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Privation de sommeil et déficits cognitifs: Implications pour le diagnostic et le traitement de l'insomnie

Gosselin, Dominique January 2017 (has links)
L’objectif premier convoité par ce projet de recherche consistait à objectiver plus précisément, au moyen de mesures basées sur la performance, les possibles atteintes cognitives associées à l’insomnie. À cette fin, trois tâches cognitives ont été développées. Ces dernières avaient pour particularité de solliciter conjointement la fonction attentionnelle de la vigilance et un processus cognitif spécifique. En s’appuyant sur les trois systèmes mnésiques avancés par le modèle d’Atkinson et Shiffrin (1968), les processus cognitifs précisément ciblés renvoyaient respectivement à: 1) l’orientation automatique de l’attention, 2) la mémoire de travail visuo-spatiale, et 3) la mémoire sémantique. Dans l’éventualité où ces tâches menaient effectivement à une objectivation davantage manifeste des possibles défaillances cognitives accompagnant l’insomnie, le deuxième objectif poursuivi par ce projet veillait à déterminer si ces épreuves permettaient d’apprécier l’efficacité de la thérapie cognitive-comportementale pour l’insomnie. Conformément à ses objectifs, la capacité des trois tâches à détecter la présence d’atteintes cognitives a été étudiée de façon séquentielle, au moyen de trois paradigmes distincts de privation de sommeil: privation de sommeil totale, privation de sommeil partielle et insomnie. C’est ainsi que la sensibilité des trois tâches a d’abord été examinée auprès d’individus ayant subi une privation de sommeil totale (étude 1: devis pré-test post-test sans condition témoin comprenant une nuit sans possibilité de sommeil et une nuit régulière de sommeil). Les mesures s’étant révélées les plus sensibles ont ensuite été incluses et évaluées au sein de la deuxième étude, laquelle mettait de l’avant une privation de sommeil partielle (étude 2: devis pré-test post-test comprenant une nuit limitée à quatre heures de sommeil et une nuit régulière de sommeil). Enfin, les tâches ayant affiché les meilleures capacités à déceler les atteintes cognitives résultant d’une privation de sommeil partielle ont été incorporées au sein de la dernière étude, une étude à visée exploratoire portant sur l’insomnie (étude 3: cinq études de cas de participants présentant un diagnostic d’insomnie investiguées sous un devis pré-test post-test sans condition témoin comprenant l’administration d’une thérapie cognitive-comportementale pour l’insomnie). Les première et deuxième études ont validé l’effet de la privation de sommeil totale et partielle dans le déclin des performances cognitives. D’une part, une diminution significative de la performance, mesurée soit en termes d’exactitude des réponses ou en termes de temps de réaction, a été observée suite à une nuit de privation de sommeil totale et ce, pour chacune des trois tâches évaluées. D’autre part, une tendance similaire, bien que moins marquée, a été notée suite à une nuit de privation de sommeil partielle, où seulement certaines mesures de performance de certaines tâches ont rejoint le seuil de signification statistique. La troisième étude traitant de l’insomnie a quant à elle révélé une atteinte significative des capacités de vigilance des participants aux mesures pré-traitement. Ces capacités se sont toutefois significativement améliorées au terme de la thérapie cognitive-comportementale pour l’insomnie. Dans l’ensemble, les résultats de ce travail suggèrent que le développement de tâches cognitives destinées à l’évaluation de fonctions cognitives rigoureusement définies semble conduire à une meilleure compréhension des atteintes cognitives accompagnant la privation de sommeil et l’insomnie, tout en offrant l’avantage de mesurer l’efficacité d’interventions destinées au traitement de l’insomnie.
