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Evolution des traditions culturelles dans la vallée du moyen Euphrate de la fin du Bronze Ancien au début du Bronze Moyen / Evolution of cultural traditions from the late Early Bronze Age to early Middle Bronze Age in the Middle Euphrates Valley

Colonna d'Istria, Laurent 12 December 2009 (has links)
La vallée du moyen Euphrate, trait d’union entre la Mésopotamie du sud et la Syrie occidentale, est, durant la fin du la fin du IIIème millénaire et le début du IIème millénaire, gouverné par un šakkanakku installé à Mari (Tell Hariri, Syrie). Cette époque ainsi nommée « époque des šakkanakku » est, depuis deux décennies, étudiée avec un intérêt grandissant, en raison des découvertes archéologiques datant de cette époque. Une vue d’ensemble des données archéologiques et historiques de vallée du moyen Euphrate durant l’époque des šakkanakku suggèrent que le royaume de Mari, durant cette époque, s’est affirmé comme une puissance indépendante et prospère jusqu’au 19ème siècle (fin de l’époque des šakkanakku) où les données sont moins explicites sur le plan historique. Grâce à de nouvelles données textuelles provenant de Mari, mais également de Terqa (au nord de Mari) dont la majorité date de la fin de l’époque des šakkanakku, on a pu mettre en évidence des permanences et des ruptures entre la fin de l’époque des šakkanakku et l’époque suivante (époque « amorrite ») dans plusieurs domaines comme la langue, la « tradition scribale » ou encore dans la tradition juridique. Du point de vue dialectal, les textes du 19ème siècle montrent que la tradition linguistique est fortement ancrée dans l’univers syrien. Après l’avènement de l’amorrite Yahdun-Lim qui mit fin à l’époque des šakkanakku, la composante syrienne demeure présente, mais elle reste moins importante en raison d’une réforme de l’écriture modélisée sur la pratique sud mésopotamienne (Iraq actuelle), certainement due à la prépondérance politique d’Ešnunna durant l’extrême fin du 19ème siècle. Enfin, cette nouvelle documentation a également permis d’aborder des questions plus historiques notamment l’interaction des derniers šakkanakku de Mari avec des condottieres amorrites dont le père de Yahdun-Lim durant le 19ème siècle. / The valley of the Middle Euphrates, hyphen between South Mesopotamia and Western Syria, was ruled by a šakkanakku lived in Mari (Tell Hariri, Syria) during the end of the third millennium and early second millennium. This time period named "šakkanakku-period" is particularly studied since twenty years An overview of archaeological and historical data from the Middle Euphrates valley during the time of šakkanakku suggest that the kingdom of Mari during that time has established itself as a power independent and prosperous until the 19th century (end of the time of šakkanakku) where data are less explicit historically. The new text data from Mari, and Terqa (north of Mari), of the most dated from the end of šakkanakku-period, shows continuance and ruptures between the end of šakkanakku-period and the next period ("Amorite-period"). This continuance and ruptures are examined in several areas such as language, "scribal tradition" or in the legal tradition. The dialect of this text (19th century) shows that linguistic tradition is deeply rooted in the universe Syria. After the advent of the Amorite Yahdun-Lim who ended the time of the šakkanakku the Syrian characteristics in the dialect remains present, but it is less important because a reform of writing modeled on southern Mesopotamia (Iraq current), probably due to the preponderance of political Ešnunna during the end of the 19th century. Finally, this new text has also allowed dealing the historical interaction of the last šakkanakku Mari with condottieri Amorite whose father Yahdun-Lim in the 19th century.
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Le roi et son image en Syrie au bronze moyen : étude iconographique d’après la glyptique et d’autres documents figurés et écrits / The king and his image in Syria during the Middle Bronze Age : iconographical study through glyptic as well as other written and figurative sources

