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The Failed NC-17 Rating, Screen Violence and Sexuality, and the Viability of the Current MPAA Ratings System

James, David Wesley 23 April 2010 (has links)
While the MPAA’s Classification and Ratings Administration – or CARA – has generally expanded the freedoms of filmmakers since its 1968 inception, the economic failure of the NC-17 rating has led to substantial inconsistencies in the rating system. Because of the CARA model, filmmakers have been able to probe the extremes of violence under the R rating while they have been unable to do the same for screen sexuality. Through the NC-17 rating, CARA has been able to repress non-pornographic sexual portrayals by rating a given film NC-17, thus forcing contractually obligated directors to make edits that are sometimes inconsistent and arbitrary. Though cinema used to have significant thematic and visual freedoms over television, NC-17 level paid cable programming has surpassed what is allowed under CARA’s R-rating, allowing for more complex and mature viewpoints on sexuality than is currently allowed to regularly reach film audiences.
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Associations prospectives entre l’exposition préscolaire à des contenus télévisuels violents et le bien-être psychosocial au début de l’adolescence

Bernard, Jessica 08 1900 (has links)
Objectif. Les avancées technologiques procurent aux jeunes enfants un accès sans précédent aux médias violents. Pourtant, l’étendue et la persistance des risques psychosociaux et scolaires à long terme découlant de l’exposition précoce à des médias violents demeurent méconnues. Cette étude vise donc à examiner les associations prospectives entre l’exposition préscolaire à des contenus télévisuels violents et le bien-être psychosocial des filles et des garçons au début de l’adolescence. Méthode. Les participants (978 filles et 998 garçons) de cette étude longitudinale prospective proviennent de la cohorte de naissances de l'Étude longitudinale du développement des enfants du Québec (ÉLDEQ). Les parents ont rapporté la fréquence d’exposition à des contenus télévisuels violents de leur enfant à l’âge de 3,5 ans et 4,5 ans. Huit ans plus tard, huit indicateurs importants du bien-être psychosocial de l’enfant à 12 ans ont été rapportés par l’enseignant et l’adolescent. Pour mesurer les associations prospectives, les indicateurs de bien-être psychosocial à 12 ans ont d’abord été régressé linéairement sur l’exposition à des contenus télévisuels violents à l’âge de 3,5 et 4,5 ans, et cela, pour chaque enfant, sans distinction du sexe. Puis, des analyses stratifiées par le sexe ont été effectuées. L’ensemble des analyses ont été contrôlées pour des caractéristiques individuelles et familiales confondantes. Résultats. Pour les filles, l’exposition préscolaire à des contenus télévisuels violents est associée à une augmentation de la détresse émotionnelle (β = 0,11; intervalle de confiance [IC] 95 %, 0,13 à 0,49) et à une diminution de l’engagement en classe (β = -0,10; IC 95 %, -1,55 à -0,40), du rendement scolaire (β = -0,16; IC 95 %, -3,48 à -1,72) et de la motivation intrinsèque scolaire (β = -0,07; IC 95 %, -1,09 à -0,07) à l’âge de 12 ans. Pour les garçons, l’exposition préscolaire à des contenus télévisuels violents est associée à une augmentation de la détresse émotionnelle (β = 0,10; IC 95 %, 0,13 à 0,53), de l’inattention (β = 0,08; IC 95 %, 0,06 à 0,45), des comportements découlant du trouble des conduites (β = 0,06; IC 95 %, 0,00 à 0,21) et de retrait social (β = 0,08; IC 95 %, 0,05 à 0,40), ainsi qu’à une diminution de l’engagement en classe (β = -0,07; IC 95 %, -1,57 à -0,12), du rendement scolaire (β = -0,07; IC 95 %, -2,15 à -0,23) et de la motivation intrinsèque scolaire (β = -0,07; IC 95 %, -1,13 à -0,03) à l’âge de 12 ans. Conclusion. Nos résultats révèlent des risques psychosociaux et scolaires distincts et persistants au début de l'adolescence associés à l'exposition préscolaire à des contenus télévisuels violents pour les filles et les garçons. La diminution de l'exposition à des contenus violents à l'écran durant les années préscolaires représente une intervention parentale bénéfique et un objectif d'éducation aux médias. / Objective. The extent to which the long-term risks of early exposure to media violence remains unclear. This study aims to examine whether preschool exposure to violent media predicts a range of associated psycho-social and academic risks for boys and for girls in early adolescence. Methods. Participants (978 girls and 998 boys) are from the Quebec Longitudinal Study of Child Development birth cohort. Self- and teacher-reported measures of child psycho-social and academic adjustment indicators at age 12 years were linearly regressed on parent-reported child exposure to televised violence at age 3.5 and 4.5 years, while adjusting for potential confounders. Results. For girls, violent televiewing during preschool years was associated with increases in emotional distress (β = 0.11; 95% confidence interval [CI], 0.13 to 0.49) and decreases in classroom engagement (β = -0.10; 95% CI, -1.55 to -0.40), academic achievement (β = -0.16; 95% CI, -3.48 to -1.72), and intrinsic academic motivation (β = -0.07; 95% CI, -1.09 to -0.07) at age 12 years. For boys, violent televiewing during preschool years was associated with increases in emotional distress (β = 0.10; 95% CI, 0.13 to 0.53), inattention (β = 0.08; 95% CI, 0.06 to 0.45), and conduct disordered (β = 0.06; 95% CI, 0.00 to 0.21) and socially withdrawn behavior (β = 0.08; 95% CI, 0.05 to 0.40), as well as decreases in classroom engagement (β = -0.07; 95% CI, -1.57 to -0.12), academic achievement (β = -0.07; 95% CI, -2.15 to -0.23) and intrinsic academic motivation (β = -0.07; 95% CI, -1.13 to -0.03) at age 12 years. Conclusion. Our findings in early adolescence reveal distinct, persistent risks associated with preschool exposure to violent televiewing for boys and girls. Diminishing preschool screen violence exposure represents a useful parent intervention and media literacy target.
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Associations prospectives entre l’exposition préscolaire à des contenus télévisuels violents et les comportements extériorisés à l’adolescence

