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A series of nasty situations, the causes and effects of riots at Kingston PenitentiaryMarr, Chadwick Alem January 1999 (has links) (PDF)
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Macro-analyse quantitative des facteurs d’émergence des émeutes : une nouvelle approche de compréhension mondiale des violences collectivesGris, Jean-Charles 06 1900 (has links)
Les calculs statistiques ont été effectués à l'aide du logiciel SPSS. / Suite aux émeutes du Printemps Arabe de 2011 et l’incapacité avouée à prévoir ce genre d’évènements à l’échelle mondiale, nous nous sommes intéressés à une nouvelle approche macroscopique quantitative qui doit permettre de mieux comprendre cette problématique dans son ensemble. Après avoir considéré, au travers des connaissances existantes, la conception d’un cadre théorique éclectique considérant l’émergence des émeutes, nous avons procédé à une analyse par recension de leurs facteurs regroupés en sphères politiques, économiques, sociales et technologiques. De ces analyses nous avons tiré trois grandes catégories d’émeutes, à savoir, les émeutes ethniques-religieuses, les émeutes socio-économiques, et les émeutes de masse-politiques.
Dans la deuxième partie de notre recherche, nous avons abordé la problématique sous l’angle quantitatif. Tout d’abord, nous avons effectué des analyses bivariées entre les différentes catégories d’émeutes et les différentes sphères de variables. Nous avons ainsi remarqué que les émeutes de masse-politiques sont principalement sensibles aux facteurs politiques des pays. Les émeutes socio-économiques de notre échantillon sont quant-à-elles fortement liées aux variables des sphères sociales et économiques. Enfin, les émeutes de type ethniques-religieuses sont liées à la fois à la sphère sociale, et plus particulièrement à l’aspect d’hétérogénéité ethno-religieuse, et également aux variables de la sphère économique. Si ces constatations peuvent sembler tautologiques, en fait il n’en est rien. Ce que nous avons identifié ici est le fait que les différentes typologies d’émeutes, comme nous les avons établies, ont un lien direct avec les sphères de variables concordantes, répondant ainsi à une logique quantitative.
Ensuite, nous avons établi des modèles statistiques par le biais de régressions linaires multiples. Plusieurs modèles ont été créés pour répondre aux différentes typologies d’émeutes. On retrouve ainsi un modèle global visant à comprendre les émeutes dans leur ensemble, et également des modèles spécifiques créés pour analyser les sous-catégories d’émeutes. Deuxième point important de notre étude : il est possible d’établir des modèles statistiques fiables pour analyser les émeutes de manière macroscopique et ces derniers varient en fonction des catégories d’émeutes. Ainsi, notre modèle multivarié principal explique 50% de la variance du taux global d’émeutes. / Following the 2011 Arab Spring’s riots and apparent difficulty predicting such events worldwide, the study is interested in developing a new macroscopic approach that utilizes quantitative aspects of the issue to generate a systemic view. Building on existing knowledge, considering the design of an eclectic theoretical framework for the emergence of the riots, the study conducts an analysis of their political, economic, social and technological factors. From the analysis the study has considered three main categories of riots: the ethnic-religious riots, the socioeconomic riots, and the mass-political riots.
In the second part of the research we have addressed the issue from quantitative perspective. Initially, we conducted bivariate analysis between the different categories of riots and the different variables grouped in the political, economic, social and technological areas. Statistical analysis of these variables points out that the different spheres of variables act differently on different categories of riots. The study has also remarked that the mass-political riots are mainly sensitive to countries' political factors. Socio-economic riots in our sample are tightly bound to social and economic variables. Finally, ethnic-religious riots are related to social variables, especially ethnical and religious homogeneity. These findings may seem tautological, but our study leads us to think otherwise. This study identifies an interesting relationships: various types of riots, as we have established, have a direct link to certain spheres of variables, following a quantitative logic.
Additionally, we developed statistical models through multiple linear regressions. For each type of riot, a specific model has been created. The study utilizes a comprehensive model to understand the riots as a whole, as well as specific models designed to analyze subcategories of riots. Second important point of the study: it is possible to build reliable statistical models to analyze the riots in a macroscopic approach and they vary based on the categories of riots. Thus, our main multivariate model explains 50% of the riots rate’s variance.
