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Die Stellung der Frau im alten Georgien : georgische Geschlechterverhältnisse insbesondere während der Sasanidenzeit /Vashalomidze, Guliko Sophia. January 2007 (has links)
Dissertation--Halle-Wittenberg--Institut für Orientalistik der Martin-Luther-Universität, 2004. / Bibliogr. p. 302-318.
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L'évolution de la représentation des Perses Sassanides dans les sources écrites de l'Antiquité tardive, d'Ammien Marcellin à Procope de CésaréeWeyland, Raphaël 12 1900 (has links)
Ce mémoire explore le lien entre les relations politiques entretenues par l’empire romain et le royaume sassanide et la représentation que faisaient des Perses les auteurs de l’antiquité tardive. Une tradition littéraire défavorable aux orientaux est en effet perceptible tout au long de l’antiquité : les Perses, notamment, sont ainsi cruels, lâches, efféminés, paresseux et perfides. Ces topoi, dont les racines se retrouvent dès le 5e siècle avant J.-C., évoluent-ils à la fin de l’antiquité, lorsque la puissance des Sassanides rivalise avec celle des empereurs? S’appuyant sur les travaux des dernières années sur l’altérité et sur l’ethnographie antique, ce mémoire s’efforce d’autre part de mieux comprendre les Romains en eux-mêmes en faisant l’analyse de leur rapport à leurs voisins. / This dissertation is interested in the connection between romano-persian political relations and the way written sources presented the Sassanids during late antiquity. Antique tradition had indeed been quite biased towards the Orientals: Persians in particular are usually described as cruels, cowardly, effeminates, lazy, toady and treacherous. Are these topoi, noticeable from the 5th century B.C., evolving during the 4th-6th centuries A.D., when the Sassanid kingdom is causing so many problems on the eastern frontier? Using anthropological tools and up-to-date publications on alterity and ancient ethnography, this essay strives to attain a better understanding of the Romans through the study of the way they presented their neighbors.
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Recherches sur la politique orientale de l’empire romain tardif : Rome, le royaume de Grande Armenie et l’Iran Sassanide dans la seconde moitie du IVeme siecle ap. J.-C. / Researches about the Later Roman Empire policy : Roma, the kingdom of Great Armenia and Sasanid Iran in the second half of the IVth centuryAune, François 19 May 2012 (has links)
A une date mal fixée au cours des années 380, mais généralement placée en 387, l’empereur Théodose, princeps depuis 379, abandonne officiellement les quatre cinquième de l’Arménie aux Perses sassanides. C’est un acte sans précédent : depuis plus de quatre siècles, la plupart de ses prédécesseurs avaient tout mis en œuvre pour maintenir le royaume caucasien dans la sphère d’influence romaine ou, à défaut, neutre face à un Etat iranien menaçant ou jugé comme tel. Dorénavant, la présence de l’Empire y est limitée à une bande de terre étroite située le long de ses frontières orientales et qui s’étend, du nord au sud, de l’extrémité orientale du Pont (Pontus en anglais) à la pointe septentrionale de la Syrie. Le cœur du pays et ses régions les plus importantes d’un point de vue historique et stratégique sont aux mains du grand rival oriental. Comment expliquer ce quasi retrait romain qui établit une situation qui perdurera jusqu’au début du 6ème siècle, une longueur inédite pour un accord entre les deux parties ? L’objectif de notre étude est de répondre à cette interrogation, en distinguant notamment les prémices de cette politique de repli à partir de la seconde moitié du 4ème siècle. / At an uncertain date in the 380's A.D. yet generally set in 387, Emperor Theodose, princeps since 379, officially abandons four fifths of Armenia to the benefit of the Sassanide Persian people. This had never happened before since for over four centuries, most his predecessors had managed to maintain the Caucasian kingdom into the Roman sphere of influence , or even to keep it neutral to a threatening -or considered as such - Iranian state. Now the presence of the Empire is limited to a narrow strip of land located along its oriental borders that stretches over from the eastern end of the Pontus to the northern end of Syria. The heart of the land and its most important regions from a historical and strategical point of view belong to the great opponent from the east. How can we explain this Roman quasi-withdrawal which lead to a situation that will last to the beginning of the 6th century – a period of time for an agreement between the two parties that had never been seen before in history ?Our study aims at answering this question, by identifying more particularly the beginnings of such a withdrawal policy from the second half of the 4th century.
