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Tempel und Palast die Beziehungen zwischen dem König und dem Eanna-Tempel im spätbabylonischen UrukKleber, Kristin January 1900 (has links)
Zugl.: Münster (Westfalen), Univ., Diss., 2008
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Siegelabrollungen aus den archaischen Bauschichten in Uruk-Warka /Brandes, Mark A. January 1979 (has links)
Texte remanié de: Habilitationsschrift--Philosophie--Freiburg i. Br., 1967. / Notes bibliogr. Index.
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Gilgamesh, the hero of MesopotamiaAziz, Lamia January 2009 (has links)
This thesis creatively reconsiders the ancient Sumerian Epic of Gilgamesh and offers a design of the ancient epic as a contemporary, illustrated text. The work is concerned with notions of heroism, and methods relating to construction of imagery. The manifestation of this investigation is the illustrated book Gilgamesh, the Hero of Mesopotamia, which comprises the principal site of research in the project. It consists of thirty-six drawings that explore cyclic composition as a form of narrative discourse.
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Gilgamesh, the hero of MesopotamiaAziz, Lamia January 2009 (has links)
This thesis creatively reconsiders the ancient Sumerian Epic of Gilgamesh and offers a design of the ancient epic as a contemporary, illustrated text. The work is concerned with notions of heroism, and methods relating to construction of imagery. The manifestation of this investigation is the illustrated book Gilgamesh, the Hero of Mesopotamia, which comprises the principal site of research in the project. It consists of thirty-six drawings that explore cyclic composition as a form of narrative discourse.
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Uruk : Urkunden aus Privathäusern : die Wohnhäuser westlich des Eanna-Tempelbereichs /Kessler, Karlheinz. January 1991 (has links)
Habilitationsschrift--Fachbereich Altertumswissenschaften--Freie Universität Berlin, 1986. / Bibliogr. p. XI-XVII. Index.
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Uruk : spätbabylonische Wirtschaftstexte aus dem Eanna-Archiv.Gehlken, Erlend. January 1990 (has links)
Diss.--Fakultät für Orientalistik und Altertumswissenschaft--Universität Heidelberg, 1986.
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Familie : Beruf und Amt im spätbabylonischen Uruk : prosopographische Untersuchungen zu Berufsgruppen des 6. Jahrhunderts V. Chr. in Uruk / von Hans Martin Kümmel.Kümmel, Hans Martin. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Habilitationsschrift--Fachbereich Altertums- und Kulturwissenschaften--Tübingen. / Notes bibliogr. Index.
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Expansion urukéenne et contacts culturels en Mésopotamie du Nord au 4e millénaire : l'apport théorique de l'anthropologie à la pratique de l'archéologie / Urukeen Expansion and Cultural Contacts in north Mesopotamia to the fourth millennium : The theoretical contribution of anthropology to the practice of archaeologyGauvin, Lucy 17 December 2010 (has links)
La culture urukéenne de la Mésopotamie du Sud a fait l’objet de multiples analyses afin d’interpréter ses contacts au 4e millénaire. La découverte d'un nombre important de matériel de facture urukéenne sur les sites de la Mésopotamie du Nord a conduit les archéologues à proposer que cette présence était le résultat d'une expansion urukéenne dans cette région. Or, l'utilisation de théories anthropologiques pour l'étude archéologique des contacts culturels permet d'explorer d'autres formes de contact et de proposer l’hypothèse selon laquelle le matériel urukéen découvert en Mésopotamie du Nord est le fruit de la volonté des élites nord-mésopotamiennes visant des intérêts politiques, économiques et sociaux. L'émulation des dirigeants nord-mésopotamiens, qui veulent profiter de la puissance des Urukéens pour renforcer leur statut, ne peut qu'être le résultat d'un compromis entre les élites des deux régions qui y trouvent chacun leurs intérêts. / The urukeen culture of South Mesopotamia has been the subject of many studies to interpret its contacts in 4th millennium B.C. The important number of urukeen material discovered on many sites of northern Mesopotamia has led to the conclusion that this presence was the result of an urukeen expansion in this region. However, the use of anthropological theories for the archaeological study of cultural contacts enables to explore other forms of contact and to propose the hypothesis according to which the urukeen material discovered in these sites is the result of the will of the northern Mesopotamian leaders to reach political, economic and social advantages. The leaders emulation, who want to take advantage of the urukeen power to consolidate their status, is the result of a compromise between the elites of these two regions allowing both parties to find their interests.
