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Commerces et espaces marchands dans les villes sud coréennes : les centres commerciaux verticaux / Retail and Shopping Spaces in the South Korean Cities : Vertical shopping centers

Cho, Hun Hee 06 July 2015 (has links)
Pleinement intégrés dans les tissus urbains, les centres commerciaux verticaux se multiplient sous une forme variée sur le territoire sud-coréen depuis les années 1990. Un grand équipement urbain multifonctionnel, affichant une verticalité spatiale, présente une pluralité de comportements des consommateurs. La recherche s’interroge sur les principaux aspects de l’articulation entre le commerce et la ville et démontre comment interagissent la transformation de la société et la mutation des espaces marchands. L’hypothèse centrale est que d’une part ces nouveaux lieux marchands soient formés à partir du contexte local et que d’autre part ces lieux participeraient à une production urbaine spécifique et contribueraient ainsi à une recomposition sociale singulière. Dans ce cadre, la recherche interroge l’histoire locale, les conditions sociales, économiques, juridiques et culturelles comme matrice principale et s’appuie sur l’exemple des centres commerciaux verticaux à Séoul. À travers l’analyse géographique, la recherche aborde trois questions majeures : formes, dynamiques et pratiques urbaines qu’induisent ces lieux marchands. Les interrogations reposent aussi sur la variation des échelles d’analyse : villes, quartiers, lieu marchand et individu. Prenant l’architecture commerciale comme angle d’analyse, la recherche apporte un nouvel éclairage pour comprendre la morphologie actuelle de Séoul et aussi pour évaluer dans quelle mesure un tel équipement urbain peut contribuer à réinventer la ville. La thèse ouvre également une nouvelle perspective sur la circulation des modèles commerciaux dans le contexte de mondialisation actuelle et sur la verticalisation des espaces urbains. / Fully integrated into the urban fabric, vertical shopping centers multiply in varied form on South Korean territory since the 1990s. Large multifunctional urban equipment, displaying spatial verticality, has a plurality of consumer behavior. The research examines the main aspects of the articulation between the retail and the city and demonstrates how interact the transformation of society and the changing of shopping spaces. The central hypothesis is that on the one hand the new shopping places are formed from the local context and on the other hand these places would participate in a specific urban production and thus contribute to a singular social recomposition. In this framework, the research questions the local history and social, economic, legal, cultural situation as main matrix and is based on the example of vertical shopping centers in Seoul. Through geographic analysis the research addresses three major issues: forms, dynamic and urban practices that bring these shopping places. The questions are also based on the change in scales of analysis: cities, neighborhoods, shopping places and individual. Taking commercial architecture as analysis angle, the research provides new insights for understanding the present morphology of Seoul and also to assess how such urban equipment can contribute to reinvent the city. The thesis also opens up a new perspective on the circulation of retail models in the current context of globalization and the verticalization of urban spaces.
