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Enthüllung der Helvetia : die Sprache der Staatspersonifikation im 19. Jahrhundert /

Stercken, Angela. January 1900 (has links)
Diss. / Bibliogr. p. 256-286.
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Die Spur des Zeichens : das Zeichen und seine Funktion in der Philosophie des Mittelalters und der frühen Neuzeit /

Meier-Oeser, Stephan. January 1997 (has links)
Habili.-schr.--Fachbereich für Philosophie--Berlin--Freie Universität, 1995. / Bibliogr. p. 427-468. Index.
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Hermès trahi : impostures philosphiques et néo-spiritualisme d'après l'oeuvre de René Guénon /

Geay, Patrick. January 1996 (has links)
Texte remanié de: Th. doct.--Dijon, 1995. / Bibliogr. p. 247-256.
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Symbolwelt und Technik : zu einer neuzeitlichen Technikkonzeption in Frankreich /

Standecker, Christa. January 1900 (has links)
Diss.--Erlangen--Universität, 1990.
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L'artification du luxe dans le discours médiatique : convergence des signes et du sens (2010-2014) / Luxury artification studied in medias : an approach to verify convergence between signs and signification (2010-2014)

Anderlini-Pillet, Véronique 15 November 2016 (has links)
Ce travail aborde le luxe dans les sciences de l’information et de la communication au prisme des médias dans une approche interdisciplinaire en s’appuyant sur l’esthétique, la sémiotique, l’étude des identités visuelles, la muséographie et l’analyse de discours. En utilisant le concept d’artification mis en avant par Nathalie Heinich et Roberta Shapiro en 2012 pour décrire le passage à l’art de pratiques non artistiques, nous analysons les dispositifs sociotechniques d’information et de communication mis en œuvre pour tenter de transformer l’objet de luxe en objet d’art, et sa consommation en expérience esthétique. Nous interrogeons les discours médiatiques opérant sur cette mise en exposition pour vérifier l’opérativité du dispositif et analyser le mode de fonctionnement de la convergence des signes et du sens qui produit l’artification. Ce travail est une des réponses possibles à la question « Un dispositif peut-il transformer un sac à main en œuvre d’art ? » / This work deals with luxury in the information and communication sciences to the media prism in an interdisciplinary approach based on aesthetics, semiotics, the study of visual identities, museography and analysis of speech. Using the concept of artification put forward by Nathalie Heinich and Roberta Shapiro in 2012 to describe the transition to the art of non-artistic practices, we analyze the sociotechnical information and communication devices used to try to transform the object of luxury as an object of art, and its consummation in aesthetic experience. We ask the media discourses operating on this exposure to verify the operativity of the device and analyze the mode of operation of the convergence of signs and the meaning that produces the artification. This work is one of the possible answers to the question "Can a device transform a handbag into a work of art? "
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The mason and his mark : masons' marks in the medieval Irish archbishoprics of Cashel and Dublin /

Hourihane, Colum, January 2000 (has links)
Texte extrait de: Master's degree--archaeology--University College Cork, 1977. / Bibliogr. p. 75-83.
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Vers le développement d'un capteur photoplétysmographique sans contact / Toward the evelopment of a remote photopletysmographic sensor

