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Néolibéralisme et inégalités

Beaudry-Soucy, Etienne 10 February 2024 (has links)
Les inégalités de revenu augmentent partout en Occident depuis les années 1980. Le 1% d’individus les plus riches de tous les pays d’Europe et d’Amérique du Nord capte une part de plus en plus grande du revenu national total, alors que cette part stagne ou diminue pour les 90% les moins nantis. Les causes du creusement des inégalités sont institutionnelles: ce sont des mécanismes mis en place par les États qui favorisent l’accumulation de revenu par les plus aisés au détriment des moins fortunés, la diminution du taux marginal maximal d’imposition (le dernier palier d’imposition) en étant l’illustration exemplaire. Mais pourquoi les États empruntent-ils ce chemin depuis une quarantaine d’années? Suite à la récession du début des années 1980, on a assisté à la remise en question de l’État-providence, lequel avait marqué la pratique gouvernementale du sceau de l’interventionnisme depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Cet interventionnisme visait essentiellement à protéger les individus des aléas du marché et avait concordé avec une réduction des inégalités. Or, la crise poussa les États à reconsidérer leurs politiques économiques. On a alors vu triompher l’idée voulant que si l’interventionnisme était un échec, il fallait laisser le marché organiser la société. On assista ainsi à un retour du libéralisme. Mais, entre-temps, ce dernier s’était renouvelé, abandonnant l’idée du laissez-faire et admettant désormais qu’il revient à l’État d’assurer activement non seulement la mise en place du marché, mais également la généralisation de ses principes à des domaines qui lui échappaient traditionnellement. C’est ce néolibéralisme qui a guidé et qui guide encore aujourd’hui la pratique des États, et c’est à sa théorie qu’il faut se frotter pour comprendre l’augmentation récente des inégalités. / Abstract Income inequality has been increasing everywhere in the West since the 1980s. The 1% of the richest individuals in all European and North American countries getsa larger and larger share of total national income, while this share stagnates or decreases for the poorest 90%. The causes of widening inequalities are institutional: they are mechanisms put in place by the states which favor the accumulation of income by the rich ones at the expense of the less fortunate ones, the reduction of the marginal maxima ltax rate (the top tax rate) being the prime example. But why have the states been following this path for forty years? Following the recession of the early 1980s, the welfare statethat prevailed since the end of the Second World War, whose practice was characterized by a strong interventionism, was challenged. This interventionism was essentially aimed at protecting individuals from the riskiness of the market and had concurred with a decrease in inequalities. The crisis led states toreconsider their economic policies. We then saw the triumph of the idea that if interventionism wasa failure, the market must be allowed to organize society. We thus witnessed a return of liberalism. But in the meantime, the latter was renewed, abandoning the idea of laissez-faire and now admitting that it is up to the state to actively ensure not only the establishment of the market, but also the generalization of its principles to areas that traditionally eluded it. It is this neoliberalism that has guided and still guides state practice today, and itis itstheory that must be analyzedto understand the recent increase in inequality.
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Les effets du rétablissement comme approche thérapeutique sur les processus de lutte à la stigmatisation de personnes vivant avec un problème de santé mentale

