• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 207
  • 20
  • 12
  • 3
  • 3
  • 2
  • 1
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 262
  • 111
  • 46
  • 39
  • 24
  • 23
  • 18
  • 14
  • 14
  • 14
  • 14
  • 13
  • 12
  • 12
  • 12
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
31

La femme tunisienne au temps de la colonisation, 1881-1956 /

Bakalti, Souad. January 1996 (has links)
Th. doct.--Hist.--Nantes, 1986. Titre de soutenance : La femme tunisienne pendant la colonisation, 1881-1956.
32

La Ville de Sfax recherches d'archéologie monumentale et évolution urbaine /

Mahfoudh, Faouzi, January 1989 (has links)
Th.--Hist. et civilis.--Paris 4, 1988.
33

L'union libre chez les jeunes tunisiens

Rouissi, Mourad 16 April 2018 (has links)
Le présent travail met en relief l'atome de la représentation sociale du mariage chez les jeunes tunisiens qui vivent en union libre et son rapport complexe avec leurs vécus, leurs opinions, leurs attitudes, leurs pratiques et leurs expériences. L'accès de plus en plus facile aux nouvelles conduites "occidentales" à l'échelle des pratiques sexuelles et leur contexte sociohistorique jouent ensemble un rôle décisif dans cette dynamique représentationnelle. Notre enquête montre que l'atome de la représentation sociale du mariage chez les jeunes vivants en union libre est organisé autour de quatre éléments centraux : "ichra ", "hana" et "responsabilité" (le proton) et "relation officielle" (le neutron).
34

Sortir du regard colonial : politiques du patrimoine et du tourisme en Tunisie depuis l'indépendance

Saidi, Habib 12 April 2018 (has links)
Ce travail a pour objet l'étude de l'image que se font les Tunisiens d'eux-mêmes depuis le détachement du pays du joug colonial. Dans l'ambition de mettre en évidence les facteurs externes et internes qui président à l'élaboration de cette image, cette recherche est articulée sur une approche du binôme tourisme-patrimoine. L'accent porte sur la volonté d'expliquer l'ambivalence entre deux regards, l'un tourné vers l'extérieur et l'autre vers l'intérieur. La Tunisie, petit pays de 164 000 kilomètres carrés, accède à l'indépendance en 1956. Cette démarche politique conjuguée à l'accueil de masse de touristes étrangers en font un bon exemple pour appréhender les enjeux des politiques patrimoniales et touristiques dans un contexte de décolonisation. De plus, la Tunisie présente l'intérêt d'avoir fait des choix originaux. Je suggère l'idée de jumellité entre la modernisation et le tourisme étant donné que la nécessité de répondre politiquement aux ambitions modernistes des élites tunisiennes, a été accompagnée par l'ouverture du pays à l'industrie touristique. Ainsi, le tourisme est devenu un véritable acteur des politiques sociales et culturelles lors de la refonte du pays au cours des dernières décennies. Cet acteur a une position dominante dans les débats qui touchent le patrimoine, et par là dans la formation de l'identité et de l'image du pays eu égard aux siens et aux autres. Par son insertion dans les politiques de développement et d'urbanisation, par la construction d'hôtels et de vastes infrastructures qui irriguent le littoral de flux de visiteurs, il est un facteur qui influence l'évolution de la société tunisienne. Ces ensembles d'infrastructures ont aussi une utilité pour l'État qui veut qu'ils soient perçus comme des symboles de progrès et de développement. 11 a réussi à faire admettre à ses citoyens que la bande littorale est entrée de plain-pied dans une modernité qui se veut aux antipodes de zones plus reculées. Cette nouvelle configuration du territoire, quoique implicite et non officielle, se concrétise dans l'apparition d'une image latente, fissurée, qui donne l'impression aux Tunisiens de vivre dans un pays fractionné. D'une part, un littoral miroir de l'Occident perfusé par le tourisme dont la présence renforce ce sentiment. Et d'autre part, plus à l'écart, loin des sentiers battus une zone d'ombre qui ne se reconnaît pas dans le reflet que lui suggère le miroir littoral. Une idée s'est répandue dans le pays : elle se résume à une opposition entre moderne et traditionnel, celle-ci se retrouve sur la juxtaposition Occident-Orient, Arabe-Européen et passé-présent. Dans cette zone d'ombre considérée comme un « arrière-pays » se glisse l'idée qu'y serait refoulé l'Orient, le passé, la tradition... le patrimoine.
35