Muhesen, Nibal 12 September 2009 (has links)
Cette thèse a pour objectif d’étudier la « figure du roi » au travers de documents iconographiques du Bronze Moyen provenant de Syrie et plus particulièrement de la zone du Moyen-Euphrate entre 2000 et 1600 avant J.-C. Notre approche méthodologique qui porte prioritairement sur la partie sigillaire a consisté à établir un corpus des plus exhaustifs possibles des sceaux publiés et inédits. Après l’établissement de celui-ci, nous opérons des comparaisons pour dégager les caractéristiques de la représentation royale. Dans un premier temps, le cadre spatio-temporel retenu pour cette étude est défini. Par la suite, nous effectuons une mise au point sur l’histoire de la question de la représentation royale dans la glyptique syrienne du Bronze Moyen. Le développement qui suit constitue la cible de cette thèse. Les objets qui servent de base à cette étude viennent de vingt cinq sites archéologiques différents. Les sites de Moyen-Euphrate syrien, divisés en deux ensembles : partie nord et partie sud couvrant la zone-clefs de cette thèse, ont été soigneusement étudiés. En suite et afin de mieux définir la « figure du roi » dans l’iconographie, des moyens d’identification ont été décrits. La suite comporte une analyse de toutes les représentations de la figure royale, que nous tentons de définir par type. Le paragraphe présentant chaque modèle est suivi d’un tableau montrant l’aire de diffusion au sein de l’aire géographique concernée. Suit un inventaire des multiples aspects de cette iconographie royale, au sein duquel on distingue des : 1. Modèles dominants: le roi à la masse d’arme, le roi vainqueur, le roi-orant et le roi de type « syrien » que nous tentons de définir.2. Modèles dérivés: le roi-porteur d’offrande, représentation royale avec une divinité féminine, le roi-pharaon de type «égyptien », les cas de la duplication de la figure royale.Par ailleurs, une étude des « personnages incertaines » que nous expliquons est également menée. La présence de multiples divinités aux côtés des rois nous a conduits à en effectuer l’inventaire et à en préciser dans la mesure du possible l’iconographie, le cas échéant à préciser la nature des cultes qui leur étaient rendus. Cependant, des questions importantes, comme la compréhension de certaines réalités telles que la question complexe de la« divinisation ou non du personnage royal », ou les « Dieux politiques » ont été posées. De plus, des problèmes tels que le rite de « kispûm » ou la question de « Dieu de roi » ont été abordés. Parmi nos conclusions les plus importants on souligne : l’aspect régional de l’image du roi en Syrie, le rapport particulier entre l’archéologie et la glyptique ainsi que le fond sacré de l’idéologie royale de l’époque amorrite. Au niveau de l’organisation de cette thèse, notre premier volume est accompagné d’un second volume représentant le catalogne des matériels étudiés (env. quatre cent objets). L’ensemble est complété par deux index et de références bibliographiques. / This doctorate (Ph.D.) research studies the representation of Syrian kingship during the Amorite period (ca. 2000-1600 B.C), essentially through glyptic evidence, supplemented by sculpture, wall paintings, and written sources from the same period.The methodology is anchored in defining a precise iconographic corpus. This step allows revising past conclusions and establishing new identifications for the king’s role in artistic as well as written expressions. A major accomplishment is the identification of objects that derive from clear, stratified archaeological and cultural contexts.After defining the spatial and chronological frame, this study offers a brief review of the twenty-five sites from which the material is assembled. They are located in the Middle-Euphrates valley and divide between those in the northern and southern segments. Characteristics for a “royal figure” are identified and then defended. Iconography permits to distinguish diverse models of the “royal for each of the Syrian regions.The models divide into:1. Main models: the warrior-king, the king-priest, the king of “Syrian” type2. Secondary models: royal officials or the “duplication” of the royal figureIn addition, “miscellaneous figures” are also classified.On the epigraphic level, in this study there is liberal use of information from the archive of Mari as well as of Terqa, discriminating between materials derived from epistolary, religious, political, and administrative documents, as the ruler acts as a priest, dispenser of justice, warrior, or family man. A special chapter is devoted the interrelationship among kings, personal, and state gods. There is also consideration of funerary rituals (kispum) as well as the issue of the deified king.The study takes into consideration the following issues: the royal image of Syrian kings as shown in regional perspective, the connection between glyptic arts and their archeology, and the religious basis of royal ideology during the Amorite period.The dissertation includes a second part in which is catalogued over four hundred iconographic objects or images. Bibliographic references and indexes complete the study.

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