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Jean-Henri Maubert de Gouvest (1721-1767) et l'univers des aventuriers des lettres au siècle des Lumières / Jean-Henri Maubert de Gouvest (1721-1767) and the universe of adventurers of letters in the Enlightenment

Meunier-Messika, Isabelle 14 December 2018 (has links)
Jean-Henri Maubert de Gouvest, né à Rouen en 1721, est un aventurier des Lumières. Son parcours tumultueux l’inscrit pleinement au sein de la famille polymorphe et bigarrée des chevaliers de fortune étudiée par Suzanne Roth et Alexandre Stroev. De fait, rompant les relations avec sa famille, Maubert entre chez les Capucins dès l’âge de 17 ans mais envoie rapidement son froc aux orties et s’échappe du couvent. Fugitif, il ne peut retourner auprès des siens et ses pérégrinations le portent alors à travers toute l’Europe, à l’instar d’Ange Goudar ou de Casanova. Au gré de ses voyages, notre chevalier de fortune joue le rôle de précepteur en Pologne, de journaliste aux Provinces-Unies ou d’espion pour le compte de la France, différents métiers évoqués par André Warzée, Jeroom Vercruysse, Pierre Coquelle ou Edmond Dziembowski, dans leurs travaux respectifs sur la presse et la guerre de Sept Ans. Développant des relations avec certains hommes d'Etat et de nombreux autres aventuriers au fil de ses péripéties, Maubert se constitue un véritable réseau et concentre entre ses mains de la matière pour écrire, se muant peu à peu en aventurier d’écritoire. Ses faibles revenus et son mode de subsistance le placent alors plutôt dans la catégorie des « Rousseau des ruisseaux » analysée par Robert Darnton. Vivant d’expédients, Maubert réussit à s’attirer les bonnes grâces d’un mécène : Cobenzl, ministre plénipotentiaire à Bruxelles avec lequel il entretient une correspondance. Malgré l’aide de son bienfaiteur, Maubert est contraint de produire une littérature alimentaire offrant à ses lecteurs une vision originale du XVIIIe siècle filtrée par son parcours personnel. Polygraphe, il s’intéresse à l’éducation, à la politique, à la religion et réécrit certains ouvrages de Voltaire. Sa carrière de littérateur s’achève néanmoins assez rapidement. Contraint de quitter Bruxelles pour Amsterdam où ses créanciers le rattrapent, il est emprisonné pendant près de dix-huit mois et se retrouve pris dans la tourmente d’un interminable procès. Sorti de prison dans un état de santé déplorable, Maubert meurt en 1767, à Altona, dans des circonstances troublantes. Son œuvre littéraire, aujourd’hui méconnue, est pourtant riche d’une trentaine de titres et gagnerait à être redécouverte par les historiens. Ainsi, en analysant la spécificité de ce réseau satellisé autour de Maubert, il nous intéresse d'établir si et, le cas échéant, de quelle manière, les différents membres de ce groupe sont représentatifs et vecteurs des idées des Lumières. Plus qu’une simple réhabilitation de l’œuvre ou de l’auteur, nous nous attachons dans ce travail à étudier les relations et les écrits d’un homme qui est à la fois témoin et acteur du siècle. / Jean-Henri Maubert de Gouvest, born in Rouen in 1721, was an Enlightenment adventurer. With his tumultuous career, he is fully in line within the polymorphous and variegated family of fortune knights studied by Suzanne Roth and Alexandre Stroev. In fact, by breaking relationships with his family, Maubert entered the Capuchin order at the age of 17 but when he quit the religious habit, he left the convent. Becoming fugitive, he could not return to his family and his peregrinations carried him all over Europe, like Ange Goudar or Casanova. Throughout his travels, our knight of fortune played the role of tutor in Poland, journalist in the United Provinces or spy for France. Different occupations evoked in André Warzée, Jeroom Vercruysse, Pierre Coquelle or Edmond Dziembowski’s works on the press and the Seven Years' War. By developing relationships with some statesmen and many other adventurers over the course of his adventures, Maubert created a real network and thus shaped enough material to write, gradually becoming an “aventurier d’écritoire”. His low income placed him in the category of "Rousseau des ruisseaux", analyzed by Robert Darnton. Living precariously, Maubert succeeded in attracting the good graces of a patron : Cobenzl, a plenipotentiary minister in Brussels with whom he maintained a correspondence. Despite the help of his benefactor, Maubert was forced to produce a literature only to survive, offering his readers an original vision of the eighteenth century filtered through his own experience. Polygraphe, he was interested in education, politics, religion and rewrote some of Voltaire’s works. Nevertheless, his literary career ended fairly quickly. Forced to leave Brussels for Amsterdam where his creditors caught up with him, he was imprisoned for nearly eighteen months during his endless trial. Leaving prison in a deplorable state of health, Maubert died in 1767, in Altona, in troubling circumstances. His literary work, unknown today, is however rich, including about thirty titles and would benefit being rediscovered by the historians. Thus, by analyzing the specificity of Maubert's network, we are interested in establishing whether and in what way, the different members of this group are representative and vectors of Enlightenment ideas. More than a rehabilitation of the literary artwork or of the author, we focus in this work on the study of the relationships and writings of a man who was both a witness and an actor of the Enlightenment.