Gilker Beauchamp, Amélie 05 1900 (has links)
Mémoire de maîtrise présenté en vue de l’obtention de la maîtrise en psychoéducation, option recherche et stage (M. Sc.) / Objectif. L’omniprésence de la technologie dans le quotidien des jeunes leur offre un accès illimité au contenu médiatique violent, dès leur plus jeune âge. Les risques psychosociaux à l’adolescence associés à cette exposition précoce sont encore peu étudiés à l’heure actuelle. L’objectif de cette étude est d’examiner les associations prospectives entre l’exposition aux contenus télévisuels violents à l’âge préscolaire et les comportements extériorisés au milieu de l’adolescence. Méthode. Les participants (963 filles et 982 garçons) de cette étude longitudinale prospective proviennent de la cohorte de naissances de l’Étude longitudinale du développement des enfants du Québec (ELDEQ). Les parents ont rapporté la fréquence d’exposition de leur enfant à des contenus télévisuels violents à 3,5 ans et 4,5 ans. 4 indicateurs de comportements extériorisés ont été autorapportés par ces mêmes jeunes 11 ans plus tard. Afin d’établir ces associations prospectives, les indicateurs de comportements extériorisés à 15 ans ont été régressés linéairement sur l’exposition au contenu télévisuel violent à 3,5 et 4,5 ans, en fonction du sexe. La totalité des analyses a été contrôlée pour plusieurs caractéristiques individuelles et familiales confondantes. Résultats. Pour les filles, aucune association n’a été trouvée entre l’exposition préscolaire au contenu télévisuel violent et les comportements extériorisés à 15 ans. Pour les garçons, l’exposition préscolaire à des contenus télévisuels violents est associée à une augmentation de l’agressivité proactive (β = 0,065 ; IC 95 %, 0,001 à 0,089), de l’agressivité physique (β = 0,074 ; IC 95 %, 0,040 à 0,487) et des comportements antisociaux (β = 0,076 ; IC 95 %, 0,013 à 0,140) à l’âge de 15 ans. Conclusion. Les résultats révèlent des risques psychosociaux au niveau des comportements extériorisés au milieu de l’adolescence en lien avec l’exposition aux contenus télévisuels violents en bas âge pour les garçons uniquement. Un contrôle visant à limiter cette exposition durant la petite enfance représente une action à privilégier et des interventions de prévention devraient être effectuées en ce sens afin de favoriser un développement optimal de l’enfant. / Objective. The ubiquity of technology in the daily lives of youth provides unlimited access to violent media content from a very young age. Yet a better understanding of the long-term psycho-social risks associated with early exposure remains the object of debate. The objective of this study is to examine the prospective associations between exposure to violent television content in preschool years and externalizing behavior in mid-adolescence. Method. Participants for this are 963 girls and 982 boys from the Quebec Longitudinal Study of Child Development (QLSCD) birth cohort. Parents reported the frequency of their child's exposure to violent television content at ages 3.5 and 4.5 years. Four indicators of externalizing behavior were self-reported by participants 11 years later at age 15 years. These were linearly regressed on exposure to violent television content at ages 3.5 and 4.5 years, stratified by sex. All analyses were controlled for pre-existing and concurrent potential individual and family confounding variables. Results. For girls, no association was found between preschool violent televiewing and later externalizing behavior. For boys, preschool violent televiewing was associated with increases in proactive aggression (β = 0.065; 95% CI, 0.001 to 0.089), physical aggression (β = 0.074; 95% CI, 0.040 to 0.487), and antisocial behavior (β = 0.076; 95% CI, 0.013 to 0.140) in adolescence. Conclusion. This study of typically developing children demonstrates long-term prospective associations between characteristic domestic exposure to violent content in early childhood according to parental perceptions for sons and not daughters. Preventive interventions aimed at limiting this exposure during early childhood should be carried out accordingly to promote optimal child development.

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