• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 868
  • 211
  • 76
  • 10
  • 3
  • 2
  • 1
  • Tagged with
  • 1291
  • 336
  • 290
  • 284
  • 275
  • 230
  • 221
  • 167
  • 157
  • 154
  • 133
  • 113
  • 105
  • 95
  • 94
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
61

Étude multi-cas du processus de démarrage des modèles novateurs d'entreprise agricole et de la relève hors cadre familial

Cyr, Pascal 04 1900 (has links) (PDF)
Dans le cadre de cette recherche exploratoire, une vingtaine d’études de cas ont été réalisées auprès de la relève hors cadre familial (HCF) ayant démarré un modèle novateur d’entreprise agricole. Dans un premier temps, une analyse descriptive a été effectuée afin d’améliorer nos connaissances sur le profil de cette relève (antécédent, formation, expérience, compétences, besoins en formation et service-conseil), ces modèles d’entreprise agricole (production, taille, activités, viabilité, etc.) et les stratégies de prédémarrage et de développement utilisées. Cette première analyse révèle entre autres que la majorité de la relève échantillonnée est d’origine urbaine, que la relève fait face au scepticisme du monde agricole québécois et que ces modèles novateurs d’entreprise agricole sont viables. D’autre part, il semble qu’il ait deux types d’entrepreneurs : l’entrepreneur-gestionnaire qui a pour premier objectif la viabilité de son entreprise agricole et «l’entrepreneur-philosophe» qui a choisi l’agriculture d’abord et avant tout pour le mode de vie. Dans un deuxième temps, une analyse comparative basée sur la viabilité des entreprises agricoles participantes a fait ressortir les divergences entre le groupe à forte viabilité et celui à faible viabilité. Parmi les multiples constats, cette deuxième analyse révèle l’importance de la détermination et de la capacité de réseautage des promoteurs au prédémarrage, d’acquérir une terre en lien avec les besoins de l’entreprise, d’avoir de bonnes compétences en gestion et en commercialisation et l’objectif d’une rentabilité hâtive (2 premières années). L’amélioration des connaissances au sujet de la relève HCF et de ces modèles novateurs d’entreprise agricole a pour but d’aider les dirigeants et les intervenants à leur offrir un accompagnement et des politiques adaptés à leur contexte. Ce qui aurait pour résultats de saisir le plein potentiel de cette source de futurs exploitants et d’innovations agricoles.
62

