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No / According to leading sociological theorists we have now entered a 'late modern' epoch of 'de-traditionalisation' and 'individualisation'. Families are crucial in this vision, where the social ties of kinship and marriage are weakened, increasingly replaced by the project of self. In this paper we take three geographical indices of central elements of the individualisation thesis, examining the distribution in Britain of same sex couples, births to cohabitants, and mothers' withdrawal from the worker role. Analysis of all three indices give support to two levels of criticism of individualisation theory. First, pre-existing social structures have not gone away; the prevalence and the effect of the components of family form and change examined here seem deeply influenced by pre-existing local structural conditions. Secondly, the analysis supports the criticism that while people might indeed have more room for manoeuvre in late modern society, and may well be less constrained by older traditions, this does not necessarily mean individualisation. The behavioural components of individualisation theory may be a non-sequitor from the observation of changing family forms. We conclude that it seems likely that individualisation may be better conceptualised as one part of pre-existing social and structural processes, and that its behavioural assumptions are unjustified.

A series of interpretive dialogues with one object relations, couple therapy, case study were performed to research the role of projective and introjective identification within an intersubjective context. The method, Gadatner's (1993) philosophical hermeneutics, involved a dialectical moving back and forth between the more intrapsychic standpoint of the case study and the intersubjective perspectives of philosophical hermeneutics and recent object relations thinking (Ogden, 1994). These interpretive dialogues became written mediations yielding increasingly coherent and in depth understandings of projective and introjective identification. The mediations delineated three turning points in the case study. In each, projective and introjective identification was critical to understanding the marriage's conflict and possible repair. Further interpretation of these turning points yielded an understanding of projective and introjective identification as a part of what Klein (Ogden, 1989, 1994) and Fairbairn (1952) have called the paranoid-schizoid position, as opposed to the higher functioning depressive position. Ogden's (1994) contention that these positions are in dialectical relationship, and not developmentally exclusive, avoided the objections (Kemberg, 1974) (Meissner, 1974) that projective and introjective identification is a psychotic defense mechanism. While most couples are in the depressive position, the mediations revealed that under stress, couples regress to the paranoid-schizoid position, where projective and introjective identifications render the relationship chaotic but also repairable through the re-enactment of old conflicts. Projective and introjective identification also was central to the process of transference and countertransference by which the therapist gained understanding of the couple and enabled then1 to work toward repair. Projective and introjective identification was understood as an intersubjective process that occurred between persons, as opposed to some form of mind invasion. This intersubjective perspective enabled the research understandings to be highly interpersonal without denying the richness of the intrapsychic world. As a research method, philosophical hermeneutics proved, as anticipated, unwieldy, circular and highly dependent on the researcher's interpretive abilities. However, this method was highly commensurate with the subject matter at a depth inconceivable in a quantitative analysis. This post-modem method valued the relationship between subjects over objectivity in a way that was congruent with therapy relationships and helpful in understanding them. / Ph. D.

Plusieurs personnes peuvent être victimes de stigmatisation en raison de leur poids (Wang & al., 2004), la stigmatisation étant rattachée à diverses répercussions au plan biopsychosocial (Puhl & Heuer, 2009). Des études rapportent que les expériences de stigmatisation liée au poids sont associées à une plus grande internalisation des stigmas (O'Brien & al., 2016; Carels & al., 2020; Pudney & al., 2020, Lillis & al., 2010). Des auteurs soulèvent que la stigmatisation par rapport au poids, à l'instar de l'internalisation des stigmas liés au poids, affecte le bien-être émotionnel (Carr et al., 2007). Le partenaire amoureux a été identifié comme source primaire de stigmatisation liée au poids (Falkner & al. 1999). À cet effet, les résultats de certaines études portant sur bien-être émotionnel et la satisfaction conjugale suggèrent que vivre des expériences de stigmatisation liée au poids venant du partenaire, ainsi que le fait d'internaliser les stigmas reçus, sont liés à un plus faible bien-être émotionnel chez les membres d'un couple, ainsi qu'à une moins bonne qualité de la relation conjugale (Eisenberg & al., 2017; Sheets & Ajmere, 2005; Evans et Stukas, 2007; Cohn, 2020; Carels & al., 2020). L'objectif de la présente étude est d'examiner l'effet médiateur des émotions négatives ressenties envers le partenaire dans la relation entre la stigmatisation liée au poids et les conflits au sein du couple, pour les hommes et les femmes, et de vérifier la présence d'une possible implication de l'internalisation des stigmas en tant que modérateur dans ce modèle. Trente-neuf couples d'individus âgés de 18 à 55 ans ont pris part à deux visites en laboratoire pour compléter des questionnaires en ligne et remplir, entre les visites, un journal quotidien en ligne pendant deux semaines comprenant des questions sur les expériences de stigmatisation liées au poids, les émotions négatives envers le partenaire et les conflits avec le partenaire. La grandeur et le poids de chaque participant ont également été mesurés lors des visites. Des analyses de régression linéaire ont été effectuées pour vérifier l'effet médiateur des émotions négatives sur la relation être la stigmatisation liée au poids et les conflits conjugaux. Chez les hommes, un effet indirect significatif a été trouvé entre la stigmatisation liée au poids et les conflits conjugaux via les émotions négatives. Chez les femmes, l'effet indirect est significatif lorsque le modèle prend en compte le rôle modérateur de l'internalisation des stigmas liés au poids entre l'expérience de stigmatisation et les émotions négatives. La stigmatisation liée au poids corporelle de la part du partenaire devrait être davantage investiguée et adressée en présence de conflits conjugaux.

