• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 11
  • 3
  • 1
  • Tagged with
  • 15
  • 7
  • 6
  • 5
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 2
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Intoxications alcooliques aigües à l'adolescence Expérience sur un an à l'Hôpital d'Enfants de Nancy (31 cas) /

Lahrichi, Sophia Sibertin-Blanc, Daniel. January 2009 (has links) (PDF)
Thèse d'exercice : Médecine : Nancy 1 : 2009. / Titre provenant de l'écran-titre.
2

L'alcool dans l'œuvre de Marguerite Duras / Alcohol in the works of Marguerite Duras

Gerardot, Anne-Lucile 28 September 2018 (has links)
L’alcool est un thème majeur de l’œuvre de Marguerite Duras. L’objectif de notre recherche est d’en déterminer les enjeux sur les plans de l’histoire, de l’imaginaire et de la lecture. La première partie est consacrée à la place et au rôle de l’alcool dans la diégèse. Nous examinons l’alcool durassien dans son rapport à l’espace, au temps et aux personnages. La deuxième partie aborde le caractère ambivalent de l’alcool durassien sous l’angle des pulsions. Nous cherchons en particulier à mettre au jour les rapports complexes que l’alcool entretient avec la destruction et avec la création (y compris littéraire) dans l’imaginaire de l’auteur. La troisième partie est consacrée à la « lecture de l’alcool ». Il s’agit avant tout d’analyser les modalités de la réception de ce thème par le lecteur. Cela nous amène, pour finir, à émettre l’hypothèse que la lecture du texte durassien serait en fait une « lecture ivre », c’est-à-dire une expérience qui provoquerait, chez le lecteur réel, des effets comparables à ceux que l’alcool produit chez les personnages de fiction. / Alcohol is a major theme in the works of Marguerite Duras. The aim of this research is to study Durassian alcohol from the point of view of the story, the imagination and the reading. The first part outlines the place and the role of alcohol in the diegesis. We examine Durassian alcohol in view of its relationship with space, time, and characters. The second part tackles the ambivalent nature of Durassian alcohol from the angle of fantasy. In particular, we seek to highlight the complex relationship that alcohol has with destruction and creation (including literary creation) in the author’s imagination. The third part focuses on the “reading of alcohol”. It mostly aims to analyse the ways in which this theme is received by the reader. Finally, this leads us to make the assumption that the reading of the Durassian text is indeed a “drunk reading”, that is to say, an experience which generates, in the real reader, similar effects to those alcohol causes in the fictional characters.
3

La consommation abusive d’alcool chez les jeunes et la prévention des risques mise en place à l’école : Étude auprès de jeunes de 15 à 22 ans au sein du service d’Urgences d’un hôpital / Alcohol abuse among young people and the prevention of risks set up at school : Study of young people aged 15 to 22 in the Emergency department of an hospital

Remazeilles, Lucile 13 March 2017 (has links)
Les jeunes ont leurs propres identités. Sujets de nombreuses études, on avait auparavant tendance à leur prêter des intentions sans les questionner. L’un des objectifs de l’école, lieu privilégié de leur socialisation, consiste à protéger les jeunes dont elle a la charge. Pour cela, elle met en place de la prévention et notamment celle concernant les ivresses, véritable problème de santé publique. La partie principale de notre corpus se compose du relevé des admissions pour ivresse aiguë des jeunes de 15 à 22 ans dans un service d’Urgences d’un Hôpital d’une ville étudiante française, de questionnaires distribués auprès de ces patients et de leurs parents (111 questionnaires à destination des jeunes, 26 pour les parents), ainsi que d’observations participantes et des entretiens (16 entretiens). Cette étude prend en compte les 2008 admissions effectuées durant quatre périodes d’une année de 2009 à 2014. Ce travail vise à comprendre les jeunes, leurs ivresses, leurs attentes et les enjeux de la relation parent/enfant/école. Ces ivresses inquiètent mais ne sont finalement peut-être que fantasmées et peuvent être maitrisées grâce à l’action conjointe des parents et de l’école, avec tous les intervenants dont elle peut disposer. / The young people have their own identities. Subjects of numerous studies, beforehand they were often said to have intentions without being questioned. One of the goals of school, a privileged place for their socialization, is to protect the youths it is responsible for. So, it sets up prevention and more particularly the one concerning drunkenness, a real problem of public health. The main part of our corpus is made of the list of admissions for the heavy drunkenness of the 15 to 22 year-old youth in an Emergency department of a Hospital in a French town, questionnaires distributed to those patients and their parents (111 for the patients, 26 for the parents) as well as participant observations and (16 interviews). This study takes into account the 2008 admissions made during four periods of a year from 2009 to 2014. This work aims at understanding the young people, their drunkenness, their expectations and the challenges of a relationship parent/child/school. Such intoxications are worrying but they may eventually be only fantasized and they could be mastered thanks to the joint action of parents and school, together with its partner external agencies.
4

