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L'unification africaine: principaux mouvements de regroupement et incidence de certains éléments politiques internes ainsi que de liens particuliers avec les anciennes métropoles et la Commauté économique européenneMorsi, Moustapha A. Unknown Date (has links)
Doctorat en sciences sociales, politiques et économiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La politique d'assistance des Etats-Unis vis-à-vis des pays d'Europe occidentale de 1945 à 1955Fromont, J. J. January 1964 (has links)
Doctorat en sciences sociales, politiques et économiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le Congo belge et la Weltpolitik, 1894-1914Willequet, Jacques January 1961 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Les relations entre l'Etat indépendant du Congo et l'ItalieRanieri, Liane January 1957 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La perception de la menace dans des relations stratégiques russo-américaines : pourquoi le partenariat stratégique sur le bouclier antimissile européen ne se réalise pas?Oshurkova, Anastasia 18 April 2018 (has links)
Après la fin de la guerre froide, les États-Unis et la Russie définissent leurs relations en termes de partenariat stratégique. Cependant, les Administrations des deux États ne semblent pas pouvoir établir un dialogue sur une base permanente, même si la coopération bilatérale semble réussie dans certains domaines. La recherche présente propose un cas d'étude simple : le projet américain de bouclier antimissile pour l'Europe, qui illustre l'impasse du partenariat de la dernière décennie. En nous basant sur la théorie néo-réaliste de Walt « l'équilibre des menaces », nous formulons notre hypothèse : les divergences des perceptions des menaces influent sur la présence ou l'absence de la coopération entre Moscou et Washington. L'analyse qualitative des documents stratégiques des deux États, ainsi que les déclarations politiques nous amènent à rejeter notre supposition de base. La perception des menaces n'est pas un facteur décisif pour la coopération bilatérale dans le domaine de la défense antimissile.
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Analyse du changement de politique étrangère : le Brésil comme étude de casSarr, Mamadou Lamine 09 January 2020 (has links)
Cette thèse porte sur un phénomène encore marginal dans l’analyse de politique étrangère, à savoir le changement de politique étrangère. En effet, l’analyse des raisons qui conduisent un État à donner une nouvelle orientation à sa politique étrangère, ainsi que les modalités par lesquelles elle s’effectue, demande davantage de contributions et cette thèse en est une. Dans cette thèse, nous considérons que théoriquement, l’analyse du changement de politique étrangère se fait sur deux éléments : le contexte et les perceptions des décideurs. En se basant sur le cas du Brésil, cette thèse pose la question suivante : qu’est-ce qui a conduit le gouvernement du président Lula da Silva à partir de 2003, à réorienter sa politique étrangère, plus précisément celle envers l’Afrique ? Notre hypothèse suggère que la réorientation de la politique africaine du Brésil à partir de 2003 s’explique davantage par les différences de perceptions entre chefs d’État que par des éléments de contexte. Pour le président Cardoso, l’insertion du Brésil dans le système international passait surtout par la consolidation des relations avec les puissances occidentales, alors que pour Lula da Silva, cette insertion nécessitait un renforcement de la coopération Sud-Sud avec l’Afrique comme point d’ancrage. La vérification de cette hypothèse est axée sur une analyse de contenu des discours présidentiels. / This thesis deals with a still marginal phenomenon in foreign policy analysis, namely the foreign policy change. Indeed, the analysis of the reasons that lead a State to give a new orientation to its foreign policy, as well as the modalities by which it is carried out, requires more contributions and this thesis is one of them. In this thesis, we consider that, theoretically, the analysis of foreign policy change is made on two elements: the context and the perceptions of the decision-makers. Based on the case of Brazil, this thesis asks the following question: what led the government of President Lula da Silva from 2003, to reorient its foreign policy, specifically that towards Africa? Our hypothesis suggests that the reorientation of Brazil's African policy from 2003 is explained more by differences in perceptions among heads of state than by elements of context. For president Cardoso, the insertion of Brazil in the international system was mainly through the consolidation of relations with the Western powers, while for Lula da Silva, this insertion required a strengthening of South-South cooperation with Africa as a point of reference. The verification of this hypothesis focuses on a content analysis of presidential speeches. / Esta tese trata de um fenômeno ainda marginal na análise de política externa, a saber, a mudança na política externa. De fato, a análise das razões que levam um Estado a dar uma nova orientação à sua política externa, bem como os formatos possíveis desta mudança, requer mais contribuições e essa tese é uma delas. Nesta tese, consideramos que, teoricamente, a análise da mudança da política externa é feita com base em dois elementos: o contexto e as percepções dos tomadores de decisão. Com base no caso do Brasil, esta tese faz a seguinte pergunta: o que levou o governo do presidente Lula da Silva, a partir de 2003, a reorientar sua política externa especificamente para a África? Nossa hipótese sugere que esta reorientação da política externa do Brasil a partir de 2003 se deve mais por diferenças de percepções entre chefes de estado que por elementos de contexto.. Para Fernando Henrique Cardoso, a inserção do Brasil no sistema internacional se deu principalmente pela consolidação das relações com as potências ocidentais, enquanto que para Lula da Silva, essa inserção exigiu um fortalecimento da cooperação Sul-Sul com a África como ponto de referência. A verificação desta hipótese se concentra em uma análise de conteúdo dos discursos presidenciais.