Lemire Auclair, Émilie 03 1900 (has links) (PDF)
Le rétablissement, comme nouvelle philosophie d'intervention dans le champ de la santé mentale, nous invite à réfléchir l'intégration sociale sous un angle particulier, soit celui de l'épanouissement personnel : il ne suffit plus de s'inscrire dans un mode de vie normatif aux plans matériel, économique et social. Le rétablissement implique un processus individuel visant notamment un travail de restauration identitaire où l'individu devient acteur, « [engageant] ses propres ressources afin de développer des initiatives et élaborer un projet de vie » (Soulet et Châtel, 2001 : 186). En dépit de son rôle actif vers le mieux-être, l'individu voit également sa trajectoire balisée par une multitude de cadres sociaux : une histoire familiale, des relations sociales, un contexte socioéconomique, une trajectoire thérapeutique, etc. Bien que ces différents cadres soient considérés comme des sources potentielles de soutien, on constate néanmoins que les personnes avec des problèmes de santé mentale sont confrontées à une accumulation d'obstacles sociaux entravant leur épanouissement. À la lumière de ces constats, comment le rétablissement est-il possible? À travers une perspective interactionniste, la présente étude situe l'enjeu premier du rétablissement dans la recherche de reconnaissance sociale. En ce sens, un des obstacles principaux auxquels se heurtent les individus avec des problèmes de santé mentale relève de la stigmatisation, à la source de discrimination et d'une dégradation de l'image de soi. Ainsi, se rétablir implique nécessairement de lutter contre les effets de cette stigmatisation. La méthodologie ethnographique, fondée sur la tenue d'entretiens et l'observation participante, a permis de documenter certains moyens dont les personnes font usage dans leur vie quotidienne pour lutter contre les effets de la stigmatisation, notamment dans le cadre de leurs relations avec leur entourage. De plus, elle a permis d'éclairer la façon dont les individus intègrent leur réponse à différentes normes sociales dans leur travail de reconstruction identitaire. Ce processus est illustré par l'identification individuelle et collective aux normes thérapeutiques du rétablissement prenant place dans un organisme communautaire en santé mentale. La capacité des participantes à l'étude à correspondre à ces idéaux thérapeutiques est interprétée à la lumière de leur stigmate et intégrée dans leur perception de soi. Les données issues de cette étude ainsi que leur analyse et interprétation suggèrent que la recherche d'une plus grande reconnaissance sociale prend la forme d'une lutte pour l'acceptation sociale. Ainsi, malgré un discours thérapeutique mettant de l'avant les principes d'auto-détermination et d'autonomie, il apparaît que, dans la trajectoire des personnes avec des problèmes de santé mentale, le poids du stigmate et de certaines normes sociales joue un rôle fort important qu'on ne peut se permettre d'ignorer. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : rétablissement, stigmatisation, santé mentale, identité, exclusion, marginalisation, normes sociales
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Militer par l'art pour produire du sens : étude anthropologique d'une troupe de théâtre d'intervention de Montréal

Lamarre, Stéphanie January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La maternité socialisée : l'engagement politique des femmes piqueteras en Argentine

Iacovino, Carolina January 2007 (has links) (PDF)
Ce mémoire porte sur la participation sociale des femmes piqueteras en Argentine, membres du mouvement des piqueteros qui voit à la défense des droits des personnes sans emploi. Les femmes ont été les pionnières du mouvement, alors que les mesures néo libérales appliquées pendant la décennie des années 1990, appauvrissaient continuellement la population. Rapidement, elles se sont réunies afin d'élaborer des stratégies de survie, telles que les cantines populaires, les potagers communautaires et les marchés de « troc » afin d'amortir les effets d'une crise économique. Aujourd'hui, alors que les hommes se sont incorporés au mouvement, elles luttent pour la création de sources d'emploi et pour faciliter l'accès à la nourriture. Maternité socialisée, maternité politisée, certainement maternité engagée, caractérise ces femmes qui en bloquant les routes et en tapant sur des casseroles vides ont su donner un visage à une réalité sociale inexistante pour plusieurs personnes. Par leur combat, les piqueteras visent à faire resurgir le projet national élaboré par Juan D. Peron entre les années 1945 et 1955, qui devait mener le pays vers le progrès économique et la stabilité sociale. Au sein de ce projet, l'État jouait un rôle très actif dans la société et les piqueteras souhaitent une restructuration du système politique et économique, qui serait inspirée par ce projet. Les résultats de notre recherche démontrent que le mode de fonctionnement du mouvement des piqueteros est basé sur l'idéologie sociale péroniste et inclut la responsabilisation et l'implication communautaire de tous, et une forte valorisation de l'activité salariale et de l'unité familiale. Dans ce contexte, les femmes piqueteras ce sont transformées, car si la pauvreté peut entraîner l'exclusion sociale et la privatisation de la vie quotidienne, elles luttent dans un mouvement inclusif qui ne peut se reproduire que si chaque membre participe à son entretien. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Argentine, Femmes, Maternité, Organisation sociale, Féminisme, Mouvement des piqueteros.
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La stigmatisation d'une sous-culture : étiquetage, marginalisation et déviance : étude d'une communauté de joueurs de jeux de rôle parisiens