Les bases sociales de la Coopérative de pêcheurs de Carleton, 1923-1966

Landry, Julie January 2008 (has links) (PDF)
Le mouvement coopératif au Québec ne se développe vraiment de façon substantielle qu'à partir du début du XXe siècle. Deux vagues de coopération se succèdent : la première marquée par un nombre important d'implantations entre 1900 et 1930 et la seconde caractérisée par une ramification dans différents domaines d'activités entre 1930 et 1945. Le présent mémoire s'intéresse aux bases sociales de ce mouvement, plus particulièrement dans le domaine de la pêche, à travers l'étude du membership d'une coopérative. La coopérative de pêcheurs choisie pour l'étude, celle de Carleton en Gaspésie, naît en 1923. Parce qu'elle n'a pas connu d'éclipsé contrairement aux autres coopératives de pêcheurs en Gaspésie lors de la crise économique des années 1930, divers auteurs se sont beaucoup intéressés à sa longue histoire. Spécialisée dans la pêche au saumon, la coopérative de Carleton met sur pied dès 1924 une conserverie qui ne fonctionnera cependant que quelques années. En 1932, les Carletonnais bénéficient de l'implantation d'un entrepôt frigorifique que l'on appellera plus communément le frigidaire. Les décennies 1940 et 1950 sont marquées par l'expansion territoriale de la coopérative et le début de la diversification des ressources. Les années 1960, 1970 et 1980 sont, quant à elles, plus difficiles. Le saumon commence à manquer dans la Baie des Chaleurs et des lois viennent restreindre l'activité des pêcheurs commerciaux de l'espèce saumonée. La coopérative fait faillite en 1989. Suite à nos lectures, nous avons constaté que certaines lacunes étaient apparentes en ce qui a trait aux connaissances sur les bases sociales de la Coopérative de Pêcheurs de Carleton. En effet, ses membres ne semblent pas avoir fait l'objet d'études. Dans une perspective plus large, peu d'auteurs se sont intéressés aux bases sociales de la coopération au Québec. C'est en vue d'élargir les connaissances sur le sujet que nous avons brossé un portrait des membres de la coopérative de Carleton, en nous penchant sur quatre variables : l'âge, le lieu de résidence, le métier et les liens familiaux. Nous avions à notre disposition trois sources d'importance dont deux provenant du Fonds d'archives de la Coopérative de Pêcheurs de Carleton : les Procès-verbaux et les listes de membres (1923, 1929, 1931 et 1966). S'ajoutent à cela les rôles d'évaluation (1941, 1947 et 1965-66-67) que nous a fournis la ville de Carleton ainsi que les Registres de Bona Arsenault sur l'ensemble des municipalités de la Baie des Chaleurs (une quinzaine de paroisses). Ces derniers contiennent l'ensemble des actes concernant les baptêmes, mariages et sépultures d'une paroisse. Nos principaux constats se présentent comme suit. D'abord, nous avons fait ressortir un vieillissement du membership de la coopérative de Carleton au fil des années. En ce qui a trait au lieu de résidence, nous constatons l'élargissement géographique des actions de la coopérative sur une partie de la Baie des Chaleurs et ce, plus tôt que ce qu'annonçaient nos lectures. Nous avons remarqué qu'une proportion non négligeable de membres exercent d'autres métiers que la pêche, dont celui d'agriculteur pour plusieurs, et que par le fait même, le métier de pêcheur en paraît un d'appoint. Le dernier constat concerne les liens familiaux. L'étude de cette donnée nous a permis d'analyser certaines modalités de la transmission du membership, d'abord par la prédominance de certaines familles au sein de la coopérative et ensuite, par la relation père/fils.
63

L'environnement, secteur de diversification de la structure régionale de production industrielle dans une perspective de développement durable

Tremblay, Rodrigue January 1996 (has links) (PDF)
Devant l'évidence de limites écologiques à la croissance industrielle, la présente recherche jette les bases conceptuelles et technologiques nécessaires pour parvenir au développement régional durable. Elle se situe dans le cadre de l'écosystème de l'Abitibi-Témiscamingue. De nature exploratoire, la recherche dérive de l'aperception que la protection de l'environnement peut constituer un facteur important de développement par la diversification de la structure régionale de production industrielle. Avec comme finalité de concilier développement et environnement, la démarche méthodologique que nous avons adoptée privilégie la perspective systémique. Cette démarche nous a conduit dans un premier temps, à passer en revue les principales filières régionales de production de façon à reconnaître l'état de l'utilisation des ressources naturelles et la nature des déchets générés par les procédés industriels. La filière de production nous a servi de concept opératoire. L'approche filière telle qu'utilisée dans le cadre de ce travail procède du paradigme technocentrique. Les solutions possibles aux problèmes environnementaux s'appuient dans une large mesure sur l'utilisation de procédés de production écologiques, la gestion parcimonieuse des ressources naturelles ainsi que la récupération et recyclage des déchets industriels. Notre intervention a surtout porté sur les technologies de valorisation des rejets de l'industrie forestière et de l'industrie minière. Dans un deuxième temps, nous avons identifié des opportunités de développement issues de la récupération et recyclage des matières résiduelles des industries régionales. Une part importante de ce potentiel repose sur les possibilités qu'offrent les dernières innovations technologiques. Pour le reste, l'utilisation maximale des rejets industriels est du ressort de la recherche et développement. En dernier lieu, nous avons produit une étude de préfaisabilité d'un projet utile à la fois à l'environnement et au développement régional. Ce projet consiste en l'utilisation des résidus ligneux pour la production en série d'énergie électrique et d'énergie thermique. Les résultats de l'étude étant concluants, la décision est à l'effet de recommander la réalisation d'une étude de faisabilité. Une recherche d'une telle envergure, qui plus est dans un secteur difficile d'approche, ne pouvait se réaliser sans une relation d'aide. L'étude a bénéficié du concours de nombreux experts des domaines de l'industrie, de l'environnement, de la technologie et de la recherche scientifique. Enfin, cette recherche ne peut prétendre apporter des solutions complètes et définitives à tous les problèmes que posent les déchets industriels à l'environnement. Elle permet néanmoins de faire ressortir un potentiel de développement industriel suffisamment important pour attirer des chercheurs de disciplines diverses ainsi que des entrepreneurs et investisseurs en quête de projets de développement.
64