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Effets du gamma-hydroxybutyrate sur l'activité de décharge des cellules dopaminergiques de l'aire tegmentale ventrale

Tremblay, Hugo January 1998 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Rythme de l'hormone mélatonine, sommeil et fonctionnement à l'éveil en contexte de mésalignement circadien : études de deux populations à risque : les adolescents et les travailleurs de nuit

Martin, Jeanne-Sophie 07 June 2018 (has links)
Chez le mammifère, le rythme circadien endogène combiné avec le cycle lumière-obscurité constituent les meilleurs facteurs pour prédire où se trouvera la position du cycle veillesommeil par rapport au jour terrestre. Chez l’humain, dans la société actuelle fonctionnant 24 heures sur 24, l’horaire des épisodes veille-sommeil sera organisé selon les exigences professionnelles, familiales, et académiques. Ceci peut créer une situation appelée mésalignement circadien, qui se produit lorsque l’horaire interne (rythme circadien endogène) ne concorde pas avec l’horaire des activités ou temps astronomique. Durant les dernières années, deux problématiques causées par le mésalignement circadien sont devenues des préoccupations de santé publique. Tout d’abord, le travail de nuit suscite l’inquiétude de par l’accumulation d’évidences démontrant son effet néfaste sur la santé, notamment son effet cancérigène. Une deuxième problématique a été soulevée plus récemment concernant l’horaire des cours chez les adolescents. En effet, la communauté scientifique et médicale a récemment statué à l’effet que les horaires de cours au secondaire n’étaient pas adaptés au besoin de sommeil des adolescents, conduisant ultimement à une dette de sommeil partielle chronique. Considérant que ces deux problématiques touchent largement les pays industrialisés, il existe un vif intérêt de préciser les facteurs individuels modulant la réponse à ces horaires problématiques de même que des stratégies favorisant l'adaptation au quart de nuit. Les objectifs généraux de cette thèse par articles scientifiques étaient donc d’évaluer comment le chronotype pourrait faire partie des facteurs critiques quant à l'adaptation à ces horaires, de même que de quelle façon une intervention prônant l’exposition judicieuse à la lumière à courtes longueurs d’onde durant la nuit combinée au blocage de la lumière à courtes longueurs d’onde durant le jour peut être utilisée comme stratégie d'adaptation au quart de nuit. Le premier article présenté dans cette thèse démontre que les adolescents bénéficieraient d’un horaire scolaire plus tardif, et que, comparés aux autres chronotypes, les types Soir sont plus à risque de somnolence. Le deuxième article compare l’effet des quarts de nuit vs. des quarts de jours sur le sommeil et l’activité motrice des travailleurs rotatifs, et démontre que les types Soir dorment moins bien que les Types Intermédiaires, et ce pour les deux types de quarts. Finalement, le troisième article présente les résultats de deux études pilotes testant l’effet d’interventions lumineuses à courtes et longues longueurs d’onde sur le sommeil, la somnolence, la vigilance et le rythme circadien endogène (via le profil de sécrétion de mélatonine) dans le but d’améliorer l’adaptation au travail de nuit. Les résultats de ce troisième article démontrent que l’ajustement partiel de l’horloge circadienne centrale n’est pas suffisant pour améliorer le sommeil, la vigilance et la somnolence des travailleurs de nuit. On démontre également que les types Soir, bien que mieux adaptés en terme de rythme circadien endogène, présentaient un moins bon sommeil et plus de somnolence que les types Intermédiaire. / The sleep-wake cycle of mammals is usually organized according to two principal factors: the endogenous circadian rhythm, and the light-dark cycle. Humans are on the other hand living in a 24-h society, and will organize their sleep-wake schedule based on their work and school schedule. This can lead to circadian misalignment, which happens when one’s endogenous circadian rhythm is not in phase with external or astronomical time. In the past years, two situations caused by circadian misalignment have raised public health concerns. First, night work is considered as a risk factor for numerous health problems and has been linked more recently to cancer. A second preoccupation regards adolescent school schedules, which have been stated by the scientific community to be not adequate for adolescent’s sleep needs. Considering that these two problematic situations affect a large proportion of the population in industrialized countries, there is a keen interest to find factors modulating adaptation to these schedules, and to test strategies to improve adaptation to night work. The main objectives of this thesis was therefore to assess how chronotype is a factor modulating adaptation to these schedules, and to evaluate how exposure to short wavelengths of light during the night combined with cutting short wavelengths during the day can enhance adaptation to night shifts. The first article presented in this thesis reveals that adolescents’ sleep would beneficiate from a later school schedule, and that evening chronotypes are more at risk for sleepiness. The second article of this thesis compares the effect of night vs. day shifts on sleep and motor activity in shift workers, and demonstrate that evening chronotypes have more sleep problems in both type of shifts. The third article present results from two pilot studies testing light interventions (using short and long wavelengths light) aiming to increase adaptation to night work. Results from this article demonstrate that improving sleep and waking hours in shift work necessitates more than the sole adjustment of the circadian phase to the night shift; evening chronotypes, though better adjusted to the night schedule, were presenting more problems in sleep and functioning during waking hours.