The non-traditional political engagement of 'Pious Illiberal Muslim Activist' women in 2019 Tunisia / Engagement politique non traditionnel des militantes musulmanes pieuses illibérales en Tunisie en 2019

Bonci, Alessandra 19 September 2022 (has links)
Cette étude contribue à la littérature sur le genre, la théorie des mouvements sociaux et le nationalisme en mettant en lumière l'engagement politique des femmes pieuses et leur compréhension de la citoyenneté dans la Tunisie post-révolutionnaire. Le cadre théorique de ce travail s'enracine dans le concept d'« autorité identitaire » élaboré par Nielsen (2020). Cette étude porte sur les stratégies de résistance des femmes contre ce qu'elles perçoivent comme un État impie leur imposant un modèle rigide d'identité nationale, la Tunisianité. La recherche empirique pour ce travail a été menée à Tunis, entre 2018 et 2020, à travers des entretiens semi-structurés avec de pieuses militantes musulmanes illibérales dans deux associations coraniques, les membres du parti non électoral Hizb ut-Tahrir, une femme salafiste, une militante indépendante, une S17, et des fonctionnaires d'État, les wa'ydhat. Au sein des associations coraniques, j'ai effectué l'observation participante pendant huit mois à Tunis. J'ai tendance à voir la population très hétérogène de cette étude comme une force car j'ai réussi à observer de multiples exemples de ce que j'appelle des femmes musulmanes pieuses et illibérales et leurs différentes revendications politiques. Les résultats de la recherche empirique montrent que: • Les « activistes musulmanes illibérales pieuses » ne rentrent pas dans la théorie de la soumission, car elles font preuve d'agence à travers leur engagement politique non traditionnel (voir Chapitre 1, 2) ; • Les « activistes musulmanes illibérales pieuses », en particulier celles des associations coraniques, sont, contrairement au sens commun, des citoyennes politiquement conscientes (voir chapitre 4) ; • Les « activistes musulmanes illibérales pieuses » s'opposent consciemment à la notion de Tunisianité (voir chapitres 5, 6, 7) • Les « activistes musulmanes illibérales pieuses » ont crée des espaces d'autonomie par rapport à leurs homologues masculins (voir chapitre 8). Sur le plan méthodologique, j'ai trouvé que: • L'enquête comme méthode de recherche n'est pas particulièrement efficace pour étudier de petits groupes où la confiance doit être mise en place avant l'enquête (voir chapitre 3). / This study contributes to the literature on gender, social movement theory and nationalism in shedding light on the political engagement of pious women and their understanding of citizenship in post-revolutionary Tunisia. The theoretical frame of this work is rooted in the concept of "identity authority" elaborated by Nielsen (2020). This study focuses on women's strategies of resistance against what they perceive being an impious state imposing on them a rigid model of national identity, the Tunisianité. Empirical research for this work was conducted in Tunis, between 2018 and 2020, through semi-structured interviews with pious illiberal Muslim women activists in two koranic associations, the members of the non-electoral party Hizb ut-Tahrir, one Salafi woman, one independent activist, one S17, and religious civil servants, the wa'ydhat. Within the koranic associations, I carried out participant observation for eight months in Tunis. I tend to seethe highly heterogeneous population of this study as a strength as I managed to observe multiple examples of what I call pious, illiberal Muslim women and their different political claims. The empirical research findings show that: • "pious illiberal Muslim women activists" cannot fall under the submission theory, as they show agency through their non-traditional political engagement (see Chapter 1, 2); • "pious illiberal Muslim women activists", especially those in the koranic associations, are, against conventional wisodm, politically conscious citizens (see Chapter 4);• "pious illiberal Muslim women activists" consciously oppose the notion of Tunisianité (see Chapters 5, 6,7)• "pious illiberal Muslim women activists" managed to find spaces of autonomy from their male counterparts (see Chapter 8) On a methodological level, I found that: • survey as research method is not particularly efficacious for studying small groups where trust need to be implemented before the survey (see Chapter 3).
36

