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Répartition spatiale en théorie des jeux évolutionnaires / Spatial organizations in evolutionary game theoryDorat, Rémi 28 June 2009 (has links)
La thése poursuit les travaux de la théorie des Jeux évolutionnaires Cette théorie est un cadre de modehsation de la dynamique des populations dans lequel les interactions entre agents sont modélisées par des dilemmes classiques de la théorie des Jeux. Les agents interagissent avec leurs pairs et les meilleurs comportements se diffusent. les moins performants tendent à disparaître. Les modèles spécifiés mettent notamment en évidence des conditions sur les rapports inter-individuels qui permettent de faire émerger des équilibres coopératifs. En supposant que chaque agent a des relations non plus avec tous les agents de la population mais seulement avec un sous-ensemble des agents de la population et toujours avec les mêmes, on augmente considérablement le nombre des dynamiques possibles. Cette démarche fait apparaître un réseau des interactions,.soit un graphe. La contrainte spatiale s'avère une condition favorable au maintien des comportements coopératifs et de la biodiversité des comportements. L'analyse formelle de la convergence n'est généralement plus possible et les modèles sont étudiés par simulation. La these poursuit l'étude de l'impact de la répartition spatiale. Elle introduit un nouveau modèle de répartition spatiale où des communautés d'agents sont en réseau et non plus des agents. Ce modèle permet de mettre en évidence de nouvelles formes d'attracteurs coopératifs et de nouvelles conditions au maintien de la biodiversité. La thèse montre aussi la possibilité de convergence de marchés vers des équilibres non concurrentiels et de maintien de comportements coopératifs, des comportements de cartel / The thesis continues the work of Evolutionary Game Theory. This theory is a framework for modeling the dynamics of populations interactions betwcen agents are modeled by the classic dilemmas from Game Theory. The agents interaet with their peers. Best behaviors spread. less suecessful ones tend to disappear. Evolutionary Game Theory prondes conditions upon which cooperative behaviors can survive and cooperative equilibriums can appear. Assuming that each agent does not interact with all the others but only with a fixed group of neighbors greatly increases the number of possible dynamics. The relations between agents form a social network. Limitation of contacts between agents favors cooperative equilibrium and biodiversity. Nevertheless, formal approach to the models is no longer possible and they are studied through massive computer simulations. The thesis continues the study of the impact of social networks. lt introduces networks of communities, a new model where commnnities are networked rather than agents. This model exhibits new forms of eooperative convergence and new conditions to persistent biodiversity. The thesis also shows the possibility of convergence of markets towards non-competitive equilibriums and the survival of behaviors collectively able to reach cartel equilibrium, a particular form of cooperative equilibrium.
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Implications of banking regulation for banking sector stability and welfareTchana Tchana, Fulbert January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Implications of banking regulation for banking sector stability and welfareTchana Tchana, Fulbert January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Répartition spatiale en théorie des jeux évolutionnairesDorat, Rémi 28 June 2009 (has links) (PDF)
La thése poursuit les travaux de la théorie des Jeux évolutionnaires Cette théorie est un cadre de modehsation de la dynamique des populations dans lequel les interactions entre agents sont modélisées par des dilemmes classiques de la théorie des Jeux. Les agents interagissent avec leurs pairs et les meilleurs comportements se diffusent. les moins performants tendent à disparaître. Les modèles spécifiés mettent notamment en évidence des conditions sur les rapports inter-individuels qui permettent de faire émerger des équilibres coopératifs. En supposant que chaque agent a des relations non plus avec tous les agents de la population mais seulement avec un sous-ensemble des agents de la population et toujours avec les mêmes, on augmente considérablement le nombre des dynamiques possibles. Cette démarche fait apparaître un réseau des interactions,.soit un graphe. La contrainte spatiale s'avère une condition favorable au maintien des comportements coopératifs et de la biodiversité des comportements. L'analyse formelle de la convergence n'est généralement plus possible et les modèles sont étudiés par simulation. La these poursuit l'étude de l'impact de la répartition spatiale. Elle introduit un nouveau modèle de répartition spatiale où des communautés d'agents sont en réseau et non plus des agents. Ce modèle permet de mettre en évidence de nouvelles formes d'attracteurs coopératifs et de nouvelles conditions au maintien de la biodiversité. La thèse montre aussi la possibilité de convergence de marchés vers des équilibres non concurrentiels et de maintien de comportements coopératifs, des comportements de cartel.
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Optimium financier de premier et de second rang dans une économie de distribution à plusieurs biensBartolini, Ivan 11 1900 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal. / Lorsque le système d'actifs est incomplet, des problèmes d'existence sont reliés aux économies avec actifs réels (Hart 1974) alors que des problèmes d'indétermination réelle de l'équilibre sont reliés aux économies avec actifs financiers (Cass 1985). Dans les deux cas, l'optimum de premier rang ne peut plus être atteint, et il faut considérer des optimums au sens contraint. Les concepts d'optimum au sens contraint ont surtout été étudiés par rapport à l'équilibre concurrentiel (Diamond (1967), Grossman (1977), et pour des économies réelles (Stiglitz (1982)). Un concept général d'optimum contraint par un système de marchés concurrentiels pour les biens (OCGP) a été proposé plus récemment par Géanakoplos et Polémarchakis (1986). Dans cette thèse on aborde le problème de l'incomplétude du système d'actifs financiers comme un modèle de second rang. On se distingue des auteurs précédents puisqu'on considère un système d'actifs financiers. Pour éviter les problèmes liés à l'indétermination de l'équilibre, on se place dans une économie de Distribution. On étend ainsi le modèle de référence de Arrow (1953) au cas des marchés incomplets et des préférences non séparables, et on obtient aussi une interprétation du modèle en terme de politique monétaire. Dans le premier chapitre on développe une théorie généralisée du consommateur faisant face à différentes contraintes budgétaires. On y introduit les concepts dont on aura besoin pour interpréter l'optimum, et on propose une décomposition originale de l'effet de substitution des prix en un effet de substitution inter états et un effet de substitution intra état. Dans le second chapitre on pose le problème de l'optimum de premier rang dans l'espace des prix individuels et des revenus. On montre alors que l'incomplétude du système d'actifs financiers n'est pas suffisante en soi pour faire dévier l'allocation du premier rang puisqu'elle ne représente qu'une contrainte nominale. Le troisième chapitre constitue le corps de la thèse. On y introduit différents concepts d'optimum contraints, et on montre que dans chacun des cas le Distributeur se comporte comme un monopoleur de compromis qui prélève un système de taxes et de subventions en n'utilisant qu'une partie de son pouvoir de monopole. Dans la première section on présente l'optimum contraint par un système d'actifs incomplets au sens pur (Diamond), en imposant une contrainte de normalisation unique des prix conditionnels. Dans la seconde section, on impose une contrainte d'unicité des prix conditionnels, et on obtient une application du concept d'optimum contraint au sens de Géanakoplos et Polémarchakis pour une économie financière. Dans la dernière section on présente un concept original d'optimum contraint par un système de marchés concurrentiels pour les actifs qui peut se voir comme la réciproque du modèle précédent. Dans le dernier chapitre, on revient à l'OCGP, et on interprète la quantité totale d'actifs émise par le Distributeur comme un instrument de politique monétaire dans la lignée de Magill et Quinzii (1992). Après avoir mis en évidence les liens entre la structure des rendements et la nature des effets de la politique monétaire, on obtient un résultat intéressant sur la structure optimale des rendements des actifs existants puisque cette dernière ne permet pas la conduite d'une politique monétaire active.
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