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The slow oscillation as an intrinsic and emergent property of the neocortex

Lemieux, Maxime 20 April 2018 (has links)
Le sommeil est présent chez pratiquement tous les animaux mais a atteint le plus haut niveau d’organisation chez les mammifères et les oiseaux avec le sommeil à ondes lentes et le sommeil paradoxal. De nombreuses études ont suggéré que le sommeil est généré par le cerveau pour ses propres besoins. L’oscillation lente est une caractéristique électroencéphalographique du sommeil à ondes lentes se traduisant par une alternance entre des états actif et silencieux du réseau thalamocortical. Elle a attiré le focus de plusieurs études étant donné son implication dans la plasticité synaptique et la consolidation de la mémoire. Plusieurs questions restent néanmoins en suspens. Quel est le rôle du thalamus dans l’oscillation lente? Quelles conditions mènent à l’état silencieux? Y a-t-il une variabilité entre espèces dans la synchronisation des ondes lentes? Dans la première étude de cette thèse, nous montrons que le thalamus est crucial à la genèse et à la propagation de l’oscillation lente alors que le cortex a la propriété intrinsèque de la restaurer en absence d’afférence fonctionnelle. Dans la seconde étude, nous nous intéressons aux conditions qui mènent à l’initiation des états silencieux dans le néocortex. Nous avons trouvé que l’inhibition dépendante du chlore est impliquée dans la terminaison des états actifs et que les afférences thalamocorticales jouent un rôle dans la synchronisation des états silencieux. Dans la troisième étude, nous comparons le niveau de synchronisation de l’oscillation lente dans les régions somatosensorielle et associative du néocortex chez le chat et le lapin. Nous rapportons que la synchronisation de l’oscillation lente corrèle avec le niveau de gyrification du cortex cérébral et le niveau hiérarchique dans le traitement de l’information d’une région néocorticale. Nous concluons que l’oscillation lente est une propriété intrinsèque du néocortex qui émerge du dialogue entre le néocortex et le thalamus, de la balance entre l’inhibition et l’excitation dans le réseau néocortical et dont la synchronisation a évolué avec le développement du cortex cérébral. / Sleep is a defining feature of animals that achieved the highest degree of organization in mammals with two distinct types of sleep: the slow wave sleep (SWS) and the rapid eye movements sleep. A large body of evidences suggests that the sleep is generated by the brain to fulfill its own need. Among the electroencephalographic signatures of SWS and anesthesia, the slow oscillation (< 1 Hz), a rhythmic alternation of active and silent states of the thalamocortical network, has attracted a lot of attention owing to its implication in synaptic plasticity and memory consolidation. Several questions remain unanswered on the mechanisms underlying the slow oscillation. For instance, what is the role of the thalamus in the slow oscillation? Which conditions lead to the onset of the silent state? Is there inter-species variability in the synchronization? In the first study of this thesis, we have investigated the respective contribution of the neocortex and the thalamus in the generation of the slow oscillation. We report that the thalamus is crucial to the generation and propagation of the active states of the slow oscillation while the neocortex has the intrinsic ability to recover the slow oscillation in absence of afferents. In the second study, we address the question regarding the conditions that lead to the onset of the silent state in the neocortex. We have found that chloride-mediated inhibition and functional thalamocortical afferents are involved in terminating the active states. In the third study, we compare the synchronization of the slow oscillation in the somatosensory and associative cortices of cats and rabbits. We have found that the synchronization of the slow waves correlates with the level of gyrification of the cerebral cortex and the hierarchical level of information processing of a neocortical region. We conclude that the slow oscillation is an intrinsic property of the neocortex that emerges from the dialogue between the neocortex and thalamus, the balance of inhibition and excitation in the neocortical network and that the synchronization of the slow oscillation evolved with the development of the cerebral cortex.