There are over 700,000 individuals living with Crohn's disease in the United States. Crohn's disease is a chronic inflammatory bowel illness that can have debilitating effects on individuals and their partners. There is ample literature on the various medical effects of Crohn's disease on the diagnosed individual but a dearth of literature on how Crohn's disease affects young adult individuals and their partners. This dissertation endeavors to fill this gap in the literature. Through Interpretative Phenomenological Analysis, this study explores how an individual's diagnosis of Crohn's disease is perceived to affect the couple relationship and young adult life-cycle transitions. From this study, healthcare providers can better understand how the numerous physical symptoms of Crohn's disease cause psychological and social implications for the diagnosed individual and partner. This understanding will allow healthcare providers to complete couple level clinical assessment and increase systemic interventions, promoting greater resilience among young adult couples. / Ph. D.

Le présent mémoire doctoral a pour objectif d'identifier les regroupements naturels de l'attachement et de la personnalité des deux partenaires amoureux, de sorte à offrir une compréhension combinée de ces caractéristiques en lien avec la satisfaction conjugale. Pour ce faire, 355 couples recrutés au Service de consultation de l'École de psychologie de l'Université Laval ont rempli trois questionnaires : le questionnaire sur les expériences amoureuses (ECR-12), l'inventaire NEO en cinq facteurs (NEO-FFI) et l'échelle d'ajustement dyadique (DAS). Les analyses de profils latents indiquent que trois profils de couple se dégagent. Le premier se compose de conjoints craintifs avec un névrosisme élevé (profil Craintif-névrosisme élevé, n = 131 couples), le deuxième regroupe une femme sécure avec une personnalité plus fonctionnelle et un homme craintif avec des traits modérés (profil Mixte-fonctionnel, n = 140 couples) et le troisième inclut une femme craintive avec un névrosisme élevé jumelée à un homme détaché avec des traits plus désirables (profil Insécure-mixte, n = 84 couples). Des ANOVAs à mesures répétées ont ensuite permis de repérer des différences significatives de satisfaction conjugale selon le profil du couple. Les résultats montrent une meilleure satisfaction conjugale chez les couples Mixte-fonctionnels comparativement aux deux autres profils, et chez les couples Insécure-mixtes par rapport au profil Craintif-névrosisme élevé. Cette étude a des retombées intéressantes, d'une part en clinique pour guider les psychologues dans la présentation du bilan diagnostique, et d'autre part en recherche par l'exploration d'une nouvelle approche du lien entre la satisfaction des conjoints et leur profil d'attachement et de personnalité.

La présente recherche porte sur la prédiction de la désunion. L'objectif de cette étude est de vérifier empiriquement la valeur d'un modèle médiationnel de la dissolution d'union. Le style motivationnel et la satisfaction conjugale constituent les variables clés de la présente étude. L'hypothèse proposée stipule que moins une personne affiche une motivation initiale qui tend vers l'auto-détermination, et moins elle est satisfaite ultérieurement, plus les risques de désunion sont grands. La vérification de cette hypothèse nécessite le recours à un plan de recherche comportant trois périodes d'observation. L'originalité de cette étude tient au caractère longitudinal du protocole d'expérience. Des analyses de cheminement démontrent que la satisfaction conjugale n'agit pas comme variable médiationnelle dans notre modèle de prédiction de la désunion. De plus, des analyses de survie révèlent que le style motivationnel et la satisfaction conjugale n'agissent pas à titre de prédicteurs de la dissolution d'union.

This study is a multi-case study which examines the experiences of participants involved in a 12-session integrated couples treatment program for domestic violence. Participants included 7 therapists and 5 heterosexual couples. 3 couples participated in individual couples treatment, and 2 participated in a multi-couple group treatment. 2 of the couples were Black, while all other couples were White. 4 out of 5 couples were married; one couple was in a committed dating relationship. All therapists were trained in marriage and family therapy. All participants filled out open-ended questions about their expectations for therapy and participated in two interviews to elicit their experiences of ongoing therapy. Interviews were tape-recorded and transcribed, and data were analyzed using the constant comparative method. The findings include clients' and therapists' expectations of therapy prior to treatment, and their experiences of therapy during the first half of treatment. Participants discussed which aspects of therapy were helpful, and which aspects of therapy were not helpful. In general, clients emphasized helpful therapist behaviors and qualities that seemed to facilitate their engagement in the therapy process. Therapists tended to focus on specific techniques they employed to facilitate changes in their clients. Participants most often criticized the treatment length as insufficient. Participants also shared their views about the racial difference between therapists and clients, or among group members in the multi-couple treatment group. Most participants believed that racial difference had no effect on the treatment. Finally, participants shared their opinions about traditional domestic violence treatment versus couples treatment of violence. / Master of Science