L'influence du salafisme dans le processus de rédaction de la nouvelle constitution tunisienne

Zouaghi, Sabrina 23 November 2018 (has links)
Le présent mémoire tente d’apporter un éclairage nouveau sur le phénomène du salafisme et son implication au coeur du processus de constitution-making de la transition tunisienne en répondant à la question de recherche suivante : « les salafistes tunisiens, de par leur idéologie qui ne privilégie que la légitimité de leurs propres revendications et de par leurs actions qui ne favorisent pas la négociation, le compromis et la coexistence de différentes factions sociétales, ont-ils influencé le processus de rédaction de la nouvelle constitution tunisienne, et si oui, de quelle(s) manière(s) et quels ont été les impacts ? ». Les résultats du mémoire font état que les salafistes tunisiens ont influencé le processus constitutionnel, mais pas le contenu de la constitution. En effet, ils ont réussi à remettre sur la table la question de la charî’a dans les débats constitutionnels et plus particulièrement dans les discussions internes du parti Ennahda grâce à des formes de mobilisation parainstitutionnelle. Cependant, ces formes de mobilisation n’ont pas eu l’effet escompté d’inscrire la charî’a dans la nouvelle constitution. En réalité, le contexte socio-politique a plutôt favorisé l’exclusion des salafistes à cause de leurs discours qui discréditaient les autres factions sociétales et politiques et de leurs actions qui ne favorisaient pas la négociation, le compromis et la coexistence avec ces factions. Les salafistes, comme groupe social particulier qui attire les franges populaires de la société, véhiculent une idéologie religieuse entraînant des impacts politiques et sociaux qui les distingue de la majorité des Tunisiens. Si Ennahda entretenait certains objectifs communs avec les salafistes, ses deux partenaires politiques ne se retrouvaient pas dans une situation similaire, bien au contraire. Les salafistes, par leurs discours et leurs actions, empêchaient l’atteinte d’un compromis démocratique entre ces partis politiques et représentaient une menace pour les règles de garantismo qu’ils étaient en train de négocier. Ils exacerbaient la polarisation entre « islamistes » et « non-islamistes » et menaçaient la coexistence des deux camps. Lers intérêts paraissaient ainsi ne pas faire partie d’un consensus possible entre les factions les plus importantes qui ne considéraient pas les salafistes comme des acteurs significatifs au sein de la société tunisienne. Ils ont été dès lors exclus du jeu démocratique, à la fois des débats et du processus. La mise au rancart de leurs intérêts a été l’un des coûts à assumer pour Ennahda, afin d’assurer l’adoption de la nouvelle constitution tunisienne et la réussite de la transition démocratique.
37

The international dimension of Tunisia's transition to democracy : from consensus over democracy to competitiveness within democracy