La dynamique sociale et économique de la réingénierie des processus chez Desjardins : le cas de la caisse populaire de Mistassini

Plourde, Lise January 1999 (has links) (PDF)
La réingénierie des processus est non recommandée dans une structure à paliers tripartites de même qu'au sein d'une organisation où les pouvoirs décisionnels sont décentralisés (hôpitaux, universités). Il serait beaucoup plus efficace de concevoir une réingénierie des processus différente dans de tel contexte, une réingénierie adaptée. REMERCIEMENTS Mes premiers remerciements s'adressent tout naturellement à mes deux directeurs. Sans leur appui et leur indéfectible confiance, cette recherche ne serait parvenue à terme. Je remercie M. Brahim Meddeb et M. Richard Benoît. Chacun, avec sa rigueur intellectuelle et ses judicieux conseils, a tenu une grande place dans la complexité et l'envergure de ce projet. Je remercie M. Claude Lalonde, directeur de la maîtrise en gestion des organisations, d'avoir accepté avec empressement d'assumer le rôle d'évaluateur de ce mémoire. Je tiens à souligner la participation, à titre de lecteur externe, de M. Cari Simon, directeur Service aux entreprises chez Desjardins. Je le remercie de sa diligence et de ses précieux conseils. Je veux souligner également la contribution financière de la compagnie Alcan, qui par l'entremise de la « Bourse Alcan du Saguenay - Lac-St-Jean », encourage les étudiants dans leur projet de mémoire. Merci pour votre générosité. Je ne peux passer sous silence les bons mots d'encouragement de toutes mes amies. Je les remercie pour ce support. Je profite aussi de cette occasion pour souligner la participation
65

L'analyse au Saguenay-Lac-Saint-Jean de l'intervention culturelle des municipalités par territoires, par catégories de population et au plan régional