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Ivresse et ivrognerie dans la France moderne (XVIème - XVIIIème siècles) / Drunkenness in Early Modern France (XVI - XVIIIth century)

Lecoutre, Matthieu 05 June 2010 (has links)
Du XVIe au XVIIIe siècle, une culture de l’enivrement héritée, mémorielle et complaisante est fortement enracinée dans le royaume. La société considère que l’enivrement collectif, festif et sociabilisant est permis. Mais de nombreux opposants réprouvent l’ivresse et l’ivrognerie. Dans la France moderne, monarchie absolue de droit divin en construction, l’opposition fondamentale provient des pouvoirs religieux et civils. L’enivrement apparaît, selon les cas, comme un péché ou comme une faute plus ou moins grave qui pousse à en commettre d’autres. À partir de 1536, la correspondance est faite entre le péché et le crime : s’enivrer devient un crime secondaire et intermédiaire. Mais, face à la force de la culture de l’enivrement, les autorités religieuses et politiques agissent avec pragmatisme et n’essayent pas d’éradiquer réellement l’ivresse et l’ivrognerie du royaume. Malgré le développement parallèle de discours moraux, économiques et médicaux qui font de l’ivresse et de l’ivrognerie des vices, des dépenses ruineuses et des maladies, la sobriété ne triomphe pas à l’époque moderne. Au contraire, du XVIe au XVIIIe siècle, s’enivrer est de plus en plus fréquent. L’enivrement d’Ancien Régime se déroule essentiellement le dimanche, de l’après-midi au cœur de la nuit, et dans les cabarets. Il touche surtout des hommes de vingt à trente-quatre ans, paysans ou artisans. Mais toutes les catégories sociales sont concernées. La pluralité et la concomitance des normes religieuses, juridiques, morales, économiques, médicales et sociales, parfois contradictoires et souvent évolutives, compliquent l’opposition et favorisent le compromis. / From the 16th to the 18th century, a deeply rooted tradition of open and celebrative inebriation existed in the kingdom of France. Society permitted collective, festive and social drinking. But many opposed drunkenness. In France at that time, absolute monarchy from divine right was developing, and the fundamental opposition came from religious and civic powers. Drunkenness was seen either as a sin or as a vice of variable severity that drove others to commit it as well. From 1536, a connection was made between sin and crime: inebriation became an auxiliary crime. However, in face of the culture of inebriation, religious and political authorities acted pragmatically and did not really attempt to eradicate drunkenness from the kingdom. Even with the parallel development of moral, economic and medical arguments that painted drunkenness as a vice that led to bankruptcy and illness, sobriety did not triumph during this epoch. On the contrary, from the 16th to the 18th century, it became more and more common to become inebriated. Drinking in the Ancien Régime took place usually on Sunday, from the afternoon through the night, in the cabarets. The participants were mostly men from twenty to thirty-four years of age, peasants and artisans. But all social classes were involved. The number and the overlap of norms, religious, legal, moral, economic, medical and social, which were sometimes contradictory and often changing, complicated opposition and favored compromise.
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L’université de Besançon et les étudiants comtois à la fin de l'Ancien Régime / The University of Besançon and the students of Franche-Comté at the end of the Ancien Regime

Thiou, Eric 05 March 2018 (has links)
La présente recherche appréhende l’université de Besançon et ses étudiants dans les dernières décennies de l’Ancien Régime. Les 1300 étudiants inscrits entre 1767 et 1789 sont étudiés à travers leur origine sociale et géographique, leur évolution socio-professionnelle et leur cursus. La peregrinatio academica comtoise vers d’autres universités françaises est aussi abordée. L’université, pour sa part, est analysée dans son fonctionnement interne (gestion financière et seigneuriale, étude des locaux). Le corps enseignant est examiné sous le prisme du recrutement et des carrières respectives des professeurs. La faculté de droit, qui accueille le plus d’étudiants, voit nombre de ses diplômés occuper une place notable dans la société comtoise jusqu’au début du XIXe siècle. Les diplômés de celle de médecine font de la Franche-Comté une province riche en praticiens. La faculté de théologie est surtout réduite à octroyer des doctorats à des clercs ambitieux. À travers cette recherche, l’on s’est attaché à brosser le portrait et le destin d’une génération de l’élite comtoise, placée à la lisière de l’Ancien Régime et de l’époque des révolutions. / The present research deals with the university of Besançon (France) and its students in the last decades of the Ancien Régime. 1300 students registered between 1767 and 1789 are studied through their social and geographical origins, their social and occupational evolution and their studies. The peregrinatio academica towards other French universities is alsoapproached. The university, for its part, is analyzed in its internal functioning (financial and seigneurial management, study of buildings). The teaching profession is examined under the prism of the recruitment and the respective careers of the professors. The faculty of law, whichwelcomes most students, sees a lot of its graduates occupying a notable position in the society of Franche-Comté until the beginning of the XIXth century. The graduates of the faculty of medicine make Franche-Comté a province rich in practitioners. The faculty of theology is reduced to grant doctorates to ambitious clerks. Through this research, we have attempted to paint the portrait and the fate of a generation of Franche-Comté’s elite, from the last decades of the Ancien Régime to the age of revolutions.