Marzo, Pietro 10 February 2024 (has links)
Après le déclenchement des révoltes arabes en 2010, la Tunisie est le seul pays arabe à s'être démocratisé avec succès, dans une région où un repli autoritaire est en train de sévir. Les chercheurs ont étudié la transition démocratique tunisienne en se concentrant principalement sur ses facteurs internes, alors qu'ils ont accordé peu d'attention à l'impact des facteurs internationaux et des influences externes sur le processus de transition. S'appuyant sur une analyse qualitative, cette étude examine la dimension internationale de la transition de la Tunisie vers la démocratie et soutient que les facteurs et influences internationaux ont joué un rôle important dans le processus de démocratisation. Cette recherche se concentre sur l'impact que l'agence des promoteurs internationaux de la démocratie a eu sur la structure nationale tunisienne. Il met en évidence la façon dont l'interaction entre les acteurs internationaux et les groupes nationaux tunisiens a contribué au processus de démocratisation, sans soutenir que les facteurs externes ont imposé les choix et des acteurs politiques et sociaux tunisiens. L'étude expose trois résultats théoriques qui contribuent au débat sur la dimension internationale de la démocratisation. Premièrement, cette recherche suggère que lorsque les promoteurs internationaux de la démocratie soutiennent les oppositions nationales à développer une confiance mutuelle à renforcer leurs liens, et de combler les divisions, il favorise l'émergence des nouveaux ‘centres de pouvoir’. Les données empiriques fournies par cette étude démontrent que les programmes d'aide à la démocratie et les influences libérales internationales ont favorisé la création d'une coalition tunisienne pro-démocratie d'opposition au régime de Ben Ali. Deuxièmement, cette étude avance que le faible niveau de la bataille étrangère pour l'influence en Tunisie a facilité le processus de négociation entre les élites de transition pendant le processus de démocratisation. Troisièmement, cette étude soutient que lors de la transition tunisienne vers la démocratie, les promoteurs internationaux de la démocratie ont aidé les partis politiques tunisiens à passer d'un consensus initial sur la mise en place d'un système politique démocratique à une concurrence au sein du système démocratique mis en place. Bien que cette étude se concentre uniquement sur le cas de la Tunisie, tous les chapitres fournissent des preuves comparatives avec d'autres contextes régionaux. / Following the outbreak of the Arab revolts in late 2010, Tunisia is the only Arab country that has democratized successfully in a region where authoritarian retrenchment prevails. Scholars have studied the Tunisian transition to democracy focusing mainly on domestic factors, devoting little attention to the role international factors and external influences played in the transitional process. Relying on qualitative analysis, this study investigates the international dimension of Tunisia’s transition to democracy and argues that international factors and influences played a relevant role in the democratization process. This research focuses on the impact the agency of international democracy promoters had on Tunisian national structure during the transition to democracy, without downplaying the agency of Tunisian political and social actors. It highlights how the interplay between international actors and Tunisia domestic groups contributed to the making of the democratization process. The study lays out three theoretical findings that contribute to the debates on the international dimension of democratization and democracy promotion. First, it suggests that when international democracy promoters support domestic oppositions in developing mutual trust, strengthening ties and bridging divisions, they enhance the emergence of new alternative ‘centres of power’ to the regime. Second, this study argues that the low level of foreign squabbling for influence in Tunisia facilitated the bargaining process among transitional elites during the democratization process. Third, this study suggests that during the Tunisian transition to democracy, international democracy promoters helped Tunisian transition elites to move from the initial consensus over democracy to competition within the democracy. While this study focuses only on the Tunisia’s case, all the chapters provide comparative evidence with other countries in the Middle East and North Africa to back up the empirical findings and the theoretical reflections.
38

Libéralisation commerciale et échanges internationaux : le cas de l'agriculture en Tunisie / Trade liberalization and international trade : the case of the agriculture in Tunisia

