• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 299
  • 24
  • 21
  • 1
  • Tagged with
  • 345
  • 345
  • 345
  • 345
  • 126
  • 100
  • 69
  • 55
  • 44
  • 43
  • 39
  • 35
  • 35
  • 32
  • 32
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
31

Etude du bruit de fond provenant du Bismuth 214 et analyse du signal de double désintégration bêta avec une méthode de maximum de vraisemblance dans l'expérience NEMO-3

Simard, L. 19 October 2009 (has links) (PDF)
Les résultats récents des expériences d'oscillations ont montré que le neutrino est une particule massive; jusqu'à présent la valeur absolue de sa masse reste inconnue, même si les expériences de cosmologie ou de mesure directe donnent des contraintes. D'autre part, comme le neutrino est le seul fermion qui n'est pas chargé électriquement, il peut être identique à son antiparticule, c'est-à-dire être une particule de Majorana. La recherche de la double désintégration bêta $\mathrm{\beta \beta 0 \nu}$ est actuellement la seule technique expérimentale susceptible de mettre en évidence le neutrino de Majorana. Le détecteur NEMO-3, qui recherche la double désintégration bêta du Molybdène 100 et du Sélénium 82, prend des données au Laboratoire Souterrain de Modane depuis février 2003. La première phase de prise de données a permis de mettre en évidence une contamination de la chambre à fils trop élevée en Bismuth 214. Afin d'éviter qu'une faible fraction du radon de l'air du laboratoire ne diffuse dans le détecteur, une tente a été installée autour de celui-ci et une installation de déradonisation de l'air permet d'appauvrir en radon l'air qui entre dans la tente. Le détecteur NEMO-3 peut mesurer pour chaque prise de données sa contamination interne en Bismuth 214; des modèles permettent de décrire comment le radon peut diffuser dans le détecteur, ou comment l'activité en radon de l' air du laboratoire peut varier lors d'une coupure de ventilation. Après installation de la tente et de l'installation de déradonisation de l'air, plusieurs hypothèses sont proposées pour expliquer la contamination résiduelle, sachant que compte-tenu de la longue demi-vie du Radon 222, l'analyse des désintégrations du Bismuth 214 ne permet pas de remonter avec certitude à l'origine du matériau où le radon émane. Enfin, les désintégrations du Bismuth 214 rendent possible un test global, sur lénsemble du détecteur et pour une prise de donnée assez longue, de l'étalonnage en énergie. La recherche de la double désintégration bêta est basée sur une méthode de maximum de vraisemblance, qui utilise l'ensemble des informations mesurées sur les événements à deux électrons par NEMO-3 : non seulement la somme des énergies des électrons, mais également leurs énergies individuelles et l'angle d'émission entre eux. Les distributions sont ajustées sur des simulations pour les signaux et les bruits de fonds; ensuite les contributions des bruits de fond autres que la $\mathrm{\beta \beta 2 \nu}$ sont fixées, grâce à des canaux dédiés de plus haute statistique. Après 2,6 ans de prises de données pour la période à teneur en radon réduite, aucun signal n'a été observé et les contraintes sur les demi-vies de $\mathrm{\beta \beta 0 \nu}$ sont : $$\mathrm{T_{1/2}^{\beta \beta 0 \nu,~} > 8,3~10^{23}~ann\acute{e}es (90\% CL)~^{100}Mo}$$ $$\mathrm{T_{1/2}^{\beta \beta 0 \nu,~} > 4,9~10^{23}~ann\acute{e}es (90\%CL)~^{82}Se}$$ L'utilisation de l'information sur les énergies individuelles et sur l'angle d'émission entre les électrons permet d'améliorer la sensibilité au processus de $\mathrm{\beta \beta 0 \nu}$ généré par les courants droits : $$\mathrm{T_{1/2}^{\beta \beta 0 \nu,~V+A} > 3,5 ~10^{23} ~years~ (90\% CL)~^{100}Mo}$$ $$\mathrm{T_{1/2}^{\beta \beta 0 \nu,~V+A} > 2,7~ 10^{23} ~years~ (90\% CL)~^{82}Se}$$
32