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Les usages des châteaux forts urbains en Bourgogne à l'époque moderne / The uses of urban fortresses of Burgundy in the modern times

Jeangrand, Estelle 18 November 2011 (has links)
Etudier les forteresses des villes de Bourgogne signifie s’intéresser aux rapports entre, d’une part, ces bâtiments et leurs occupants et, d’autre part, la société dans laquelle ils sont implantés. Une ville avec un château fort n’est pas toujours un bourg castral. Le château peut engendrer, déplacer, ou dynamiser une agglomération. Sa représentation traduit également la place qu’il occupe dans la société. La genèse de la cité a souvent des conséquences tout au long de l’époque moderne sur les relations entre le château et la ville. Dans la guerre, le château peut représenter la ruine ou le salut pour la ville. Dans la paix, c’est le plus souvent un poids mort : il faut l’entretenir, parfois aussi entretenir la garnison. Mais dans la dialectique villes/châteaux, les premières sont largement gagnantes aux XVIIe et XVIIIe s., ce qui se concrétise par des réaffectations, des abandons, ou le plus souvent des destructions des forteresses urbaines. / Study the urban fortresses of Burgundy means interesting in the relationships between, on the one hand, these buildings and their occupants and, on the other hand, the society in which they are located. A city with a castle isn’t necessarily a castral town. The castle can generate, move or expand a city. Its representation also reflects its place in society. The genesis of the city often has consequences throughout the modern times on relationships between the castle and the city. In wartime, the castle can be the ruin or the salvation for the city. In peacetime, it’s most often a dead weight : it must be maintained, sometimes its garnison must be maintained too. But in the dialectic cities/castles, the second ones are heavily defeated, which takes the form of redeployments, abandonments, or more often destructions of urban castles.
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Un Corps d'Ancien Régime sur la défensive : les chanoines de l'église collégiale de Dole aux XVIIe et XVIIIe siècles / A body of the Ancient Regime on the defensive : the canons of the collegiate church from Dole in the 17th and 18th century

Fournot, Frédéric 15 April 2011 (has links)
La fondation d'une collégiale dans la ville de Dole répond à un voeu très ancien, celui d’Othon IV, duc de Méranie et comte palatin de Bourgogne. La mort l’en empêche, c’est Mahaut d'Artois son épouse, qui fonde en 1304 un chapitre constitué de douze chanoines, avec quatre chapelains perpétuels appelés semi-prébendés, et un doyen qui possède une double prébende. Cette fondation répond à la nécessité pour la comtesse de disposer d’un clergé apte à assurer le service spirituel d’une ville et de sa chapelle. Ce chapitre est associé à une familiarité de 15 à 20 prêtres dont la particularité est qu’ils soient natifs de la cité doloise. Ce chapitre relève du pape et non de l'archevêque de Besançon, le pape se réserve l'investiture canonique des chanoines nommés par le roi. L’assise foncière et urbaine du chapitre est due à Mahaut d'Artois qui fait les premières fondations et donations. La période moderne voit se greffer une assise temporelle importante grâce aux volontés testamentaires des fidèles. Les possessions foncières du chapitre à l’extérieur de l’espace urbain (170 hectares) s'émiettent dans une dizaine ou vingtaine de kilomètres autour de Dole. En Haute-Saône, nous trouvons le prieuré de Marast (130 hectares de terres) où le chapitre seigneur féodal, règne en maître sur nombre de villages. Le chapitre dolois possède les fonctions de curé et prieur de Dole et imprègne la vie religieuse de la ville. Les chanoines assurent eux-mêmes la cura animarum, c’est-à-dire, qu’ils se chargent de toutes les messes de la paroisse en cette qualité, avec les rémunérations qui accompagnent les actes liturgiques, baptêmes, mariages, et enterrements. Les chanoines dolois sont convaincus qu’ils peuvent exercer une influence en profondeur sur les fidèles en mettant l’accent sur la gestuelle et le rite. Le chapitre touche aussi le produit des dîmes, c'est-à-dire entre 7 et 8 % des récoltes en tant que curé primitif. Originaires de la région et de la villeelle-même, les chanoines possèdent un réel bagage intellectuel que la municipalité doloise et les corps constitués de la ville savent utiliser. Les chanoines, sont représentés de façon non négligeable dans les structures de la ville, nous retrouvons leur présence dans l’université fondée en 1423 par le duc Philippe le Bon. Certains chanoines y occupent des postes de professeurs, d’autres siègent à la chambre des comptes ou au parlement de Dole. Le chapitre joue un