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Die Entwicklung der romanischen Labialkonsonanten /

Blumenthal, Peter, January 1972 (has links)
Inaug. _ Diss.: Philosophische Fakultät: Bonn: 1971. Bibliogr. p. 6 à 18. Index.
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La catégorisation des lettres en consonnes et voyelles lors du traitement des mots écrits

Drabs, Virginie 19 December 2016 (has links)
La reconnaissance des mots est une étape essentielle dans les processus de lecture. Il est largement admis que le lecteur ne lit pas un mot lettre par lettre mais analyse simultanément des unités plus larges. Une hypothèse récente propose que l’alternance entre consonnes et voyelles permettrait de structurer les mots écrits en unités perceptives. Par ailleurs, plusieurs études rapportent des différences dans le traitement des consonnes et voyelles. Ces études s’appuient sur l’idée qu’il existerait une représentation explicite de la catégorie des lettres (consonne vs. voyelle) mais aucune ne le démontre directement. L’objectif de la thèse était donc de déterminer s’il existe bel et bien une telle représentation. Dans une première partie, nous avons effectué plusieurs expériences dans lesquelles les participants devaient décider si deux lettres avaient la même identité (e.g. Aa) ou pas. Les tâches comprenaient des paires de lettres de même catégorie (e.g. AE) et des paires de catégories différentes (e.g. AC). Nous supposions que, s’il existe un codage explicite de la catégorie, les participants seraient plus lents pour rejeter les paires de type « AE » que les paires de type « AC ». Nous n’avons cependant pas mis en évidence une influence de la catégorie des lettres lors de tels jugements, ce qui suggère que lors du traitement des lettres, le système de reconnaissance visuelle des mots n’a pas accès à une représentation explicite de la catégorie qui serait disponible automatiquement. Une interprétation alternative suggère que la catégorie des lettres ne serait pas représentée de manière explicite mais que les consonnes et les voyelles diffèreraient par leur niveau d’activation. Dans la deuxième partie de cette thèse, nous avons donc voulu déterminer la nature de l’information perceptive à la base des différences entre consonnes et voyelles. Pour ce faire, nous avons mené un ensemble d’expériences avec différentes tâches dans lesquelles le lecteur voyait des pseudo-mots créés soit par le remplacement d’une lettre par une lettre de la même catégorie (e.g. carset pour carnet) soit par le remplacement d’une lettre par une lettre de l’autre catégorie (e.g. cariet pour carnet). S’il existe un codage explicite de la catégorie des lettres, les changements qui ne conservent pas la catégorie de la lettre (e.g. cariet pour carnet) devraient être plus perceptibles que ceux préservant la catégorie de la lettre (e.g. carset pour carnet) et ce, que la lettre remplacée soit une consonne ou une voyelle. Les résultats obtenus ne permettent pas de conclure à l’existence d’une représentation explicite de la catégorie des lettres, mais nous pouvons cependant suggérer que les consonnes et les voyelles auraient des niveaux d’activation différents. Plus précisément, dès le niveau pré-lexical du traitement des mots, les voyelles seraient plus actives que les consonnes. Elles seraient dès lors plus saillantes et traitées plus rapidement. Comme déjà suggéré dans la littérature, il serait donc pertinent d’adapter les modèles théoriques de la reconnaissance des mots, non pas en incluant un niveau de représentation dédié spécifiquement à la catégorie des lettres, mais en modulant le niveau d’activation des lettres en fonction de la catégorie à laquelle elles appartiennent. / Doctorat en Sciences psychologiques et de l'éducation / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Parcours d'acquisition des sons du langage chez deux enfants francophones