Fonctionnelles d'energie non-empiriques pour la structure nucleaire

Rotival, Vincent 29 September 2008 (has links) (PDF)
La methode de la fonctionnelle de la densite d'energie (EDF) est un outil de choix pour l'etude de la structure nucleaire a basse energie, car elle permet des calculs de noyaux finis aussi bien pour des systemes stables connus experimentalement dont les proprietes sont reproduites avec une bonne precision, que pour des noyaux qui ne peuvent encore etre produits mais sont predits theoriquement. Dans la premiere partie de cette these, une nouvelle methode quantitative est introduite pour caracteriser l'existence et les proprietes des halos dans les noyaux moyens et lourds, ainsi que pour etudier l'impact des correlations d'appariement ou du choix de la fonctionnelle d'energie sur leur formation. Il apparait que la solidite de ces resultats est limitee par le faible pouvoir predictif des fonctionnelles utilisees jusqu'a present qui sont ajustees sur des donnees experimentales. Dans la seconde partie de ce memoire, nous entreprenons la construction de fonctionnelles non-empiriques qui reposent sur un nouveau paradigme pour les forces nucleon-nucleon dans le vide, a savoir les interactions low-momentum engendrees par l'application des methodes du groupe de renormalisation. Ces potentiels a coeur mou sont utilises comme point de depart d'une strategie a long terme faisant le lien entre les techniques modernes de resolution du probleme a N corps et les methodes EDF. Nous donnons ainsi des perspectives pour construire differentes realisations d'un modele non-empirique d'interaction incluant les effets de milieu a differents niveaux d'approximation et pouvant etre traite dans les codes dedies a la structure nucleaire. Dans ce memoire, la premiere etape de ce travail est initiee par l'ajustement d'une representation operatorielle des forces low-momentum dans le vide realise au moyen d'un algorithme parallele d'intelligence artificielle. Les premiers resultats mettent en valeur la possibilite d'incorporer la physique necessaire a la structure de basse energie dans ce vertex gaussien.
33

La spectroscopie $gamma$ : des faisceaux stables aux faisceaux radioactifs

Stézowski, O. 18 June 2008 (has links) (PDF)
La spectroscopie gamma est une sonde très précise de la structure nucléaire interne des noyaux. Elle permet de fixer les niveaux d'énergie autorisés par la mécanique quantique, de déterminer les nombres quantiques caractéristiques (spin et parité) ainsi que la durée de vie de certains états. Créés avec une énergie d'excitation élevée et à haut moment angulaire par réaction de fusion-évaporation, quel que soit le type de faisceau, leur spectre de désexcitation peut s'avérer très complexe à établir expérimentalement mais aussi à interpréter théoriquement. L'étude de séquences de désexcitation caractéristiques,<br>notamment par une certaine régularité, est ainsi naturellement privilégiée.Le chapitre qui suit cette introduction s'arrête sur ces structures particulières associées à différents modes de rotation du noyau. Plusieurs résultats seront ainsi exposés issus d'expériences en partie ou fortement réalisées, analysées et interprétées dans le groupe de Lyon. La rotation collective des noyaux déformés, voire superdéformés, sera illustrée par la mise en évidence de bande de rotation respectivement dans les régions de masse A $simeq$ 130 et A $simeq$ 190. La région de masse A $simeq$ 190 est doublement à l'honneur, pour détailler un autre mode singulier de rotation dit “magnétique”. Enfin quelques mots évoqueront la recherche de formes tétraédrales, un projet initié et piloté par un groupe Strasbourgeois.
34

Validation des bases de données de sections efficaces par l'utilisation d'un spectromètre à temps de ralentissement au plomb entre 0,1 eV et 30 keV. Méthodologie - Résultats