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The burdens of a world power : the Eisenhower administration and decolonisation in Sub-Saharan Africa, 1955-1960DesRoches, Christian 25 April 2018 (has links)
À la fin des années cinquante, une vague nationaliste déferle sur l'Afrique sub-saharienne. L'administration Eisenhower (1953-1961) se trouve soudainement déchirée entre ses obligations envers l'Europe occidentale et les aspirations autonomistes des États africains nouvellement émancipés. Ces derniers reprochent à Washington ses liens privilégiés avec les métropoles et sa vision manichéenne du monde, dominée par la Guerre froide. Soucieuse de ménager l'appui de ces nouvelles nations, mais réticente à l'idée de sacrifier ses bonnes relations avec l'Europe, l'administration Eisenhower se lance prudemment dans l'aventure africaine, élaborant des programmes d'aide aux nouveaux États et adoptant une politique plus flexible envers le nationalisme et le neutralisme africains. L'année 1960, qui voit l'émancipation de dix-sept pays africains et l'irruption du problème congolais, va amener Washington à remettre en question certains aspects de sa politique eurocentrique et l'inciter à entamer des mesures plus dynamiques afin d'attirer la faveur de ces nouveaux États africains. / At the end of the 1950s, the African continent was overwhelmed by a torrent of nationalism, amidst an already tense international situation. The Eisenhower Administration (1953-1961) soon found itself torn along the lines of the colonial debate, caught between its traditional obligations to America's Western European allies and the political aspirations of the nascent African countries. These new states were often critical of Washington's close ties to the metropolitan powers and were suspicious of U.S. Cold War priorities. In an effort to sway the new African nations, the Eisenhower Administration cautiously elaborated an African policy, establishing a basic diplomatic framework, devising foreign aid programs and adopting a more flexible stance toward African nationalism and neutralism. The year 1960, which witnessed the independence of seventeen African states and the eruption of the Congo quagmire, induced Washington to question its Eurocentric policies and to undertake a more dynamic approach to African nationalism in the hope of preserving Western influence over the continent. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
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Analyse de la divergence des positions des États-Unis et de la Russie en Syrie dans la lutte contre le groupe de l'État islamique en Iraq et au Levant menée sous l'égide du Conseil de sécurité des Nations UniesEl Kyak, Anass 02 February 2024 (has links)
Ce mémoire de maîtrise tente de comprendre comment la divergence des logiques d'action entre les États-Unis et la Russie en Syrie avait entravé la constitution d'une action collective encadrée par le Conseil de sécurité des Nations Unies (CSNU) qui aurait pu favoriser la prévention et la mise à l'échec rapide et définitive de l'organisation de l'État islamique en Iraq et au Levant (EIIL). En effet, les États-Unis et la Russie ont été les puissances internationales les plus influentes en Syrie étant donné leur implication d'envergure qui avait comme objectif déclaré de vaincre l'EIIL. S'accordant sur la nécessité de résoudre politiquement la crise syrienne, ces deux acteurs stratégiques détiennent toutefois des préférences contradictoires, principalement par rapport au sort du régime syrien de Bachar al-Assad et à la dynamique des groupes armés impliqués dans les combats contre ce dernier. Ainsi, malgré leurs projets concurrents en Syrie, ces deux acteurs ont tenté de concevoir une approche commune pour résoudre la guerre civile et aboutir à la conduite d'opérations militaires conjointes contre l'EIIL et les autres groupes terroristes investissant le conflit syrien. Néanmoins, la persistance des dissensions entre ces deux membres permanents du CSNU avait réduit les possibilités d'accord entre eux et s'est projetée sur les travaux de cette instance dont les décisions jouissent d'une portée juridique et politique exceptionnelle. Ainsi, nous analysons, d'une part, les occasions diplomatiques d'interaction entre ces deux acteurs, et d'autre part, leurs motivations stratégiques respectives. Cette analyse nous permet de définir leurs logiques d'action en Syrie, de relever les divergences fondamentales qui les avaient menés à préférer des réponses unilatérales contre l'EIIL plutôt qu'une réponse commune et de caractériser enfin le dilemme de l'action collective engendré par leur problème de coordination en Syrie et ayant restreint la capacité du CSNU à prendre des mesures collectives décisives et définitives contre l'EIIL en Syrie. / This thesis attempts to understand how the divergence