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Effets différentiels de l'administration de 200 mg de caféine en soirée sur le sommeil en fonction de la consommation habituelle de caféine

Hamel-Hébert, Isabelle January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Étude polygraphique du sommeil paradoxal et de l'EEG quantifié à l'éveil dans la maladie de Parkinson /

Gagnon, Jean-François, January 2005 (has links)
Thèse (D. en psychologie)--Université du Québec à Montréal, 2005. / En tête du titre: Université du Québec à Montréal. Bibliogr.: f. 106-122. Publié aussi en version électronique.
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Trouble comportemental en sommeil paradoxal et troubles du contrôle de l'impulsion dans la maladie de Parkinson / Neuropsychiatric features of Parkinson's disease with REM Sleep Behaviro disorder

Fantini, Maria Livia 02 March 2016 (has links)
La maladie de Parkinson est une maladie neurodégénérative progressive qui affecte le système nerveux central et se caractérise par des symptômes moteurs et non moteurs. Ces derniers comprennent des troubles du sommeil, des perturbations neuropsychiatriques et comportementales. En particulier, environ 50 % des patients atteints de la maladie de Parkinson (MP) souffrent de troubles du comportement du sommeil paradoxal (TDS), une parasomnie caractérisée par des comportements moteurs liés à des rêves. Les patients atteints de la MP souffrant de RBD ont tendance à présenter des symptômes moteurs et non moteurs plus graves que les patients ne souffrant pas de RBD, ce qui suggère que le RBD est un marqueur d'un processus neurodégénératif plus répandu. Parmi les symptômes non moteurs, les troubles neuropsychiatriques sont fréquents dans la DP et comprennent la dépression, les symptômes d'anxiété, l'apathie et les troubles du contrôle des impulsions (DCI), une complication déclenchée par la thérapie de remplacement de la dopamine (TRP). Pourtant, aucune étude n'a évalué si les patients atteints de MP et de troubles respiratoires chroniques présentent une fréquence accrue de symptômes neuropsychiatriques, en particulier des troubles du contrôle des impulsions et de l'apathie. Objectifs : évaluer si la DBR est associée aux maladies inflammatoires chroniques et/ou à l'apathie dans la maladie de Parkinson et caractériser le profil neuropsychiatrique des patients atteints de DBR. Matériel et méthodes : n=216 patients PD non déments consécutifs consultant une clinique universitaire de troubles du mouvement à Turin et Clermont-Ferrand (130 M, âge moyen : 66,9±10,8 ans) ont rempli des questionnaires pour le RBD et les CIM. En outre, 40 patients atteints de MP ayant reçu un diagnostic clinique de maladie inflammatoire chronique et 40 patients atteints de MP sans maladie inflammatoire chronique, appariés par sexe et âge, ont subi une vidéopolysomnographie (v-PSG) afin de déterminer la fréquence de la DBR. L'apathie a été évaluée chez 36 patients ayant subi une v-PSG (n=18 patients atteints de MP avec DCI, n=18 patients atteints de la MP), et sa relation avec la dépression, avec un large éventail de fonctions neuropsychologiques ainsi qu'avec des symptômes moteurs et non moteurs a été évaluée. Résultats : la DBR probable a été associée à un risque de 2,6 de développer des symptômes de CIM dans l'ensemble (p=0,001) et à un risque de 4,9 pour le jeu pathologique (p= 0,049). La RBD confirmée par le VPSG a été trouvée chez 34/40 (85%) des patients atteints de PD-ICD contre 21/40 (53%) des patients atteints de PD-noICD (p=0,003). L'association était significative après ajustement de la durée de la maladie, de l'âge d'apparition, de la gravité et de la dose de traitement (p=0,01) et l'état de la CIM est associé à un rapport impair de 5,44 pour avoir une DBR. L'apathie était plus élevée chez les patients atteints de DBR que chez les patients atteints de la MP sans DBR. Après 11 ajustements en fonction de l'âge, de la durée de la DP, des doses de