Tesis para optar al grado de Magister en Literatura. / Ahora bien, Abelardo leyó desde su tiempo y la modelización de su lectura se vio determinada por elementos de su experiencia. La manifestación espontánea de sus lecturas bíblicas en su correspondencia pone en evidencia dicho modelo ya que la hermenéutica textual corresponde al modelo de lectura que hacemos desde un punto de partida histórico y vivencial. No se es intérprete fuera del tiempo y lugar de lectura, desde fuera de una historia, de una carga psicológica, de una semántica cultural y por supuesto lingüística. Nadie lee un ‘desubicado’ objeto desde un supuesto ‘no lugar’. Abelardo, en tanto lector, es parte de un círculo de lectura insalvable que es preciso desentrañar. La subjetividad autorial, en este caso de los textos bíblicos, la historial efectual, el prejuicio lector, entre otros, son algunos mecanismos que se requieren evidenciar con el propósito de una sistematización clarificadora del punto de lectura. La experiencia de Abelardo no es un accesorio, sino más bien una condición sine cua non para la determinación de su modelo hermenéutico. Podemos saber cómo leyó o cómo comprendió en la medida en que sepamos también cómo vivió, ya que la explicitación de su vivencia es la explicitación de su espectro simbólico. Sobre la base de esto, creemos que el modelo hermenéutico de Pedro Abelardo se regula por tres determinadores del sentido; la razón, producto de su labor como dialéctico; la letra, resultado de su trabajo como lector e intérprete; y la metáfora, sustento de un sistema de conocimiento del texto y de la propia experiencia.

by Fernando Javier Rodilla Luque. / Bibliography: p. 33-34. / "September, 1981." / NSF Grant 79-20834

Typewritten sheets in cover. Thesis (M.A.)--Boston University Bibliography: p. [74-76]

Grâce aux théories de la linguistique et de l'histoire littéraire, ce mémoire se propose d'identifier les causes possibles de la pérennité de la controverse qui entoure les lettres signées «Héloïse» dans la correspondance Historia Calamitatum (XIIe siècle) qu'auraient échangée Abélard et Héloïse, afin de la dépasser, et d'observer la viabilité de nouvelles avenues susceptibles de confirmer, ou non, l'hypothèse de la maternité littéraire d'Héloïse. Cette correspondance naît au moment où Héloïse, abbesse du Paraclet, monastère fondé par le célèbre homme d'Église Abélard, tombe, «par hasard», sur une lettre adressée à «un ami». Dans cette Historia Calamitatum (Histoire de mes malheurs), Abélard raconte ses tourments passés et présents, la liaison qu'il a autrefois entretenue avec Héloïse, et sa version des raisons qui les ont tous deux poussés dans un mariage malheureux, puis séparés. Portée par l'émotion, Héloïse répond à l'Historia. Puis Abélard répond à Héloïse. Au total, sept lettres seront échangées, dont trois sont signées «Héloïse». La controverse entourant l'attribution de ces trois lettres, telle que résumée par Étienne Gilson dans Héloïse et Abélard (1938 pour la 1ère édition), serait née en 1841. La critique, quant à elle, a plutôt penché pour le seul authorship d'Abélard. Jusqu'à ce que Gilson publie cette toute première défense en faveur de la maternité littéraire d'Héloïse, et qu'un débat prenne vie. Débat qui est aujourd'hui dans l'impasse. Le premier chapitre de ce mémoire sera consacré à l'analyse de la controverse avant et après la publication de Héloïse et Abélard. D'abord sera examinée la nature de cette controverse, qui pourrait se révéler partie prenante de sa pérennité. Puis, nous analyserons les origines de la controverse et les arguments qui la fondent. Enfin nous étudierons l'évolution des arguments dans la controverse, lesquels pourraient se montrer en partie responsables, depuis 1938, de l'absence de compromis entre les pro et les contra l'attribution des lettres à Héloïse. Cela, afin de rendre possible une lecture de ces lettres hors de la controverse et, de ce fait, basée sur de nouveaux critères. En ce sens, le second chapitre se chargera de jeter les bases d'une avenue restée inexplorée par la critique, c'est-à-dire d'étudier les lettres signées «Héloïse» en regard d'un corpus-baromètre composé de textes médiévaux féminins dont la maternité littéraire n'a jamais été contestée. Ainsi, nous observerons la présence du point de vue féminin, composé de l'hybridation des genres et des registres littéraires, et du «je» isotopique, de même que la présence de ce que nous appelons l'écriture du reproche, elle-même composée du renversement de l'autorité et de la leçon au maître, chez Radegonde (VIe siècle), Dhuoda (IXe siècle) et la Comtesse de Die (XIIe siècle). Enfin, dans le troisième chapitre, nous tenterons d'appliquer les caractéristiques d'une écriture médiévale féminine révélées par notre corpus-baromètre à la réponse que fait «Héloïse» à l'Historia d'Abélard, soit la Deuxième lettre. Car nous croyons que cette lettre est sous-tendue par le point de vue féminin et l'écriture du reproche, à l'image des écrits des Radegonde, Dhuoda et Comtesse de Die. Pour nous, la présence de ces critères dans la réponse d'«Héloïse» viendrait fortement conforter la plausibilité de sa nature féminine. Au terme de ces étapes de l'étude historique de la controverse entourant les lettres d'«Héloïse» avant et après 1938, et de l'établissement d'un corpus-baromètre d'écrits de femmes médiévales à la maternité littéraire attestée, la comparaison entre ce corpus et la Deuxième lettre d'«Héloïse» aura confirmé, ou non, notre hypothèse quant à la nature féminine de l'écriture de cette lettre. De même, cette façon d'analyser aura fait ressortir un conflit traditionnel entre les rôles d'épouse et de maîtresse, en même temps qu'une entité totalement négligée par la critique, celle de la femme-philosophe. Enfin, ce mémoire aura mis au jour cette idée que la notion de dette d'amour est un puissant moteur d'écriture parmi ces femmes de lettres médiévales. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Héloïse, Abélard, Historia Calamitatum, Problème d'attribution, Écriture féminine.