Hébert, Daniel January 1997 (has links) (PDF)
La réalisation de cette recherche sur l'intervention culturelle des municipalités s'inscrit en cohérence avec l'adoption, en 1992, de la première politique culturelle du gouvernement du Québec et de la Planification stratégique du secteur des arts et de la culture menée à terme par le Conseil régional de la culture, en 1993. Les municipalités et les MRC y furent pointées en tant que partenaires essentiels à révolution du secteur des arts et de la culture. Ne disposant d'aucune documentation exhaustive sur la participation des municipalités dans le secteur artistique et culturel, nous avons donc entrepris, en collaboration avec plusieurs partenaires (MRC, municipalités, entreprises privées, CRC, UQAC), une vaste étude sur l'intervention des 59 municipalités du Saguenay - Lac-Saint-Jean. Nous avons dressé un diagnostic de l'intervention culturelle autour des dimensions suivantes: l'environnement général des municipalités; le financement culturel municipal; les infrastructures, les équipements, les sites et espaces culturels; les communications et la mise en marché; les partenaires des municipalités; l'évaluation, la planification et la consultation; la structure de l'intervention culturelle municipale. Au départ, nous avions formulé six grandes hypothèses concernant le portrait et la problématique d'intervention culturelle des municipalités: 1. Dans la région du Saguenay - Lac-Saint-Jean, une très grande proportion des dépenses culturelles municipales s'effectue dans les principales villes et sont concentrées principalement dans les ressources humaines des services municipaux et les équipements culturels locaux. 2. Les municipalités investissent davantage dans les services directs aux citoyens dans les domaines des bibliothèques, du patrimoine et de la diffusion culturelle. Elles n'ont pas tendance à investir dans la création et la production artistique locale. 3. Les équipements et les infrastructures culturelles municipales, figurent parmi leurs priorités et elles comptent y investir au cours des prochaines années. 4. Les municipalités ont une approche peu structurée des communications et de la mise en marché de leurs activités et services. Elles orientent leur intervention au plan local avec un minimum de ressources. 5. Dans le cadre d'une intervention efficiente de l'action culturelle, il y a lieu d'établir des ententes supra-locales pour les objets suivants de l'intervention des municipalités: les infrastructures, les équipements, les sites et espaces patrimoniaux; les communications et la mise en marché des produits culturels; le financement de l'intervention culturelle municipale. 6. La très grande majorité des municipalités locales du Saguenay Lac-Saint-Jean n'ont pas réalisé de constat de leur intervention culturelle. Elles ont orienté leur action à partir d'une mission locale du loisir et par conséquent n'ont pas défini leur mission culturelle locale. Comme base à l'établissement de notre cadre d'analyse et de la méthode d'investigation, nous avons utilisé le rapport d'une étude publiée en 1993 par la chaire de Gestion des arts de l'École des hautes études commerciales de Montréal: «L'intervention culturelle des municipalités québécoises». Inspirés par cette étude, nous avons tout de même distingué dans notre enquête l'intervention culturelle directe des municipalités de leur intervention indirecte, soit celle paramunicipale. Aussi, au cours de cette recherche, nous avons précisé la définition de certaines dimensions utilisées comme paramètres dans l'analyse de nos données. La cueillette des informations a été effectuée à l'aide d'un questionnaire principal d'enquête, d'un second questionnaire concernant spécifiquement l'intervention paramunicipale, d'un recensement culturel préliminaire à valider et/ou à compléter, ainsi que d'une grille des équipements culturels utilisés par les municipalités. Une entrevue a ensuite été réalisée sur place avec chacun des responsables des municipalités afin de contrôler et de valider, à l'aide des documents pertinents, les informations fournies. L'analyse des données s'est effectuée sur une base individuelle (pour chaque municipalité), pour ensuite être portée sur des ensembles de municipalités par territoire (les MRC), par catégories (selon leur taille démographique) et, finalement, sur une base régionale. Ainsi, toutes les dimensions de notre cadre d'analyse furent traitées de façon similaire et, pour chacune d'elle, nous avons dressé un certain nombre de constats. Dans les deux premières parties de notre mémoire, nous présentons l'historique de l'intervention culturelle des municipalités, la problématique de l'enquête et la méthodologie utilisée. Nous dressons ensuite la synthèse des principaux constats relevés au cours de notre analyse et nous concluons sur la nécessité d'inscrire l'intervention culturelle locale dans une perspective d'intervention régionale et nationale afin d'harmoniser les politiques des instances centrales avec celles des municipalités et des MRC. Ce projet de recherche a été déposé en décembre 1993 pour se compléter à la fin du printemps 1995. Certains ajustements techniques ont repoussé notre dépôt final en janvier 1997.
66

L'implication des consommateurs face aux produits écologiques

Tremblay, Aline January 1994 (has links) (PDF)
Depuis le début des années soixante-dix, on voit apparaître une multitude de mouvements environnementaux. La médiatisation de catastrophes écologiques confronte la population en général face à des problèmes qui peuvent menacer la survie de la planète toute entière si aucun geste n'est posé. Ce n'est plus maintenant une minorité d'individus considérés activistes qui endosse la cause environnementale. En effet, aux différents paliers gouvernementaux, on retrouve plusieurs organismes ayant comme mandat de prendre des mesures pour la protection de l'environnement. Maintes entreprises instaurent des plans, des comités, des départements ou des divisions environnementales. Les décideurs s'intéressent donc à comprendre l'impact de cette «préoccupation verte» sur le processus de décision du consommateur. Pourquoi ces intervenants prennent-ils le «virage vert»? En grande partie à cause des demandes incessantes des électeurs et des consommateurs qui développent le «pouvoir vert», entraînant ainsi une demande sans cesse croissante pour les produits à contenu écologique. L'analyse de la littérature consultée amène à affirmer que très peu de recherches scientifiques ont été réalisées sur le sujet. Ce document vise à améliorer les connaissances dans le domaine du «marketing vert», plus précisément en ce qui concerne le «consommateur vert» et les produits écologiques. Cette étude s'articule principalement autour d'une double interrogation: existe-t-il une différence entre le «consommateur vert» et le «consommateur non vert» et comment les consommateurs perçoivent-ils les produits écologiques? Cette double question est intéressante puisqu'elle porte à la fois sur l'utilisateur et l'objet. L'échantillon est constitué de deux cent quarante-trois individus ayant répondu à un questionnaire. La compilation des données et le traitement statistique se sont opérés à l'aide du logiciel SPSS-X (Statistical Package for Social Sciences). Nous avons eu recours à diverses analyses-statistiques pour la réalisation du travail (analyses descriptives, analyses discriminantes, analyses factorielles, corrélation, covariance, Test de Student). Comme le confirment les analyses discriminantes, il existe effectivement une différence significative entre le «consommateur vert» et le «consommateur non vert». Les vingt-huit variables indépendantes se dégageant de cette analyse représentent les éléments distinctifs de différenciation. L'identification des produits écologiques n'est pas chose facile. La présente étude conclut que 22% des répondants ne peuvent se prononcer quant à la définition d'un produit écologique. Les caractéristiques les plus souvent mentionnées sont: les produits biodégradables (37,9%), les produits recyclables (33,3%), les produits sans nuisance à l'environnement (23,5%) et les produits non-polluants (14,8%). La connaissance de ces critères représente une grande richesse pour quiconque désire faire la commercialisation de produits écologiques. Cette étude n'a pas la prétention d'avoir tout couvert sur le sujet. Il y a tant à entreprendre. Ce domaine en est un à explorer puisque trop peu d'auteurs s'y est arrêté.
67