Wilhelm, Sabine 10 December 2008 (has links)
La thèse est consacrée aux effets d'impact de la libéralisation commerciale dans un pays émergent : la Tunisie. La problématique est la suivante : la volonté tunisienne d’intensifier sa croissance passe-t-elle par la libéralisation agricole, ou celle-ci est-elle trop négative, surtout conjuguée aux mesures de stabilisation recommandées à la Tunisie ? La libéralisation agricole ne repose pas que sur la suppression des protections tarifaires ou des restrictions quantitatives faisant l'objet d'Accords Internationaux. La multiplicité des protections rend leur recensement et leur agrégation difficiles. Dans notre recherche, c’est l’année 1994 qui sert de repère temporel pour comparer l’évolution des échanges tunisiens avant et après la signature de l’Accord de Marrakech. Le double choix que nous faisons d'un repère temporel et d'une analyse totalement longitudinale n'avait pas été effectué pour traiter le cas de la libéralisation agricole tunisienne. Nos résultats économétriques, obtenus avec des modèles Near Var, montrent que la libéralisation est globalement favorable à la croissance et aux échanges commerciaux tunisiens. Toutefois, ces deux dernières variables ne sont que faiblement expliquées par des relations stables. La libéralisation n'affecte donc qu'une part réduite des échanges et du PIB tunisiens. Cette analyse en équilibre partiel est complétée par un modèle d'équilibre général calculable sans fonction de Cobb-Douglas ou élasticité CES-CET. Il montre que la libéralisation agricole peut être compatible avec la volonté de limiter le déficit budgétaire tunisien. Elle peut aussi favoriser la croissance, mais s'accompagne alors d'un risque de baisse des salaires. / The thesis deals with the impact of trade liberalization in a developing country : Tunisia. The issue is as follows : is agricultural liberalization contributing to economic growth in Tunisia or is liberalization having such detrimental consequences, in particular given the stabilisation measures concerning Tunisia, which makes it impossible ? The liberalization of agricultural trade does not exclusively encompass the elimination of tariff or quantitative barriers regulated by the International Agreements. The multitude of trade barriers makes it difficult to aggregate and tally them. For the purposes of this thesis, we have used year 1994 as the temporal benchmark to compare Tunisian trade before and after the signing of the Marrakech Agreement. The method to carry out a totally longitudinal analysis and to use a temporal benchmark was not previously used when dealing with agricultural liberalization in Tunisia. Our results show that liberalization is in general favourable to economic growth and to the Tunisian trade. However, trade and growth are only partially explained in this longitudinal analysis. As a consequence, liberalization has a limited impact on the Tunisian trade and on the GDP. This analysis of partial equilibrium is completed by a computable general equilibrium model, which contains no Cobb-Douglas function or CES-CET elasticity. Against all odds, it shows that agricultural liberalization is compatible with the wish to limit the budget deficit in Tunisia. Liberalization can even improve economic growth, but also entails the risk of reduction in wages.
39

Les transferts technologiques : le cas de la téléphonie mobile en Tunisie

Mansour, Ali 06 1900 (has links) (PDF)
La technologie est devenue ces dernières années une arme essentielle pour toutes les entreprises évoluant au sein d'un environnement caractérisé par une concurrence de plus en plus acharnée. En effet, suite à la mondialisation, le transfert de technologie est devenu un acte courant entre toutes les parties prenantes. Peu de recherches ont été élaborées concernant les transferts technologiques dans le domaine des télécommunications. Dans cette perspective, nous avons débuté par une revue de littérature afin d'illustrer les différents concepts théoriques. Dans la deuxième étape, nous avons enchaîné avec la partie empirique en nous basant sur les modèles de Bidault (1996) et celui de Rouach (1999). Une enquête par entrevues directes a été menée en Tunisie lors des mois de mai, juin et juillet 2006 afin de décrire les stratégies de collaboration nationale et internationale des entreprises tunisiennes dans le secteur des télécommunications et essayer de décrire le rôle des pôles technologiques dans le but d'améliorer la situation. Cette étude présente un apport certain pour les entreprises tunisiennes publiques et privées du secteur des télécommunications, mais aussi pour les fournisseurs étrangers de cette technologie ainsi que pour tous les chercheurs qui veulent explorer le sujet de transfert technologique dans le secteur du sans-fil. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : transfert technologique, télécommunications, pays en voie de développement, dépendance technologique, pôle technologique.
40

Le mouvement patriotique de libération en Tunisie et le panislamisme (1906-1920) /

Abdelmoula, Mahmoud, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Thèse d'État--Faculté des sciences humaines et sociales--Tunis, 1998. / Bibliogr. p. 279-294.

Page generated in 0.0315 seconds