Perrot, Luc 04 December 2001 (has links) (PDF)
Les projets de réacteurs du futur permettent l'utilisation de nouveaux combustibles et montrent leur capacité a incinérer des déchets nucléaires. Ils ont redonne de l'intérêt aux sections efficaces d'un grand nombre d'éléments dans une large gamme d'énergie. Les désaccords observes entre les bases de données requièrent de nouvelles mesures dans certains cas. Les mesures complètes des sections efficaces avec une résolution élevée réclament des temps importants de faisceau et d'analyse. Cependant il est possible de déterminer un bon profil de section efficace de capture dans la région d'énergie comprise entre 0,1eV et 30keV grâce a un spectromètre a temps de ralentissement au plomb associe a un générateur de neutrons pulse. Ces mesures ont été effectuées a l'ISN de Grenoble. Le flux de neutrons est mesure avec un détecteur de fissions a l'233U et un détecteur a gaz 3He puis compare a des simulations Monte Carlo (code MCNP) très précises du dispositif expérimental utilisant différentes bases de données du plomb. Nous avons montre par cette méthodologie que nous pouvons tester la section efficace de diffusion du plomb avec une précision de l'ordre de 1,5%. Les taux de capture, mesures avec un scintillateur CeF3 couple a un photomultiplicateur, sont compares a des simulations utilisant différentes bases de données pour les échantillons. Des matériaux de référence (Au, Ag, In, Ta) ont fait l'objet de mesures, des matériaux présents dans les c?urs de réacteurs ont pu être testes: 232Th, U, 99Tc, ainsi que des matériaux de structure: W, Mo, Ni, Mn. La précision sur la validation des bases de données est de 5%. Ces tests sont enrichis par des mesures sur plusieurs épaisseurs de cible. Les accords et les désaccords des bases de données avec l'expérience sont systématiquement décrits. Enfin, pour certains éléments, une table de correction de la section efficace de capture extraite de la base de données appropriée est proposée, nous en présentons les résultats.
35