Yamaguchi, Naomi 02 May 2012 (has links) (PDF)
Cette thèse traite de l'acquisition des consonnes par des enfants francophones monolingues. Son but est de montrer que l'utilisation des traits distinctifs et des principes qui leur sont associés (hiérarchie des traits, évitement de la marque, économie des traits) rend compte du parcours d'acquisition des consonnes en français. Le corpus de cette thèse est constitué des productions spontanées longitudinales (pendant 16 et 28 mois) de deux enfants francophones. L'analyse a dégagé deux grandes étapes dans le parcours d'acquisition des contrastes consonantiques. Chacune d'elle repose sur l'intervention d'un principe associé aux traits distinctifs. La première étape rend compte de l'acquisition isolée des contrastes opposant les consonnes, dont l'ordre est guidé par le principe de hiérarchie des traits, exprimé par leur robustesse : plus un trait est robuste, plus il sera acquis rapidement. L'acquisition d'un trait suppose également l'acquisition des deux va- leurs de ce trait par l'intervention du principe d'évitement de la marque : la valeur non-marquée de chaque trait sera acquise avant la valeur marquée. La seconde étape consiste en la diffusion, à l'ensemble du système, d'un trait acquis de façon isolée. Cette diffusion est guidée par le principe d'économie des traits : plus un trait participe à l'économie du système, plus il se diffusera rapidement. Afin d'extraire de l'input de l'enfant, l'information utile nous permettant d'exprimer l'actualisation de chaque principe dans la langue, nous avons conçu des calculs de fréquence des traits. Nous avons établi un lien entre l'expression des principes de hiérarchie, d'évitement de la marque et d'économie, et ces différentes fréquences des traits dans le langage adressé à l'enfant. En appréhendant l'acquisition consonantique comme l'acquisition de contrastes au sein d'un système, nous avons modélisé le parcours d'acquisition des consonnes grâce aux traits distinctifs et à leurs principes associés, en le mettant en regard des travaux sur la structuration des inventaires sonores adultes.
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Parcours d'acquisition des sons du langage chez deux enfants francophones. / Acquisition paths of language sounds in two French-speaking children

Yamaguchi, Naomi 02 May 2012 (has links)
Cette thèse traite de l'acquisition des consonnes par des enfants francophones monolingues. Son but est de montrer que l’utilisation des traits distinctifs et des principes qui leur sont associés (hiérarchie des traits, évitement de la marque, économie des traits) rend compte du parcours d’acquisition des consonnes en français. Le corpus de cette thèse est constitué des productions spontanées longitudinales (pendant 16 et 28 mois) de deux enfants francophones. L’analyse a dégagé deux grandes étapes dans le parcours d’acquisition des contrastes consonantiques. Chacune d’elle repose sur l’intervention d’un principe associé aux traits distinctifs. La première étape rend compte de l’acquisition isolée des contrastes opposant les consonnes, dont l’ordre est guidé par le principe de hiérarchie des traits, exprimé par leur robustesse : plus un trait est robuste, plus il sera acquis rapidement. L’acquisition d’un trait suppose également l’acquisition des deux valeurs de ce trait par l’intervention du principe d’évitement de la marque : la valeur non-marquée de chaque trait sera acquise avant la valeur marquée. La seconde étape consiste en la diffusion, à l’ensemble du système, d’un trait acquis de façon isolée. Cette diffusion est guidée par le principe d’économie des traits : plus un trait participe à l’économie du système, plus il se diffusera rapidement. Afin d’extraire de l’input de l’enfant, l’information utile nous permettant d’exprimer l’actualisation de chaque principe dans la langue, nous avons conçu des calculs de fréquence des traits. Nous avons établi un lien entre l’expression des principes de hiérarchie, d’évitement de la marque et d’économie, et ces différentes fréquences des traits dans le langage adressé à l’enfant. En appréhendant l’acquisition consonantique comme l’acquisition de contrastes au sein d’un système, nous avons modélisé le parcours d’acquisition des consonnes grâce aux traits distinctifs et à leurs principes associés, en le mettant en regard des travaux sur la structuration des inventaires sonores adultes. / This work focuses on consonantal acquisition of monolingual French-speaking children. Its aim is to show that the use of distinctive features and their associated principles (feature hierarchy, markedness avoidance, feature economy) captures the path of consonantal acquisition in French. The data of this dissertation consist of spontaneous longitudinal productions (during 16 and 28 months) of two French-speaking children. Analysis of the data reveals two main stages in the acquisitional path of consonantal contrasts. Each of these stages relies on the intervention of a principle associated with distinctive features. The first stage captures the isolated acquisition of contrasts between consonants. The order of the acquisition of contrasts is guided by the feature hierarchy principle, which is expressed by feature robustness: the more robust a feature is, the faster it will be acquired. The acquisition of a feature also implies the acquisition of its two values through the intervention of the avoidance of markedness principle: the unmarked value of a feature will be acquired before the marked value. The second stage of the feature acquisition path consists in the distribution of a feature - acquired in an isolated way - throughout the whole system. This distribution is guided by the economy feature principle: the more a feature participates in the system economy, the more rapidly it will diffuse. In order to extract the relevant information from the child’s input that allows us to express the realisation of each principle into the language, we designed feature frequency calculations. We established a link between the expression of the hierarchy, markedness avoidance and economy principles and the different feature frequencies in child-directed speech. By approaching consonantal acquisition as contrast acquisition within an entire system, we were able to model the consonantal acquisition path based on distinctive features and their associated principles, paralleling it with work on the structure of adult sound inventories.
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Predictions on markedness and feature resilience in loanword adaptation

