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Die Betriebswirtschaftlichkeit, Begriff und Messung.Neukom, Hans. January 1949 (has links)
Bern, Rer. pol. Diss.
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Les limites de la capacité contributiveMichalek, Boleslaw January 1948 (has links)
Doctorat en sciences sociales, politiques et économiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Zur Stellung der frühen deutschen Finanzwissenschaft unter besonder Berücksichtigung von Jakob, Soden, Lotz und MalchusBieri, Stephan. January 1968 (has links)
Diss.-Zürich. / Includes bibliographical references.
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Initiative individuelle et intervention publique dans l'économie politique et sociale de Léon Walras : un débat fondamental ? / Individual initiative and public intervention in the political and social economy of Léon Walras : a fundamental debate ?Borisova- Karachanova, Margarita 02 December 2014 (has links)
Cette thèse de doctorat porte sur le débat concernant le rôle de l'initiative individuelle et de l'intervention publique dans l'économie politique et sociale de Léon Walras. Dans une première partie on analyse d'abord la philosophie d'Auguste Walras qui a posé les bases d'une véritable démarche scientifique pour l'économie politique et la théorie de la propriété et la communauté au XIXe siècle. Léon Walras réalisera son propre projet d'économie politique et sociale par un nouvel apport vers une vision tripartite, offrant ainsi une vision d'ensemble des trois sciences (économie pure, économie appliquée, économie sociale). Le rôle de l'initiative individuelle et de l'intervention publique dans l'économie politique de Leon Walras sera précisé en deux temps: d’abord la théorie de la répartition et ensuite celle de la production, considérées comme une première et seconde question sociale. La deuxième partie, présentant une continuation logique de notre thèse propose des exemples concrets à la fois pour comprendre le modèle théorique walrasien mais également pour examiner l'actualité de ses propos. L'importance conférée à l'intervention publique sera étudiée dans les travaux de Léon Walras portant sur la propriété intellectuelle, la nationalisation des terres et les chemins de fer. / This doctoral thesis relates to the debate on the role of initiative and public participation in the political and social economy of Leon Walras.In the first part the analysis focuses on the philosophy of August Walras who laid the foundation of a real scientific approach to the political and economic theory of property and community in the 19th century. Leon Walras elaborates his own project of political and social economy through a new contribution to a triple vision offering an entire insight by three sciences (pure, applied and social economics). The role of personal initiative and public participation in the political economy of Leon Walras will be revealed through: the redistribution theory and the production theory known as the first and second social question. The second part, following the logic of the thesis, proposes concrete examples in order to understand Walras' theory model as well as to study the topicality of these terms. The importance conferred on public participation will be explored in the works of Leon Walras on intellectual property, nationalization of land and railroad.
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Ivresse et ivrognerie dans la France moderne (XVIème - XVIIIème siècles) / Drunkenness in Early Modern France (XVI - XVIIIth century)Lecoutre, Matthieu 05 June 2010 (has links)
Du XVIe au XVIIIe siècle, une culture de l’enivrement héritée, mémorielle et complaisante est fortement enracinée dans le royaume. La société considère que l’enivrement collectif, festif et sociabilisant est permis. Mais de nombreux opposants réprouvent l’ivresse et l’ivrognerie. Dans la France moderne, monarchie absolue de droit divin en construction, l’opposition fondamentale provient des pouvoirs religieux et civils. L’enivrement apparaît, selon les cas, comme un péché ou comme une faute plus ou moins grave qui pousse à en commettre d’autres. À partir de 1536, la correspondance est faite entre le péché et le crime : s’enivrer devient un crime secondaire et intermédiaire. Mais, face à la force de la culture de l’enivrement, les autorités religieuses et politiques agissent avec pragmatisme et n’essayent pas d’éradiquer réellement l’ivresse et l’ivrognerie du royaume. Malgré le développement parallèle de discours moraux, économiques et