Production et étude des fragments de fission, de LOHENGRIN à ALTO

IBRAHIM, Fadi 28 June 2005 (has links) (PDF)
L'étude des noyaux loin de la stabilité est constitutive de l'histoire de la physique nucléaire dès son origine, et connaît un essor considérable. Parmi les nucléides les plus éphémères, ceux situés aux frontières de notre connaissance sont qualifiés d' « exotiques ». Etudier ces noyaux, c'est se donner la chance d'accéder à des informations nouvelles sur la structure nucléaire et ainsi mesurer la solidité de notre conception de la matière nucléaire et sa validité lorsque cette dernière est poussée dans des états « extrêmes ». Le travail présenté dans cette habilitation à diriger des recherches concerne l'étude et la production des noyaux exotiques riches en neutrons produits par le mécanisme de la fission. L'originalité du travail effectuer consiste en partie en une étude croisée des mécanismes de production de faisceaux radioactifs riches en neutrons, tant par la méthode dite « en vol » que par la méthode ISOL (Isotope Separation On Line). Le travail porte sur des études effectuées auprès du spectromètre LOHENGRIN installé à l'ILL de Grenoble, ainsi que sur le programme PARRNe (Production de Noyaux Radioactifs Riches en Neutrons) qui constituait au début du projet en une installation dédiée à une activité de Recherche et Développement pour les futures installations de deuxième générations de faisceaux radioactifs. Les difficultés inhérentes aux techniques de production des noyaux exotiques ont laissé en particulier une grande part des noyaux riches en neutrons dans l'inconnu. Afin d'accéder à ces réserves de découvertes intactes, il est nécessaire de produire ces noyaux exotiques non seulement en plus grande quantité possible mais aussi sous forme de faisceaux accélérés. Les problèmes que soulève la mise en œuvre de tels faisceaux d'ions radioactifs suscite à l'heure actuelle un énorme effort de recherche et développement au sein de notre discipline. Depuis plusieurs années, l'Institut de Physique Nucléaire d'Orsay s'est montré à la pointe en ce domaine grâce au programme PARRNe. La réaction nucléaire choisie pour produire les noyaux exotiques dans le cadre de PARRNe est la fission de l'U238. Les noyaux produits par la fission sont dits « de masse intermédiaire » et sont très excédentaires en neutrons. La technique de « mise à disposition » de ces noyaux retenue est celle dite « en cible épaisse » ou méthode ISOL. Le programme a donc pour objectif la détermination des conditions optimales de production des noyaux riches en neutrons issus de la fission de l'U238 par la technique ISOL. Lors de la réaction, les produits de la fission apparaissent sous forme atomique dans la cible, la difficulté est ensuite de les en faire sortir pour éventuellement les ioniser et ainsi pouvoir les accélérer. La facilité avec laquelle les éléments produits lors de la fission sortent de la cible dépend de leurs propriétés physico-chimiques. L'optimisation des conditions de production passe donc par l'optimisation des conditions de la fission (l'énergie et la nature du faisceau incident, le type et la géométrie du convertisseur, la structure de la cible) et par l'optimisation des conditions d'extraction et d'ionisation des produits de fission (optimisation de l'ensemble cible-source d'ions). Pour mettre en œuvre ce programme une ligne de type ISOL, dotée d'un séparateur en masse, a été installée au TANDEM. Ce montage permet de s'approcher au mieux des conditions expérimentales qui seront rencontrées sur la future installation SPIRAL 2 au GANIL. Les résultats obtenus avec les faisceaux du tandem ont été tels qu'il a été possible d'initier un programme de physique original auprès de cet outil initialement destiné à des études de R&D. L'une des originalités du travail effectué consiste en la mise en place d'un programme de physique original auprès de PARRNe sur l'étude de l'évolution de la magicité pour les noyaux exotiques proches de la couche fermée en neutron N=50. Ces premiers résultats très prometteurs préfigurent les futures expériences auprès des accélérateurs de deuxième génération.
36

Theories des champs topologiques et mecanique quantique en espace non-commutatif

Lefrançois, M. 05 December 2005 (has links) (PDF)
Le Modèle Standard de la physique des particules décrit les interactions entre les constituants élémentaires de la matière. Cependant, il ne parvient pas à concilier théorie quantique des champs et relativité générale. Cette thèse se focalise sur deux approches au-delà du Modèle Standard, a priori différentes mais non nécessairement<br />incompatibles entre elles : les théories des champs topologiques et la mécanique quantique en espace non-commutatif.<br />Les théories topologiques ont été introduites par Witten il y a une vingtaine d'années et possèdent un lien très étroit avec les mathématiques : leurs observables<br />sont des invariants topologiques de la variété d'espace-temps étudiée. Dans ce mémoire, nous nous intéressons en premier lieu à une théorie de Yang-Mills topologique. Ce modèle-jouet est ici abordé dans<br />un formalisme de superespace et nous dégageons une méthode systématique de détermination de ses observables. L'intérêt est double : d'une part,<br />retrouver les résultats obtenus précédemment dans une jauge particulière (de Wess et Zumino) et d'autre part, calculer les observables dans une superjauge quelconque. Notre approche a ainsi permis de vérifier que les observables découvertes jusque là en théorie de<br />Yang-Mills topologique étaient les seules possibles. Le formalisme développé peut ensuite être appliqué à des<br />modèles plus complexes; dans cette optique, nous détaillons ici le cas de la gravité topologique.<br />La mécanique quantique en espace non-commutatif propose une extension de l'algèbre de Heisenberg<br />de la mécanique quantique ordinaire. La différence tient au fait que les différentes composantes des opérateurs position ou moment ne commutent plus entre elles. Par conséquent, il est nécessaire de renoncer à la notion de point en introduisant une «longueur fondamentale». Nous nous intéressons dans la deuxième partie de ce<br />manuscrit à la description des différentes algèbres de<br />commutateurs rencontrées. Des applications à des systèmes quantiques en dimension deux (système de Landau, oscillateur harmonique,...) ainsi qu'une généralisation au cas de systèmes supersymétriques sont présentées.
37