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Macro-analyse quantitative des facteurs d’émergence des émeutes : une nouvelle approche de compréhension mondiale des violences collectivesGris, Jean-Charles 06 1900 (has links)
Suite aux émeutes du Printemps Arabe de 2011 et l’incapacité avouée à prévoir ce genre d’évènements à l’échelle mondiale, nous nous sommes intéressés à une nouvelle approche macroscopique quantitative qui doit permettre de mieux comprendre cette problématique dans son ensemble. Après avoir considéré, au travers des connaissances existantes, la conception d’un cadre théorique éclectique considérant l’émergence des émeutes, nous avons procédé à une analyse par recension de leurs facteurs regroupés en sphères politiques, économiques, sociales et technologiques. De ces analyses nous avons tiré trois grandes catégories d’émeutes, à savoir, les émeutes ethniques-religieuses, les émeutes socio-économiques, et les émeutes de masse-politiques.
Dans la deuxième partie de notre recherche, nous avons abordé la problématique sous l’angle quantitatif. Tout d’abord, nous avons effectué des analyses bivariées entre les différentes catégories d’émeutes et les différentes sphères de variables. Nous avons ainsi remarqué que les émeutes de masse-politiques sont principalement sensibles aux facteurs politiques des pays. Les émeutes socio-économiques de notre échantillon sont quant-à-elles fortement liées aux variables des sphères sociales et économiques. Enfin, les émeutes de type ethniques-religieuses sont liées à la fois à la sphère sociale, et plus particulièrement à l’aspect d’hétérogénéité ethno-religieuse, et également aux variables de la sphère économique. Si ces constatations peuvent sembler tautologiques, en fait il n’en est rien. Ce que nous avons identifié ici est le fait que les différentes typologies d’émeutes, comme nous les avons établies, ont un lien direct avec les sphères de variables concordantes, répondant ainsi à une logique quantitative.
Ensuite, nous avons établi des modèles statistiques par le biais de régressions linaires multiples. Plusieurs modèles ont été créés pour répondre aux différentes typologies d’émeutes. On retrouve ainsi un modèle global visant à comprendre les émeutes dans leur ensemble, et également des modèles spécifiques créés pour analyser les sous-catégories d’émeutes. Deuxième point important de notre étude : il est possible d’établir des modèles statistiques fiables pour analyser les émeutes de manière macroscopique et ces derniers varient en fonction des catégories d’émeutes. Ainsi, notre modèle multivarié principal explique 50% de la variance du taux global d’émeutes. / Following the 2011 Arab Spring’s riots and apparent difficulty predicting such events worldwide, the study is interested in developing a new macroscopic approach that utilizes quantitative aspects of the issue to generate a systemic view. Building on existing knowledge, considering the design of an eclectic theoretical framework for the emergence of the riots, the study conducts an analysis of their political, economic, social and technological factors. From the analysis the study has considered three main categories of riots: the ethnic-religious riots, the socioeconomic riots, and the mass-political riots.
In the second part of the research we have addressed the issue from quantitative perspective. Initially, we conducted bivariate analysis between the different categories of riots and the different variables grouped in the political, economic, social and technological areas. Statistical analysis of these variables points out that the different spheres of variables act differently on different categories of riots. The study has also remarked that the mass-political riots are mainly sensitive to countries' political factors. Socio-economic riots in our sample are tightly bound to social and economic variables. Finally, ethnic-religious riots are related to social variables, especially ethnical and religious homogeneity. These findings may seem tautological, but our study leads us to think otherwise. This study identifies an interesting relationships: various types of riots, as we have established, have a direct link to certain spheres of variables, following a quantitative logic.
Additionally, we developed statistical models through multiple linear regressions. For each type of riot, a specific model has been created. The study utilizes a comprehensive model to understand the riots as a whole, as well as specific models designed to analyze subcategories of riots. Second important point of the study: it is possible to build reliable statistical models to analyze the riots in a macroscopic approach and they vary based on the categories of riots. Thus, our main multivariate model explains 50% of the riots rate’s variance. / Les calculs statistiques ont été effectués à l'aide du logiciel SPSS.
