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L'antériorisation de /ɔ/ en français contemporain : une étude acoustique comparative entre Québec et France

St-Gelais, Xavier 09 May 2019 (has links)
Protocole d'entente entre l'Université Laval et l'Université du Québec à Chicoutimi / La présente étude porte sur l’antériorisation de /ɔ/, souvent étudiée en France, mais relativement peu au Québec. Pour mieux explorer la variation diatopique liée à ce phénomène et clarifier sa relation avec le contexte consonantique, une analyse acoustique comparative des trois premiers formants de 3835 voyelles produites en position accentuée dans des mots et pseudo-mots monosyllabiques (C)VC par 78 étudiants universitaires de Saguenay et de Québec (Québec) et de Lyon (France) a été menée. Des modèles de régression linéaire à effets mixtes appliqués aux données permettent de constater une différence importante du F₂ de /ɔ/ entre les villes, cette voyelle étant plus antérieure à Québec qu’à Saguenay et à Lyon qu’à Saguenay. Les voyelles québécoises et françaises se distinguent également, dans une moindre mesure, sur le plan de F₁ et de F₃. Dans tous les cas, quelle que soit leur position (antéposée ou postposée), les consonnes antérieures (ex. /t, d/) favorisent le F₂ le plus élevé et les consonnes labiales (ex. /p, b/), le F₂ le plus bas. Ces résultats indiquent que l’antériorisation de /ɔ/ à l’échelle acoustique est bien présente chez les jeunes locuteurs québécois et qu’elle est variable tant au niveau micro-géographique que macro-géographique, tout en étant largement affectée par la coarticulation chez tous les locuteurs. / This study is concerned with /ɔ/-fronting, a phenomenon widely studied in France, but that has received little attention in Quebec French. To better understand the regional variation of /ɔ/-fronting and to further investigate its relationship with the consonantal environment, a contrastive acoustic analysis of the first three formants of 3835 stressed vowels uttered in (C)VC monosyllabic word and pseudo-words by university students from Saguenay and Québec (Quebec) and Lyon (France) was conducted. Linear mixed effects regressions fitted to the data show substantial variation in F₂ across cities, /ɔ/ being more fronted in Québec than in Saguenay and in Lyon than in Saguenay. F₁ and F₃ also vary between France and Quebec French. In all cases, no matter their position (before or after the vowel), front consonants (ex. /t, d/) favor the highest F₂, while labial consonants (ex. /p, b/) are associated with the lowest F₂. These results suggest that /ɔ/-fronting, at the acoustical level, is alive and well among young Quebec French speakers and that it is variable both at the micro- and macro-geographical levels, while also being largely affected by coarticulation across all speakers.
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Aspects Phonétiques et Phonologiques de la Durée Vocalique en Civili : Une Approche Expérimentale.

Ndinga-Koumba-Binza, H Steve 05 December 2007 (has links) (PDF)
Ce travail est une étude expérimentale de la durée vocalique. Il s'articule sur les aspects phonétiques et phonologiques de la durée vocalique en civili, une langue africaine parlée au Gabon et dans quelques pays voisins. Cette étude apporte un nouvel aperçu au sujet du phénomène d'allongement vocalique et évalue les implications de cet aperçu pour la standardisation de l'orthographe de la langue étudiée. L'étude est construite sur six chapitres. Le chapitre premier présente les objectifs spécifiques de l'étude, leur argumentation et la délimitation de la problématique de recherche. L'impact potentiel de l'étude, l'approche méthodologique adoptée ainsi que la situation socio-linguistique du civili font aussi l'objet d'un traitement adéquat dans le chapitre premier. Le chapitre 2 aborde les questions entourant la durée vocalique en civili en vue d'une circonscription nette de la problématique. Celle-ci est énoncée dans sa nature comme se posant tout autant sur le plan descriptif que sur le plan orthographique. Dans le chapitre 2 également, les données et les analyses des études précédentes liées au phénomène d'allongement vocalique sont évaluées. Le chapitre montre ensuite l'importance de l'utilisation aussi bien des données acoustiques que des données perceptuelles dans l'étude de la durée vocalique en civili. Le chapitre 3 se focalise sur la nature physique de la durée de la voyelle en civili. Il fait un rapport sur les analyses acoustiques et les mesures de durée vocalique effectuées sur des mots sélectionnés à partir d'un corpus spécifique. Le chapitre vise à montrer que la durée naturelle est l'une des caractéristiques acoustiques liées aux voyelles et que celle-ci devrait être aussi prise en compte dans les diverses analyses phonologiques. Le chapitre 4 est consacré à la nature auditive de la durée vocalique en civili. Il présente une expérience perceptuelle conduite sur des locuteurs natifs de la langue. Le but de cette expérience était de déterminer la durée perçue des voyelles. Ce chapitre contient des données expérimentales obtenues et leur analyse qui s'en est suivie. Le chapitre 5 présente l'apport des données expérimentales dans la description phonologique de la durée vocalique du civili. Ce chapitre re-explore aussi les analyses phonologiques des études précédentes ainsi que celle de la présente étude qui intègre données (expérimentales) phonétiques et analyses phonologiques. Le chapitre 6 tire la conclusion générale de cette étude sur la durée vocalique en civili en transcrivant les conclusions acoustiques, perceptuelles que phonologiques. Ce chapitre établit aussi des recommandations pour la standardisation de l'orthographe du civili en ce qui concerne son système vocalique. Puis, il met en relief les implications de cette étude pour la théorie phonologique et les technologies du langage humain. Enfin, ce chapitre fournit des suggestions pour des recherches futures, y compris la recherche sur d'autres langues gabonaises.