Bobbia, Serge 15 February 2019 (has links)
La mesure cardiaque sans contact réalisée grâce aux méthodes de photopléthysmographie sans contact est un domaine de recherche très actif. Depuis l'introduction en 2010 d'une nouvelle méthode de mesure avec des capteurs optiques d'entrée de gamme (webcam PC), les travaux de recherche se sont multipliés. Ainsi, on observe une plus grande diversité des méthodes proposées afin de réaliser la mesure. Egalement, la précision de la mesure a grandement progressé et les scénarios et possibilités d'usage de la technologie sont aujourd'hui très nombreux. Au cœur de ce processus de mesure, la segmentation dans l'image de la ou les zones d'intérêt est une étape clé. Nous proposons dans cette thèse une méthode innovante afin de réaliser la mesure photoplethysmographique sans contact en identifiant implicitement les zones de peau vivante dans la vidéo. Nous avons montré que notre approche permet d'améliorer la qualité de la mesure en favorisant les zones dans l'image où le signal est de plus grande qualité. Afin de rendre possible l'intégration de notre solution, nous avons proposé une nouvelle méthode de segmentation en superpixels, nommée IBIS, qui permet de réduire la complexité algorithmique de cette étape du traitement. Ce faisant, nous avons démontré la faisabilité de l'intégration de notre solution au sein d'une plateforme embarquée. Les différentes méthodes ont été évaluées au travers de plusieurs expérimentations afin de valider leurs performances. Notre méthode de segmentation en superpixels est comparée aux méthodes de l'état de l'art tandis que nous avons implémenté plusieurs des méthodes de mesure du signal photoplethysmographique afin de discuter de l'impact de notre approche sur la qualité de la mesure photoplethysmographique. Que ce soit pour la segmentation en superpixels ou pour l'estimation du rythme cardiaque sans contact, nous avons montré une importante plus-value de nos méthodes comparées à celles disponibles dans la littérature. Les différents travaux présentés dans ce document ont été valorisés au travers de publications en conférences et revue. / Heart-rate estimation performed with remote photoplethysmography is a very active research field. Since pioneer works in 2010, which demonstrated the feasibility of the measure with low-grade consumers’ camera (webcam), the number of scientific publications have increased significantly in the domain. Hence, we observe a multiplication of the methods in order to retrieve the photoplethysmographic signal which has led to an increased precision and quality of the heart-rate estimation. Region of interest segmentation is a key step of the processing pipeline in order to maximize the quality of the measured signal. We propose a new method to perform remote photoplethysmographic measurement using an implicit living skin identification method. Hence, we have shown that our approach lead to an improvement in both quality of the signal measured and precision of the heart-rate estimation by favoring more contributive area. As we are working with hardware integration constraint, we propose a new superpixels segmentation method which requires significantly less computation power than state of the art methods by reducing the algorithmic complexity of this step. Moreover, we have demonstrated the integration and real time capabilities by implementing our solution to an embedded device. All of our proposed method have been evaluated through different experimentations. Our new segmentation method, called IBIS, have been compared to state of the art methods to quantify the quality of the produced segmentation. To quantify the impact of our approach on the quality of the photoplethysmographic measure, we have implemented and compared state of the art methods with our proposed method. For both the superpixels segmentation and remote heart-rate estimation, our methods have shown great results and advantages compared to state of the art ones. Our works have been reviewed by the scientific community through several conference presentations and journal publications.
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Les paires nom/verbe sémantiquement et formellement reliées en langue des signes québécoise

Voghel, Amélie January 2006 (has links) (PDF)
Ce mémoire porte sur le problème de la catégorisation des éléments linguistiques en langue des signes québécoise (LSQ), plus particulièrement sur la distinction entre le nom et le verbe par l'entremise de paires composées d'un nom et d'un verbe dont le sens et la forme sont reliés. Deux types de paires nom/verbe ont été décrits: le premier est constitué d'éléments dont la forme se distingue par deux caractéristiques temporelles du mouvement: la longueur et la répétition. La distinction présente dans le mouvement de ces paires tend toutefois à se perdre en contexte. Cela a pour effet que les noms et les verbes sont susceptibles d'avoir la même forme phonologique en contexte sans que la valeur nominale ou verbale de l'élément ne soit affectée. Le deuxième type de paire est constitué d'éléments dont la forme est identique en forme de citation et en contexte. L'objectif de ce mémoire vise à décrire le mouvement des noms et des verbes de la LSQ, ainsi que le contexte dans lequel ils se trouvent afin de proposer une série de caractéristiques permettant de distinguer le nom du verbe en contexte en LSQ dans le but de déterminer quel type de propriétés (formelles ou morphosyntaxiques) permettent de déterminer la catégorie (nom ou verbe) à laquelle appartient un signe. Afin d'y parvenir, deux types de corpus de la LSQ ont été analysés. Le premier est constitué de donées élicitées (en forme de citation et dans le contexte d'une phrase) auprès de sept participants sourds. Le deuxième est constitué de productions naturelles d'un signeur sourd tirées d'une entrevue publique menée en LSQ. Les résultats obtenus montrent que le mouvement des noms et des verbes en contexte est sujet à la variation et que la longueur et la répétition du mouvement ne constituent pas des critères qui permettent de les distinguer. De plus, nous avons montré que le mouvement des noms et des verbes en forme de citation est lui aussi sujet à la variation. Nous avons proposé, à l'instar de Bouchard et al. (2005), qu'il est possible d'utiliser les caractéristiques morphosyntaxiques suivantes afin de déterminer si l'élément dessert une fonction nominale ou verbale: l'utilisation de l'espace, la présence du marqueur possessif POSS., de la négation el de l'aspect. De plus, nous avons identifié les caractéristiques distinctives suivantes: l'emploi d'une préposition ou d'un adjectif numéral devant un signe permet d'identifier celui-ci en tant que nom, et la juxtaposition du nom et du verbe d'une paire nom/verbe dont les éléments sont sémantiquement et formellement reliés permet d'identifier la catégorie de chacun. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Langue des signes québécoise, Catégorisation, Nom, Verbe.
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Étude descriptive de la variation prosodique des marques d'association spatiale dans la structure du récit en langue des signes québécoise