DRT, des mesures cognitives et de la dépression, nous avons constaté que les PD-RBD présentent un manque d'initiative (p=0,03) ainsi qu'une tendance à la réduction des intérêts et à la recherche de nouveauté. L'ampleur de l'effet était importante (>0,8) ou presque (>0,75) pour ces variables. De plus, l'apathie était significativement corrélée à la mesure du sommeil paradoxal sans atonie. Conclusions : Nous avons montré pour la première fois que le RBD est associé à des DCI dans le DP. De plus, les patients RBD sans DAI sont plus apathiques que les patients sans RBD. Un traitement dysfonctionnel de la récompense dans le DP-RBD, résultant peut-être d'une altération plus grave de la voie méso-cortico-limbique, peut contribuer à la fois à une apathie accrue et à une fréquence accrue des DAI lorsqu'ils sont traités avec des doses plus élevées de DRT. / Parkinson’s disease is a progressive neurodegenerative disorder affecting the central nervous system characterized by motor and non-motor symptoms. The latter include sleep disorders as well as neuropsychiatric and behavioral disturbances. In particular, about 50% of patients with Parkinson's disease (PD) suffer from REM sleep behavior disorder (RBD), a parasomnia characterized by dream-enactment motor behaviors. PD patients with RBD tends to have more severe both motor and non-motor symptoms than PD without RBD, suggesting that RBD is a marker of a more widespread neurodegenerative process. Among non-motor symptoms, neuropsychiatric disorders are frequent in PD and include depression, anxiety symptoms, apathy and impulse control disorders (ICD), a complication triggered by dopamine replacement therapy (DRT). Yet, no study has assessed whether PD- RBD patients have an increased frequency of neuropsychiatric symptoms, particularly ICD and apathy. Objectives: to assess whether RBD is associated to ICDs and/or apathy in Parkinson’s Disease and to characterize the neuropsychiatric profile of PD patients with RBD. Material and methods: n=216 consecutive non-demented PD patients consulting a university movement disorders clinics in Turin and Clermont-Ferrand (130 M, mean age:66.9±10.8yrs.) filled out questionnaires for RBD and ICDs. Furthermore, 40 consecutive PD patients with a clinical diagnosis of ICD and 40 sex-and age-matched PD patients without ICD underwent to video-polysomnography (v-PSG) in order to determine the frequency of RBD. Apathy was assessed in 36 v-PSG recorded PD patients (n=18 PD with RBD, n=18 age- and sex-matched PD without RBD), and its relationship with depression, with a broad array of neuropsychological functions as well as with motor and non-motor symptoms was evaluated. Results: probable RBD was associated to a risk of 2.6 to develop ICD symptoms as a whole (p=0.001) and a risk of 4.9 for pathological gambling (p= 0.049). VPSG-confirmed RBD was found in 34/40 (85%) PD-ICD patients versus 21/40 (53%) PD-noICD (p=0.003). The association was significant after adjusting for PD duration, age of onset, severity and treatment dose (p=0.01) and the condition of ICD is associated to an odd ratio of 5.44 to have RBD. Apathy was higher in patients with RBD compared to PD without RBD. After 11 adjusting for age, PD duration, DRT doses, cognitive measures and depression, we found that PD-RBD have a lack of Initiative (p=0.03) together with a trend for reduced interests and novelty seeking. The effect size was large (>0.8) or almost large (>0.75) for these variables. Furthermore, apathy significantly correlated with measure of REM sleep without atonia. Conclusions: We showed for the first time that RBD is associated to ICDs in PD. Furthermore, RBD patients without ICD are more apathetic compared to patients without RBD. Dysfunctional reward processing in PD-RBD, possibly resulting from a more severe impairment of the meso-cortico-limbic pathway, may contribute to both increased apathy, and increased frequency of ICDs when treated with higher doses of DRT.
