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L'essai de soi, relectures de l'oeuvre de Virginia Woolf / The oneself essay ["essai de soi"], rereadings of Virginia Woolf's workRaphael De La Madrid, Lucia Del Carmen 08 December 2009 (has links)
«L’essai de soi », en tant que méthode littéraire, crée dans l’œuvre de Woolf, Les Vagues, une nouvelle façon de faire littérature, ainsi qu’une nouvelle pensée philosophique. À fin de comprendre comment l’essai exerce une influence sur le travail de Woolf, J’ai analysé Les Essais de Michel de Montaigne, comme une méthode, comme l’exegium, dans ses multiples connotations ainsi que comme processus qui donne naissance à l’essai en tant que genre littéraire, dans son acception moderne. À travers « l’essai de soi » Montaigne et Woolf élaborent leurs propres autoportraits avec des mots. Pour une meilleure compréhension de ce processus j’ai établi des échos avec des philosophes contemporains et avec l’analyse des spécialistes. Pour une meilleure compréhension de « l’essai de soi » par rapport au travail de Woolf, je propose la définition des principes qui définissent la méthode de Montaigne. Ces principes ont été développés comme des axes de « l’essai de soi » sa définition et son interaction à chaque moment de son écriture. Dans le sens d’un « jeu d’abymes », j’ai visé le centre d’un entrecroisement d’hommages. Celui que Montaigne rend à Etienne de la Boétie, et la relation littéraire que Woolf établit avec Montaigne. Les deux auteurs développent son écriture comme une sorte d’autobiographie, mais ils vont au-delà de ce genre, par le registre du passage du temps et les transformations qui s’opèrent au moment de l’écriture. Les personnages de Woolf sont construits à partir de la variété de multiplicités que chacun en soi, celle que les autres et le regard des autres lui apportent. Les Vagues est une radiographie de l’esprit humain qui est au même temps approche philosophique, l’écriture suit ce que Montaigne décrit comme une forme elliptique de création. Les deux auteurs se basent sur l’expérience humaine, celle qui est commune à tous, là au chacun se rencontre avec l’autre. À travers ce processus, Woolf traduit la philosophie de Montaigne en style narratif. / This work deals on how the “essai de soi” as literary method creates in Virginia Woolf’s work in particular in The Waves, not only a new form of writing in the literary sense but also a new form of thinking. For being able to understand how the essay is such an important incidence in the cited work of Virginia Woolf, I looked into The Essays by Michel de Montaigne, not only to analyze him as a philosopher with a specific esthetics and ethics but furthermore, as a method, as exegium in its multiple connotations and as a procedure that allowed the essay to be born as a literary form. By using the “essai de soi” Montaigne and Woolf make their self-portraits in words. For the comprehension of the procedure I established an echo with contemporary philosophers and the specialist analysis of self portrait work. For a better comprehension of the “essai de soi” that allows a latter approach to Woolf´s work. I propose the definition of specific principles in Montaigne´s method. They will be developed in separate ways as axes of the “essai de soi” with the characteristic and parallel interactions in each moment of his writing. In a sort of “jeu d’abîmes” I gaze into a cross homage. That of Montaigne to Etienne de La Boétie and the literary relation that Woolf establishes with Montaigne. Both authors use their writing as a form of autobiography but go beyond that by registering the daily transformation of the present. In Woolf´s characters, she uses a multiplicity of biographies of the same person, seen by different people in which she finds a source to build the others in her own mirror. The Waves is a radiography of the human spirit used as a philosophical subject, her writing has what Montaigne describes as an elliptical form of creation. Both authors dwell on the human experience, that is common to us all, that which communicates and identifies itself in the other. By doing so Woolf allows herself to translate Montaigne’s philosophy in a narrative style.
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Shakespeare and the Language of DoubtDrew, John Michael 24 September 2008 (has links)
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Tilltro och kritik inom rätten : en läsning av Jacques Derridas Lagens kraftHögberg, Amelia January 2017 (has links)
The aim of this essay is to show how the relationship between credit and critique is important for Jacques Derrida’s deconstruction of law. I will start from Force of Law, in which law, as well as justice, is deconstructed by Derrida. My purpose is further to show how the two concepts, credit and critique, are intertwined in the discourse of law and thereby crucial for Derrida’s deconstruction. As Derrida always states, the rational projects need to have a master concept, which the project revolves around, and this master concept needs at least one other subordinate concept to contrast itself against. In this context, I argue that critique can be that master concept. I base this argument upon the fact that critique in its ancient Greek sense, krinein, can be translated into the verb ‘to separate’, ‘to decide’ or ‘to judge’, which shows that there is an obvious link to the task of a judge. This puts critique in center of the discourse of law. Credit on the other hand is not rational, which makes it opposed to critique, but it is still important for law. It is a typical subordinated concept that just appears in the discourse without any further explanation but is present by its implicit importance to the discourse. I argue that credit is the subordinate concept that is needed for the concept of critique to be a master concept. Both concepts are important for the foundation of law, and this is why I believe that Derrida in the end states the importance to take responsibility for the law. In other words, one must take responsibility for both founding aspects of credit and critique when deconstructing the law.