rôle majeur dans les institutions à caractère charitable et hospitalier, comme l’hôpital général, la maison du Bon-Pasteur où un chanoine siège au conseil d’administration. A l'Hôtel–Dieu, un chanoine est toujours directeur, et ce en accord avec la ville. La prébende doloise fait partie d’un jeu local qui vise à placer un fils de la bourgeoisie ou de la noblesse au sein d’une communauté religieuse en fonction du prestige que sa famille peut en retirer. Les chanoines composent, à de très rares exceptions, un milieu homogène issu des milieux bourgeois dolois. Cette bourgeoisie judiciaire et marchande étroitement unie n’a de cesse de consolider sa position sociale et de « se farder de noblesse » grâce aux charges exercées. Avec ces 1 500 livres annuelles, au milieu du XVIIIe siècle, la prébende doloise paraît donc très attractive. Elle participe au désir d’ascension sociale d’une famille, et assure aux chanoines une modeste aisance. Etre chanoine de Dole c’est aussi faire partie des élites, le lévite dolois par sa fortune, son influence morale et religieuse peut se confondre avec les hommes de loi et plus particulièrement des notaires. Le chapitre de Dole reste à l’époque moderne le reflet de la position stratégique des familles doloises, d’une forme enviable de réussite, et d’un rôle majeur dans la vie religieuse doloise. / The foundation of a college in the town of Dole answers to a very old cvcwish, the one of Othon IV, duke of Mérany, count palatine of Burgundy. His death prevented him from achieving his dream. His wife Mahaut d’Artois founded a chapter in 1304, of twelve canons with four perpetual chaplains, named semi-prebends, and a dean who had a double prebend. This foundation met the need for the countess to have a clergy able to ensure a perpetual unit city a chapel. This chapter is associated with a familiarity of 15 to 20 priests coming from Dole. This chapter is under the pope is and not the archbishop’s responsability. The pope keeps the canonical investiture of the canons appointed by the king. The land and urban base of the chapter is due to Mahaut d’Artois, who did the first foundations and donations. The modern times sees graft an important temporal basis thank to the testamentary wishes of the faithful. The landholdings of the chapter outside the city disappeared in a dozen kilometers around Dole. In Haute Saône, we can find the priory of Marast (130 hectares of land) where the chapter feudal lords reigns supreme on many villages. The Dole chapter has the functions of priest and pervades the religious life of the city. The Dole chapter has the functions of priest and pervades the religious life of the city. The canons provide themselves the cura animarum that’s to say they take care of all masses in the parish, being paid for the liturgical actions, baptisms, weddings and funeral. The canons are convinced they can exert influence over the faithful with an emphasis on gesture and ritual.The chapter also gets the money from the tithes that is to say between 7 and 8 % of the crops as the first priest. Coming from the region an from the town itself, the canons are really intellectually gifted that the town of Dole and the elcted assemblies in the locale communities and the fnd trully there again in the ducke Philippe le Bon. Some canons are working as teachers there and some others sit at the chamber of accounts or at the Dole parliament. The chapterplays a very important part in the institutions dealing with charities and hospital waters, as the general hospital, the Bon Pasteur house in which a canon sits at the board of governors. At the Hotel Dieu, a camon is always at its head and this with the town’s agreement.The prebend from Dole is part of a local interplay which sets a son coning from the Bourgoisies or Nobility’s rignts among a religious community depending or the prestige that his family com be provided with. The canons build, with little exception, a homogenous group descended from the Dole Bourgoisie. This judicial and commercial Bourgoisie closely linked never stop strenghening its social stats and copying the nobility thanks to its duties. With this 1500 “livres per year, in the mid 18th century the Dole prebend therefore one seems very attractive. It contributests a family’s ”wish toreach social achievement and provides confortable living.To be a canon from Dole it with quitea is also to beloowg to the elite the Dole levite thanks to his wealth his morale influence can be compared to new of law and more particularly to sollicitoirsThe Dole etaper remains in modern times, the reflet of the strategic situation of the Dole choper remains in modern times , the reflect of anenivisable vison of achievement and of major part in the Dole religions life.

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