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Relation entre le chronotype, le sommeil, la fatique et l'exposition à la lumière chez les jeunes adultes travailleurs aux études

Martin, Jeanne-Sophie 19 April 2018 (has links)
L'objectif de ce mémoire de maîtrise est de présenter les résultats d’une étude effectuée sur 97 étudiants âgés de 19 à 21 ans qui occupent un emploi rémunéré en cours d’année scolaire afin d'évaluer la relation entre le chronotype, l'exposition à la lumière, la fatigue reliée au travail et les problèmes de sommeil. La problématique de recherche découle des préoccupations relatives au fait que les jeunes sont de plus en plus nombreux à cumuler études et travail et qu’un grand nombre doit rogner dans les heures de sommeil pour pouvoir remplir l’ensemble de leurs obligations. Or, la deuxième décennie de la vie est une période de changements importants dans la régulation du sommeil et des rythmes circadiens. On observe dès le début de la puberté une propension à se coucher et à se lever de plus en plus tard, même si les besoins de sommeil demeurent inchangés. Ces changements sont dus à des facteurs physiologiques et sociaux et peuvent mener à l'accumulation d’une dette de sommeil prédisposant le jeune à de la somnolence diurne et à de la fatigue excessive. Il est donc permis de penser que l’intensification du cumul études-travail augmente le risque de présenter une dette de sommeil et, par le fait même, de présenter des symptômes associés à la privation de sommeil. Dans cette étude, le chronotype (ou « préférence circadienne ») est évalué comme facteur d’influence sur les problèmes de sommeil des étudiants travailleurs. De fait, plusieurs publications soulignent que les étudiants, majoritairement des chronotypes du soir (donc ayant une préférence circadienne plus tardive), ont plus de problèmes de sommeil et de fonctionnement pendant la journée (somnolence, fatigue, etc.) que les autres étudiants. Le niveau d’exposition des sujets à la lumière environnementale est également évalué; la lumière est en effet le facteur exogène le plus influent sur la fluctuation et l’entraînement des rythmes circadiens. En résumé, nos résultats suggèrent que les jeunes adultes sont en privation de sommeil lorsqu’ils cumulent études et emploi. Parallèlement, les résultats indiquent que le fait d’être un chronotype du soir, pour un jeune étudiant travailleur, est lié à une qualité de sommeil moindre, à un niveau de fatigue chronique reliée au travail plus élevé et à des patrons d’exposition à la lumière moins des autres chronotypes, notamment une plus faible exposition à la lumière durant le matin et l’après-midi. / The objective of this master thesis was to evaluate the relationship between chronotype, exposure to light, work-related fatigue and sleep problems in 97 young adults aged 19-21 years who combine their studies with participation in paid work. The research question is based on the fact that several students combine school and work and that many of them report cutting on sleep in order to complete their daily tasks and activities efficiently. Also, the transition to adulthood brings significant changes in sleep patterns and circadian rhythms. Although sleep needs reportedly remain unchanged throughout adolescence, the onset of puberty is characterized by a propensity to delay wake times and bed times. These changes are caused by biological and social processes and can lead to the build-up of a sleep debt and, consequently, sleepiness and fatigue. One may thus advance that an intensification of school and work activities for this population may increase this sleep debt and concomitant symptoms of sleep deprivation. In this study, the chronotype (or "circadian preference") is evaluated as a factor that can influence sleep problems of student workers. Several publications have highlighted that students who have evening chronotype (or having a later circadian preference) have more problems related to sleep and daytime functioning than other students. It is therefore relevant to assess chronotype in student workers for its potential protective or deleterious effect on sleep and fatigue. The level of environmental light exposure was also evaluated, since light is the most important exogenous synchronizer of the circadian system. In summary, the results of this study underline that young adults are likely to exhibit a significant sleep debt when they work while studying. Furthermore, the results indicate that student workers with an evening chronotype is associated with lower sleep quality, higher level of work-related chronic fatigue and distinct patterns of light exposure such as lower light exposure during the morning and the afternoon.
