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Des Pharaons kouchites aux Pharaons saïtes : identités, enjeux et pouvoir dans l’Egypte du VIIe siècle av. J.-C. / From the Kushite Pharaohs to the Saite Pharaohs : identities, issues and power in Egypt during the seventh century BC

Hourdin, Jeremy 23 January 2016 (has links)
Les études relatives à l'histoire de la première moitié du VIIe siècle av. J.-C. en Égypte sont encore relativement peu nombreuses. De ce fait, si les grandes lignes historiques sont chronologiquement assez bien établies, les étapes et les différents enjeux le sont quant à eux beaucoup moins.Cette période est marquée en Égypte par un important changement : les pharaons kouchites (de la XXVe dynastie, appelés aussi 'pharaons noirs' ou 'éthiopiens'), qui dominaient alors le pays depuis la fin du VIIIe siècle av. J-C., sont évincés par une nouvelle lignée de souverains d'origine libyenne (la XXVIe dynastie dite saïte), aidée par les invasions répétées de l'Égypte par l'Assyrie. Cette période de transition, d'environ une vingtaine d'années (entre les règnes de Taharqa, 690-664 av. J.-C., et de Psammétique Ier, 664-610 av. J.-C.), constitue ce sujet de recherche doctorale. L'objectif principal est donc d'éclairer de façon plus précise cette époque de transition en identifiant les acteurs principaux (souverains, clergé et dignitaires locaux) mais également les changements politiques, sociaux et culturels qui ont eu lieu. Une nouvelle étude qui prenne en compte les identités de chacun des protagonistes et leurs rapports avec le pouvoir est nécessaire. Il conviendra donc de définir le pouvoir pharaonique (sa nature et son expression notamment), les continuités et les modifications qui se sont opérées avec ce changement dynastique.Pour que cette étude puisse être la plus complète possible, ce sujet nécessite donc un réexamen de la documentation déjà connue par des recherches antérieures mais également la mise en lumière de documents mal connus ou encore ignorés. / The first half of the VIIth century BC have been marked in Egypt by an important transition. The Kushite pharaohs (the Nubian 25th dynasty, also named “black Pharaohs”) who dominated the country since the end of the eighth century, were ousted by a northern dynasty of Libyan origin (the 26th or Saite dynasty), in the context of the Assyrian invasions. This period of transition, between the reigns of the Kushite Taharqa (690-664) and the Saite Psamtik I (664-610) is the subject of this doctoral research.During the last few decades, the historical studies about the 25th and 26th dynasties have clarified the main events that marked Egypt and Nubia during this transitional period. If the more important historical events are relatively well known, the stages of the historical changes and the evolution of the pharaonic expression have been less studied.The main objective of this work is to clarify them by identifying the main protagonists (kings, clergy and local dignitaries) but also the political, social and cultural changes. The reign of the king Taharqa, thanks to the important and numerous documents (historical records and monuments) from Egypt and Nubia, constitute an important part of this research. The study of the textual and monumental expressions of Taharqa’s power (especially in Thebes in Egypt, or Kawa and Gebel Barkal in Nubia) and its evolutions in the context of the Assyrian wars, highlight the issues of this historical period. These informations can be completed by the documentation of the Kushite king Tanutamun and the saite Psamtik I.
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La narration et ses structures en égyptien de tradition :approche philologique et narratologique des textes royaux de la XXVe dynastie

Delhove, Arnaud 20 April 2017 (has links)
Ce travail porte sur la question de la verbalisation du récit dans sa structure formelle, par une approche philologique et narratologique, dans les textes royaux de la XXVe dynastie (dynastie couchite – 8e/7e s. avant notre ère), rédigés en égyptien de tradition. L’étude se fonde sur un corpus composé de 11 textes ayant comme caractéristiques d’être couchites, royaux, en égyptien de tradition, comportant des parties narratives, et suffisamment conservés. Parmi ceux-ci, l’on trouve la Stèle de la Victoire de Piânkhy (Caire JE 48862 ;JE 47086-47089) et la Stèle du Songe de Tanoutamon (Caire JE 48863). En outre, un corpus secondaire de 9 textes a été constitué dans une perspective synchronique et diachronique, avec par exemple les Annales d’Osorkon, ou encore les Annales de l’an 1-2 d’Irike-Amannote (Kawa IX), souverain de Couch postérieur à la XXVe dynastie. Pour répondre à la question de la structure formelle du récit, nous procédons en deux temps :d’abord par une étude des marqueurs narratifs (comme les auxiliaires séquentiels) ;puis par celle des structures et macrostructures du texte, en lien avec les séquences narratives ;enfin, par l’examen de facteurs influençant la verbalisation du récit. Dans la première partie, nous précisons dans une série de chapitres les formes et emplois des marqueurs narratifs (auxiliaires séquentiels, śpr pw ỉr.n⸗f, infinitifs narratifs, śḏm.ỉn⸗f, particules, dates, etc.). Pour chacun de ces marqueurs, nous faisons d’abord le point sur leurs formes et emplois en égyptien classique, néo-égyptien et égyptien de tradition, d’après les grandes synthèses grammaticales, avant de procéder à un examen systématique de leurs occurrences dans notre double corpus. En outre, précédant cette analyse, nous traitons de la situation linguistique à la XXVe dynastie (notamment la diglossie), et des caractéristiques de l’égyptien de tradition. Nous examinons également pour notre corpus principal la question de l’opposition des formes śḏm⸗f et śḏm.n⸗f. La seconde partie, qui s’appuie sur les marqueurs étudiés dans la première, traite des différents niveaux dans la structure générale du texte et du récit. Nous envisageons donc là les niveaux supérieurs à la proposition. Après des éléments théoriques sur la narration et sur la mise en récit de l’histoire, nous étudions le niveau séquentiel dans les récits du corpus, et mettons en évidence les structures épisodiques que l’on peut y trouver. Ensuite, nous examinons les éléments non-narratifs, descriptifs et dialogaux, et la façon dont ils intègrent ou sont intégrés dans les parties narratives. En nous appuyant sur les données de ces deux chapitres, nous envisageons alors les structures d’ordre supérieur à la séquence, pour remonter jusqu’au texte dans son ensemble. Enfin, pour montrer le lien entre la première et la deuxième partie, nous présentons la façon dont les marqueurs narratifs se spécialisent dans certains rôles dans la narration et la structuration du récit, et comment ils se hiérarchisent. Ce travail apporte donc une série de données sur la langue littéraire de la XXVe dynastie et ses caractéristiques, ainsi que sur la façon dont les rédacteurs recourent aux moyens linguistiques de l’égyptien de tradition pour organiser formellement leurs textes et transmettre, via le récit, l’histoire qu’ils voulaient communiquer. / Doctorat en Langues, lettres et traductologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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