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La science et l'espace public de la conception scientifique du monde au "Vivre ensemble" chez Otto Neurath

Moysan-Lapointe, Héloïse January 2012 (has links)
Le mémoire vise à dégager le lien entre la connaissance scientifique et les interactions politiques décrit par Otto Neurath à travers son oeuvre. Pour ce faire, il est nécessaire de présenter l'empirisme logique de Neurath dans certaines de ses spécificités, puis d'évaluer comment cette approche épistémique est indissociable de questions politiques et sociales. Après avoir explorés [i.e. exploré] certaines caractéristiques du modèle épistémique formulé par Neurath, on s'intéressera plus spécifiquement à la question de l'unité de la science, à travers laquelle on peut saisir plusieurs des préoccupations fondamentales de Neurath comme l'articulation de la connaissance à l'action, les limites de la connaissance relatives aux limites du langage et les limites de la connaissance relatives aux limites pratiques de l'action. Dans un deuxième temps, on pourra comprendre comment cette conception de la science et de la connaissance est élaborée dans la perspective d'une utilisation démocratique de la connaissance. L'intérêt de Neurath est de considérer l'utilité de la science dans l'espace public non seulement quant à l'apport d'informations qu'elle permet, mais aussi des outils discursifs utiles à un processus décisionnel rationnel, démocratique et transparent. Il faudra cependant considérer les limites de tels outils en rappelant les questions relatives aux limites de la science, les liens entre ces limites, la forme de pluralisme politique impliquée, et le caractère lui-même politique de l'activité scientifique. On pourra finalement évaluer le potentiel politique du langage empirique proposé par Neurath comme part constituante de la délibération démocratique. Si le verdict est positif, on pourra alors admettre la valeur éthique de la normativité épistémique pragmatiste proposée par Neurath.
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La pluralité des interprétations d'une théorie scientifique : le cas de la mécanique quantique

Boyer, Thomas 02 December 2011 (has links) (PDF)
Certaines théories scientifiques admettent plusieurs interprétations, c'est-à-dire qu'elles sont compatibles avec plusieurs images du monde. J'étudie ici le cas de la mécanique quantique contemporaine comme exemple d'une théorie admettant des interprétations variées. Parmi les interprétations les plus célèbres de la mécanique quantique, on peut citer l'interprétation orthodoxe de Copenhague, celle de la mécanique de Bohm ou celle des mondes multiples d'Everett. Actuellement, il n'existe pas de consensus vis-à-vis de l'interprétation correcte de la mécanique quantique, que ce soit parmi les physiciens ou parmi les philosophes. Cette thèse étudie les enjeux liés à l'existence d'une telle pluralité d'interprétations, à travers plusieurs points de vue méthodologiques. Le premier s'attache à analyser formellement ce que sont les interprétations quantiques et en quel sens ce sont les interprétations d'une même théorie, c'est-à-dire qu'elles restent empiriquement équivalentes. Dans une deuxième partie, je m'intéresse aux rôles que jouent les diverses interprétations quantiques dans la pratique scientifique. J'étudie l'unité qui prévaut dans la recherche en mécanique quantique, en dépit de la diversité des interprétations utilisées. Je propose une notion d'unité fondée sur la réutilisation des travaux scientifiques, lorsque des interprétations différentes sont employées. Dans une troisième partie, je me penche sur les aspects normatifs de la pluralité d'interprétations. Je cherche à savoir sous quelles conditions une telle pluralité peut être bonne pour le fonctionnement de la recherche et le progrès épistémique. Je propose pour cela un modèle de théorie des jeux.
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La pluralité scientifique en action - le cas du LabEx IMU / Scientific plurality in action – a case study of the LabEx IMU