Pilarski, Alexandra January 2009 (has links) (PDF)
Ce mémoire porte sur la variation prosodique dans l'utilisation de quatre stratégies d'association spatiale dans la structure du récit en langue des signes québécoise (LSQ). Une des fonctions de la prosodie qui nous intéresse dans cette étude est le rôle qu'elle joue au niveau discursif dans la structure de l'information. Les langues des signes utilisent des stratégies manuelles et non manuelles pour mettre en relation les éléments entre eux et pour construire la trame spatiale du discours. En LSQ, quatre marques ont été observées dans la structure de l'information: le signe POINTÉ, la localisation d'un élément sur un locus, l'inclinaison latérale du tronc et la direction du regard (Parisot, 2003 ; Parisot et Rinfret, 2007). Par ailleurs, la construction du récit, telle que présentée par Labov et Waletzky (1967), participe également à la structure de l'information en découpant le récit en différentes étapes narratives. Hormis les différentes fonctions que remplit la prosodie au sein de la langue, elle joue également un rôle facilitateur dans l'acquisition du langage en ce qu'elle constitue le trait perceptuel le plus saillant dans un discours adressé à un adulte versus à un enfant (Ferguson, 1964). Des modifications prosodiques, facilitant la segmentation des phrases en syntagmes et la reconnaissance des frontières phrastiques pour les jeunes enfants, ont été relevées tant dans les langues orales que dans les langues signées. L'objectif de ce mémoire est de décrire la distribution de quatre marques dans l'environnement du nom et la variation accentuelle de ces marques dans deux types de discours et à discuter de l'emploi des formes accentuées en fonction de la structure du récit afin de présenter un portrait des caractéristiques d'un discours adressé à des enfants en LSQ. Notre description se base sur deux discours naturels produits en LSQ pour notre analyse descriptive. Ce sont deux récits d'expérience personnelle produits par un signeur sourd adulte dont la LSQ est la langue de référence. Le premier de ces discours est adressé à des adultes sourds et entendants (discours I) et le second à des enfants sourds âgés de 5 ans (discours II). Les résultats obtenus montrent que le signeur s'adressant à des adultes n'utilise dans la majorité des cas qu'une seule stratégie pour situer un nom dans l'espace alors que dans le discours adressé aux enfants, il emploie dans la majorité des cas deux stratégies. Par ailleurs, nous avons observé que la forme accentuée des marques manuelles est plus diversifiée dans le discours adressé aux enfants que dans celui adressé aux adultes. De plus, en regard de la combinaison des marques accentuées, le signeur emploie dans la majorité des cas deux formes accentuées manuelles combinées lorsqu'il s'adresse aux enfants alors que dans le discours I il utilise une seule forme accentuée. Enfin, dans les deux discours, nous avons relevé une variation accentuelle dans deux principales étapes narratives: celle de la présentation des protagonistes, du lieu de l'histoire et celle de la trame événementielle. Le signe POINTÉ accentué sur les noms situés est utilisé dans les deux discours à l'étape de la présentation. La localisation accentuée est quant à elle utilisée dans le discours Il principalement dans la présentation du récit et dans la trame événementielle dans le discours adressé aux adultes. L'étape de la trame événementielle est la seule étape narrative où le signeur combine deux stratégies accentuées et ce dans les deux discours. Les résultats de notre étude apportent une première description des distinctions observées dans un discours adressé à un adulte versus à un enfant en LSQ jusque-là jamais encore analysées. Ces différences montrent une distribution des marques (accentuées ou non) plus variée dans le discours adressé aux enfants en combinant la plupart du temps plusieurs stratégies d'association spatiale. Il nous a semblé pertinent de travailler sur ce sujet pour enrichir la littérature en LSQ concernant les modifications relevées dans un message adressé à des enfants versus à des adultes afin de constituer du matériel pédagogique pour les formateurs dans les écoles bilingues LSQ/français. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Langue des signes québécoise, Prosodie, Accentuation, Récit, Nom, Espace.
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L'association spatiale du nom en langue des signes québécoise : formes, fonctions et sens