L'aide au développement et son application à la petite entreprise : le cas de Vita micro-entreprise en République Centrafricaine

Lavoie, Langis January 1994 (has links) (PDF)
Depuis plusieurs décennies, la problématique du sous-développement d'une partie de la planète préoccupe l'autre partie développée et c'est dans le but de remédier à ce problème que la communauté internationale, sous l'égide de l'ONU, voit à la redistribution d'une partie de la richesse sous forme d'aide publique au développement. Cette aide fut inspirée sur plusieurs années par les théories d'industrialisation en vogue dans les pays dits développés jusqu'aux années 1970, mais le constat d'échec força les développeurs à se tourner vers un développement plus endogène basé sur la petite entreprise locale. Au centre de plusieurs projets de développement, les petites entreprises des pays sous-développés, en majorité du secteur informel, ont des méthodes et coutumes bien différentes des techniques occidentales qui régissent l'aide qui leur est destinée. L'examen de la littérature sur l'approche de l'aide aux petite entreprises (OCDE 1990, Banque Mondiale 1978-1984-1992, Camilléri 1993, Cao Tri 1988) nous enseigne qu'on doit tenir compte des facteurs culturel, économique et social locaux pour établir un programme d'aide financière adapté. D'un autre côté, la littérature du prêt à l'entreprise (Altaian 1985, Beier 1975, Dorfman 1991, Eisenreich 1981, George 1991, Zimmer 1981, Gryps 1988, Leclerc 1994, Rizzi 1984, Rodgers et Housel 1987, Strischek 1990) nous démontre l'importance de plusieurs variables et critères ainsi que le rôle du modèle d'analyse dans l'évaluation du risque que représente l'entreprise pour l'institution prêteuse. À partir de ces deux littératures et du modèle d'analyse de VITA en Centrafrique, nous avons élaboré un nouveau modèle révisé d'analyse afin de voir s'il était possible d'accroître l'efficacité de l'aide octroyée aux fins de développement. Les résultats obtenus semblent indiquer un potentiel financier et organisationnel appréciable pour le modèle révisé en démontrant une meilleure capacité d'identifier, dans une plus large mesure, les prêts non-productifs en modifiant l'importance relative des données d'évaluation. Les grandes conclusions de l'étude portent sur l'amélioration de la couverture du marché, l'augmentation du potentiel d'autofinancement de l'organisation de développement et l'impact économique supérieur pour le projet VITA en RCA si celui-ci mise sur les avantages liés au modèle VITA révisé. Enfin, il est fait mention du potentiel de recherche que représentent les projets d'intervention économique liés à la petite entreprise.
68

Les caractéristiques personnelles et de gestion des immigrants-entrepreneurs : cas de la région du Saguenay au Québec