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SEOUL : formations et transformations du centre ancien et du quartier Gangnam / SEOUL : formation and transformation of ancient center and Gangnam district

Son, Seong-Tae 12 June 2017 (has links)
Cette étude a pour but de comprendre Séoul, capitale de la Corée du sud, du point de vue de la forme urbaine. Séoul, qui se situe en Asie de l’Est, est connue comme une ville historique majeure à laquelle furent appliqués des traditions de production et de gestion des villes ainsi que des modèles de ville propres à cette aire de civilisation, hérités de l’époque ancienne. Elle a subi des extensions accélérées et connu des transformations radicales à l’époque moderne, notamment depuis les années 1960.La forme urbaine actuelle de Séoul nous montre plusieurs aspects complexifiés et subtiles à lire: ceux bien lisibles d’une part et ceux peu lisibles d’autre part. Pour comprendre la forme urbaine de Séoul, qui comprend tous ces aspects, nous avons naturellement choisi d’étudier d’abord le centre ancien historique de la ville. Nous avons examiné sa forme urbaine ancienne et la transformation de cette dernière à travers des analyses formelles autour des points suivants: les rapports entre la forme urbaine et le modèle de capitale des Zhouli, le fengshui, et les traditions de production et de gestion des villes en Corée; puis les rapports entre la forme urbaine et la topographie particulière « du fengshui » de Séoul et le système du Bang-Dong. Nous avons par ailleurs prêté attention au dispositif structural particulier des B.A.C.C. et du réseau viaire arrière apparu dans le centre ancien et examiné également la forme urbaine au niveau du tissu urbain. Ensuite, pour comprendre la forme urbaine « moderne » de Séoul, nous avons sélectionné le quartier de Gangnam et l’avons analysé plus ou moins selon les même points que ceux cités précédemment. Enfin, nous avons mis en avant des rapports entre la forme urbaine historique du centre ancien et celle moderne du quartier de Gangnam. Dans cette recherche nous nous sommes penché sur l’identification en premier lieu de l’entité de la forme urbaine de Séoul, puis des caractéristiques de cette dernière, en utilisant des méthodes d’analyse « pratique » de la forme urbaine développées en Europe.A travers cette étude, nous avons pu déduire le fait que dans le passé la ville de Séoul a possédé des caractéristiques formelles urbaines particulières telles que la hiérarchie, l’introversion, la dualité, etc, qui peuvent être considérées comme des « spécificités formelles séouliennes », et qu’une grande partie de ces qualités se succédaient dans le centre ancien actuel transformé et le quartier moderne de Gangnam. / This study aims to understand Seoul, capital of south Korea, from the point of view of urban form. Seoul, which is located in East Asia, is known as a major historic city in which traditions of city making and city models, which are unique in this area of civilization and inherited from ancient times, were applied. It has underwent accelerated extension and experienced radical transformations in modern era especially since the 1960s.Actual urban form of Seoul shows us complicated and subtle aspect to read : well readable one on one hand and hardly readable one on the other hand. To understand this type of urban form of Seoul we have naturally taken historic ancient center of this city as object of study. We have examined its ancient urban form and its formal transformation by means of formal analysis around following points: relations between the urban form and Zhouli’s capital model, fengshui, and traditions of city making in Korea; and relations between the urban form and particular topography ‘of fengshui’ of Seoul, and Bang-Dong system. We have paid special attention to particular structural system of B.A.C.C. and of rear road network, appeared in ancient center, and also examined the urban form on the level of urban tissue. Next, to understand ‘modern’ urban form of Seoul we have selected Gangnam district and analysed it more or less according to the same points as those above mentioned. Finally, we have explored relation between urban form of historic ancient center and that of modern Gangnam district. In this research we have considered the question of identification, firstly, of entity of urban form of Seoul, and then of characteristics of the last through using ‘practical’ analyse method of urban form which was developed in Europe.Through this study we could deduce the fact that, in the past, city of Seoul possessed particular urban formal characteristics such as hierarchy, introversion, duality, etc, which could be considered as ‘Seoul’s formal specificity’, and that a large part of this quality is succeeded in transformed present ancient center and modern Gangnam district.