Sauzet, Romain 24 April 2017 (has links)
À partir d'une analyse de la science contemporaine comme état de pluralité scientifique, nous nous intéressons à la situation épistémologique particulière qu'est la mise en œuvre de cet état de pluralité, c'est-à-dire à la pluralité scientifique en action, sous la forme de projet de relations entre disciplines scientifiques distinctes. Nous définissons la relation disciplinaire comme une relation d'interaction volontaire entre différents chercheurs issus de disciplines et/ou de spécialités différentes, autour d'un problème commun, pour lequel leurs compétences épistémiques spécifiques sont requises. Dans ce but, nous associons une réflexion théorique à une d'un terrain propice : le LabEx IMU (Laboratoire d'Excellence de l'Intelligence des Mondes Urbains) et les projets scientifiques qui émergent en son sein, à partir de disciplines aussi distinctes que les sciences informatiques, l'archéologie, la biologie, sociologie, philosophie, etc. L'étude de pluralité scientifique en action veut également dire : telle que la pluralité scientifique est pratiquée. Notre objectif est de mobiliser les ressources philosophiques ( philosophie des sciences générale, pragmatisme, épistémologie sociale, philosophie empirique) pour rendre compte de la dimension proprement épistémique de ces projets, c'est-à-dire leur objectif de connaissance. Dans ce but, nous analysons le contexte de spécialisation disciplinaire dans lequel des situations d'interactions émergent, en considérant que bien que cette spécialisation soit le plus souvent justifiée épistémique, d'autres dynamiques scientifiques apparaissent comme nécessaires. Nous défendons la thèse suivante : ces interactions sont des réponses à la nécessaire tension à l'unité dans la science, tout en étant devant être considérées sur un plan épistémologique comme des tentatives de mise en ordre non théoriques, qui anticiperaient ce que la science qui devrait être. Pour préciser ce que sont les projets de relation disciplinaire, nous nous intéressons à la condition de la science qui les rend possible (division du travail scientifique ; communauté scientifique), ainsi qu'aux moyens d'instruire philosophiquement de telles situations, en mobilisant la notion d'enquête chez Peirce et Dewey, notamment dans le lien qu'elle permet entre sens commun et enquête scientifique. À l'encontre de plusieurs approches de l'interdisciplinarité, qui cherchent à définir un niveau d'interaction satisfaisant, nous proposons de rendre compte de la multiplicité des interactions épistémiques au sein de la science et de développer des moyens d'analyse susceptible de représenter ces situations. Dans ce but, nous revalorisons la place des disciplines, afin de justifier le fait que ces projets sont principalement la poursuite d'une science normale par d'autres moyens. Nous analysons également en quoi ces projets doivent être considérées comme une bonne manière de faire de la science, fondés en premier lieu par leur excellence épistémique. D'autres valorisation deviennent alors possibles : comme commensurabilité aux phénomènes, comme confrontation à des problèmes pratiques et comme maximisation de la culture et des valeurs scientifiques. En confrontant ces analyses à notre terrain d'étude, nous développons des catégories analytiques susceptibles de représenter les situations d'interactions, en proposant une typologie des relations disciplinaires ainsi qu'une étude plus globale des projets de relations disciplinaires en eux-mêmes. Nous terminons notre étude par l'analyse de différents projets du LabEx IMU, en leur appliquant les catégories de représentation précédemment développées. / From an analysis of contemporary science as a state of scientific plurality, we study the particular epistemologic situation of the implementation of this state of plurality, that is to say the scientific plurality in action, as it takes form into projects of relationships between distinct scientific disciplines. We define disciplinary relationship as a volunteer relation of interaction between different searchers from different scientific disciplines/specialites around a common issue, for which their specific epistmemic competences are required. In this goal, we associate a theoric reflexion with a fieldwork : the study of the Labex IMU - (Laboratoire d'Excellence de l'Intelligence des Mondes Urbains ; Excellence Laboratory of the Intelligence of Urban Worlds) within which scientific projects emerge, from disciplines as different as computer science, archeology, biology, sociology, philosophy and so on. Thus, the study of the scientific plurality in action means : as the plurality is practised. Our objective is to use philosophical ressources (general philosophy of science, pragmatism, social epistemology, empirical philosophy) to describe the epistemic dimension of these projects, that is to say their objective of knowledge. With this objective in mind, we analyse the origin of this state of diversity through the problem of disicplinary specialization, by showing that, even if these specialization is most of the time justified, other dynamics appears necessary. We defend the following these : these interactions are answers to the necessary tension toward the unity of science, and they must be considered from an epistemologic point of view as non-theoric set in order attempts which would anticipate the science that must be. To specify what are the projects of disciplinary relationships, we study at firt the scientific condition that makes it possible (scientific work division ; scientific community), and the means to analyse philosophically such situations, by engaging the notion of inquiry of Peirce and Dewey, in particular the link that it allows between common sens and scientific inquiry. On opposition to several interdisciplinarity approaches, which seek to define a satisfactory level of interaction, we propose to investigate the multiplicity of epistemic interactions in science and to develop analytical means to represent such situations. Thus, we accord more status to disciplines, in order to justify the fact that these projects are a mere continuation of normal science by other means. We analyse also how these projects must considered as good science, founded in epistemic excellence at first place. Other valorisations becomes possibles : as commensurability to phenomenons, as a confrontation to pratical issues and as a maximisation of scientific culture and values By confronting these analysis to our fieldwork, we develop analytical categories capable to represent the situations of interactions, by proposing a typology of disciplinary relationships and a more globla study of the projects of disciplinary relationships in their own. We finish our study by the analysis of several projects of the LabEx IMU, by apling to them the representational categories previously developped.

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