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Etude des caractéristiques de la langue vietnamienne en vue de sa synthèse et de sa reconnaissance automatique. Aspects statiques et dynamiques

Nguyen, Viet Son 15 December 2009 (has links) (PDF)
Le travail présenté dans le cadre de cette thèse vise à étudier de manière approfondie les caractéristiques des voyelles longues et brèves et des consonnes finales du vietnamien, non seulement en statique mais aussi en dynamique, en calculant en particulier les vitesses de transitions formantiques. Deux ensembles consonnes voyelles ont été analysés : (C1)V1C2, avec C2 l'une des trois consonnes finales /p, t, k/ et (C1)V1V2 avec les voyelles longues et brèves correspondantes. L'objectif de l'analyse est de permettre la mise en évidence de caractéristiques spécifiques qui sont alors testées en synthèse. Pour étudier les voyelles longues, les voyelles brèves et les trois consonnes finales /p, t, k/ dans les contextes (C1)V1C2 et (C1)V1V2, nous avons fait deux corpus : un premier corpus avec quatre locuteurs vietnamiens pour étudier la partie centrale de la voyelle (la durée, les formants F1, F2, F3), les transitions V1C2 et V1V2 (durées de transition, pentes des transitions formantiques, valeurs du début de la transition formantique), et la partie finale (durée de la semi-voyelle finale) ; un deuxième corpus avec huit locuteurs (quatre hommes et quatre femmes) nous a permis d'étudier l'équation du locus pour les consonnes finales /p, t, k/. A partir des résultats analysés, nous avons réalisé des tests statistiques et des tests de perception (avec dix auditeurs vietnamiens, cinq hommes et cinq femmes). Les résultats d'analyse, les résultats statistiques et les résultats perceptifs nous permettent de mieux comprendre la production des voyelles vietnamiennes et des trois consonnes finales vietnamiennes /p, t, k/ comme résumés ci-dessous : (1) Dans la langue vietnamienne, il y a trois séries de voyelles longues et brèves /a, ӑ/, /ɤ, ɤ̆/, /ɔ, ɔ̆/ qui sont acoustiquement proches dans le plan F1-F2, mais se distinguent par leur durée, les pentes des formants transitionnels et la durée de la semi-voyelle V2 (dans le contexte des syllabes V1V2). Les durées des transitions V1C2 et V1V2 ne varient pas en fonction de la nature de la voyelle longue ou brève. (2) Les trois consonnes finales /p, t, k/ se terminent par un silence sans burst. Pour les syllabes (C1)V1C2, en comparant les consonnes finales C2 dans un même contexte d'une voyelle précédente V1, bien qu'il n'y a aucune différence de leurs caractéristiques acoustiques statiques (la durée de la transition, et les valeurs au début de la transition formantique), leurs caractéristiques acoustiques dynamiques (la pente des formants transitionnels) sont significativement distinctes et permettent aux vietnamiens de reconnaitre ces trois consonnes finales. (3) Nous avons obtenu les équations du locus avec une linéarité excellente et un bon regroupement des points autour des droites de régression. Les lieux d'articulation des 3 consonnes finales occlusives /p, t, k/ sont bien distincts. On ne trouve aucun effet du ton sur les équations du locus des consonnes finales. Les résultats de ces travaux phonétiques sont ensuite validés à l'aide des systèmes de synthèse (SMART (Synthesis with a Model of Anthropomorphic Region and Tract) et DRM (Distinctive Region Model)).