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Le tanji coréen-modèles et métamorphoses d'un défi urbain / The korean tanji-models and transformations of the urban challenge

Kwon, Haeju 10 March 2017 (has links)
Le tanji est d'abord construit sur des terrains vagues, pour ensuite servir au réaménagement du territoire : il remplace brutalement le modèle de l’habitation basse. La structure urbaine existante perd ainsi l’occasion d’évoluer de façon séquentielle et logique et finit par disparaître. Développés comme outils de modernisation du logement, les tanji interrompent ainsi la modernisation de la structure urbaine.Or, cette étude essaye de réévaluer la structure urbaine des quartiers d’habitations basses et de trouver le moyen d’y intégrer le tanji. Cela suppose que ce dernier change, et ce changement a sans doute déjà commencé, car on voit apparaître de petits tanji parmi les habitations basses. L’échelle de ce nouveau modèle correspond mieux à la structure existante. Cependant, le petit tanji fonctionne lui aussi comme un système fermé, et le problème de la circulation entre les deux types de logements existants persiste. Dans un tel contexte, le golmok, une ruelle piétonne encore présente dans le tissu urbain existant, apparait comme un espace intermédiaire susceptible d’améliorer le flux urbain.Ainsi, dans la première partie, la question principale est de comprendre comment le tanji est devenu un modèle de logement représentatif de la classe moyenne. Celle-ci a quitté les quartiers d’habitations basses pour les tanji, y laissant les classes populaires et défavorisées, et causant une ségrégation sociale manifeste. Dans les quartiers d’habitations basses, faute de capital, les petites maisons particulières sont transformées illégalement en petits logements collectifs de rapport ; l’infrastructure n’y est pas non plus réaménagée. En parallèle, le modèle de l’habitation basse n'évolue pas de manière spontanée pour autant.La deuxième partie cherche à déterminer comment faire évoluer la structure urbaine et quelle est la potentialité du tissu urbain d’habitations basses face au tanji. En fait, depuis le début du 20e siècle, la modernisation du tissu urbain a été réalisée selon l’ancien modèle japonais de composition des îlots, et répond difficilement aux enjeux de la ville actuelle : les rues sont très étroites, les parcelles très réduites, et les logements petits et modestes. Il en résulte une dépréciation naturelle de leur valeur immobilière et un frein à leur évolution spontanée. Dans cet environnement, le golmok représente un espace potentiel grâce auquel ces habitations basses possèdent encore certaine valeur.Dans la troisième partie, la question est de définir si le tanji peut s’intégrer dans la structure urbaine. L’insertion de petits tanji au milieu des habitations basses présente de vraies possibilités de communiquer avec le voisinage et d’ouvrir le tanji. En fait, le grand tanji est considéré comme un plan d’urbanisme qui aménage le quartier et même la ville. Mais, le petit tanji peut devenir un simple modèle de logements, libérant les barres et les tours enfermées dans le tanji et les réintégrant dans la ville. Si, par ailleurs, le tanji ouvert bénéficie du flux des golmok, le tissu urbain évoluera vers un modèle d’îlot ouvert à la coréenne.Finalement, plus la ville est dense, plus il faut l’ouvrir. Pour une véritable urbanisation, il est nécessaire de dégager plus d’espaces intermédiaires, ce qui conduit à la problématique centrale de cette thèse : comment restructurer le tanji ? / During urbanization, it is essential to develop a model of collective housing that adapts to the urban structure. Such a model can be applied easily and abundantly, and can thus respond to population growth. However, today in Seoul one can find a refutation: a large apartment complex called tanji. Although it is a heterogeneous element in the urban structure, it is considered successful: thus it is extensively applied in the city. Despite being isolated from its neighborhood, it works by creating its own independent environment. At the perimeter of the tanji, a sudden urban discontinuity appears. Concerning the evolution of the urban structure, it is not a successful model. Moreover, it has standardized the life of the individual, making Seoul’s urban landscape monotonous.At first, the tanji is built in vacant land, and subsequently it is utilized for the redevelopment of all other problematic urban fabrics. The urban structure thus cannot evolve sequentially and logically, and finally disappears. This process is also brutal, ignoring the lives of original inhabitants. Nonetheless, this process is repeated because there is no multiple dwelling-house model that corresponds well to low-rise housing. In other words, there is no motor for the spontaneous evolution of