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Att måla essäistisktWagner, Ulf January 2016 (has links)
Att måla essäistisktDenna uppsats beskriver hur ett konstnärligt samarbetsprojekt utvecklades mellan två konstnärer.Målet med projektet var att komma fram till ett dialogiskt arbetssätt utan att använda det verbalaspråket och beskriver hur arbetet förvandlades från egna monologer till ett måleriskt samtal.Med utgångspunkt i renässansförfattaren Michel de Montaigne och hans arbete med att iessäform reflektera och få kunskap om tillvaron undersöks essäskrivandet både somforskningsmetod och förhållningssätt. Centrala begrepp är Friedrich Nietschzes apollinskt kontradionysiskt och Friedrich Schillers beskrivningar av form-, sinnlig- och lekdrift. Uppsatsen är enmeta-essä med syfte att visa hur ett essäistist arbetssätt kan reflektera och lyfta fram den egna levdapraktiska kunskapen. / Painting essayisticThis essay-form paper depicts the development of an artistic collaboration between two artistswhere the purpose was to come up with a dialogical way of working without using verballanguage. It describes how this work developed from separate monologues to a conversation inpainting.Based in the the renaissance essayist Michel de Montagne and his reflections over andattempts to understand our existence I try to approach the essay as a form that can be utilized asa method as well as an attitude towards this. Central concepts are Friedrich Nietzsche´s »theApollonian» versus »the Dionysian» as well as Friedrich Schiller's descriptions of the formaldrive, the sensuous drive and the play drive. The paper is a “meta essay” about how theessayistic method can be used to reflect over and emphasize personal practical knowledge.Keywords:Essay,
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L'essai de soi, relectures de l'oeuvre de Virginia WoolfRaphael De La Madrid, Lucia Del Carmen 08 December 2009 (has links) (PDF)
"L'essai de soi ", en tant que méthode littéraire, crée dans l'œuvre de Woolf, Les Vagues, une nouvelle façon de faire littérature, ainsi qu'une nouvelle pensée philosophique. À fin de comprendre comment l'essai exerce une influence sur le travail de Woolf, J'ai analysé Les Essais de Michel de Montaigne, comme une méthode, comme l'exegium, dans ses multiples connotations ainsi que comme processus qui donne naissance à l'essai en tant que genre littéraire, dans son acception moderne. À travers " l'essai de soi " Montaigne et Woolf élaborent leurs propres autoportraits avec des mots. Pour une meilleure compréhension de ce processus j'ai établi des échos avec des philosophes contemporains et avec l'analyse des spécialistes. Pour une meilleure compréhension de " l'essai de soi " par rapport au travail de Woolf, je propose la définition des principes qui définissent la méthode de Montaigne. Ces principes ont été développés comme des axes de " l'essai de soi " sa définition et son interaction à chaque moment de son écriture. Dans le sens d'un " jeu d'abymes ", j'ai visé le centre d'un entrecroisement d'hommages. Celui que Montaigne rend à Etienne de la Boétie, et la relation littéraire que Woolf établit avec Montaigne. Les deux auteurs développent son écriture comme une sorte d'autobiographie, mais ils vont au-delà de ce genre, par le registre du passage du temps et les transformations qui s'opèrent au moment de l'écriture. Les personnages de Woolf sont construits à partir de la variété de multiplicités que chacun en soi, celle que les autres et le regard des autres lui apportent. Les Vagues est une radiographie de l'esprit humain qui est au même temps approche philosophique, l'écriture suit ce que Montaigne décrit comme une forme elliptique de création. Les deux auteurs se basent sur l'expérience humaine, celle qui est commune à tous, là au chacun se rencontre avec l'autre. À travers ce processus, Woolf traduit la philosophie de Montaigne en style narratif.
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