Ivresse et ivrognerie dans la France moderne (XVIème - XVIIIème siècles) / Drunkenness in Early Modern France (XVI - XVIIIth century)

Lecoutre, Matthieu 05 June 2010 (has links)
Du XVIe au XVIIIe siècle, une culture de l’enivrement héritée, mémorielle et complaisante est fortement enracinée dans le royaume. La société considère que l’enivrement collectif, festif et sociabilisant est permis. Mais de nombreux opposants réprouvent l’ivresse et l’ivrognerie. Dans la France moderne, monarchie absolue de droit divin en construction, l’opposition fondamentale provient des pouvoirs religieux et civils. L’enivrement apparaît, selon les cas, comme un péché ou comme une faute plus ou moins grave qui pousse à en commettre d’autres. À partir de 1536, la correspondance est faite entre le péché et le crime : s’enivrer devient un crime secondaire et intermédiaire. Mais, face à la force de la culture de l’enivrement, les autorités religieuses et politiques agissent avec pragmatisme et n’essayent pas d’éradiquer réellement l’ivresse et l’ivrognerie du royaume. Malgré le développement parallèle de discours moraux, économiques et médicaux qui font de l’ivresse et de l’ivrognerie des vices, des dépenses ruineuses et des maladies, la sobriété ne triomphe pas à l’époque moderne. Au contraire, du XVIe au XVIIIe siècle, s’enivrer est de plus en plus fréquent. L’enivrement d’Ancien Régime se déroule essentiellement le dimanche, de l’après-midi au cœur de la nuit, et dans les cabarets. Il touche surtout des hommes de vingt à trente-quatre ans, paysans ou artisans. Mais toutes les catégories sociales sont concernées. La pluralité et la concomitance des normes religieuses, juridiques, morales, économiques, médicales et sociales, parfois contradictoires et souvent évolutives, compliquent l’opposition et favorisent le compromis. / From the 16th to the 18th century, a deeply rooted tradition of open and celebrative inebriation existed in the kingdom of France. Society permitted collective, festive and social drinking. But many opposed drunkenness. In France at that time, absolute monarchy from divine right was developing, and the fundamental opposition came from religious and civic powers. Drunkenness was seen either as a sin or as a vice of variable severity that drove others to commit it as well. From 1536, a connection was made between sin and crime: inebriation became an auxiliary crime. However, in face of the culture of inebriation, religious and political authorities acted pragmatically and did not really attempt to eradicate drunkenness from the kingdom. Even with the parallel development of moral, economic and medical arguments that painted drunkenness as a vice that led to bankruptcy and illness, sobriety did not triumph during this epoch. On the contrary, from the 16th to the 18th century, it became more and more common to become inebriated. Drinking in the Ancien Régime took place usually on Sunday, from the afternoon through the night, in the cabarets. The participants were mostly men from twenty to thirty-four years of age, peasants and artisans. But all social classes were involved. The number and the overlap of norms, religious, legal, moral, economic, medical and social, which were sometimes contradictory and often changing, complicated opposition and favored compromise.
5

La Nuitte et la Démanche : de la parole d'ivresse au délire d'ivrogne chez Victor-Lévy Beaulieu

Dubois, Sophie January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
6

Boire avec les morts et la Pachamama : une anthropologie de l'ivresse rituelle et festive dans les Andes boliviennes