in the logics of action between the United States and Russia in Syria had hindered the constitution of a collective action framed by the United Nations Security Council (UNSC) that could have favored the prevention and the rapid and definitive defeat of the Islamic State in Iraq and the Levant (ISIL) organization. Indeed, the United States and Russia have been the most influential international powers in Syria given their extensive involvement under the stated goal of defeating ISIL. While agreeing on the need for a political solution to the Syrian crisis, these two strategic actors hold conflicting preferences, mainly with regard to the fate of the Syrian regime of Bashar al-Assad and the dynamics of the armed groups involved in the fighting against him. Thus, despite their competing plans in Syria, these two actors have attempted to devise a common approach to resolving the civil war and leading to the conduct of joint military operations against ISIL and the other terrorist groups taking advantage in the Syrian conflict. Nevertheless, the persisting dissension between these two permanent members of the UNSC had reduced the possibilities of agreement between them and has been projected on the work of this body whose decisions enjoy an exceptional legal and political scope. Thus, we analyze, on the one hand, the diplomatic occasions of interaction between these two actors, and on the other hand, their respective strategic motivations. This analysis allows us to define their logics of action in Syria, to identify the fundamental differences that have led them to prefer unilateral responses against ISIL rather than a common response, and to characterize the dilemma of collective action created by their coordination problem in Syria and that limited the UNSC's ability to take decisive and definitive collective action against ISIL in Syria.
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La politique étrangère de l'état intermédiaire et son analyse comparative : une réflexion conceptuelle illustrée par le cas de Canada et de l'ArgentineDiotto, Maria Soledad 16 April 2018 (has links)
Le présent mémoire traite de l'État intermédiaire, ou plus connu sous le nom de puissance moyenne, en Relations internationales. Il traite notamment du comportement du dit État en politique étrangère. Selon notre intérêt de recherche, le concept d'État intermédiaire désigne une catégorie de pays caractérisés par un style de politique étrangère, c'est-à-dire des conduites particulières au niveau international. Étant donné la problématique à l'égard de la notion d'État intermédiaire, en particulier la faiblesse, voire l'absence de rigueur scientifique, nous réalisons une réflexion théorico-analytique. Recherchant le raffinement et l'approfondissement de l'étude de l'État intermédiaire, ainsi qu'à le définir de manière impartiale et au-delà de la rhétorique politicienne, nous élaborons une proposition conceptuelle sur le comportement de l'État intermédiaire en politique étrangère. En effet, nous concevons un "comportement type" ou "patron de comportement" de l'État intermédiaire contribuant simultanément tant sur le plan conceptuel qu'analytique. Une illustration empirique complète le mémoire tentant de démontrer l'applicabilité ou portée réelle de cette reconceptualisation théorico-analytique proposée à l'égard du comportement de l'État intermédiaire. Ladite application préliminaire se réalise par l'intermédiaire du cas du Canada et de l'Argentine dans le domaine de la sécurité internationale et de la défense.
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"The Iron Curtain has been rung down 90 miles from our shores" : la menace cubano-soviétique vue par le Congrès à l'aube de la crise des missiles (automne 1962)Conroy, Jean-François 18 April 2018 (has links)
À la suite du débarquement manqué de la baie des Cochons en avril 1961, l'Union soviétique dépêche une aide militaire substantielle afin d'assurer la protection du seul État communiste des Amériques. Des quantités impressionnantes de matériel militaire soviétique seront ainsi graduellement expédiées à Cuba. Cette action russe enflamme les passions au Congrès, plus particulièrement à l'automne 1962, où des rumeurs d'implantation de missiles nucléaires en sol cubain se font de plus en plus persistantes. Dans un contexte marqué par l'imminence d'élections législatives, les débats à Capitol Hill reproduits dans le Congressional Record se développent en trois temps. Les parlementaires livrent leurs interprétations du problème cubano-soviétique, avant de se prêter au jeu des recommandations. Ds se mobilisent enfin par le biais d'une résolution conjointe qui octroie au président démocrate John F. Kennedy, à l'aube de la crise des missiles, le soutien du Congrès avant l'ajournement de celui-ci.
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