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Musique et langage: spécificités, interactions et associations spatiales / Music and language: specificities, interactions and spatial associations

Lidji, Pascale 30 April 2008 (has links)
L’objectif de ce travail était d’examiner la spécificité fonctionnelle du traitement et des représentations des hauteurs musicales. À cette fin, ce traitement a été comparé à celui des phonèmes de la parole, d’une part, et aux associations spatiales évoquées par des séquences ordonnées, d’autre part. Nos quatre études avaient pour point commun d’adapter à un nouvel objet de recherche des méthodes bien établies en psychologie cognitive. Ainsi, nous avons exploité la tâche de classification accélérée (Etude 1) de Garner (1974), l’analyse des conjonctions illusoires en mémoire (Etude 2), l’additivité de la composante mismatch negativity (MMN) des potentiels évoqués (Etude 3) et l’observation d’associations spatiales de codes de réponse (Etude 4).<p>Les trois premières études, menées chez des participants non-musiciens, portaient sur la spécificité de traitement des hauteurs par rapport à celui des phonèmes au sein de stimuli chantés. Les deux premières études ont mis en évidence un effet surprenant de la nature des phonèmes sur leurs interactions avec le traitement des mélodies :les voyelles apparaissaient plus intégrées à la mélodie que les consonnes. Ceci était vrai à la fois lors du traitement en temps réel de non-mots chantés (Etude 1) et au niveau des traces en mémoire de ces mêmes non-mots (Etude 2, utilisant une tâche de reconnaissance à choix forcé permettant la mise en évidence de conjonctions illusoires). Cette dissociation entre voyelles et consonnes quant à leur intégration avec les traitements mélodiques ne semblait pas causée par des caractéristiques acoustico-phonétiques telles que la sonorité. Les résultats de la troisième étude indiquaient que les MMNs en réponse à des déviations de hauteur et de voyelle n’étaient pas additives et que leur distribution topographique ne différait pas selon le type de déviation. Ceci suggère que, même au niveau pré-attentionnel, le traitement des voyelles n’est pas indépendant de celui des hauteurs. <p>Dans la quatrième étude, nous avons comparé le traitement des hauteurs musicales à un autre domaine :la cognition spatiale. Nous avons ainsi montré que les non-musiciens comme les musiciens associent les notes graves à la partie inférieure et les notes aiguës à la partie supérieure de l’espace. Les deux groupes liaient aussi les notes graves au côté gauche et les notes aiguës au côté droit, mais ce lien n’était automatique que chez les musiciens. Enfin, des stimuli musicaux plus complexes (intervalles mélodiques) n’évoquaient ces associations spatiales que chez les musiciens et ce, uniquement sur le plan horizontal.<p>Ces recherches contribuent de plusieurs manières à la compréhension de la cognition musicale. Premièrement, nous avons montré que les consonnes et les voyelles diffèrent dans leurs interactions avec la musique, une idée à mettre en perspective avec les rôles différents de ces phonèmes dans l’évolution du langage. Ensuite, les travaux sur les représentations spatiales des hauteurs musicales ouvrent la voie à un courant de recherche qui aidera à dévoiler les liens potentiels entre habiletés musicales et spatiales.<p>/<p>The purpose of this work was to examine the functional specificity of musical pitch processing and representation. To this aim, we compared musical pitch processing to (1) the phonological processing of speech and (2) the spatial associations evoked by ordered sequences. The four studies described here all use classical methods of cognitive psychology, which have been adapted to our research question. We have employed Garner’s (1974) speeded classification task (Study 1), the analysis of illusory conjunctions in memory (Study 2), the additivity of the mismatch negativity (MMN) component of event-related potentials (Study 3), as well as the observation of spatial associations of response codes (Study 4).<p>The three first studies examined, in non-musician participants, the specificity of pitch processing compared to phoneme processing in songs. Studies 1 and 2 revealed a surprising effect of phoneme category on their interactions with melodic processing: vowels were more integrated with melody than were consonants. This was true for both on-line processing of sung nonwords (Study 1) and for the memory traces of these nonwords (Study 2, using a forced-choice recognition task allowing the occurrence of illusory conjunctions). The difference between vowels and consonants was not due to acoustic-phonetic properties such as phoneme sonority. The results of the third study showed that the MMN in response to pitch and to vowel deviations was not additive and that its brain topography did not differ as a function of the kind of deviation. This suggests that vowel processing is not independent from pitch processing, even at the pre-attentive level.<p>In the fourth study, we compared pitch processing to another domain: spatial cognition. We showed that both musicians and non-musicians map pitch onto space, in that they associate low-pitched tones to the lower spatial field and high-pitched tones to the higher spatial field. Both groups of participants also associated low pitched-tones with the left and high-pitched tones with the right, but this association was automatic only in musicians. Finally, more complex musical stimuli such as melodic intervals evoked these spatial associations in the horizontal plane only in musicians.<p>This work contributes to the understanding of music cognition in several ways. First, we have shown that consonants and vowels differ in their interactions with music, an idea related to the contrasting roles of these phonemes in language evolution. Second, the work on the spatial representation of pitch opens the path to research that will help uncover the potential links between musical and spatial abilities.<p> / Doctorat en sciences psychologiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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