Musafili, Paul January 1991 (has links) (PDF)
Dès que la décentralisation de l'immigration s'intègre dans le cadre des politiques privilégiées de développement régional au Québec, des efforts considérables sont déployés pour favoriser une participation accrue des immigrants dans ce sens. Or, une présence élevée des immigrés dans la littérature sur l'entrepreneurship dans divers pays est notable. Par ailleurs, la création d'entreprises génératrices d'emplois en milieu régional constitue la clé de son développement. Par conséquent, la création des conditions favorables à l'émergence de l'entrepreneurship chez les immigrants établis en région constitue un moyen pour favoriser leur participation à son développement. Il convient alors, au préalable, de bien connaître les conditions dans lesquelles oeuvrent les immigrants-entrepreneurs déjà établis en région pour envisager une action efficace visant à favoriser l'esprit d'entrepreneuriat des immigrants en milieu régional. C'est dans cet ordre d'idée que l'objectif général de notre étude visait à établir principalement un portrait de l'immigrant-entrepreneur en milieu régional, plus précisément dans la région du Saguenay au Québec. Et pour y arriver, nous avons testé un modèle de recherche composé de trois dimensions principales à savoir les caractéristiques personnelles de l'immigrant-entrepreneur, ses pratiques de gestion ainsi que les résultats organisationnels de son entreprise. Il existe d'autres éléments susceptibles d'influencer ces trois dimensions et qu'il convient de tenir en considération tels que l'âge de l'entreprise, sa taille et le secteur d'activités dans lequel elle évolue, sans toutefois oublier le contexte environnemental. Le modèle proposé fut testé auprès de 32 immigrants-entrepreneurs oeuvrant dans les villes de La Baie, Chicoutimi et Jonquière. Les résultats révèlent que l'immigrant-entrepreneur du Saguenay est généralement jeune, universitaire, adopte un niveau d'utilisation des pratiques de gestion relativement inférieur à la moyenne et est issu d'une famille dont les parents oeuvrent dans le monde des affaires. Il s'oriente presque exclusivement dans les secteurs commercial ou des services. Contrairement à l'âge et le secteur d'activités, la taille de l'entreprise produit une influence significative sur les caractéristiques personnelles de l'immigrant-entrepreneur, l'utilisation des pratiques de gestion et les résultats organisationnels. La concentration des immigrants-entrepreneurs de formation universitaire, ne permet pas de constater l'existence d'une corrélation significative entre le niveau d'instruction et le niveau d'utilisation des pratiques de gestion. Il n'existe pas de corrélation significative entre le nombre d'années de travail avant de se lancer en affaires ainsi que les antécédents familiaux et l'utilisation des pratiques de gestion. Pas de corrélation significative existante non plus entre le niveau d'utilisation des pratiques de gestion et les résultats organisationnels. Un encadrement des immigrants voulant se lancer en affaires pourrait constituer un moyen pour favoriser l'esprit d'entrepreneuriat chez les immigrants et permettrait d'en attirer d'autres vers la région.
69

Structure du capital et management stratégique

Simard, Roch January 1991 (has links) (PDF)
Plusieurs chercheurs tentent d'expliquer la structure du capital des entreprises. Les principales théories émergentes (Approche des marchés parfaits, théorie des coûts d'agence et la théorie des coûts de faillite) se basent, pour la plupart, sur une approche économico-financière. Les conclusions, auxquelles ses recherches aboutissent, laissent transparaître un écart entre la réalité du phénomène étudié et les modèles prescrits. L'objectif de ce mémoire est d'établir si une nouvelle optique peut combler ce manque. Ainsi, nous étudions la structure du capital au niveau de l'entreprise et nous essayons de trouver les éléments qui distinguent la structure financière d'une compagnie par rapport à une autre. Notre idée maîtresse part du principe que les organisations sont des milieux créés par et pour des individus. Nous délaissons l'aspect de la boîte noire si proéminente en économie pour nous préoccuper du facteur humain. Ainsi, nous croyons que les preneurs de décisions influencent grandement l'endettement des sociétés. Nous tentons d'expliquer la structure du capital à l'aide de quatre variables. Celles-ci sont: la profitabilité de l'entreprise (obtenue dans les rapports annuels), la croissance de ses ventes (obtenu dans les rapports annuels), la propension au risque du président (évaluée par l'entremise d'un questionnaire) et l'environnement externe propre à l'entreprise (questionnaire). Nous avons recueilli les données nécessaires auprès de 41 entreprises. Nos résultats nous permettent d'affirmer que le profit et la croissance des ventes sont utiles au modèle. Par contre, les variables de la propension au risque du président et de l'environnement externe de l'entreprise ne sont pas statistiquement significatives. Malgré cela, nous croyons que la subjectivité intervient dans le processus d'endettement des sociétés.
70