Stoltzfus, Daniel Paul 20 April 2018 (has links)
Normalement, un emprunt est adapté afin que ses éléments étrangers s’intègrent au système phonologique de la langue emprunteuse. Certains auteurs (cf. Miao 2005; Steriade 2001b, 2009) ont soutenu que, lors de l’adaptation d’une consonne, les traits de manière d’articulation sont plus résistants au changement que les traits laryngaux (ex. : le voisement) ou que ceux de place. Mes résultats montrent cependant que les traits de manière (ex. : [±continu]) sont impliqués dans les adaptations consonantiques aussi fréquemment que les autres traits (ex. [±voisé] et [±antérieur]). Par exemple, le /Z/ français est illicite à l’initiale en anglais. Les options d’adaptation incluent /Z/ → [z] (changement de place), /Z/ → [S] (changement de voisement) et /Z/ → [dZ] (changement de manière). Contrairement aux prédictions des auteurs précités, l’adaptation primaire en anglais est /Z/ → [dZ], avec changement de manière (ex. français [Zelatin] gélatine → anglais [dZElœtIn]). Plutôt qu’une résistance des traits de manière, les adaptations étudiées dans ma thèse font ressortir une nette tendance à la simplification. Mon hypothèse est que les langues adaptent les consonnes étrangères en en éliminant les complexités. Donc un changement impliquant l’élimination plutôt que l’insertion d’un trait marqué sera préféré. Ma thèse innove aussi en montrant qu’une consonne est le plus souvent importée lorsque sa stratégie d’adaptation primaire implique l’insertion d’un trait marqué. Les taux d’importation sont systématiquement élevés pour les consonnes dont l’adaptation impliquerait l’insertion d’un tel trait (ici [+continu] ou [+voisé]). Par exemple, /dZ/ en anglais, lorsque adapté, devient /Z/ en français après l’insertion de [+continu]; cependant, l’importation de /dZ/ est de loin préférée à son adaptation (89%). En comparaison, /dZ/ est rarement importé (10%) en germano-pennsylvanien (GP) parce que l’adaptation de /dZ/ à [tS] (élision du trait marqué [+voisé]) est disponible, contrairement au cas du français. Cependant, le /t/ anglais à l’initiale, lui, est majoritairement importé (74%) en GP parce que son adaptation en /d/ impliquerait l’insertion du trait marqué [+voisé]. Ma thèse permet non seulement de mieux cerner la direction des adaptations, mais repère aussi ce qui favorise fortement les importations sur la base d’une notion déjà établie en phonologie : la marque. / A loanword is normally adapted to fit its foreign elements to the phonological system of the borrowing language (L1). Recently, some authors (e.g. Miao 2005; Steriade 2001b, 2009) have proposed that during the adaptation process of a second language (L2) consonant, manner features are more resistant to change than are non-manner features. A careful study of my data indicate that manner features (e.g. [±continuant]) are as likely to be involved in the adaptation process as are non-manner [±voice] and [±anterior]. For example, French /Z/ is usually not tolerated word-initially in English. Adaptation options include /Z/ → [z] (change of place), /Z/ → [S] (change of voicing) and /Z/ → [dZ] (change of manner). The primary adaptation in English is /Z/ → [dZ] (e.g. French [Zelatin] gélatine → English [dZElœtIn]) where manner is in fact the less resistant. Instead, during loanword adaptation there is a clear tendency towards unmarkedness. My hypothesis is that languages overwhelmingly adapt with the goal of eliminating the complexities of the L2; a change that involves deletion instead of insertion of a marked feature is preferred. Furthermore, my thesis shows for the first time that a consonant is statistically most likely to be imported if its preferred adaptation strategy involves insertion of a marked feature (e.g. [+continuant] or [+voice]). For example, the adaptation of English /dZ/ is /Z/ in French after insertion of marked [+continuant], but /dZ/ is overwhelmingly imported (89%), instead of adapted in French. I argue that this is to avoid the insertion of marked [+continuant]. This contrasts with Pennsylvania German (PG) where English /dZ/ is rarely imported (10%). This is because unlike in French, there is an option to adapt /dZ/ to /tS/ (deletion of marked [+voice]) in PG. However, English word-initial /t/ is heavily imported (74%), not adapted, in PG because adaptation to /d/ involves insertion of marked [+voice]. Not only does my thesis better determine the direction of adaptations but it also establishes the circumstances where L2 consonants are most likely to be imported instead of being adapted, on the basis of a well-known notion in phonology: markedness.
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Reconnaissance de la Langue Française Parlée Complété (LPC) : décodage phonétique des gestes main-lèvres.

