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Villes et villages de Haute-Bretagne : les réseaux de peuplement (XIe‐XIIIe siècles) / Towns and Villages in Upper-Brittany : Inhabitations networks (11th-13th centuries)Bachelier, Julien 22 June 2013 (has links)
L’Ouest français, en général, et la Bretagne, en particulier, sont réputés pour la grande dispersion de l’habitat (fermes isolées et hameaux) et la modestie de leurs agglomérations (bourgs, villages, villes). Notre recherche s’est donnée comme objectifs de comprendre l’essor, le développement et la hiérarchisation du peuplement en Haute-Bretagne au cours des XI e–XIII e siècles. Pour se faire, nous avons emprunté des modèles et des théories à la géographie (réseaux, lieux centraux et centralité), adaptés à la période étudiée, et appliqués à l’ensemble du peuplement. En effet, afin de dépasser les clivages entre l’histoire urbaine et l’histoire rurale, peu pertinents pour la Haute-Bretagne, notamment au XIe siècle, le parti a été pris d’envisager l’ensemble du peuplement, depuis la cité jusqu’à l’habitat isolé, puis d’analyser les rapports établis entre tous les lieux de peuplement afin de dresser une hiérarchie des centres et comprendre de quelle manière se sont établis les réseaux de peuplement. Dans la mesure du possible, à partir des sources textuelles et archéologiques et d’analyses morphologiques, nous avons tenté d’établir les dynamiques permettant à certaines localités d’émerger et nous avons essayé de les replacer dans leur contexte socio-économique. Souvent décrits comme la période de la naissance du second réseau urbain, les XIe–XIII e siècles se révèlent bien plus complexes quand on intègrel’ensemble du peuplement. À toutes les échelles (comté, diocèse, seigneuries, paroisses) les centres se fixent et des réseaux s’élaborent progressivement. Le maillage aux alentours de 1300 a rompu par rapport à celui de l’an mil, mais a maintenu par la suite une très forte stabilité / Western France, and particularly Brittany, are reputed for the great dispersion of their inhabitations (such as isolated farms and hamlets) and the modesty of their agglomerations (market towns, villages and towns). Our research aims to improve the understanding of the expansion, development and hierarchical organization of the latter in Upper-Brittany during 11th–13th centuries. For this purpose, we have taken some geographical models and theories (networks, central places and centrality), put them in perspective to the studied period, and applied them to the entire inhabitation system. In order to surpass the division between urban and rural history - not very relevant for Upper-Brittany, especially in the 11th century - we have biased our study so as to comprise settlements of all sorts, cities as well as isolated homes, thus allowing us to analyze the connections between them all. Following this, we have established a hierarchy of the centres, enabling us to understand how all the settlements interacted. As far as possible - relying on textual and archaeological sources as well asmorphological analysis - we have tried to assess the dynamics which allowed certain localities to emerge, before putting them back into their socio-economic context. Often described as the period in which the second citynetwork was born, the 11th-13th centuries proved to be more complex once all settlements were taken into account. On all levels (county, diocese, manors, parishes), centres were embedded and networks gradually emanated. Circa 1300 the networking broke in comparison with that of the year one thousand, however it maintained a very strong stability thereafter
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L’abbaye de Saint-Sulpice et ses dépendances : l’expérience monastique au féminin dans le diocèse de Rennes, XIIe – XVIIIe siècles / The Abbey of Saint-Sulpice and its dependencies : female monastic experience in the diocese of Rennes, 12th – 18th centuriesTrébaol, Céline 10 January 2017 (has links)
Fondée au début du XIIe siècle au coeur d’un mouvement de renouveau monastique, l’abbaye bénédictine de Saint-Sulpice s’est rapidement développée grâce à l’impulsion de son fondateur, l’ermite Raoul de la Futaie, et du soutien du pouvoir ducal, la plaçant ainsi à la tête d’un réseau d’une quarantaine de dépendances au terme du XIIIe siècle. Les principes rigoristes de l’érémitisme se retrouvent dans l’architecture de l’église abbatiale dont les espaces cloisonnés et la décoration sobre et dépouillée favorisent une vie conventuelle basée sur la contemplation. Conçue comme un ordre double lors de sa fondation, l’insubordination des frères profès conduit à leur disparition au cours du XVIe siècle, faisant de Saint-Sulpice une abbaye exclusivement féminine. Guidées par leur vocation, les moniales s’engagent