médicaux qui font de l’ivresse et de l’ivrognerie des vices, des dépenses ruineuses et des maladies, la sobriété ne triomphe pas à l’époque moderne. Au contraire, du XVIe au XVIIIe siècle, s’enivrer est de plus en plus fréquent. L’enivrement d’Ancien Régime se déroule essentiellement le dimanche, de l’après-midi au cœur de la nuit, et dans les cabarets. Il touche surtout des hommes de vingt à trente-quatre ans, paysans ou artisans. Mais toutes les catégories sociales sont concernées. La pluralité et la concomitance des normes religieuses, juridiques, morales, économiques, médicales et sociales, parfois contradictoires et souvent évolutives, compliquent l’opposition et favorisent le compromis. / From the 16th to the 18th century, a deeply rooted tradition of open and celebrative inebriation existed in the kingdom of France. Society permitted collective, festive and social drinking. But many opposed drunkenness. In France at that time, absolute monarchy from divine right was developing, and the fundamental opposition came from religious and civic powers. Drunkenness was seen either as a sin or as a vice of variable severity that drove others to commit it as well. From 1536, a connection was made between sin and crime: inebriation became an auxiliary crime. However, in face of the culture of inebriation, religious and political authorities acted pragmatically and did not really attempt to eradicate drunkenness from the kingdom. Even with the parallel development of moral, economic and medical arguments that painted drunkenness as a vice that led to bankruptcy and illness, sobriety did not triumph during this epoch. On the contrary, from the 16th to the 18th century, it became more and more common to become inebriated. Drinking in the Ancien Régime took place usually on Sunday, from the afternoon through the night, in the cabarets. The participants were mostly men from twenty to thirty-four years of age, peasants and artisans. But all social classes were involved. The number and the overlap of norms, religious, legal, moral, economic, medical and social, which were sometimes contradictory and often changing, complicated opposition and favored compromise.
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La stratégie de construction de puissance de la Chine sur la scène internationale: le cas de la pénétration chinoise en Amérique latine / China's Strategy for Growth on the World Stage: the Case of the Chinese Penetration into Latin AmericaWintgens, Sophie 28 November 2014 (has links) (PDF)
Dans le contexte de la globalisation post-Guerre froide, l’affirmation de « nouvelles puissances » et l’avènement concomitant de clubs interétatiques tels que les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud), dans un système international au demeurant dominé par les États-Unis, alimentent les réflexions contemporaines sur la puissance et sa distribution mondiale. Eu égard au rôle international et aux potentialités conférés par sa dimension géopolitique d’État-continent, le seul développement économique de la Chine en fait aujourd’hui un acteur international incontournable (force), alors même que le syncrétisme de son modèle de développement présenté comme un « socialisme aux caractéristiques chinoises », alliant en ce sens des mécanismes de l’économie de marché à des éléments hérités du marxisme-léninisme, lui confère une certaine forme de vulnérabilité constitutive (faiblesse). Si bien que l’énigme de sa puissance (nature) et l’ambivalence de sa réponse à la domination américaine (exercice) enjoignent au double dépassement théorique.La présente thèse, dans son objectif d’analyser la stratégie de construction de puissance de la Chine sur la scène internationale à travers le cas de sa pénétration en Amérique latine, repose dès lors sur un double postulat théorique :la puissance chinoise se définit comme une entreprise de reconnaissance mondiale toujours en redéfinition et au résultat incertain, qui s’opère dans un monde multipolaire en gestation au sein duquel les puissances émergentes rivalisent avec les États-Unis et l’Union européenne (UE) pour la domination. Mesurer l’influence de la Chine sur la scène mondiale, à travers sa capacité à se faire reconnaître comme un acteur international de référence par les autres puissances émergentes et plus encore par les puissances occidentales, procède dès lors également d’une méthodologie ad hoc :seul l’examen corrélé des pratiques des acteurs, étatiques ou autres, (réalité) et du sens qu’ils confèrent à leurs actions (discours) permet de mesurer pleinement