Aboutabit, Noureddine 11 December 2007 (has links) (PDF)
La Langue Française Parlée Complétée (LPC) héritée du Cued Speech (CS) a été conçue pour compléter la lecture labiale par nature ambigüe et ainsi améliorer la perception de la parole par les sourds profonds. Dans ce système, le locuteur pointe des positions précises sur le côté de son visage ou à la base du cou en présentant de dos des formes de main bien définies. La main et les lèvres portent chacune une partie complémentaire de l'information phonétique. Cette thèse présente tout d'abord une modélisation du flux manuel pour le codage automatique des positions de la main et de la configuration. Puis les travaux sont centrés sur le flux labial en discutant la classification des voyelles et des consonnes du Français. Le flux labial est composé des variations temporelles de paramètres caractéristiques issus du contour interne et externe des lèvres. Dans le cas des voyelles la méthode de classification utilise la modélisation gaussienne et les résultats montrent une performance moyenne de 89 % en fonction de la position de la main LPC. Le contexte vocalique est pris en compte dans le cas des consonnes par une modélisation HMM de la transition labiale de la consonne vers la voyelle avec un taux d'identification de 80 % en termes de visèmes CV. Un modèle de fusion « Maître-Esclave » piloté par le flux manuel est présenté et discuté dans le cadre de la reconnaissance des voyelles et des consonnes produites en contexte LPC. Le modèle de fusion prend en compte les contraintes temporelles de la production et la perception du LPC, ce qui constitue aussi une première contribution à la modélisation du système LPC du point de vue perceptif.
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La production des consonnes coronales en anglais par des apprenants francophones

Mortreux, Stéphane 19 September 2008 (has links) (PDF)
Notre travail de recherche porte sur la production des consonnes coronales anglaises /t, d, n/ par des apprenants francophones. Bien que ces phonèmes fassent partie du répertoire de l'anglais et du français, des différences infra-phonémiques se manifestent dans leur réalisation, au niveau du voisement et du lieu d'articulation des occlusives. Il est reconnu que les aspects phonétiques sont, parmi les nombreux aspects d'une langue, les plus difficiles d'acquisition dans l'apprentissage d'une L2.<br />Nous abordons dans ce travail l'acquisition de la phonologie de la langue maternelle, avant de nous concentrer sur l'acquisition d'une L2 chez les adultes. Au travers d'une étude acoustique et articulatoire, nous montrons qu'une production semblable à celle d'un locuteur natif est réalisée par les apprenants, qui ont une maîtrise suffisamment grande de leur appareil articulatoire pour leur permettre de produire les sons de la L2 différemment de ceux de la L1.
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Les invariants dans les Nursery Rhymes / Invariants in Nursery Rhymes

