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Peut-on être blâmé pour ses croyances? : le déontologisme épistémique face au problème de l'involontarisme doxastique

Côté-Bouchard, Charles 07 1900 (has links)
Peut-on parfois être blâmé pour ses croyances ? Selon les partisans du déontologisme épistémique, la pratique ordinaire consistant à blâmer et critiquer les gens pour leurs croyances est tout à fait légitime. Toutefois, d’autres philosophes soutiennent que malgré son omniprésence dans la vie de tous les jours, le blâme doxastique n’est jamais approprié. En effet, selon l’argument à partir de l’involontarisme doxastique, nous ne pouvons jamais être blâmés pour nos croyances puisque (1) nous pouvons être blâmés pour une croyance seulement si elle est sous notre contrôle volontaire et (2) nos croyances ne sont jamais sous notre contrôle volontaire. Le but de ce mémoire est de déterminer si les déontologistes peuvent répondre de manière convaincante à cet argument. Autrement dit, pouvons-nous parfois être blâmés pour nos croyances malgré ce qu’en disent les anti-déontologistes, ou faut-il leur donner raison et rejeter la pratique du blâme doxastique ? Pour répondre à cette question, je commence par clarifier l’argument anti-déontologiste en précisant la teneur de sa thèse centrale : l’involontarisme doxastique. Par la suite, je passe en revue différentes stratégies qui ont été proposées par des représentants du déontologisme pour défendre le blâme doxastique contre cet argument. Devant l’échec de ces réponses, je suggère une défense alternative du déontologisme selon laquelle l’involontarisme doxastique n’est pas incompatible avec le blâme doxastique. Si cette réponse est concluante, alors nous n’avons pas à donner raison aux anti-déontologistes : nous pouvons parfois être blâmés pour nos croyances. / Can we sometimes be blamed for our beliefs ? According to epistemic deontologism, the ordinary practice of blaming and criticizing people for their beliefs is a legitimate one. However, some philosophers argue that despite its pervasiveness in everyday life, doxastic blame is never appropriate. According to the argument from doxastic involuntarism, we can never be blamed for our beliefs since (1) we can be blamed for a belief only if it is under our voluntary control, and (2) our beliefs are never under our voluntary control. The goal of this thesis is to determine whether deontologists can reply convincingly to this argument. In other words, can we sometimes be blamed for our beliefs despite what anti-deontologists claim, or do we have to accept the argument from doxastic involuntarism and reject the practice of doxastic blame ? In order to answer that question, I first clarify the anti-deontologist argument by making more precise the nature of its central thesis: doxastic involuntarism. I then review different strategies proposed by deontologists to defend doxastic blame against this argument. Given the failure of these replies, I propose an alternative defense of deontologism according to which doxastic involuntarism is not incompatible with doxastic blame. If this reply is sound, then we do not have to accept the anti-deontologist argument: we can sometimes be blamed for our beliefs.
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Existe-t-il une seule normativité de la croyance? : analyse de la thèse de l'incommensurabilité aux vues de l'instrumentalisme de la croyance

Montplaisir, Samuel 09 1900 (has links)
Ce mémoire s'inscrit dans la constellation de questions regroupées sous l'étiquette de l'éthique de la croyance. Plus spécifiquement, il cherche à analyser la viabilité des jugements tout bien considéré portant sur les croyances lorsque des raisons de types distincts (raisons épistémiques et raisons pragmatiques) entrent en conflit. Cette analyse se fera à l'aune d'une recherche portant sur l'instrumentalisme de la croyance, la position avançant que les croyances sont instrumentales à nos intérêts et que, par conséquent, la normativité de la croyance se jauge en fonction de nos objectifs. L'instrumentalisme de la croyance est tombé sous le coup de plusieurs critiques dans les dernières années et se mémoire se donne comme mission d'en évaluer la portée. Si d'aventure l'instrumentalisme de la croyance devait être une position viable, il y a lieu de penser qu'il existe une commensurabilité possible entre raisons de différents types. / This thesis is part of a larger group of philosophical inquiries usually placed under the label of "Ethics of Belief". Specifically, my aim is to examine the possibility of all things considered judgments concerning beliefs for which there is a conflict between reasons of distinct kinds (epistemic reasons and pragmatic reasons). This inquiry will mostly concern epistemic instrumentalism, the position holding that one's beliefs are instrumental to one's own objectives and thus, that the rationality of beliefs must be an instrumental rationality. It appears that this position has been the aim of a few criticism in the recent years and my goal is to evaluate the strength of such criticism. If epistemic instrumentalism ends up being a viable thesis, we can expect that there may not be any incommensurability between reasons for belief of different kinds.
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Peut-on être blâmé pour ses croyances? : le déontologisme épistémique face au problème de l'involontarisme doxastique