Production de dimuons en reactions p-p et Pb-Pb avec ALICE: le détecteur V0 et les résonances de basse masse

Rapp, Benjamin 18 June 2004 (has links) (PDF)
Les collisions d'ions lourds ultra relativistes permettent, grâce à la haute densité d'énergie atteinte, de produire un nouvel état de la matière où les quarks ne sont plus confinés à l'intérieur des nucléons. Cet état, appelé Plasma de Quarks et de Gluons sera étudié par l'expérience ALICE située auprès du collisionneur LHC du CERN. Dans cette thèse est décrit le détecteur V0, hodoscopes de scintillateurs situés de part et d'autre du point de collision des faisceaux au centre de l'expérience ALICE. Il joue un rôle essentiel dans ALICE. Il fournit le déclenchement de niveau 0 de l'expérience, filtre une grande partie du bruit de fond instrumental et permet de mesurer la luminosité en collisions proton-proton. Le développement de ce détecteur ainsi que ses performances sont détaillés. La physique des dimuons est aussi abordée dans le cas plus particulier de l'étude des résonances de basse masse. La région de masse invariante inférieure à 3 GeV/c$^2$ contient une importante information sur le milieu chaud et/ou dense créé lors des collisions d'ions lourds. La modification des propriétés des résonances $\rho^0$, $\omega$ et $\phi^0$ est un signal potentiel de la restauration de la symétrie chirale. La possibilité d'observer ces résonances dans leur voie de désintégration en paires de muons est évaluée en collisions p-p et Pb-Pb avec le spectromètre dimuon d'ALICE.
38

Etude des effets d'irradiation sur le Phosphate Diphosphate de thorium (beta-PDT) ; conséquences sur la durabilité chimique.

Tamain, Claire 14 December 2005 (has links) (PDF)
Le Phosphate Diphosphate de Thorium (β-PDT) est considéré comme une matrice<br />céramique potentielle en vue de l'immobilisation des actinides en formation géologique<br />profonde. Il s'est avéré donc impératif d'étudier les effets de l'irradiation sur la structure de<br />cette céramique et les conséquences sur sa durabilité chimique.<br />Des échantillons de β-PDT et des solutions solides associées de β-PDTU ont été irradiés<br />puis altérés en solution aqueuse. Selon la valeur du TEL électronique, le β-PDT peut<br />s'amorphiser totalement ou partiellement. Par ailleurs, la capacité de recristallisation du<br />matériau amorphe par recuit thermique a été démontrée. Les tests de lixiviation menés sur ces<br />échantillons irradiés ont montré une influence significative de la fraction amorphe sur la<br />vitesse de dissolution normalisée qui augmente d'environ un facteur 10 entre le matériau non<br />irradié et le matériau amorphe. Corrélativement, la fraction amorphe modifie le temps requis<br />pour atteindre les conditions de saturation associées aux équilibres thermodynamiques. En<br />revanche, elle ne présente aucune influence ni sur d'autres paramètres cinétiques, tels que<br />l'énergie d'activation du processus de dissolution ou l'ordre partiel par rapport aux protons, ni<br />la nature de la phase néoformée identifiée comme le Phosphate HydrogénoPhosphate de<br />Thorium Hydraté (PHPTH).<br />Des échantillons de β-PDTU ont aussi été irradiés sous rayonnements γ et α pendant les<br />tests de lixiviation afin d'étudier les effets de la radiolyse du milieu lixiviant sur la vitesse de<br />dissolution du matériau. Il est apparu que les espèces radiolytiques intervenant dans le<br />mécanisme de dissolution étaient peu stables, disparaissant rapidement dès la fin de<br />l'irradiation. Leur caractère fortement oxydant vis-à-vis de l'uranium tétravalent permet d'expliquer la différence de comportement entre les cations métalliques (U et Th)
39

Mesures de sections efficaces de fission induite par neutrons sur des actinides du cycle du thorium à n_TOF.