this urban fabric. Thus, the success of the tanji is partially due to the defects of the existing urban structure. Indeed, as a tool for modernizing housing, tanjis finally interrupt the modernization of the urban structure.Thus, this study reassesses the urban structure of low dwellings, and seeks a way to integrate the tanji into this. Change is now beginning: small tanjis appear in the low-rise residential area. But since tanjis belongs to a closed system, there is no real flow between the areas: in the existing urban fabric, pedestrian alleys (golmoks) act as intermediate space.Thus, the first part asks “How can the tanji become a successful model?” As the principal housing of the middle class, it will separate them from the underprivileged, who remain in lower housing. If capital is not invested, small houses are transformed illegally into small collective housing for rent. Nor is the infrastructure being redesigned. Thus, the low dwellings cannot evolve spontaneously.The second part asks, “Is it possible to develop logically the urban structure instead of the simple replacement by tanji?” and “What is the potentiality of the urban fabric of low dwellings as an alternative to the tanji?” In fact, the modernization of the urban fabric continued throughout the 20th century, influenced by the old Japanese model for urban blocks, which cannot meet today's demands, thus causing declining real estate values. Spontaneous evolution is thus difficult, yet the golmok is a potential space that gives these low dwellings a certain value.The third part asks, “Can the tanji fit into the urban structure?” This begins with the appearance of small tanjis, so that those among lower housing can communicate better with their neighborhood. In fact, big tanjis are considered rather as town plans that develop the neighborhood and even the city. Small tanjis can become a simple type of housing, as apartment blocks enclosed in the tanji can be freed and reintegrated into the city. In addition, open tanji can bring the flow of golmoks, thus evolving toward Korean-style open blocks.Eventually, intensive urbanization requires more intermediate space. Finally, the central problem is now how to respatialize the tanji.Keywords : History and formation of city – Seoul Metropolitan – Urban morphology and urban tissue – Urban landscape – Collective housing : Tanji – Gated community – Intermediate space
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L’idiotie du réel : de Clément Rosset à Hong Sangsoo

Albert, Christine 08 1900 (has links)
Nous nous intéresserons dans ce présent mémoire à l’« idiotie » du réel à partir de deux œuvres, celle du philosophe français Clément Rosset et celle du cinéaste sud-coréen, Hong Sangsoo. Nous poserons comme hypothèse que ces deux auteurs, à travers leurs théorie du réel, qu’elle soit philosophique ou esthétique, arrivent à un constat commun : le réel est « idiot », non pas au sens d’imbécile, mais en son sens premier c’est-à-dire « singulier, sans reflets ni doubles » (Rosset). Pour vérifier cette hypothèse nous procéderons d’abord par la construction d’un cadre théorique réalisé à partir de la définition rossetienne du réel. Ce cadre nous permettra de problématiser à la fois l’utilisation du zoom, la construction narrative, ainsi que les jeux temporels propres aux films de Hong, et ce, à partir de trois films du cinéaste : « Le pouvoir de la province de Kangwon » (1998), « Night and Day » (2007) et « Matins calmes à Séoul » (2011). Enfin il sera question, dans la dernière partie de ce mémoire, d’observer quelles peuvent être les conséquences engendrées par le fait de reconnaître ou non l’idiotie de toute réalité, à la fois dans des termes philosophiques mais également au plan de la prise d’images photographiques ou cinématographiques. / In this master’s thesis we will focus on the idiocy of reality in the work of two authors: Clément Rosset, a French philosopher, and Hong Sangsoo, a South-Korean filmmaker. As a hypothesis we will defend that both Rosset and Hong, through their theory of reality, come to the same conclusion: the reality is “idiot”, not in the sense of stupid, but in its primary meaning, in other words “singular, without any glare or double” (Rosset). To verify this assumption we will first build a theoretical framework based on Clément Rosset’s definition of the “réel”. This theoretical framework will allow us to problematize the use of the zoom, the narrative construction and the temporal games present in three Hong Sangsoo movies that we will analyze: “The Power of Kangwon Province” (1998), “Night and Day” (2007), “The Day He Arrived” (2011). Finally, in the last chapter we will discuss and observe what may be the consequences of recognizing or not the idiocy of any reality, in philosophical terms and for cinematographic creation.