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Quand la manifestation tourne à l'émeute : les affrontements violents entre forces de l'ordre et manifestants en Côte d'IvoireDoumbia, Nabi Y. 29 March 2016 (has links)
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"Juste un peu de vidéo" : la vidéo partagée comme langage vernaculaire de la contestation : Tunisie 2008-2014 / Just a little bit of video : shared videos as vernacular language of protest : Tunisia 2008-2014Riboni, Ulrike Lune 06 December 2016 (has links)
Du soulèvement survenu en Birmanie en 2007 aux révoltes qui ont traversé les pays de la Méditerranée en 2011, les usages de la vidéo partagée sur internet n’ont cessé de se développer au cœur des manifestations et des émeutes. À partir d’observations menées sur internet et d’une enquête de terrain en Tunisie, la thèse s’attache à décrire l’évolution des usages de l’image animée sur le temps long du processus révolutionnaire tunisien entre 2008 et 2014, et à questionner la place et le rôle de ces pratiques dans un monde social en ébullition. L’analyse des contenus mais aussi des tensions socio-politiques qui ont présidé et succédé au moment insurrectionnel, suggère que la prise d’images n’est pas seulement une pratique utilitaire et stratégique destinée à sensibiliser ou à produire une information alternative, mais qu’elle sert des objectifs complexes traversés par les enjeux de lutte qui ont animé les différentes périodes. Des premiers usages en période autoritaire aux productions en plan-séquence dans le temps de l’urgence insurrectionnelle, des montages et mises en scènes accompagnant les mobilisations pour la reconnaissance des acteurs de la révolte à ceux réaffirmant les revendications des populations marginalisées, la vidéo partagée s’est affirmée comme le langage vernaculaire de la contestation. / From the Burma uprising in 2007 to the revolutions of the Arab world in 2011, the uses of digital video have continued to grow, from the heart of demonstrations and riots to the internet. Based on observations conducted on the internet and on a field survey in Tunisia, the thesis describe the evolution of moving image uses in the Tunisian revolutionary process between 2008 and 2014, and interrogates the place and role of these practices in a social world in turmoil. Content analysis combined with analysis of the socio-political tensions that led and succeeded the uprising, suggests that taking pictures is not only a strategic utility practice to raise awareness or to produce alternative information, but that it serves complex objectives marked by the struggle issues of the different periods. From the first uses in authoritarian period to the uses during riots weeks, from edited clips for recognition of revolutionary actors to productions for the recognition of marginalized populations, shared videos revealed as the vernacular language of protest.
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Utilisation de la violence et usages du passé comme références patrimoniales : l'émeute de la Crise de la conscription à Québec, 1918-2012Renaud, Pierre-Yves 23 April 2018 (has links)
L’émeute de la Crise de la conscription à Québec en 1918 a bouleversé le quotidien des communautés et des citoyens de la ville pendant plus d’une semaine. D’une perspective sociale, cet événement a permis tant aux Canadiens français et aux Canadiens anglais de réaliser la fracture identitaire qui les séparait quant à leur représentation morale d’obligation citoyenne en temps de guerre. Le traumatisme engendré par cet événement violent a toutefois laissé des traces d’un conflit interne à la société canadienne-française représenté par une représentation très faible dans l’historiographie canadienne sur plus d’une cinquantaine d’années. Depuis, le refoulement des émotions du passé, exprimés sous forment d’usages publics de toutes sortes, suggère un certain désir à renouer avec ce bagage d’expérience. Le présent travail analyse l’évolution de la mémoire de cet événement marquant de l’histoire de la ville de Québec. L’interprétation des médias de l’époque, ainsi que celles d’un échantillon de certaines communautés actuelles de la ville de Québec, sont les piliers de l’argumentaire exprimé. Il démontre à quel point l’aspect de la violence s’établit tel que le fondement inhérent de la mémoire collective construite près de cent ans plus tard. Également, le phénomène grandissant de la patrimonialisation amène certaines de ces collectivités à façonner une identité historique de l’Émeute à leur image, réduisant ainsi la généralité des violences du passé en un seul lieu de mémoire.
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