l’impact de la représentation que la Chine a du monde, d’elle-même et de sa place dans ce monde, sur les préférences et comportements des autres acteurs du système international.Dans ce cadre, le raisonnement au cœur de la présente thèse s’appuie sur deux parties ou questions centrales. La première interroge la stratégie de construction de puissance de la Chine sur la scène internationale post-Guerre froide. Elle met au jour le poids de trois enjeux fondamentaux en interne dans la construction de son statut d’acteur mondial incontournable, à savoir le poids de l’identité nationale façonnée par l’histoire et l’idéologie, le poids du régime mû par une quête de légitimité structurelle et le poids des intérêts nationaux guidant nécessairement sa diplomatie. La seconde partie questionne ensuite empiriquement la façon dont la Chine construit sa puissance vis-à-vis de l’Amérique latine, région porteuse d’un projet politico-économique sur lequel influent historiquement les stratégies respectives des États-Unis et de l’UE. Elle met au jour le déploiement par la Chine d’une stratégie nécessairement duale de coopération et d’hégémonie visant à consolider sa puissance sans atrophier son ascension (représentation), à même de séduire les États latino-américains (perception), et par conséquent de concurrencer les stratégies américaine et européenne influant sur le sous-continent (reconnaissance). / Centre(s) de recherche :CEFIR / Intitulé du diplôme :Docteur en Sciences politiques et sociales de l'Université de Liège et de l'Université Saint-Louis-Bruxelles / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Intérêt particulier et intérêt général à l'époque des Lumières / Vested interest and general interest as the time of the enlightenmentHanouille, Nicolas 18 December 2012 (has links)
L'État de droit se présente comme un ensemble de règles juridiques qui limite la puissance souveraine et préserve les droits individuels. Avant que la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 n'acquière en France une véritable autorité constitutionnelle, la loi naturelle légitimait le politique. Si Rousseau a donné à la loi un fondement philosophique avec la volonté générale, Montesquieu a accordé à la concurrence une fonction primordiale dans la reconnaissance conjuguée de la liberté et de la propriété des hommes. A cette époque, l'économie donnait à l'intérêt particulier une importance toute nouvelle et la concurrence entre les hommes devenait même un modèle pour l'organisation politique. Alors que Montesquieu et les économistes associent l'autorité du souverain et l'expression libre de l'intérêt particulier, la société doit reposer d'après Rousseau sur le droit politique. Si les philosophies de Montesquieu et de Rousseau se rejoignent sur les questions du respect de la liberté et de la sûreté des personnes, l'une détaille les principaux modes d'organisation politique et prescrit de limiter la puissance de l'exécutif, l'autre pose la toute-puissance du souverain. Cependant, l'histoire des différents apports philosophiques, anthropologiques, économiques et juridiques du XVIIIe siècle permet de nuancer, sans les diminuer, leur influence politique sur les thèmes de l'intérêt particulier et de l'intérêt général, tels qu'ils sont aujourd'hui discutés, en France, par des juristes. / The Rule of Law is a group of legal rules which limit the sovereign power and preserve the individual rights. Before the Declaration of the Rights of Man and of the Citizen of 1789 established a genuine constitutional authority in France, the natural law legitimized politics. At that time, the economy gave to the interest more importance to individual interest and competition between men became a model for the political organization. While Montesquieu and the political economists combine sovereign authority and the self-expression of the vested interest, Rousseau founded society on political right and identified the general will as the guiding principle of political acts. If political philosophers Montesquieu and Rousseau agreed on the respect of freedom and the safety of people, the former detailed the main methods of political organization and called for a restriction of the executive power while the latter confirmed the all- mighty sovereign. The history of the different philosophical, anthropological, economical and legal inputs allows us to moderate the political influences of Montesquieu and Rousseau on the main themes of vested interest, general interest - discussed nowadays in France by legal experts - without reducing them.
