plusieurs manuscrits liturgiques, dont le bréviaire de Saint-Victor-sur-Rhins, aux enluminures célèbres. L'origine sociale des moines, moniales et chanoines est majoritairement issue des familles féodales environnantes qui représentent également les parents à l'origine des plus nombreuses et riches donations. On a également trouvé l'intervention de milieux bourgeois, d'agriculteurs aisés et également quelques serfs. Le respect des règles et coutumes officielles s'associe à un vœu de stabilité qui interdit le passage des moines et chanoines d'une dépendance abbatiale à une autre. On a la preuve d'une coopération de ces clercs réguliers avec les prêtres séculiers dans la cura animarum des fidèles et dans l'encadrement des pèlerinages locaux nombreux et bien identifiés dans les bienfaits attendus par les pratiquants. Les prieurés sont souvent entourés par des enceintes et fortifications ou directement installés dans des châteaux que les moines construisent ou achètent. Ces constructions conçues à l'origine à titre de protection vis-à-vis des féodaux accapareurs transforment les prieurs en seigneurs ecclésiastiques peu différents des laïcs sur le plan juridique. Ils pratiquent rarement des affranchissements, mais exercent leurs droits, semble-t-il, avec plus de souplesse. Les moines et chanoines n'ont pas pratiqué de défrichement, car pour l'essentiel, celui-ci avait été réalisé en période gallo- romaine. Ils sont à l'origine d'aménagements ruraux par la création de chemins, ponts, canaux pour moulins et pêcheries.Tout en favorisant la culture de la vigne, ils ont gardé un équilibre avec la céréaliculture, l'élevage et l'exploitation des forêts. Des documents précis permettent de relever des écarts de conduite par rapport aux règles monastiques et canoniales. Il s'agit essentiellement de l'appât du gain, de vols, d'incontinence et concubinage, de non récitation des heures canoniales, de voies de fait envers des confrères ou des supérieurs. Ces fautes sont relativement rares, comparativement à cellesconnues dans d'autres diocèses. Le recensement de l'effectif global des moines et des chanoines donne un nombre évolutif total variant entre 580 et 720 personnes. Une tendance à la strate inférieure est surtout liée aux conséquences de la peste noire et de la guerre de cent ans au XIVe siècle. Ce siècle est également celui de la papauté d'Avignon puis du grand schisme d'occident. Cette période est marquée par le désordre lié à la nomination de prieurs attachés au pontife avignonnais, mais plus soucieux de percevoir les revenus des prieurés que d'en assurer l'entretien et la direction spirituelle.
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Construction et pratique sociale de l'espace fortifié en Velay (XIIIe - XVe siècles). / Construction and occupation of fortified areas in Velay (diocese of Puy-en-Velay), 13th-15th centuries.

Bizri, Melinda 10 November 2017 (has links)
Les espaces fortifiés médiévaux du Velay (diocèse médiéval du Puy-en-Velay), sont analysés dans leur constitution et leur utilisation. L’enquête concerne un corpus de sites castraux, bourgs fortifiés, maisons fortes, prieurés et églises fortifiées de 145 communes situées en majorité dans le département de la Haute-Loire (France- Auvergne). Les changements que ces espaces fortifiés opèrent sur la période XIIIe-XVe s. sont mis en avant : morphologie spatiale et choix d’occupation des espaces, évolution de l’habitat individuel seigneurial et des enceintes en contexte rural et urbain. L’ensemble est documenté par des textes qui indique la nature des relations entre les différents groupes sociaux, acteurs de la construction du territoire fortifié : relations entre les seigneurs et l’évêque du Puy ou le roi, relations entre les seigneurs et les communautés urbaines ou rurales, émergence de nouveaux groupes sociaux (la petite noblesse). L’accent est mis sur l’articulation de ces espaces et le rapport social et symbolique que chacun des groupes sociaux entretient avec la fortification. Les intentions de dominations et les résistances de chacun des groupes sociaux sont ainsi mis en évidence par l’analyse du parcellaire, des édifices et de la forme de la fortification. / The fortified medieval areas of the Velay (medieval diocese of Puy-en-Velay) are analysed in their constitution and their use. The survey concerns a corpus of castle sites, fortified towns, fortified houses, priories and fortified churches in 145 communes, mostly in the department of Haute-Loire (France-Auvergne). The changes that these fortified spaces operate during the 13th-15th centuries are highlighted: spatial morphology and choices of occupancy of these areas, evolution of individual seigneurial habitats and enclosures in rural and urban context. The nature of the relations between the different social groups building this fortified territory is mainly documented by texts : relationships between the lords and the bishop of Le Puy or the king, relationships between the lords and the urban or rural communities, emergence of new social groups (the small gentry). The purpose focuses on the articulation of these areas and the social and symbolic relationships that each of the social groups has with fortifications. Thus, the intentions of domination and the resistance of each of the medieval social groups are revealed by analysing the plots, the buildings and the form of the fortification
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La place des prieurés conventuels dans la vie économique, politique et religieuse du diocèse de Genève-Annecy aux XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles / The role of the conventual priories in the economic, political and religious life of the Annecy-Geneva's diocese in the 16th, 17th and 18th centuries

Bouziat, Quentin 29 February 2012 (has links)
Au Xe siècle, l’Eglise savoyarde se trouve dans une situation catastrophique. Désorganisé par les différentes invasions, le clergé séculier peine à se redresser. Pour remédier à cette situation, l’épiscopat décide l’installation de moines venus des grandes abbayes. C’est ainsi que l’on note l’apparition de nombreux prieurés sur les terres diocésaines. Ces maisons religieuses s’installent durablement et prennent une place importante dans la vie des paroisses qui les accueillent. Leurs destins diffèrent, mais certains prieurés réguliers sont toujours conventuels à l’époque moderne. Les différents évêques en dénombrent cinq, dont quatre sont fondés autour du Xe siècle. Il s’agit des prieurés de Bellevaux en Bauges, de Peillonnex, de Talloires et de Contamine. Cette étude porte sur le rôle que jouent ces institutions dans le contexte de la Contre-Réforme catholique, instaurée dans le diocèse au cours des dernières décennies du XVIe siècle. Elle s’articule autour de trois grandes parties. La première retrace l’évolution des prieurés depuis leur fondation jusqu’à l’instauration de la Réforme à Genève. La seconde partie relate l’histoire des différents monastères au cours de trois siècles de l’Ancien Régime. La troisième et dernière partie est plus thématique. Elle tente de définir la place qu’occupent les prieurés conventuels dans la vie politique, religieuse et économique du diocèse de Genève-Annecy aux XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles. / In the 10th century, the Church from Savoy is in a very poor state. Weakened by various invasions, the secular clergy struggles to recover. Monks from major abbeys are sent by the episcopate influencing the creation of priories on the diocesan land. These religious houses settle permanently and play an important role in the life of the parishes hosting them. While regular priories had to face different fates, some of them are still conventual in the modern era. The different bishops count five conventual priories, but only four of these were founded around the 10th century. These are the priories of Bellevaux en Bauges, Peillonnex, Talloires and Contamine. This study focuses on the role of these institutions in the context of the Catholic Reformation introduced in the diocese during the last decades of the 16th century. The study is based on three main points. The first point traces back the evolution of the priories from their foundation until the introduction of the Reform movement in Geneva. The second part concentrates on the story of the monasteries over three centuries under the Ancien Regime. The last part is more thematic as it outlines how the conventual priories influence the political, religious and economic life of the Annecy-Geneva's diocese in the 16th, 17th and 18th centuries.

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