Pécheur, Raphaële January 2006 (has links) (PDF)
Notre intérêt de recherche porte sur la stigmatisation des sous-cultures par la société. Afin d'étudier le phénomène de l'étiquetage social, nous avons décidé d'étudier une sous-culture dépréciée: la sous-culture des rôlistes. En effet, nos recherches préliminaires nous ont amenée à constater que cette communauté est décriée de manière très virulente. Cependant, nous nous sommes posés la question à savoir pourquoi une telle opinion? Pourquoi ce passe-temps est-il dénigré? Ces jeunes sont-ils dangereux ou fous? Les jeux sont-ils vecteurs de pathologies? Pourquoi une telle mise à l'écart? Notre but, dans cette étude, est d'identifier la stigmatisation et l'étiquetage dont ils sont victime et d'en comprendre les mécanismes. Nous voulons savoir si les joueurs sont des jeunes comme les autres ou en dehors de la réalité, une sorte de jeunesse dégénérée en mal de socialisation. La mise en marge de cette sous-culture par la société est un phénomène complexe que nous analysons dans cette recherche. Afin de mieux comprendre ce que sont les jeux de rôle, nous effectuons un bref historique des courants littéraires qui ont façonné le jeu de rôle jusqu'à aujourd'hui dont, principalement, le courant de la Fantasy, puis nous expliquons ce qu'est ce jeu de rôle. Pour mener à bien notre recherche, nous nous appuyons sur une méthodologie qualitative. Nous effectuons, une observation participante auprès d'un groupe de joueurs parisiens afin de comprendre leur dynamique et celle des jeux. N'ayant jamais joué aux jeux, nous confrontons notre point de vue avant l'expérience et après, afin de saisir si les jeux sont effectivement répréhensibles. Puis, nous interrogeons des non-joueurs pour connaître leur opinion sur les jeux. Des entrevues avec les joueurs nous permettent enfin de confronter les opinions et de comprendre quelle est leur position vis à vis des accusations à leur encontre. Le cadre théorique de l'École de Chicago et de l'interactionnisme symbolique nous permet de développer les concepts de l'étiquetage et de la stigmatisation, notions sur lesquelles nous nous basons pour effectuer notre analyse. Nos principaux résultats sont que les joueurs, considérés comme « déracinés », sont des jeunes comme les autres, passionnés par un passe-temps surtout inconnu. L'opinion générale serait propagée par les médias, entraînant une panique morale. Nous observons ainsi deux attitudes des joueurs face à ceci: devenir une source d'information; ou bien, développer une stigmatisation auprès de leurs accusateurs. La stigmatisation et l'étiquetage sont donc les résultats d'une influence extérieure impalpable. Il nous est apparu que le stigmate apportant le stigmate, le cercle apparaît difficile à briser. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Déviance, Marginalisation, Sous-culture, Étiquetage, Stigmatisation, Jeu de rôle.
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Identité et itinérance : les stratégies identitaires dans le processus de désinsertion sociale

Ouellet, Guillaume 09 1900 (has links) (PDF)
L'identité individuelle résulte d'un processus complexe qui s'ébauche et se parfait à travers le rapport dialectique qu’entretient l'individu à l'autre. Au fil des interactions, l'individu - à la fois être singulier et membre d'une collectivité – est façonné par et pour le social. Toutefois, dans une société essentiellement axée sur la performance professionnelle et sur la réussite personnelle, certains individus ne trouvent pas l’occasion de participer pleinement au monde social. Exclus à divers degrés des principaux vecteurs d'inscription sociale que représentent, le travail, la consommation et la participation à un réseau relationnel, ces derniers se voient apposer l'étiquette de perdants. Parmi ceux-ci, ceux que l'on désigne comme étant « les itinérants » sont certainement les plus visibles. Socialement stigmatisées, les personnes en situation d'itinérance doivent apprendre à composer avec le fait de ne pas correspondre à l'image de l'autre idéal. En analysant le discours de dix-sept hommes en situation d'itinérance, ce mémoire propose d'explorer ce que représente l'itinérance du point de vue des personnes en situation d'itinérance, de quelle façon ces personnes portent-elles le poids de la stigmatisation sociale, quelles stratégies déploient-elles afin d'échapper à l'effet dévastateur de la stigmatisation sur leur identité et quelles sont les étapes qui ponctuent leur parcours dans l'itinérance. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Identité, Itinérance, Exclusion sociale, Désinsertion sociale, Stigmatisation, Rôle, Stratégies identitaires.
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"Elende Mütter" und "liederliche Weibspersonen" : Geschlechterverhältnisse und Armenpolitik in Berlin (1770-1850) /

Hüchtker, Dietlind, January 1999 (has links)
Diss.--Berlin, 1996. / Bibliogr. p. 283-310.
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Gesellschaft als lokale Veranstaltung : die Wolgastädte Kazan' und Saratov (1870-1914) /

Häfner, Lutz. January 2004 (has links)
Habilitationsschrift--Bielefeld. / Bibliogr. p. [500]-586. Index.
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Bürgerschaft als Bedingung und Ziel sozialer Arbeit /

Suschek, Margarete, January 1900 (has links)
Diss.--Marburg, 2003. / Bibliogr. p. 176-183.
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Serving the nation : cultures of service, association, and citizenship /

Watt, Carey Anthony. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Thesis Ph. D.--University of Cambridge. Titre de soutenance : Social service and the culture of association in North India, 1900-1920. / Bibliogr. p. 224-242.

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