Komadina, Celine 12 April 2013 (has links) (PDF)
Engager une anthropologie de l'ivresse rituelle et collective dans un contexte festif - notamment funéraire - andin s'avère un champ de recherche fécond et fascinant tant la chicha, cette boisson épaisse de maïs fermenté, contient tout un monde de significations et l'ivresse, dont elle découle, favorise diverses formes de mise en relation avec le monde animé environnant et avec les morts. En ce sens, elle est performative puisqu'elle permet à ces entités d'exister et de devenir de sérieux interlocuteurs pour les humains. À partir d'une ethnographie dans la région andine de Cochabamba (Bolivie), dans la communauté paysanne quechua de Qhoari et dans le village également quechua d'Arani, l'ébriété et le boire collectif sont analysés comme une action qui consolide le lien social, renforce l'identité de groupe et rapproche du sacré. L'ivresse est alors recherchée, désirée et valorisée. En somme, elle est un moyen de communication qui permet d'établir des relations réciproques aussi bien entre les humains eux-mêmes qu'entre ces derniers et la Pachamama, tous les êtres qui peuplent la nature animée. C'est à travers la boisson alcoolisée que les hommes font entendre leurs requêtes auprès de ces entités surnaturelles car ce n'est qu'en état d'ébriété avancée que l'on peut dialoguer avec elles, qu'elles nous apparaissent en alter ego. En effet, l'humide est symbole de vie, le sec renvoie à la mort. Les offrandes de libations et les sacrifices sanglants favorisent la réhydratation et l'alimentation des entités diaboliques et des morts. Prolongeant cette réflexion, c'est à travers des mécanismes somme toute très proches de ceux à l'œuvre lors des offrandes que le corps du buveur, saccagé par l'alcool, presque moribond, prend tout son sens sacrificiel.
7

La Nuitte et la Démanche : de la parole d'ivresse au délire d'ivrogne chez Victor-Lévy Beaulieu

Dubois, Sophie January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
8

Boire avec les morts et la Pachamama : une anthropologie de l'ivresse rituelle et festive dans les Andes boliviennes / Drinking with the dead and the Pachamama : an anthropology of ritual and festive inebriation in the bolivian Andes

Geffroy Komadina, Céline 12 April 2013 (has links)
Engager une anthropologie de l’ivresse rituelle et collective dans un contexte festif – notamment funéraire - andin s’avère un champ de recherche fécond et fascinant tant la chicha, cette boisson épaisse de maïs fermenté, contient tout un monde de significations et l’ivresse, dont elle découle, favorise diverses formes de mise en relation avec le monde animé environnant et avec les morts. En ce sens, elle est performative puisqu’elle permet à ces entités d’exister et de devenir de sérieux interlocuteurs pour les humains. À partir d’une ethnographie dans la région andine de Cochabamba (Bolivie), dans la communauté paysanne quechua de Qhoari et dans le village également quechua d’Arani, l’ébriété et le boire collectif sont analysés comme une action qui consolide le lien social, renforce l’identité de groupe et rapproche du sacré. L’ivresse est alors recherchée, désirée et valorisée. En somme, elle est un moyen de communication qui permet d’établir des relations réciproques aussi bien entre les humains eux-mêmes qu’entre ces derniers et la Pachamama, tous les êtres qui peuplent la nature animée. C’est à travers la boisson alcoolisée que les hommes font entendre leurs requêtes auprès de ces entités surnaturelles car ce n’est qu’en état d’ébriété avancée que l’on peut dialoguer avec elles, qu’elles nous apparaissent en alter ego. En effet, l’humide est symbole de vie, le sec renvoie à la mort. Les offrandes de libations et les sacrifices sanglants favorisent la réhydratation et l’alimentation des entités diaboliques et des morts. Prolongeant cette réflexion, c’est à travers des mécanismes somme toute très proches de ceux à l’œuvre lors des offrandes que le corps du buveur, saccagé par l’alcool, presque moribond, prend tout son sens sacrificiel. / An Andean anthropological focus on ritual and collective intoxication within a festive setting – in particular in funeral contexts - leads to a prolific and fascinating field of research since chicha, the thick fermented corn beverage, contains a world of meaning. The drunkenness it engenders promotes diverse ways of creating links with not only the surrounding animated world but also with the dead. In that sense, it is performative because it makes exist these entities who become serious interlocutors for the humans. This ethnography conducted in the Andean region of Cochabamba (Bolivia), in the Quechua peasant communities of Qhoari and in the nearby village of Arani, analyzes inebriation as a collective action that consolidates social ties, strengthens group identity and even brings the sacred closer. Intoxication is therefore sought, desired and valued. In short, it is a means of communication that allows the establishment of reciprocal relations among humans and between them and the Pachamama (all beings that inhabit animated nature). It is through liquor that human requests can be heard by supernatural entities who can dialogue with them only when they are inebriated, appearing through an alter ego. In fact, wetness is the symbol of life; dryness refers to death. Offerings of libations and blood sacrifices promote the rehydration and nurturing of evil entities and the dead. It is through mechanisms very similar to those at work in such offerings that the body of the drinker, wrecked by alcohol, almost agonizing, acquires its sacrificial meaning.
9