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Economie politique des déterminants des dépenses publiques d'éducation. Analyse théoriques et empiriques appliquées au cas françaisBilek, Arnaud 12 December 2006 (has links) (PDF)
L'intervention publique dans le financement de l'éducation repose en grande partie sur l'idée qu'elle permet une redistribution efficace des ressources. Dans une première partie, nous montrons que cette hypothèse reste à démontrer du point de vue empirique. Nous constatons en outre que l'absence de relation stable est liée à la nature de l'offre d'éducation, en particulier à sa répartition. Partant de ce constat, nous proposons d'adopter le corpus théorique de la nouvelle économie politique afin d'inverser le sens du lien de causalité généralement supposé entre l'intervention de l'Etat sur le marché de l'éducation et la répartition des richesses dans l'économie. La seconde partie comporte deux contributions analytiques qui expliquent l'ampleur de cette intervention par les caractéristiques institutionnelles du système scolaire. L'intérêt de ces modèles réside dans une conception particulièrement large de l'offre d'éducation qui confère aux résultats obtenus un caractère original. La relation entre la dispersion des revenus, la mobilité intergénérationnelle, et la demande d'éducation apparaît ainsi dans sa complexité, soulignant le rôle crucial du caractère plus ou moins décentralisé de l'offre d'éducation. Dans une troisième partie, un modèle est alors proposé pour rendre compte de la répartition géographique des dépenses publiques d'éducation. Appliqué au cas de la politique des zones d'éducation prioritaire, il révèle que le mécanisme compensatoire tel qu'il est défini est inopérant. Les hypothèses utilisées et les conclusions obtenues sont ensuite testées dans deux contributions empiriques portant sur le financement des collèges en France. Ces travaux aboutissent à des résultats résolument novateurs. Ils offrent ainsi de nouvelles perspectives de recherche concernant l'un des domaines prépondérants de l'action publique.
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Entre libre-échange et protection : la politique commerciale d'ouverture sélective : une interprétation en termes d'économie politique / Between free trade and protection : mixed trade policy : a political economic interpretationPeytral, Pierre Olivier 18 February 2011 (has links)
La dichotomie « libre-échange versus protection » structure l'analyse de la politique commerciale dans les manuels de la théorie du commerce international. En analysant les impacts respectifs de la politique libre-échangiste et de la politique protectionniste sur l'allocation des ressources et le bien-être, les modèles standard, au premier rang desquels figure le modèle HOS, concluent à l'optimalité parétienne du libre-échange. La prescription normative est alors que tous les pays devraient appliquer une politique de libre-échange qui préserve les prix justes. Cependant, les analyses empiriques mettent en lumière le décalage de cette prescription normative : les politiques commerciales pratiquées incluent, dans des proportions variées entre pays, entre industries et entre biens, des mesures qui visent, de façon simultanée et sélective, la promotion des exportations, la substitution aux importations et la création d'un accès facilité aux importations. Les politiques pratiquées ne sont donc ni strictement libre-échangistes ni strictement protectionnistes, mais mixtes a priori. Ce constat a conduit au développement de modèles analysant les conséquences sur l'équilibre général de l'application de divers instruments de politique commerciale et spécifiant les différentes formes potentielles de cette politique. Notamment, il est expliqué que la politique commerciale mixte constitue une politique alternative. Les interventions sélectives qui la composent sont alors justifiées par la présence d'avantages comparatifs dynamiques qui conditionnent et orientent ces interventions vers des industries singulières dont la production est destinée au marché national et/ou au marché international. Mais l'assise théorique dont bénéficie ainsi la politique commerciale mixte n'aide pas à comprendre le processus politique au travers duquel cette politique est choisie. Elle ne permet pas d'ouvrir la boîte noire et de pénétrer le nucleus des choix politiques. L'économie politique le permet. L'explication théorique de l'objet « politique commerciale mixte » se situe à la croisée des deux approches constitutives du champ de recherche de l'économie politique de la protection : l'approche centrée sur la société et l'approche centrée sur l'Etat. Alors que la première approche explique que la politique est façonnée par les intérêts et les préférences des acteurs privés (ou groupes de) les plus puissants présents sur le territoire national, la seconde considère que la politique est fonction des institutions politiques et des acteurs politiques qui cherchent à satisfaire leur intérêt et leur préférence compte tenu des contraintes nationales et internationales auxquelles ils sont confrontés. La « politique commerciale mixte » peut donc s'analyser dans différentes perspectives selon les déterminants endogènes qu'on entend privilégier. Au final, la mixité de la politique commerciale résulte d'un compromis politique et institutionnel entre acteurs aux préférences hétérogènes, ce qui est partiellement remis en cause par les contraintes politiques et les influences idéationnelles internationales. Le compromis politique et institutionnel résulte de la division du gouvernement induite par un partage inégal du pouvoir de décision (fonction des institutions