Spelling suggestions: "subject:"psychologie dess sciences"" "subject:"psychologie deus sciences""
1 |
Science teaching and the development of thinking : development of concrete operational thinking and of language resulting from the SCIS-LMN spatial concepts unit "relativity of position and motion" /Andersson, Björn. January 1976 (has links)
Akademisk avhandling--Samhällsvetenskap--Göteborg, 1976. / Bibliogr. p. 168-177.
|
2 |
Reconnaissance du visage, expression et genre la modularité à l'épreuve du visage /Baudouin, Jean-Yves. Tiberghien, Guy January 2001 (has links)
Thèse de doctorat : Sciences cognitives. Psychologie cognitive : Lyon 2 : 2001. / Bibliogr.
|
3 |
Education et philosophieBerkat, Mohammed. Meirieu, Philippe January 2001 (has links)
Thèse de doctorat : Sciences de l'éducation : Lyon 2 : 2001. / Thèse : 2001LY020034. Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr.
|
4 |
Bachelard: l’objectivité scientifique d’un point de vue constructiviste, entre imagination et raison / Bachelard: scientific objectivity and constructivism, between imagination and rationalityIdlas, Sandrine January 2011 (has links)
In Sweden, Bachelard is mostly known for his works about poetry and literature, but he was also very productive in philosophy of science. Having studied engineering and taught physical sciences, his main writings in this field concern contemporary physics. He developed the idea of “epistemological rupture”, closely linked to the concept of “epistemological obstacle”. Those notions show science in its historicity and are linked to the idea of progress: a progress that strives not only towards a better approximation of reality, but that can also be seen as a progress of the scientific mind itself. Epistemological ruptures take place when epistemological obstacles are defeated. It is when an epistemological obstacle is met that the ways of thinking that prevents progress become visible; it needs to become an obstacle before we can get rid of it, which causes not only a more precise knowledge, but also a restructuration of the scientific mind. This way, epistemological rupture do not only refer to a historical process, but also to a psychological one. In The formation of the scientific mind, Bachelard shows, through examples taken from history of science, the path that each “scientific mind” has to travel. He analyses science with the aim of finding in its history a history of thought and of its progress: therefore, in The formation of the scientific mind, he gives the same status to the errors of the high school students, as to the ways of thinking that have impeded or slowed down sciences’ developments. By stressing the importance of history, Bachelard insists on the psychological aspects of the constitution of science: as much as it is absurd to try to understand an answer without knowing the question it replies to, it is not possible to cut knowledge from its context of emergence, or to understand an object of study without referring to the subject that constituted it. Thus, Bachelard emphasises the importance of the subject in science, but without making of science something subjective, or without falling into psychologism. The reference to the scientists’ subjectivity is not, for Bachelard, a way of questioning the validity of the scientific discourse; on the contrary, it is by describing science in terms of the scientist’s mind and psychology that Bachelard will find the grounds for science’s objectivity and its success. Bachelard shows science as a practice, as a training of the mind, as an effort involving a lot more than mere rationality, thereby destroying the myth of a universal reason as an underlying principle in the construction of science. / En Suède, Bachelard est surtout connu pour ses travaux sur la poésie et la littérature, mais il a été tout aussi productif en épistémologie. Ayant étudié et enseigné les sciences physiques, ses principaux écrits dans ce domaine concernent la physique contemporaine. Il a développé le concept de « rupture épistémologique », lié à celui d’ « obstacle épistémologique ». La notion d’obstacle épistémologique montre la science dans son historicité ; elle est liée à l’idée de progrès : un progrès qui recherche non seulement une meilleure approximation de la réalité, mais qui peut aussi être compris comme un progrès de l’esprit scientifique lui-même. Ce progrès est accompli lors de ruptures épistémologiques, c’est-à-dire lorsqu’un obstacle épistémologique est vaincu : c’est à ce moment que ce qui empêche la pensée d’avancer devient visible, ce qui cause non seulement une connaissance plus précise, mais aussi une restructuration de l’esprit scientifique. De cette manière, le concept de rupture épistémologique ne réfère pas seulement à un processus historique, mais aussi à un processus psychologique. Dans La formation de l’esprit scientifique, Bachelard donne des exemples pris de l’histoire des sciences et montre, à travers elles, le cheminement que chaque « esprit scientifique » doit accomplir. Il analyse la science avec le but de trouver dans son histoire, une histoire de la pensée et de ses progrès : c’est pour cela que Bachelard, dans son livre La formation de l’esprit scientifique, compare le développement des sciences au niveau historique avec l’apprentissage des sciences au niveau individuel, et fait souvent référence aux erreurs des lycéens autant qu’aux bévues historiques. Ainsi, Bachelard met en lumière l’aspect construit des sciences : pour autant qu’il soit absurde d’essayer de comprendre une réponse sans connaître la question à laquelle celle-ci répond, il est impossible de couper la connaissance de son contexte d’émergence, ou d’essayer de comprendre un objet d’étude sans référer au sujet qui l’a constitué. Il ne s’agit pas pour autant faire de la science quelque chose de subjectif ou de tomber dans le psychologisme. La référence à l’esprit du savant ou à l’intersubjectivité scientifique n’est pas, pour Bachelard, un moyen de questionner la validité du discours scientifique ; au contraire, c’est en décrivant la science grâce à la psychologie du savant que Bachelard montre la science comme une pratique, comme un entrainement de l’esprit, comme un effort impliquant bien plus que la simple rationalité, détruisant de ce fait le mythe d’une raison universelle comme principe sous-jacent de la construction des sciences.
|
Page generated in 0.1167 seconds