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La culture matérielle de la Mésopotamie du Nord et de ses voisins, d’après l’étude de la céramique, de l’Uruk récent au Bronze ancien I/II / Material culture of Northern Mesopotamia and its Neighbours, according to ceramic study, from Late Uruk Period to Early Bronze Age I/IIOssman, Mouheyddine 26 January 2013 (has links)
Durant le IVe millénaire, la Mésopotamie et ses voisins ont été reliés via un vaste réseau commercial, établi par des Urukéens lors de leur expansion en Iran et dans le Nord mésopotamien. À la fin du IVe et au début du IIIe, la Mésopotamie et ses voisins ont connu une phase de crise dont les causes nous sont toujours obscures en raison de l’absence des documents écrits remontant à cette phase. A cette phase, le réseau commercial urukéen et la colonisation urukéenne en Iran et en Mésopotamie du Nord, s’étant effondrés, les sites urukéens ont été abandonnés, ainsi qu’un grand nombre de sites indigènes qui ont été abandonnés. Le contact entre le Nord et le Sud mésopotamien fut suspendu. Pourtant, d’autres sites furent fondés que ce soit en Iran ou en Mésopotamie. Bien que la culture céramique mésopotamienne ne se soit modifiée profondément à cette phase cruciale, des traditions peintres réapparaissent soudainement alors que les Mésopotamiens les avaient abandonnées depuis 9 siècles (au Post-Obeid). Trois aires à céramique peinte apparaissent en Mésopotamie : en Irak du centre, de l’Est, du Nord (horizon de Ninive 5) et l’Iran a employé massivement la peinture. Cependant, le Sumer a conservé les traditions urukéennes qui ne connaissent pas de peinture. A noter que la peinture en Iran a été employée avant et durant l’expansion urukéenne. De plus, il semble avoir existé un corridor de contact reliant le West iranien aux trois zones à peinture en Mésopotamie. Mais comment peut-on expliquer ce phénomène de la réapparition de la peinture en Mésopotamie centrale et du Nord : s’agit-il des déplacements des groupes iraniens en Mésopotamie, ou des simples influences ? On ne peut pas traiter de la question de la fin du IVe/début du IIIe millénaire sans confronter, d’une part au problème concernant le destin des Urukéens. Ces derniers ont vécu plus de 4 siècles dans la périphérie durant l’expansion. Et d’autre part on est confronté au problème de la fondation des sites urbain aux touts début du 3e millénaire (Mari, Terqa, Kharab Sayyar et Chuera).Pour répondre à ces questions, nous avons choisi des sites-clés en Iran et en Mésopotamie. Leur céramique (et d’autre matériel) est étudié tout d’abord dans leur position stratigraphique, site par site, puis selon leur répartition dans l’espace. Au même temps, cette étude strato-céramique a été combinée avec une étude portée sur les changements dans l’occupation dans l’espace (abandon et fondation) et sur les transformations culturelles, surtout en Iran du Nord-Ouest et de l’Ouest où le phénomène de l’expansion transcaucasienne s’étend jusqu’au Kermanshah et le Nord du Luristan dans le Zagros central).Basant sur des comparaisons céramiques et sur d’autres aspects archéologiques, nous avons tenté de corréler entre la stratigraphie des sites étudiés. Nous avons évité de faire d’un site ou d’une région le « centre du monde ». Nous avons plutôt regardé chaque site et région à partir de ses voisins. A la fin de chaque partie ou chapitre, nous avons relié entre les régions étudiées, du point de vue culturel, stratigraphique et occupationnel, pour tenter de tirer une conclusion historique concernant le passage entre le IVe et le IIIe millénaires.Vers 2700-2600 av. J.-C., les traditions peintes disparaissent à nouveau de la Mésopotamie, au moment où le contact a été rétabli entre les Sumériens et le Nord mésopotamien (Mari-Brak-Chuera). Concernant cette reprise de contact, nous mettons plus l’accent sur les changements observés dans la stratigraphie (sites abandonnés et/ou incendiés) pour parler d’un phénomène que nous avons appelé la « Sumérianisation ». Nous avons tenté de repérer ce phénomène par le biais de quelques inscriptions datées du Dynastique Archaïque III (vers 2600-2500 av. J.-C.). / During the 4th millennium, Mesopotamia and its neighbours were connected by a vast trade network which was established by Urukians throughout their expansion into Iran and Northern Mesopotamia. At the end of the 4th millennium and at the beginning of the 3rd, all those regions faced a phase crisis whose causes are unknown for us because of the absence of the written documents dated to this phase. At this phase, the Uruk trade network and colonization in Iran and Northern Mesopotamia were collapsed. Uruk sites have been abandoned. In addition, a large number of indigenous sites were abandoned. The contact between Northern and Southern Mesopotamian was suspended. However, other sites were founded in Iran and Mesopotamia. Although, with this crucial phase, the Mesopotamian ceramic culture did not change deeply, the painting traditions reappeared suddenly whereas the Mesopotamian had abandoned them since 9 centuries c. (in Post-Obaid).Three zones with painted ceramics appear in Mesopotamia: centre of Iraq, Eastern Iraq, North Iraq and North-Eastern Syria. Also, Iran employed massively the painting. However, the land of Sumer conserved the Uruk traditions which aren’t painted. Worthily to be noted that the painting traditions existed in Iran before and even during the Uruk expansion. Moreover, a corridor of contact seems to have existed linking Western Iran to those three zones. But, how can one explain this reappearance phenomenon of this painting in the centre and