Les voies d'accès aux marchés extérieurs

Brochu, Claude January 1991 (has links) (PDF)
L'internationalisation des marchés est devenue une réalité dans laquelle de plus en plus d'entreprises de toutes tailles et de tous secteurs doivent évoluer. Ce phénomène affecte également les PME manufacturières de la région Chaudière-Appalaches qui, pour croître, doivent s'adapter à cette nouvelle réalité, soit en demeurant sur le marché domestique, soit en s'attaquant au marché international. Notre travail de recherche, qui est l'étape finale de notre cheminement pour l'obtention d'une Maîtrise en gestion des Petites et Moyennes Organisations (PMO) de l'Université du Québec à Chicoutimi, porte sur ces entreprises ayant opté pour cette stratégie d'expansion. Le processus d'internationalisation comporte plusieurs étapes toutes aussi importantes les unes que les autres. Notre intérêt s'est concentré sur l'aspect de la sélection des voies d'accès pour un marché spécifique, dans notre cas, les États-Unis. Nous avons donc fait un inventaire exhaustif des différents moyens s'offrant à une entreprise désirant s'attaquer au marché international. Puis, nous avons fait ressortir les critères de sélection que présentait la littérature touchant le sujet. À partir de ces éléments, nous avons répertorié des modèles de sélection qui mettaient en relation ces critères avec le choix d'une voie d'accès pour un marché étranger. L'objectif général, qui fut également l'élément déclencheur de cette recherche, était de mettre en évidence un processus de sélection des voies d'accès qui pourrait être utilisé par des PME désirant se lancer sur le marché international. Notre cadre théorique nous a permis d'émettre l'hypothèse de l'existence de liens entre le choix d'une voie d'accès et les variables de marché, de produit et d'entreprise. De là, notre but s'est précisé et nous avons voulu tester la présence de ces liens pour une population précise. La vérification de cette hypothèse s'est faite à partir d'une recherche statistique effectuée par la poste sur un échantillon de cent PME manufacturières de la région 03 faisant déjà affaires avec les États-Unis. Notre questionnaire fut bâti autour du modèle de sélection des voies d'accès présenté par Patrice Boissy, celui-ci correspondant à nos critères d'accessibilité et d'utilisabilité pour les dirigeants de PME. Le traitement statistique des données recueillies comporte deux étapes distinctes. Premièrement, grâce à des analyses descriptives, nous avons tracé un portrait des PME de notre échantillon. Celles-ci sont en affaires depuis plus de 20 ans et vendent aux Etats-Unis régulièrement un faible pourcentage de leur production. Elles utilisent surtout des voies d'accès classées sous la catégorie de l'exportation à part entière et elles sont satisfaites des résultats obtenus. Après avoir tiré un portrait descriptif de ces PME, nous avons vérifié notre hypothèse de départ à l'aide de tests statistiques de corrélation, de différence des moyennes (T non-pairé) et d'analyse de variance. Nos résultats ne nous permettent pas de confirmer l'hypothèse de départ. En fait, ils dévoilent, que pour notre population, les variables de marché, de produit et d'entreprise n'ont aucunement influencé le choix de nos dirigeants d'entreprises. Nous avons donc dû accepter l'hypothèse nulle qui affirmait qu'il n'y avait aucun lien statistiquement significatif entre les variables de marché, de produit, d'entreprise et la sélection d'une voie d'accès. À partir de nos résultats, nous ne pouvons que conclure que dans les cas des PME manufacturières de la région 03 faisant déjà affaires avec les États-Unis, la théorie voulant que des liens existent entre les variables de marché, de produit, d'entreprise et le choix d'une voie d'accès ne s'applique pas. Cette différence entre la théorie et la pratique dans les PME de la région 03 ouvre une voie de recherche qui aurait pour but de découvrir quels sont les critères de sélection de ces entreprises.

Page generated in 0.1264 seconds