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Mésestimation du sommeil et effet de première nuit en laboratoire

St-Hilaire, Patrick 24 April 2018 (has links)
L’hyperactivation corticale, principalement retrouvée dans l’insomnie, pourrait être influencée par la qualité du sommeil et le degré de mésestimation des données objectives du sommeil. L’effet de première nuit permet d’observer une diminution de la qualité du sommeil lors de la première nuit d’enregistrement en laboratoire. Les objectifs du présent mémoire sont d’examiner les différences d’activation corticale selon les types de dormeurs entre les nuits et d’évaluer si l’activation corticale varie selon le degré de mésestimation du sommeil. Les résultats suggèrent la présence d’un effet de première nuit observable par une diminution de la qualité objective et subjective du sommeil pour l’ensemble des dormeurs. Toutefois, malgré cette exacerbation des difficultés de sommeil, l’activation corticale est similaire entre les différents types de dormeurs. Finalement, il semblerait exister une hypoactivation corticale, représentée par une élévation des ondes Delta, qui favoriserait une perception biaisée en faveur du sommeil durant la nuit comparativement à ce qui est observé avec la polysomnographie. Jusqu’à maintenant, peu d’études se sont intéressées à cette relation entre les ondes lentes et la surestimation de la qualité du sommeil, et ce, malgré que cette avenue soit prometteuse pour le traitement de l’insomnie, qui est avant tout une plainte subjective de difficultés de sommeil. / Cortical hyperarousal, mainly found in insomnia, could be influenced by the sleep quality and the degree of objective sleep misperception. The first night effect allows to observe a decrease in the quality of sleep during the first recording night in the laboratory. The objectives of this research are to examine cortical arousal differences according to sleeper types between nights and to assess if cortical arousal varies according to degree of misperception. Results suggest presence of a first night effect observable by a decrease in the objective and subjective sleep quality for all participants. However, despite this exacerbation of the sleep difficulties, cortical arousal is similar for the different types of sleepers. Finally, it seems that a cortical hypoarousal, represented by an increase in Delta power, would promote an overestimation of sleep quantity compared to what is observed with polysomnography. Until now, only few studies have been interested in the relationship between the slow waves sleep and the overestimation of the sleep quality. Although this could be a promising avenue for the treatment of insomnia, which is foremost a complaint of subjective sleep difficulties.
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Rôle du larynx au cours des apnées centrales et des déglutitions non-nutritives en période néonatale

Reix, Philippe January 2004 (has links)
Le larynx assure de multiples fonctions de régulateur du flux respiratoire, de protection des voies aériennes inférieures et de phonation chez l'adulte. Chez le foetus et le nouveau-né, il a un rôle indispensable dans la croissance pulmonaire foetale et, à la naissance, dans l'établissement d'une ventilation aérienne adéquate. L'implication du larynx au cours des apnées centrales est de découverte plus récente. En effet, il a été montré que le muscle adducteur des cordes vocales (activité électromyographique (EMG) du muscle thyroaryténoïdien (TA)), était continuellement actif au cours des apnées centrales induites et spontanées de l'agneau. Cette activité électromyographique est contemporaine de la fermeture complète et étanche des cordes vocales, et permet le maintien d'un volume pulmonaire élevé pendant l'apnée. Les conséquences physiologiques de cette fermeture active de la glotte restent à préciser. Par ailleurs, malgré son importance, la coordination de l'activité musculaire laryngée au cours des déglutitions avec le cycle respiratoire a été incomplètement étudiée chez le mammifère nouveau-né. Les buts de ce travail étaient (1) de caractériser le rôle bénéfique de la fermeture glottique sur l'oxygénation au cours d'apnées centrales spontanées chez des agneaux prématurés, (2) de préciser l'influence des stades de conscience sur la fréquence des déglutitions non-nutritives et sur leur coordination avec le cycle respiratoire. Nous avons étudié (1) la pente de désaturation en oxygène au cours d'apnées spontanées chez quatre agneaux prématurés, en comparant lesapnées où le volume pulmonaire était maintenu (orifice de trachéotomie fermé) avec celles où il ne l'était pas (orifice de trachéotomie ouvert), (2) la fréquence des déglutitions non nutritives isolées et en bouffée, de même que leur coordination avec le cycle respiratoire, et leur association avec les apnées spontanées chez six agneaux à terme et six agneaux prématurés"--Résumé abrégé par UMI.

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