dans une vie de contraintes dont la stricte clôture, décrétée lors du concile de Trente, en marque le point d’orgue. La règle de saint Benoit et les Constitutions du monastère imposent un cadre restrictif à la religieuse qui ne peut trouver le bonheur que dans la soumission et l’oubli de soi. A la tête de sa communauté, l’abbesse exerce ses pouvoirs avec discretio et guide ses filles sur le chemin de la perfection. Les prieurés, éloignés de l’autorité de la maison-mère, acquièrent progressivement une indépendance qui est accentuée par l’instauration d’un noviciat dès la seconde moitié du XVIIe siècle. L’essor des prieurés conventuels face au déclin des dépendances rurales mène à une dichotomie du réseau à la fin du XVIIIe siècle. / Founded in the early years of 12th Century in the heart of a movement of monastic renewal, the Benedictine abbey of Saint-Sulpice quickly grew thanks to its founder, hermit Raoul de la Futaie, and to the support of the Dukes of Brittany, thus getting at the head of about forty priories by the 13th Century. The rigorist principles of hermits can be recognized in the abbey church’s architecture, whose partitioned spaces and bare, sober decoration favour a conventual life based on meditation. Originally meant as a double monastery, the insubordination of the male friars lead to their disappearance in the course of the 16th Century, leaving Saint-Sulpice as a fully women’s abbey. Led by their vocation, the nuns enter into a restricting life whose landmark is their strict enclosure. The Rule of Saint Benedict and the monastery’s Constitutions bind the nuns’ environment so that they can only find comfort in their own submissiveness and self-abnegation. At the helm of her community, the abbess rules with discretio and guides the girls towards perfection. The priories, remote from the mother house, progressively gain some independence, increased still by the reception of their own novices from the 17th Century on. The rise of conventual priories against the decline of rural houses leads to a dichotomy of this network by the end of the 18th Century.
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Un Corps d'Ancien Régime sur la défensive : les chanoines de l'église collégiale de Dole aux XVIIe et XVIIIe siècles / A body of the Ancient Regime on the defensive : the canons of the collegiate church from Dole in the 17th and 18th centuryFournot, Frédéric 15 April 2011 (has links)
La fondation d'une collégiale dans la ville de Dole répond à un voeu très ancien, celui d’Othon IV, duc de Méranie et comte palatin de Bourgogne. La mort l’en empêche, c’est Mahaut d'Artois son épouse, qui fonde en 1304 un chapitre constitué de douze chanoines, avec quatre chapelains perpétuels appelés semi-prébendés, et un doyen qui possède une double prébende. Cette fondation répond à la nécessité pour la comtesse de disposer d’un clergé apte à assurer le service spirituel d’une ville et de sa chapelle. Ce chapitre est associé à une familiarité de 15 à 20 prêtres dont la particularité est qu’ils soient natifs de la cité doloise. Ce chapitre relève du pape et non de l'archevêque de Besançon, le pape se réserve l'investiture canonique des chanoines nommés par le roi. L’assise foncière et urbaine du chapitre est due à Mahaut d'Artois qui fait les premières fondations et donations. La période moderne voit se greffer une assise temporelle importante grâce aux volontés testamentaires des fidèles. Les possessions foncières du chapitre à l’extérieur de l’espace urbain (170 hectares) s'émiettent dans une dizaine ou vingtaine de kilomètres autour de Dole. En Haute-Saône, nous trouvons le prieuré de Marast (130 hectares de terres) où le chapitre seigneur féodal, règne en maître sur nombre de villages. Le chapitre dolois possède les fonctions de curé et prieur de Dole et imprègne la vie religieuse de la ville. Les chanoines assurent eux-mêmes la cura animarum, c’est-à-dire, qu’ils se chargent de toutes les messes de la paroisse en cette qualité, avec les rémunérations qui accompagnent les actes liturgiques, baptêmes, mariages, et enterrements. Les chanoines dolois sont convaincus qu’ils peuvent exercer une influence en profondeur sur les fidèles en mettant l’accent sur la gestuelle et le rite. Le chapitre touche aussi le produit des dîmes, c'est-à-dire entre 7 et 8 % des récoltes en tant que curé primitif. Originaires de la région et de la villeelle-même, les chanoines possèdent un réel bagage intellectuel que la municipalité doloise et les corps constitués de la ville savent utiliser. Les chanoines, sont représentés de façon non négligeable dans les structures de la ville, nous retrouvons leur présence dans l’université fondée en 1423 par le duc Philippe le Bon. Certains chanoines y occupent des postes de professeurs, d’autres siègent à la chambre