Hostalier, Claire 05 December 2009 (has links)
La recherche d'invariants phonétiques ou phonologiques dans un corpus tel que les nursery rhymes nous a amené à les collecter, à les contraster et à les analyser. La collecte finale se fit grâce au dictionnaire des nursery rhymes, compilé par les folkloristes anglais, Peter et Iona Opie, une anthologie étymologique de référence. Ils passèrent de nombreuses années à répertorier toutes sortes de nursery rhymes, anciennes et récentes, populaires et inconnues. Le but de la collecte de ce corpus était de la faire de façon globale et neutre sans apport initial d'enfants. La deuxième étape fut une réflexion sur leur identité et leur forme ce qui aboutit au constat qu'une comptine n'en était une que si elle continuait à exister. Faisant partie de la tradition orale, la nursery rhyme doit être récitée, scandée régulièrement par un public précis pour qu'elle se transmette et continue son parcours intergénérationnel . Un sondage fut mis en place auprès d'une centaine d'enfants anglophones qui contrastèrent le corpus global en deux entités. Le résultat fit apparaître un corpus de comptine toujours connues et récitables par les sondés et un autre corpus de comptines oubliées. A partir de ces deux nouveaux corpus, une analyse phonétique fut entreprise pour dégager un ou des invariants inhérents à la condition de nursery rhyme. En couplant le premier et le dernier son-consonne accentué de chaque vers de chaque comptine et en prenant la place de l'articulation comme mesure de référence, il se dégage deux mouvements majoritaires dans leur énonciation, un mouvement d'arrière en avant pour les comptines populaires et un mouvement d'avant en arrière pour celles qui sont oubliées. / The search for phonetic or phonological invariants in nursery rhymes made us collect them globally, contrast them through a survey and analyse them. The Opies, British folklorists, published an Oxford Dictionary of Nursery Rhymes which became our primary source of material as their precious collection of rhymes had the advantage of being global and objective. Once the corpus established, it became obvious that these nursery rhymes had different statuses as to their popularity among children. The need to contrast them was necessary. A survey was set up and presented to more than a hundred English-speaking children. It resulted in 2 sub-corpuses, popular nursery rhymes (PNR) and forgotten ones (FNR). The question was what made them belong to one or the other? A phonetic analysis was ploughed through the corpuses. By pairing the first and the last stressed consonant-sound of every verse of every nursery rhyme and taking the place of articulation as reference, 2 major opposite enunciative movements arose, a back-to-front movement (B2F) for popular nursery rhymes and a front-to-back movement (F2B) for the forgotten ones.
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Musique et Langage : Spécificités, Interactions et Associations spatiales / Music and Language: Specificities, Interactions and Spatial Associations