Rinfret, Julie January 2009 (has links) (PDF)
Les langues des signes se distinguent fondamentalement des langues orales sur le plan de la modalité d'expression. La modalité visuo-spatiale a un impact sur la structure des langues des signes, tant au niveau phonologique, morphosyntaxique, sémantique que discursif. Le fait de pouvoir situer des éléments lexicaux dans l'espace discursif pour l'établissement des relations est une caractéristique qui distingue les langues des signes des langues orales. Les signeurs de la LSQ disposent de diverses stratégies d'association spatiale, manuelles et non manuelles, leur permettant de mettre en place les conditions requises à la mise en relation des éléments. Les stratégies manuelles sont i) l'utilisation du signe POINTÉ dirigé vers un locus et ii) l'articulation d'un nom directement sur un locus. Les stratégies non manuelles consistent à produire, simultanément à l'articulation du nom i) une inclinaison du tronc vers un locus et ii) un regard dirigé vers un locus. Ces quatre stratégies d'association spatiale peuvent être utilisées seules ou de façon combinée pour situer un nom (concret, abstrait ou propre). L'objectif principal de cette thèse est de décrire les contextes syntaxiques et pragmatiques à l'intérieur desquels ces quatre stratégies agissent, en plus d'expliquer la variation d'utilisation de ces dernières. La revue de la littérature présentée aux chapitres 1, 2 et 3 nous permet dans un premier temps d'exposer l'importance de l'utilisation de l'espace dans la construction du message et dans la transmission de l'information, tant dans une langue des signes que dans un contexte pragmatique impliquant une langue orale. Elle nous amène à faire la critique de théories basées essentiellement sur la linéarité d'expression des éléments. En adoptant plutôt un modèle basé sur les interfaces physiologiques et perceptuelles (Bouchard, 2002 ; en préparation), nous mettons davantage en lumière les différents moyens offerts par la langue, sans considérer comme universelle la production linéaire temporelle des éléments. Le chapitre 3 présente les problèmes théoriques engendrés par la notion de définitude. Ceci nous amènera à mettre en perspective les limites de la notion de définitude avec une théorie plus unifiée, celle de l'accessibilité cognitive des éléments discursifs (Ariel, 1990). Cette théorie, qui place le contexte pragmatique au centre de son analyse, propose que le choix de certaines marques grammaticales permet le repérage d'entités déjà introduites ou non dans le discours. Dans cette thèse, nous montrons que la présence ou l'absence d'association spatiale de noms et de loci en LSQ a un impact sur les plans sémantique, morphosyntaxique et discursif. Nous proposons qu'elle a un impact au niveau morphosyntaxique lors de la construction de la matrice spatiale permettant de situer les éléments qui entretiennent une relation de dépendance. Au niveau sémantique, elle permet l'encodage de la spécificité et de la généricité des référents dénotés par les noms, alors qu'au niveau pragmatique, elle participe à l'encodage du degré d'accessibilité cognitive des éléments pour l'interlocuteur. L'analyse que nous proposons aux chapitres 4, 5 et 6 présente une description de la distribution, de la fonction et de l'interprétation sémantique des quatre stratégies d'association spatiale. Les stratégies non manuelles, lorsqu'elles sont distribuées distinctement, permettent l'anticipation de la distribution des rôles thématiques (l'inclinaison du tronc permet d'identifier l'agent, et le regard permet d'identifier le patient). Lorsqu'elles sont utilisées comme seules stratégies avec un nom, elles permettent de marquer le caractère hautement accessible du référent. Les stratégies manuelles permettent quant à elles l'encodage de la spécificité d'un référent, en plus d'indiquer à l'interlocuteur que les entités ne sont pas accessibles cognitivement. Ces mêmes stratégies permettent également de marquer la saillance d'un élément (référent, proposition, événement) par rapport à un autre, lorsqu'elles sont produites dans leur variante accentuée. L'analyse fonctionnelle et sémantique des quatre stratégies montre finalement une systématicité dans le recours à l'association spatiale, non seulement à l'intérieur du SN, mais à tous les niveaux de structure de la langue. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Langue des signes québécoise, Nom, Espace, Spécificité, Généricité, Définitude.

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