Côté-Bouchard, Charles 07 1900 (has links)
Peut-on parfois être blâmé pour ses croyances ? Selon les partisans du déontologisme épistémique, la pratique ordinaire consistant à blâmer et critiquer les gens pour leurs croyances est tout à fait légitime. Toutefois, d’autres philosophes soutiennent que malgré son omniprésence dans la vie de tous les jours, le blâme doxastique n’est jamais approprié. En effet, selon l’argument à partir de l’involontarisme doxastique, nous ne pouvons jamais être blâmés pour nos croyances puisque (1) nous pouvons être blâmés pour une croyance seulement si elle est sous notre contrôle volontaire et (2) nos croyances ne sont jamais sous notre contrôle volontaire. Le but de ce mémoire est de déterminer si les déontologistes peuvent répondre de manière convaincante à cet argument. Autrement dit, pouvons-nous parfois être blâmés pour nos croyances malgré ce qu’en disent les anti-déontologistes, ou faut-il leur donner raison et rejeter la pratique du blâme doxastique ? Pour répondre à cette question, je commence par clarifier l’argument anti-déontologiste en précisant la teneur de sa thèse centrale : l’involontarisme doxastique. Par la suite, je passe en revue différentes stratégies qui ont été proposées par des représentants du déontologisme pour défendre le blâme doxastique contre cet argument. Devant l’échec de ces réponses, je suggère une défense alternative du déontologisme selon laquelle l’involontarisme doxastique n’est pas incompatible avec le blâme doxastique. Si cette réponse est concluante, alors nous n’avons pas à donner raison aux anti-déontologistes : nous pouvons parfois être blâmés pour nos croyances. / Can we sometimes be blamed for our beliefs ? According to epistemic deontologism, the ordinary practice of blaming and criticizing people for their beliefs is a legitimate one. However, some philosophers argue that despite its pervasiveness in everyday life, doxastic blame is never appropriate. According to the argument from doxastic involuntarism, we can never be blamed for our beliefs since (1) we can be blamed for a belief only if it is under our voluntary control, and (2) our beliefs are never under our voluntary control. The goal of this thesis is to determine whether deontologists can reply convincingly to this argument. In other words, can we sometimes be blamed for our beliefs despite what anti-deontologists claim, or do we have to accept the argument from doxastic involuntarism and reject the practice of doxastic blame ? In order to answer that question, I first clarify the anti-deontologist argument by making more precise the nature of its central thesis: doxastic involuntarism. I then review different strategies proposed by deontologists to defend doxastic blame against this argument. Given the failure of these replies, I propose an alternative defense of deontologism according to which doxastic involuntarism is not incompatible with doxastic blame. If this reply is sound, then we do not have to accept the anti-deontologist argument: we can sometimes be blamed for our beliefs.
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Une évaluation de l’approche constitutiviste pour fonder l’anti-pragmatisme à propos des raisons de croire

Gélineau, Félix-Antoine 08 1900 (has links)
Ce mémoire, qui appartient au domaine de l’éthique de la croyance, un champ d’enquête philosophique situé au confluent de la philosophie de l’esprit, de l’épistémologie et de l’éthique, cherche à évaluer la viabilité d’une certaine approche influente en faveur de l’anti-pragmatisme, qui est la thèse selon laquelle il n’existe aucune raison pratique normative de croire. Cette approche, que l’on peut qualifier de « constitutiviste », se fonde sur l’idée que certaines caractéristiques intrinsèques à la croyance feraient en sorte qu’il ne pourrait exister de raisons pratiques de croire. Les objectifs de ce mémoire sont : 1) sur le plan descriptif, de donner une topographie de l’approche constitutiviste 2) sur le plan normatif, d’évaluer si l’approche constitutiviste pour fonder l’anti-pragmatiste est une démarche viable ou si elle doit être rejetée. Je procède à cette évaluation par une analyse critique des arguments constitutivistes à la lumière de la littérature récente portant sur la cible de la croyance, les raisons de croire et les normes épistémiques. Je conclus que l’approche constitutiviste souffre de problèmes sérieux qui remettent en question sa viabilité. / This thesis, which pertains to the philosophical domain of inquiry called the ethics of belief, at the crossroads of philosophy of mind, epistemology and ethics, aims at assessing the viability of an influent argumentative strategy in favour of anti-pragmatism about reasons for belief. According to anti-pragmatism, there are no practical normative reasons for belief. The constitutivist strategy, as I call it, purports to show that anti-pragmatism is true by appealing to constitutive, intrinsic features of belief. The aim of this thesis is double: first, it is to give a portrait of the landscape of constitutivist arguments against practical reasons for belief. Second, it is to evaluate the merits of these arguments. In order to do so, I present a critical analysis of the two main constitutivist arguments that is grounded in recent works about the aim of belief, raisons for belief and epistemic norms. My conclusion is that the constitutivist strategy suffers from serious defects which threaten its viability.
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Métaéthique de la croyance : une défense pragmatiste de la responsabilité et de l’autonomie mentale

Montplaisir, Samuel 08 1900 (has links)
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