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L'impact de l'efficacité du transport urbain sur la productivité de la ville

Lee, Chang-Woon 01 June 1997 (has links) (PDF)
Cette thèse veut faire connaître le lien entre la productivité des villes et 2 éléments : la taille de l'agglomération et ses infrastructures. Pour expliquer la productivité, la taille du marché de l'emploi et l'efficacité des transports urbains sont intégrés. L'objectif de cette recherche est donc double. Il consiste non seulement à contribuer à une meilleure connaissance de ce que représente la taille du marché de l'emploi pour la productivité de la ville et à évaluer les facteurs explicatifs de la taille du marché de l'emploi de la ville, mais aussi à mettre en lumière la contribution de l'efficacité des transports urbains à la productivité de la ville. Les cas de Paris, Londres et de trois villes coréennes dont Séoul sont étudiés. Les 3 éléments que constituent la taille de la ville, la localisation relative des emplois aux résidences des travailleurs et l'efficacité des transports urbains sont considérés comme les facteurs principaux déterminant la taille effective de leur marché de l'emploi. Ces 3 éléments sont vérifiés par des indicateurs appliqués aux cas des villes étudiées. L'approche est résolument quantitative (étude statistique et analyses économétriques), les indicateurs proposés concernent la vitesse moyenne des déplacements urbains - indicateur de l'efficacité des transports urbains, la distance potentielle moyenne domicile-travail - indicateur de la localisation relative des emplois au lieu de résidence des travailleurs. Ces indicateurs servent à tester le rôle de l'efficacité des transports urbains et celui de la taille du marché de l'emploi sur la productivité de la ville, ils sont ensuite comparés sur les 2 agglomérations internationales citées. Les villes de Paris et Séoul sont ensuite comparées entre elles : elles ont une densité démographique comparable, mais les niveaux de qualité de leurs systèmes de transports et de leur productivité s'avèrent très différents.
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L’idiotie du réel : de Clément Rosset à Hong Sangsoo

Albert, Christine 08 1900 (has links)
Nous nous intéresserons dans ce présent mémoire à l’« idiotie » du réel à partir de deux œuvres, celle du philosophe français Clément Rosset et celle du cinéaste sud-coréen, Hong Sangsoo. Nous poserons comme hypothèse que ces deux auteurs, à travers leurs théorie du réel, qu’elle soit philosophique ou esthétique, arrivent à un constat commun : le réel est « idiot », non pas au sens d’imbécile, mais en son sens premier c’est-à-dire « singulier, sans reflets ni doubles » (Rosset). Pour vérifier cette hypothèse nous procéderons d’abord par la construction d’un cadre théorique réalisé à partir de la définition rossetienne du réel. Ce cadre nous permettra de problématiser à la fois l’utilisation du zoom, la construction narrative, ainsi que les jeux temporels propres aux films de Hong, et ce, à partir de trois films du cinéaste : « Le pouvoir de la province de Kangwon » (1998), « Night and Day » (2007) et « Matins calmes à Séoul » (2011). Enfin il sera question, dans la dernière partie de ce mémoire, d’observer quelles peuvent être les conséquences engendrées par le fait de reconnaître ou non l’idiotie de toute réalité, à la fois dans des termes philosophiques mais également au plan de la prise d’images photographiques ou cinématographiques. / In this master’s thesis we will focus on the idiocy of reality in the work of two authors: Clément Rosset, a French philosopher, and Hong Sangsoo, a South-Korean filmmaker. As a hypothesis we will defend that both Rosset and Hong, through their theory of reality, come to the same conclusion: the reality is “idiot”, not in the sense of stupid, but in its primary meaning, in other words “singular, without any glare or double” (Rosset). To verify this assumption we will first build a theoretical framework based on Clément Rosset’s definition of the “réel”. This theoretical framework will allow us to problematize the use of the zoom, the narrative construction and the temporal games present in three Hong Sangsoo movies that we will analyze: “The Power of Kangwon Province” (1998), “Night and Day” (2007), “The Day He Arrived” (2011). Finally, in the last chapter we will discuss and observe what may be the consequences of recognizing or not the idiocy of any reality, in philosophical terms and for cinematographic creation.

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