Ivresse et ivrognerie dans la France moderne (XVIème - XVIIIème siècles)

Lecoutre, Matthieu 05 June 2010 (has links) (PDF)
Du XVIe au XVIIIe siècle, une culture de l'enivrement héritée, mémorielle et complaisante est fortement enracinée dans le royaume. La société considère que l'enivrement collectif, festif et sociabilisant est permis. Mais de nombreux opposants réprouvent l'ivresse et l'ivrognerie. Dans la France moderne, monarchie absolue de droit divin en construction, l'opposition fondamentale provient des pouvoirs religieux et civils. L'enivrement apparaît, selon les cas, comme un péché ou comme une faute plus ou moins grave qui pousse à en commettre d'autres. À partir de 1536, la correspondance est faite entre le péché et le crime : s'enivrer devient un crime secondaire et intermédiaire. Mais, face à la force de la culture de l'enivrement, les autorités religieuses et politiques agissent avec pragmatisme et n'essayent pas d'éradiquer réellement l'ivresse et l'ivrognerie du royaume. Malgré le développement parallèle de discours moraux, économiques et médicaux qui font de l'ivresse et de l'ivrognerie des vices, des dépenses ruineuses et des maladies, la sobriété ne triomphe pas à l'époque moderne. Au contraire, du XVIe au XVIIIe siècle, s'enivrer est de plus en plus fréquent. L'enivrement d'Ancien Régime se déroule essentiellement le dimanche, de l'après-midi au cœur de la nuit, et dans les cabarets. Il touche surtout des hommes de vingt à trente-quatre ans, paysans ou artisans. Mais toutes les catégories sociales sont concernées. La pluralité et la concomitance des normes religieuses, juridiques, morales, économiques, médicales et sociales, parfois contradictoires et souvent évolutives, compliquent l'opposition et favorisent le compromis.
10

Histoire culturelle du vin français en Pologne : moitié XVIIè-début XIXè siècle

Lewandowska, Dorota 05 April 2013 (has links) (PDF)
Le projet concerne la culture et le rôle social du vin français en Pologne entre la moitié de XVIIe et le début du XIXe siècle. Le but de ce travail est la présentation du procès de réception, de différentes formes de perception et de rôle social du vin dans le pays qui n'appartient pas à la zone de la culture de vin.Le XVIIIe siècle, c'est le temps des grands changements sociaux. Les changements des attitudes, de l'aspiration, de la sensibilité et des façons de communication sont les symptômes de la révolution de consommation. Les valeurs contemporaines d'économies chrétiennes se mettent à la négociation. C'est ce phénomène de la consommation qui provoque leur remplacement par l'égalitarisme et l'individualisme. À partir des informations concernant la vente, la consommation et la production de vin on peut montrer les modifications de la société en Pologne.Ce n'est pas que la société qui est soumise aux changements, mais si dynamiquement se varie le vin. Les nouvelles méthodes de production et de conservation apparaissent. Elles facilitent l'exportation non seulement de seule boisson, mais également de mode, de goûts et de culture matérielle liée à cette boisson. Les goûts de dîneurs ont évolué ensemble avec les ustensiles et la façon de laquelle le vin a été servi à la table - française ou polonaise.L'observation de l'influence du vin, si important élément de la culture française, sur la création des goûts des Polonais et leurs imaginations liées avec France et les Français, s'inscrit identiquement dans l'idée de la coopération franco - polonaise et donne les chances d'apparition d'influence mutuelle de deux cultures.

Page generated in 0.0619 seconds