North Mesopotamia: is-it because of the displacements of the Iranian groups into Mesopotamia or is it a simple influence? Likewise, one cannot treat the question of the end of the 4th millennium without being confronted with the problem of the destiny of the Urukians colonists. Those latter lived in the periphery more than 4 centuries during the expansion. On the other hand, one is confronted with the problem of the foundation of urban-cities with the all beginning of the 3rd millennium (Mari, Terqa, Kharab Sayyar and Chuera). To answer these questions, we chose site-keys in Iran and Mesopotamia. First of all, we studied, site by site, their ceramic (and others materials) according to their stratigraphical position (strato-ceramic), and then based on their distribution in the landscape. At the same time, those strato-ceramics analyses have been combined with another study concerning changes in the occupation of landscape (abandonment and foundation), and the cultural transformations, especially for the North-Western and Western Iran where the transcaucasian expansion extends to Kermanshah and Northern Luristan in central Zagros.Based on ceramic comparisons and on other archaeological aspects, we attempted to correlate between the stratigraphy of the studied sites. We avoided making of a site or of a region the “Center of the World”. We rather looked at each site and region starting from its neighbours. At the end of each part or chapter, we linked between the studied regions, from the cultural point of view, stratigraphic and occupational, in order to try to draw a historic conclusion concerning the passage between the 4th and the 3rd millennium.Towards 2700-2600 B.C., the painting traditions disappeared once again from Mesopotamia, at the time when the contact was restored between the Sumerians and Northern Mesopotamian (Mari-Brak-Chuera). For this resumption of contact, we set the accent more on the changes observed in the stratigraphy (abandoned sites or burned) to speak about a phenomenon which we called “the Sumerianisation”. Moreover, we tried to identify this phenomenon by the means of some inscriptions dated to the Dynastic archaic III (towards 2600-2500 B. C.).
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Recherches sur la période proto-urbaine dans la région du Khabur : exemple : Tell Mashnaqa / Research on the proto-urban period in the region of Khabur : example : Tell MashnaqaBizreh, Hiba 28 November 2015 (has links)
Le terme ‘’proto-urbain’’ proposé par Pascal Butterlin, se réfère à une période s’étendant depuis la fin du 5ème millénaire et jusqu’au 3ème millénaire av. n. è. Durant cette longue période, le site de Mashnaqa sur la moyenne vallée du Khabur, en Syrie, a connu une occupation humaine ininterrompue. Les fouilles de sauvetage dirigées par Dominique Beyer, entre 1992 et 2000 à Mashnaqa, ont livré une longue séquence de l’architecture. L’objectif de cette recherche est de publier les données archéologiques de Mashnaqa durant la période proto-urbaine. Le site a présenté sur cette longue durée quatre niveaux relatifs aux périodes suivantes : Post-Obeid, Uruk Ancien,Uruk Moyen, et Uruk Récent. Ces niveaux sont caractérisés par plusieurs phases architecturales, dont la plupart ont livré des habitats soit complets soit dans un état lacunaire. Le village d’UrukAncien et d’Uruk Moyen a présenté un grand nombre de fours circulaires à cuisine, accompagnés souvent des constructions quadrilatères ou entourés d’un réseau de murs. Ces aménagements posent une question sur le rôle du site à cette époque. La diversité architecturale se présente également par une maison au plan tripartite datant de la période Post-Obeid, et par une construction subcirculaire dont, le modèle, avec les aménagements qui lui sont liés, présente un prototype dans la fin du 4ème millénaire av. n. è. L’évolution de l’espace bâti et le développement céramique sont sans doute les points essentiels dans l’interprétation de la place de Mashnaqa dans la région du Khabur. / The term proto-urban, proposed by Pascal Butterlin, refers to the period extending from the end of the 5th to the 3rd millennium BC. During this long period, the site of Mashnaqa, which is located on the middle valley of Khabur in Syria, was characterized by a continuous occupation. The salvage excavations in Mashnaqa, directed by Dominique Beyer between 1992 and 2000, yielded a long sequence of architecture. The aim of this research is to publish the Mashnaqa archaeological data during the proto-urban period. Four levels which are relative to post-Ubaid, Early Uruk, Middle and Late Uruk were characterized by several architectural phases. Most of these phases yielded some households, either well conserved, or in a deficient state. The village of Late Uruk as well as Middle Uruk is particularly characterized by a remarkable density of circular cooking ovens. These installations were often accompanied to quadrangles structures or they were surrounded by a network of three or four walls. This density of ovens makes us wonder about the real role of the site at this time. The architectural diversity is also presented by the tripartite house, which is dated to the post Ubaid. Moreover, in the late 4th millennium BC, a subcircular building dominated the tell. Its circular type, which is accompanied by a terrace and a rectangular building, presents a prototype during the Late Uruk period.The evolution of the built space and the pottery development are certainly the essential points, which allow to interpret the place of Mashnaqa in the Khabur region.
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