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State and aristocracy in the Sasanian EmpireBagot, David John January 2015 (has links)
This thesis aims to consider the competing visions of Sasanian Iran advanced by Arthur Christensen in ‘L'Iran sous les Sassanides' (1944) and Parvaneh Pourshariati in ‘Decline and Fall of the Sasanian Empire' (2008), discuss the relevant evidence in relation to their arguments, and to suggest our own theory of how the Sasanian Empire operated. Christensen argued for the strength of the Sasanian monarchy and the subservience of the aristocracy to the kings, whilst Pourshariati's thesis stressed Sasanian royal weakness and the relative power of the aristocracy. These theses are incompatible, offering fundamentally different conceptions of the natures of the Sasanian monarchy and aristocracy, and how they interacted with each other. Firstly, this thesis critiques the models established by Christensen and Pourshariati, especially their failure to acknowledge evidence at variance with their thesis, and their lack of discussion concerning how the aristocracy perceived their relationship with the monarchy. We then turn to our own discussion of the evidence relating to the Sasanian monarchy and royal power, and the cultural outlook of the aristocracy, with reference to the above theories, so as to understand how strong the Sasanian monarchy was, the nature of royal power, and how the aristocracy perceived their relationship with the crown. We argue for a conception of Sasanian Iran somewhere between the theories of Christensen and Pourshariati. There is very little evidence that the Sasanian kings ruled through a state enjoying significant institutional power; indeed Sasanian power seems very limited in the periphery of the Empire. However, the inherent respect for the monarchy held by the aristocracy, and the ties of mutual dependence which existed between kings and aristocrats, allowed for Sasanian rule to in general be highly effective.
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Les bas-reliefs rupestres des montagnes du Kurdistan (Irak) : (IIIème millénaire avant J.C..- IIIème siècle après J.C.) / Rock reliefs in the mountains of Kurdistan (Iraq) : (3rd millennium BC– 3rd century AD)Hasan, Bekas 10 May 2019 (has links)
Cette étude concerne les bas-reliefs rupestres des montagnes du Kurdistan irakien, notamment ceux découverts dans les trois provinces de Dohuk, Erbil et Sulaymaniyeh.Les bas-reliefs sont une source importante de données sur les sociétés du Proche-Orient ancien. Ils sont des témoignages d’idéologies, de croyances, de cérémonies et de rituels anciens. Nous avons pris en compte une large période depuis le début de l’âge du Bronze jusqu’au 3e siècle après J.-C. Cela concerne un corpus d’étude de 132 objets dont 43 bas-reliefs du Kurdistan irakien. Les bas-reliefs étaient aussi un moyen de satisfaire le désir d'immortalité des gouvernants ; une partie de ces bas-reliefs représentent une iconographie royale avec des scènes de guerre et de victoire sur les ennemis, de couronnement royal, la mise en place des projets d’irrigation, d’autres concernent des événements religieux.L’analyse des bas-reliefs a été effectuée à partir d’observations réalisées sur le terrain et l’étude de la bibliographie existante afin de mieux connaître les causes de leur création. Nous disposons de mesures précises, de photos et de schémas de ces bas-reliefs, élaborés de façon exhaustive et similaire, ce qui permet ensuite de les comparer avec d'autres vestiges archéologiques bien datés. Nous les avons traité sur les plans technique et artistique, en étudiant l’iconographie, les décors, les personnages, les vêtements, les armes et les symboles divins que l’on retrouve sur ces œuvres. Cette analyse détaillée des éléments figurés et des scènes de ces reliefs est très utile pour connaitre leur contexte historique qui étaient encore mal connues, en raison du grand nombre d’avis contradictoires émis par les précédents chercheurs.Nous retraçons à travers ces bas-reliefs une fresque de l’histoire du Kurdistan irakien qui va de 3000 avant J.-C à 300 ans après J.-C. / This study concerns the rock reliefs of the mountains of the Kurdistan (Iraq), including those discovered in three provinces of Dohuk, Erbil and Sulaymaniyeh.The reliefs are an important source of data concerning the societies of the Ancient Near East. They have been used as evidence of former ideologies, beliefs, ceremonies and rituals. We have taken in account a large period from the early Bronze Age until the 3rd century after AD. This concerns a corpus of study including 132 objects which 43 low-reliefs found in the Iraqi Kurdistan. The reliefs were also a way to satisfy the desire for immortality of previous rulers; some of these reliefs represent a royal iconography with scenes of war and victory on the enemies, royal coronation, the implementation of projects of irrigation; others relate to religious events.The analysis of the low-reliefs was conducted from observations of the field and by the study of the previous bibliography to have a better knowledge of the causes of their creations. We have a description of these reliefs with accurate measurements, photos, and drawing, done with exhaustive and similar methods, which then allows them to compare with other well dated archaeological evidence. Then we have dealed with these reliefs on technical and artistic level, by studying their iconography, the decors, the characters, the clothes, the weapons and the divine symbols found on these works. This detailed analysis of the figuredelements and sceneries of these reliefs is very useful to know their historic context that were still not wellknown, because of the large number of conflicting opinions from the previous researchers.We track through these low-reliefs a fresco of the Iraqi Kurdistan history that goes from 3000 BC to 300 years after AD.
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