Ferrant, Laure 07 September 2005 (has links) (PDF)
Dans le contexte des études sur les systèmes innovants de production d'énergie, des réacteurs exploitant le combustible thorium sont envisagés. Les sections efficaces de fission induite par neutrons des actinides qui y sont engagés entrent en jeu dans les simulations de scénarios. Pour les alimenter, des bases de données sont produites à partir de résultats expérimentaux et de modèles. Pour certains noyaux, elles présentent des lacunes ou des désaccords. Pour compléter ces bases de données, nous avons construit un dispositif original constitué d'une alternance de PPACs(chambres à avalanches sur plaques parallèles) et des cibles ultra-minces, que nous avons installé auprès de l'installation n_TOF. Nous décrivons les détecteurs, le montage, et le soin apporté à la fabrication et à la caractérisation des cibles. La détection en coïncidence des produits de fission se fait grâce à des mesures de temps très précises et à leur localisation par la méthode de la ligne à retard. Nous avons contribué, au sein de la collaboration n_TOF, à la caractérisation de la nouvelle source intense de neutrons de spallation du CERN, basée sur le temps de vol des neutrons, et nous en décrivons les caractéristiques et les performances. Nous avons pu mener des mesures sur les actinides ^{232}Th, ^{234}U, ^{233}U, ^{237}Np, ^{209}Bi, et ^{nat}Pb relativement aux références ^{235}U et ^{238}U, en utilisant un système d'acquisition innovant. Nous avons pu tirer parti du large domaine d'énergie accessible, de 0,7 eV à 1 GeV, et de l'excellente résolution dans ce domaine. Le traitement des données et l'état d'avancée de l'analyse sont décrits afin d'éclairer les performances et les limites des résultats obtenus.
40

Etude des fermetures de couche N=40 et N=50

Perru, Orianna 10 December 2004 (has links) (PDF)
Sur N=50, une experience a ete realisee en fevrier 2001 sur la ligne ISOL PARRNe dont l'objet etait de mesurer les premiers etats excites du 83Ge (Z=32, N=51) en etudiant la decroissance beta du 83Ga produit par fission de 238U. La precision extreme du dispositif experimental, couplee au fonctionnement des sources a plasma chaud a permis d'atteindre des informations spectroscopiques des isotopes de Ge au dela de la couche magique N=50. Deux transitions ont ete attribuees au 83Ge : a 867 keV et a 1238 keV. Le schema de niveau du 83Ge a pu etre interprete en terme de particule individuelle : les etats excites de ce noyau sont dus aux couplages entre le neutron celibataire au dela de N=50 et le reste du noyau. Sur N=40, nous avons cherche a determiner la valeur de la probabilite de transition de l'etat fondamental vers le premier etat excite notee B(E2) dans les noyaux de 70Ni (N=42) et de 74Zn (N=44) a partir de reaction d'excitation coulombienne. Ces noyaux exotiques sont produits par fragmentation d'un faisceau primaire de 76Ge sur une cible de 58Ni, selectionnes par le spectrometre LISE, puis interagissent avec une cible secondaire de Pb utilisee pour induire l'excitation coulombienne. A l'issue de cette analyse, les B(E2) suivant ont ete obtenus : B(E2,70Ni)=860(170) e2fm4, B(E2,74Zn)=1960(140) e2fm4. Ces valeurs ont ete confrontees d'une part a des calculs variationnels que j'ai realises, d'autre part a des calculs de modele en couches publies. Ces calculs mettent en evidence l'aspect complexe des noyaux de Ni, qui bien que situes sur une fermeture de couche en protons (Z=28), ne semblent pas avoir un comportement typique de noyaux semi magiques.

Page generated in 0.0714 seconds