des comptes ou au parlement de Dole. Le chapitre joue un rôle majeur dans les institutions à caractère charitable et hospitalier, comme l’hôpital général, la maison du Bon-Pasteur où un chanoine siège au conseil d’administration. A l'Hôtel–Dieu, un chanoine est toujours directeur, et ce en accord avec la ville. La prébende doloise fait partie d’un jeu local qui vise à placer un fils de la bourgeoisie ou de la noblesse au sein d’une communauté religieuse en fonction du prestige que sa famille peut en retirer. Les chanoines composent, à de très rares exceptions, un milieu homogène issu des milieux bourgeois dolois. Cette bourgeoisie judiciaire et marchande étroitement unie n’a de cesse de consolider sa position sociale et de « se farder de noblesse » grâce aux charges exercées. Avec ces 1 500 livres annuelles, au milieu du XVIIIe siècle, la prébende doloise paraît donc très attractive. Elle participe au désir d’ascension sociale d’une famille, et assure aux chanoines une modeste aisance. Etre chanoine de Dole c’est aussi faire partie des élites, le lévite dolois par sa fortune, son influence morale et religieuse peut se confondre avec les hommes de loi et plus particulièrement des notaires. Le chapitre de Dole reste à l’époque moderne le reflet de la position stratégique des familles doloises, d’une forme enviable de réussite, et d’un rôle majeur dans la vie religieuse doloise. / The foundation of a college in the town of Dole answers to a very old cvcwish, the one of Othon IV, duke of Mérany, count palatine of Burgundy. His death prevented him from achieving his dream. His wife Mahaut d’Artois founded a chapter in 1304, of twelve canons with four perpetual chaplains, named semi-prebends, and a dean who had a double prebend. This foundation met the need for the countess to have a clergy able to ensure a perpetual unit city a chapel. This chapter is associated with a familiarity of 15 to 20 priests coming from Dole. This chapter is under the pope is and not the archbishop’s responsability. The pope keeps the canonical investiture of the canons appointed by the king. The land and urban base of the chapter is due to Mahaut d’Artois, who did the first foundations and donations. The modern times sees graft an important temporal basis thank to the testamentary wishes of the faithful. The landholdings of the chapter outside the city disappeared in a dozen kilometers around Dole. In Haute Saône, we can find the priory of Marast (130 hectares of land) where the chapter feudal lords reigns supreme on many villages. The Dole chapter has the functions of priest and pervades the religious life of the city. The Dole chapter has the functions of priest and pervades the religious life of the city. The canons provide themselves the cura animarum that’s to say they take care of all masses in the parish, being paid for the liturgical actions, baptisms, weddings and funeral. The canons are convinced they can exert influence over the faithful with an emphasis on gesture and ritual.The chapter also gets the money from the tithes that is to say between 7 and 8 % of the crops as the first priest. Coming from the region an from the town itself, the canons are really intellectually gifted that the town of Dole and the elcted assemblies in the locale communities and the fnd trully there again in the ducke Philippe le Bon. Some canons are working as teachers there and some others sit at the chamber of accounts or at the Dole parliament. The chapterplays a very important part in the institutions dealing with charities and hospital waters, as the general hospital, the Bon Pasteur house in which a canon sits at the board of governors. At the Hotel Dieu, a camon is always at its head and this with the town’s agreement.The prebend from Dole is part of a local interplay which sets a son coning from the Bourgoisies or Nobility’s rignts among a religious community depending or the prestige that his family com be provided with. The canons build, with little exception, a homogenous group descended from the Dole Bourgoisie. This judicial and commercial Bourgoisie closely linked never stop strenghening its social stats and copying the nobility thanks to its duties. With this 1500 “livres per year, in the mid 18th century the Dole prebend therefore one seems very attractive. It contributests a family’s ”wish toreach social achievement and provides confortable living.To be a canon from Dole it with quitea is also to beloowg to the elite the Dole levite thanks to his wealth his morale influence can be compared to new of law and more particularly to sollicitoirsThe Dole etaper remains in modern times, the reflet of the strategic situation of the Dole choper remains in modern times , the reflect of anenivisable vison of achievement and of major part in the Dole religions life.
