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Le désir de la raison et le souverain bien dans les oeuvres de Kant et Fichte

Saenz Benavides, Laurencia January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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De "Qu'est-ce que l'Homme ?" au "Citoyen du monde" : le rapport entre la philosophie et l'anthropologie chez Kant / From “What is Man?” to “the Citizen of the World” : The Relationship between Philosophy and Anthropology in Kant

Chiang, Wen-Pin 22 January 2011 (has links)
Dans la Logique, Kant expose clairement le rapport entre sa philosophie et l’anthropologie. Si les trois premières questions (à savoir « Que puis-je savoir ? », « Que dois-je faire ? » et « Que m’est-il permis d’espérer ? ») peuvent toutes être ramenées à la question « Qu’est ce que l’homme ? », alors quelle anthropologie qui donne la réponse à cette dernière question ? S’agissant du rapport entre l’anthropologie et la philosophie, il existe beaucoup de débats parmi les commentateurs kantiens. Ils tentent d’éclaircir ce rapport soit selon un point de vue de l’anthropologie philosophique, soit selon un point de vue de l’ontologie fondamentale. Mais en tant qu’oeuvre kantienne unique relative à l’anthropologie, l’Anthropologie du point de vue pragmatique est absente dans ce débat dans lequel on peut dire qu’elle a été négligée. La raison qui cause cette situation réside dans la caractéristique empirique présentée par l’Anthropologie du point de vue pragmatique. Cependant, dans la lettre du 4 mai 1793 à Karl Friedrich Stäudlin, Kant lui-même a mentionné qu’il avait fait un cours pendant plus de 20 ans sur cette question anthropologique de « Qu’est ce que l’homme ? ». D’après cela, il nous semble que l’Anthropologie du point de vue pragmatique, provenant des notes de ce cours, doit être considérée comme une oeuvre kantienne portant sur « Qu’est ce que l’homme ? ». Comment pouvons-nous résoudre cette difficulté existante dans la saisie du rapport entre la philosophie et l’anthropologie chez Kant ? Peut-on la résoudre ? Si la réponse est «oui », quel sera un tel rapport ? En effet, dans l’étude du rapport entre la philosophie et l’anthropologie chez Kant, on néglige souvent le rôle clef joué par le concept cosmopolitique. Les trois premières questions sont ramenées à l’anthropologie dans le domaine de la philosophie en son sens cosmopolitique. Que signifie alors la philosophie en son sens cosmopolitique ? Quel rapport cette philosophie a-t-elle avec la philosophie selon son concept cosmique qui a été considérée comme la recherche de la doctrine de la sagesse (à savoir le souverain bien). Si l’Anthropologie du point de vue pragmatique peut être conçue comme une oeuvre kantienne portant sur la question « Qu’est ce que l’homme ? », comment devons-nous saisir son rapport avec les trois premières questions ?Cette étude cherche à clarifier ce rapport entre la philosophie et l’anthropologie chez Kant et le rôle joué par l’Anthropologie du point de vue pragmatique dans ce rapport selon les « concept cosmique », « concept cosmopolitique » et le « souverain bien ». / Kant articulates the relationship between philosophy and anthropology in his Logic. When the three questions (i.e., What can I know? What should I do? What may I hope for?) are reduced to “ What is Man?”, what answer should anthropology give to the question? Concerning the relationship between anthropology and philosophy, therehas been much debate among Kant’s commentators. They attempt to clarify this relationship either from a point of view of philosophical anthropology or according to a perspective of fundamental ontology. Nevertheless, Kant's only work on anthropology, Anthropology from a Pragmatic Point of View, was absent from this debate due to its empirical characteristics. In a letter to Karl Friedrich Stäudlin dated May 4, 1793, Kant himself said that he had done a course for over 20 years on this question of anthropology, “What is man?” Therefore, it seems that the Anthropology from Pragmatic Point of View (from notes of this course) can be seen as the work of Kant on “What is man?” How can we resolve the apprehension about the relationship between philosophy and anthropology in Kant? Can it be resolved? If the answer is “yes,” then what will such a relationship be? Indeed, in the study of the relationship between philosophy and anthropology in Kant, we often overlook the key role played by the concept of cosmopolitanism. The first three questions are brought to anthropology in the field of philosophy in its cosmopolitan sense. What does the philosophy mean in its cosmopolitan sense? What relationship did this philosophy with the philosophy according to its cosmic concept that has been considered as the search of the doctrine of wisdom (namely, of the highest Good)? If the Anthropology from Pragmatic Point of View can be perceived as Kant’s work on the question of "What is man?” then how should we comprehend its relationship with the first three questions?This study aims at clarifying the relationship between philosophy and anthropology in Kant and the role played by the Anthropology from Pragmatic Point of View in this relationship according to the “cosmic concept,” “cosmopolitan concept,” and the “highest good.”
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La critique du devoir-être chez Hegel