politiques) entre veto players (acteur composite possédant un droit de véto dans le processus de prise de décision politique), et de l'hétérogénéité de leurs préférences. La politique choisie, et les institutions associées, doivent satisfaire l'intérêt de chaque veto player, ce qui implique des mesures compensatrices et la prise en compte de l'héritage institutionnel. Non sans résistances, la flexibilité avec laquelle la politique commerciale mixte peut être utilisée est alors réduite par les contraintes politiques internationales et/ou, en amont, l'équilibre politique interne à la structure des préférences nationales modifié par celles-ci et par les influences idéationnelles internationales. / The dichotomy “free trade versus protection” structures the analysis of trade policy in the textbooks of international trade. By analyzing the respective impacts of free trade and protection policies on resources allocation and well-being, the standard models, first and foremost the HOS model, conclude on the Pareto optimality of free trade. The normative requirement is then that all countries should pursue a policy of free exchange to get the prices right. However, empirical studies highlight the shift of the normative prescription: trade policies practiced include, in varying proportions between countries, between industries and between goods, measures aimed, simultaneously and selectively, export promotion, import substitution and the creation of easier access to imports. Therefore, policies followed are neither free trade nor strictly protectionist, but mixed a priori. This observation led to the development of models analyzing the effects on the general equilibrium of the application of various instruments of trade policy, and specifying the various potential forms of this policy. In particular, it is explained that the mixed trade policy is a true policy alternative. Selective interventions are then justified by the presence of dynamic comparative advantages that determine and guide interventions towards specific industries oriented towards the domestic market and / or the international one. But the theoretical basis enjoyed by mixed trade policy does not help to understand the political process through which this policy is chosen. It does not open the black box to penetrate the nucleus of political choices. This is what political economy can achieve. The theoretical explanation of the object "mixed trade policy" is at the crossroads of two approaches constituting the political economy of protection: society-centered approach and State-centered approach. While the first approach explains that politics is shaped by the interests and preferences of the most powerful private actors (or groups of) present on the national territory, the latter considers that the policy is a function of political institutions and political actors who seek to satisfy their interest and preference given national and international constraints they face. The mixed trade policy can be analyzed from different perspectives as endogenous determinants that intends to promote. Ultimately, the mixed trade policy is a political and institutional compromise between actors with heterogeneous preferences, which is partially undermined by international political constraints and ideational influences. The institutional and political compromise result from the division of the government induced by an unequal distribution of power of decision (based on political institutions) between veto players (composite actor having a veto in the process of political decision-making), and the heterogeneity of their preferences. The policy chosen, and associated institutions, must satisfy the interest of each veto player, implying compensatory measures and taking into account the institutional legacy. Not without resistance, the flexibility with which mixed trade policy can be used is reduced by the international political constraints and / or, upstream, the internal political balance in the structure of domestic preferences changed by them and by the international ideational influences.
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Essais sur l'influence des ONG environnementales / Essays on green NGO influenceDeymier, Antoine 30 October 2017 (has links)
Cette thèse aborde la question de l’influence des ONG environnementales à l’aide de l’analyse économique. Elle étudie des situations dans lesquelles ces organisations interagissent avec d’autres acteurs dans le but d’influencer leurs décisions. Un premier chapitre s’intéresse à la concurrence entre différentes ONG pour obtenir le soutien de la population et l’attention du régulateur. Un deuxième chapitre étudie la relation entre activité des ONG et leurs couverture médiatique. Il met en avant les mécanismes de concurrence entre médias qui aboutissent sur différentes stratégies de couverture médiatique des activités des ONG suivant les médias. Le dernier chapitre porte sur la mobilisation d’activistes contre un projet public présentant des externalités environnementales. / This thesis focuses on the influence of green NGOs. It studies situations where theses organisations interact with other actors and try to change their behavior. The first chapter looks at the competition between several NGOs in order to get the attention both the population and the governement. The second chapter studies the relation between the NGO activities and their media coverage. It focuses on the media market forces which lead to differences in coverage of NGO activities. The third chapter focuses on activits mobilization against a public project with environmental externalities
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