Lidji, Pascale 30 April 2008 (has links)
L’objectif de ce travail était d’examiner la spécificité fonctionnelle du traitement et des représentations des hauteurs musicales. À cette fin, ce traitement a été comparé à celui des phonèmes de la parole, d’une part, et aux associations spatiales évoquées par des séquences ordonnées, d’autre part. Nos quatre études avaient pour point commun d’adapter à un nouvel objet de recherche des méthodes bien établies en psychologie cognitive. Ainsi, nous avons exploité la tâche de classification accélérée (Etude 1) de Garner (1974), l’analyse des conjonctions illusoires en mémoire (Etude 2), l’additivité de la composante mismatch negativity (MMN) des potentiels évoqués (Etude 3) et l’observation d’associations spatiales de codes de réponse (Etude 4). Les trois premières études, menées chez des participants non-musiciens, portaient sur la spécificité de traitement des hauteurs par rapport à celui des phonèmes au sein de stimuli chantés. Les deux premières études ont mis en évidence un effet surprenant de la nature des phonèmes sur leurs interactions avec le traitement des mélodies : les voyelles apparaissaient plus intégrées à la mélodie que les consonnes. Ceci était vrai à la fois lors du traitement en temps réel de non-mots chantés (Etude 1) et au niveau des traces en mémoire de ces mêmes non-mots (Etude 2, utilisant une tâche de reconnaissance à choix forcé permettant la mise en évidence de conjonctions illusoires). Cette dissociation entre voyelles et consonnes quant à leur intégration avec les traitements mélodiques ne semblait pas causée par des caractéristiques acoustico-phonétiques telles que la sonorité. Les résultats de la troisième étude indiquaient que les MMNs en réponse à des déviations de hauteur et de voyelle n’étaient pas additives et que leur distribution topographique ne différait pas selon le type de déviation. Ceci suggère que, même au niveau pré-attentionnel, le traitement des voyelles n’est pas indépendant de celui des hauteurs. Dans la quatrième étude, nous avons comparé le traitement des hauteurs musicales à un autre domaine : la cognition spatiale. Nous avons ainsi montré que les non-musiciens comme les musiciens associent les notes graves à la partie inférieure et les notes aiguës à la partie supérieure de l’espace. Les deux groupes liaient aussi les notes graves au côté gauche et les notes aiguës au côté droit, mais ce lien n’était automatique que chez les musiciens. Enfin, des stimuli musicaux plus complexes (intervalles mélodiques) n’évoquaient ces associations spatiales que chez les musiciens et ce, uniquement sur le plan horizontal. Ces recherches contribuent de plusieurs manières à la compréhension de la cognition musicale. Premièrement, nous avons montré que les consonnes et les voyelles diffèrent dans leurs interactions avec la musique, une idée à mettre en perspective avec les rôles différents de ces phonèmes dans l’évolution du langage. Ensuite, les travaux sur les représentations spatiales des hauteurs musicales ouvrent la voie à un courant de recherche qui aidera à dévoiler les liens potentiels entre habiletés musicales et spatiales. / The purpose of this work was to examine the functional specificity of musical pitch processing and representation. To this aim, we compared musical pitch processing to (1) the phonological processing of speech and (2) the spatial associations evoked by ordered sequences. The four studies described here all use classical methods of cognitive psychology, which have been adapted to our research question. We have employed Garner’s (1974) speeded classification task (Study 1), the analysis of illusory conjunctions in memory (Study 2), the additivity of the mismatch negativity (MMN) component of event-related potentials (Study 3), as well as the observation of spatial associations of response codes (Study 4). The three first studies examined, in non-musician participants, the specificity of pitch processing compared to phoneme processing in songs. Studies 1 and 2 revealed a surprising effect of phoneme category on their interactions with melodic processing: vowels were more integrated with melody than were consonants. This was true for both on-line processing of sung nonwords (Study 1) and for the memory traces of these nonwords (Study 2, using a forced-choice recognition task allowing the occurrence of illusory conjunctions). The difference between vowels and consonants was not due to acoustic-phonetic properties such as phoneme sonority. The results of the third study showed that the MMN in response to pitch and to vowel deviations was not additive and that its brain topography did not differ as a function of the kind of deviation. This suggests that vowel processing is not independent from pitch processing, even at the pre-attentive level. In the fourth study, we compared pitch processing to another domain: spatial cognition. We showed that both musicians and non-musicians map pitch onto space, in that they associate low-pitched tones to the lower spatial field and high-pitched tones to the higher spatial field. Both groups of participants also associated low pitched-tones with the left and high-pitched tones with the right, but this association was automatic only in musicians. Finally, more complex musical stimuli such as melodic intervals evoked these spatial associations in the horizontal plane only in musicians. This work contributes to the understanding of music cognition in several ways. First, we have shown that consonants and vowels differ in their interactions with music, an idea related to the contrasting roles of these phonemes in language evolution. Second, the work on the spatial representation of pitch opens the path to research that will help uncover the potential links between musical and spatial abilities.
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Musique et langage : spécificités, interactions et associations spatiales

Lidji, Pascale January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.

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