Arsenault, François 09 1900 (has links)
Le rapport qu’entretient Hegel à l’égard de la philosophie kantienne est ambivalent. Il la louange à maintes occasions alors qu’il la critique sévèrement à d’autres. La philosophie morale de Kant n’y fait pas exception. Hegel est réputé pour l’avoir critiquée avec véhémence. Cette critique, désormais célèbre, est connue sous le nom de critique du devoir-être ou Sollenkritik. Nous porterions préjudice à la richesse de la doctrine hégélienne si nous nous bornions à voir en cette critique un rejet catégorique de toutes les thèses avancées par Kant. Notre travail se donne une double mission. Dans un premier temps, nous montrerons quels sont les divers points litigieux entre la moralité kantienne et la doctrine hégélienne. Dans un second temps, nous nous efforcerons d’expliquer en quoi la moralité participe de la vérité que nous révèle Hegel. / The relation that Hegel maintains towards the Kantian philosophy is ambivalent. He praises it on several occasions while he criticizes it on others. The moral philosophy of Kant does not make an exception to it. Hegel is renowned for having criticized it vehemently. This criticism, now famous, is known under the name of Sollenkritik. We would harm the richness of the Hegelian doctrine if we were to limit ourselves to see this criticism as a rejection of the theories put forward by Kant. Our work will aim a double mission. As a first step, we will demonstrate what are the different litigious points between the Kantian morality and the Hegelian doctrine. As a second step, we will try to explain how morality is included in the truth that Hegel is revealing us.
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Le problème du mal dans la Summa de bono de Philippe le Chancelier

Barichard, Louis-Hervé 08 1900 (has links)
Ce mémoire entend mettre en lumière la solution au problème du mal développée par Philippe le Chancelier dans la Summa de bono (1225-1228). À cet effet, notre analyse se polarise sur la notion du mal qui occupe à la fois le système des transcendantaux et la division du bien créé découlant du principe du souverain bien. La somme est bâtie d’après la primauté de la notion du bien transcendantal, et fut rédigée par opposition avec la doctrine manichéenne des Cathares, en vogue au XIIIe siècle, qui s’appuyait sur la prééminence de deux principes métaphysiques causant le bien et le mal, d’où devaient procéder toutes les choses de la Création. Ceci explique que nous ayons privilégié de seulement examiner les notions du bien et du mal en un sens général, car c’est au stade universel de l’ontologie du bien que l’auteur défait la possibilité du mal de nature, en amont des ramifications du bien créé, déployées, à l’envi, dans les questions de la somme où les réponses sont assignées à des problèmes spécifiques. Nous offrons ici, pour la première fois, une traduction en français d’une série de questions ayant permis de mener à bien ce projet. / This master’s thesis intends to clarify Philip the Chancellor’s answer to the problem of evil in the Summa de bono (1225-1228). To this end, we focus on the concept of evil as located within the transcendental system and the division of created good resulting from the supreme good. This sum, which is conceived from the primacy of the transcendental notion of good, was drafted in opposition to the Manichean doctrine of Cathars, a belief popular in the thirteenth century, which states that two metaphysical principles cause good and evil and it is from these principles that all things are created by nature. For this reason, we decided to study the concepts of good and evil only in a general sense, because the author dismantles the possibility of natural evil at the universal level of the ontology of the good and, prior to the deployment of the created good, it is through the sum’s questions that specific problems can be resolved. Here, we offer for the first time a French translation of several questions useful to this project.
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Le problème du mal dans la Summa de bono de Philippe le Chancelier

Barichard, Louis-Hervé 08 1900 (has links)
Ce mémoire entend mettre en lumière la solution au problème du mal développée par Philippe le Chancelier dans la Summa de bono (1225-1228). À cet effet, notre analyse se polarise sur la notion du mal qui occupe à la fois le système des transcendantaux et la division du bien créé découlant du principe du souverain bien. La somme est bâtie d’après la primauté de la notion du bien transcendantal, et fut rédigée par opposition avec la doctrine manichéenne des Cathares, en vogue au XIIIe siècle, qui s’appuyait sur la prééminence de deux principes métaphysiques causant le bien et le mal, d’où devaient procéder toutes les choses de la Création. Ceci explique que nous ayons privilégié de seulement examiner les notions du bien et du mal en un sens général, car c’est au stade universel de l’ontologie du bien que l’auteur défait la possibilité du mal de nature, en amont des ramifications du bien créé, déployées, à l’envi, dans les questions de la somme où les réponses sont assignées à des problèmes spécifiques. Nous offrons ici, pour la première fois, une traduction en français d’une série de questions ayant permis de mener à bien ce projet. / This master’s thesis intends to clarify Philip the Chancellor’s answer to the problem of evil in the Summa de bono (1225-1228). To this end, we focus on the concept of evil as located within the transcendental system and the division of created good resulting from the supreme good. This sum, which is conceived from the primacy of the transcendental notion of good, was drafted in opposition to the Manichean doctrine of Cathars, a belief popular in the thirteenth century, which states that two metaphysical principles cause good and evil and it is from these principles that all things are created by nature. For this reason, we decided to study the concepts of good and evil only in a general sense, because the author dismantles the possibility of natural evil at the universal level of the ontology of the good and, prior to the deployment of the created good, it is through the sum’s questions that specific problems can be resolved. Here, we offer for the first time a French translation of several questions useful to this project.
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Définition et rôle du bonheur dans la philosophie pratique d'Emmanuel Kant

Sasseville, Jocelyn 04 March 2021 (has links)
Par ce mémoire, nous voulons participer à rétablir un équilibre dans l'interprétation de la philosophie pratique d'Emmanuel Kant, laquelle philosophie fut souvent accusée d'être « sévère », rigoriste voire austère. Nous étudions la définition et l'ensemble des rôles du bonheur dans la morale kantienne. Les ouvrages utilisés sont notamment la deuxième Critique et les Fondements de la métaphysique des mœurs. Nous nous penchons ainsi principalement sur la critique de l'eudémonisme, sur le bonheur comme fin naturelle nécessaire, sur les devoirs direct et indirect de travailler au bonheur et sur le but final et nécessaire de la raison pratique, le souverain Bien. Il est ainsi montré que Kant accorde une très grande importance au bonheur, bien qu'il refuse que son désir soit le principe fondateur et déterminant de la moralité.

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