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Le cadre de vie et de prière des bénédictins de la congrégation de Saint-Vanne et Saint-Hydulphe de la province de Lorraine aux XVIIe et XVIIIe siècles / Life and prayer places in th Benedictine Congregation of St. Vanne and St. Hydulphe the province of Lorraine during the seventeenth and eighteenth centuriesFaltrauer, Claude 16 December 2014 (has links)
Parmi les réformes du concile de Trente, figure celle des ordres religieux incités à s'organiser en congrégations. Y figure aussi l'invitation à traduire dans l'architecture et le décor des églises, l'expression de la foi catholique réaffirmée. Tout cela induit de nouvelles formes architecturales ou de nouveaux aménagements liturgiques qui s'accompagnent dans le cas des ordres religieux, d'une réorganisation spatiale des monastères. Dans ce que le professeur Taveneaux a défini comme une dorsale catholique, la Lorraine tient une place particulière, par son histoire déjà, par son emplacement dans l'échiquier européen d'alors et par la forte présence d'une Eglise soutenue par les souverains. Par l'engagement d'évêques réformateurs, parties prenantes du concile de Trente, puis celui de la famille ducale de Lorraine, le pays voit éclore en quelques années trois fortes congrégations : l'Antique Observance dans l'ordre de Prémontré à partir de Pont-à-Mousson alors que la personnalité de Pierre Fourier cristallise la réforme des chanoines réguliers de Saint-Augustin. Pour les bénédictins, c'est la congrégation de Saint-Vanne et Saint-Hydulphe de dom Didier de La Cour. Par les choix et habitudes architecturaux, par le choix des décors des églises et des bâtiments claustraux, par la vie quotidienne et ses objets, il est possible d'avoir une nouvelle vision de cette congrégation particulièrement active et présente sur le sol lorrain.Les vannistes qui essaiment en France ne sont pas sans influence sur les populations. Il apparaît alors naturel de chercher à comprendre ce que leur architecture et leurs choix décoratifs disent d'eux, de la manière dont ils relaient la doctrine de l'Eglise et dont ils se perçoivent eux-mêmes avec le corollaire de l'image contrôlée ou non qu'ils veulent donner d'eux. Leur architecture, témoin d'un pouvoir, d'un état d'esprit, est aussi sûrement la traduction de leurs principes religieux. Le niveau provincial retenu est celui où se décident les noviciats, où se réfléchissent les suppressions éventuelles ou créations de maisons, où un visiteur fait le lien entre le gouvernement central de la congrégation et chacune de ses maisons. Les religieux vivent aussi cette réalité géographique car ils ne sont que fort peu nombreux à passer d'une province à l'autre et il apparait des spécificités provinciales dans l'organisation même de la congrégation, sans négliger pour autant les choix politiques ou l'évolution de la pensée qui varie différemment selon la province. Car au-delà même des aspects liés à l'organisation de la congrégation, la province de Lorraine offre une singularité supplémentaire, celle d'être alors dans un pays indépendant, même si cela est, à l'époque moderne, tout relatif. Bien que d'une étendue géographique assez limitée, elle offre tous les cas de figures pouvant se rencontrer dans la variété de statuts et d'histoire des maisons vannistes. Toutes ces situations constituent un excellent échantillon de la perception que des religieux cloîtrés des XVIIe et XVIIIe siècles peuvent avoir de leur cadre de vie et de la manière dont ils le concrétisent. Tous ces éléments doivent concourir à définir ou non un éventuel style vanniste, montrant sous un jour particulier le quotidien des religieux qui composent cette grande congrégation d'une cinquantaine de maisons en Lorraine et en France, mère de congrégations réformées en France et en Belgique et sœur d'autres réformes monastiques nées en Lorraine dans les premières années du XVIIe siècle. / Among the reforms of Trent, is that religious orders are encouraged to organize themselves into congregations. It shall include the invitation to translate the architecture and decorations of the church, the expression of the catholic faith, are reaffirmed. All this leads to new architectural forms and new liturgical developments, are also accompanied in the case of religious orders, by a spatial reorganization of monasteries. In what Professor Taveneaux defined as a Catholic back, Lorraine holds a special place in history, by its location in the european stage and then by the strong presence of a church supported by the sovereigns. By reformers bishops stakeholders the Council of Trent and that of the ducal family of Lorraine commitment, the country sees hatch within a few years three congregations : Ancient Observance in the norbertine order from Pont-à-Mousson while the personality of Pierre Fourier crystallizes the reform of the Canons Regular of St. Augustine. For Benedictine, is the congregation of Saint-Vanne and St. Hydulphe by dom Didier de La Cour. The choices and architectural patterns, the choice of sets of churches and abbey buildings themselves, by everyday life and objects, it is possible to have a new vision of this congregation which is particularly active on the Lorraine ground. The vannistes swarming in France are not without influence on populations. It appears natural to try understanding in what their architecture and decorative choices say about them, how they relay the doctrine of the Church and how they perceive themselves with the corollary of the controlled image they want to give of them. Their architecture, witness the power of a state of mind, as surely is the translation of their religious principles. The provincial level used is where decisions novitiates, which reflect any deletions or creations of houses, where a visitor made the connection between the central government of the congregation and every house. Religious also live this geographic reality because they are just very few of them move from one province to another and it seems provincial specificities in the very organization of the congregation without neglecting the political choices or changes' thinking that evolves differently in each province. For even beyond the aspects related to the organization of the congregation, the province of Lorraine offers additional singularity, whereas that of being in an independent country, even if it is in modern times, all relative. Although a fairly limited geographical scope, it offers all the scenarios that can be found in the variety of status and history of vannistes houses. All these situations are an excellent sample of the perception that religious cloistered seventeenth and eighteenth centuries may have their living and how they materialize. All these elements must contribute to define whether a possible style vanniste showing in a particular light daily religious that make up this great congregation of about fifty houses in Lorraine and France, mother of reformed congregations in France and Belgium other monastic reforms sister born in Lorraine in the early seventeenth century.
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