Made available in DSpace on 2014-06-11T19:23:33Z (GMT). No. of bitstreams: 0 Previous issue date: 2010-09-30Bitstream added on 2014-06-13T19:50:25Z : No. of bitstreams: 1 diebe_ep_me_mar.pdf: 264602 bytes, checksum: 3d1b3d7f97082522e77484e146964b90 (MD5) / Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES) / A investigação de Pedro Abelardo acerca das intelecções inicia-se na primeira metade do século XII, período vinculado à lógica vetus. Na psicologia de Abelardo, o Tractatus de Intellectibus é a obra que irá se ocupar principalmente no Periermenias de Aristóteles e nos comentários sobre Periermenias de Boécio, da análise do processo de intelecção no homem, do ponto de vista das intelecções da gramática e das intelecções da lógica, necessárias à doctrina sermonum. Mostraremos que, no decorrer do processo de intelecção, o homem inteligirá as coisas de dois modos, a saber: pela razão, único processo que produzirá intelecções sãs e verdadeiras, e pela existimatio, isto é, processo ligado à opinião. Entenderemos que somente Deus, criador de todas as coisas, intelige tudo de forma plena, e o que é concedido ao homem será apenas uma pequena parte deste conhecimento. O nosso objetivo neste trabalho, portanto, será primeiramente investigar como Pedro Abelardo concebe o processo de intelecção do homem através das palavras universais e verificar, no decorrer desse processo, o significado da existimatio, que, apesar de ser limitada, se mostrará uma forma genuína de conhecer / Peter Abelard‟s investigation on intellections started during the first half of the XII century, period bind to the Logica vetus. In Abelard‟s psychology, the Tractatus de Intellectibus is the work that mainly on Aristotle‟s Periermenias and Boethius‟ comments on Periermenias, contains the analysis of man‟s process of intellection from the point of view of the intellections of grammar and the intellections of logics, necessary for the doctrina sermonum. We will show that in the process of intellection man constitutes intellections of things in two ways, namely, by reason, the only process that produces valid and true intellections, and by existimatio¸ that is, a process related to opinion. We will understand that only God, the Creator of all things, fully intellects all things and man will only be allowed a little part of this knowledge. Therefore our aim in this study firstly is to investigate how Peter Abelard conceives man‟s process of intellection by means of universal words and, during the process, verify the meaning of existimatio, which, though limited, will reveal a genuine form of knowing

Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior - CAPES / Peter Abelard (1079-1142) presented two different conceptions about faith (fides) in the Theologia Scholarium: as opinion (existimatio) of things not apparent and as proof (argumentum) of things not apparent. Our thesis is that, despite Abelard understand the faith as existimatio and as argumentum, there is no contradiction between the position defended in ethic and in logic. We tried to solve the problem based on the understanding that Abelard has of human individual in his relation to faith as opinion and as proof. In logic, we will evaluate the individual’s conception based on the relation between the singulars and the universal; and in ethics, we will investigate this notion from the idea of “moral’s intention”. We also propose a brief etymological analysis of term existimatio in its origin of the Roman Law and its ingress in the works of Abelard in 12th century. We will still present the main repercussions that the term has on the discussions of the Council of Sens, in 1140. Finally, we will present three main results about abelardian ethic which we are defenders: a) the ethic is the faith or the belief and as in Augustine, comes before the purely rational understanding; b) the ethic is consent or assent in which the human individual sins according with their intentions; and c) the ethic is free will, for the individual who believes for Abelard is that endowed with existimatio. We argue that this last aspect of abelardian ethic it keep away from the criticism of subjectivism received from the monastic tradition. We maintain, beside this, that the true freedom for Abelard consists in to follow his own will, provided that the same is in accordance with the divine will. / Pedro Abelardo (1079-1142) apresentou duas concepções diferentes acerca da fé (fides) na Theologia Scholarium: como opinião (existimatio) das coisas não aparentes e como prova (argumentum) das coisas não aparentes. Nossa tese é que, apesar de Abelardo compreender a fé como existimatio e como argumentum, não há contradição entre a posição defendida na ética e na lógica. Tentamos solucionar o problema com base no entendimento que Abelardo tem de indivíduo humano, em sua relação com a fé como opinião e como prova. Na lógica, avaliaremos a concepção de indivíduo com base na relação entre os singulares e o universal; e na ética, investigaremos essa noção a partir da ideia de “moral da intenção”. Propomos também uma breve análise etimológica do termo existimatio em sua origem no Direito Romano e seu ingresso nos trabalhos de Abelardo no século XII. Apresentaremos ainda as principais repercussões que o termo teve nas discussões do Concílio de Sens, em 1140. Por fim, apresentaremos três resultados principais a respeito da ética abelardiana da qual somos defensores: a) a ética é a fé ou a crença e, tal como em Agostinho, vem antes da compreensão puramente racional; b) a ética é consentimento ou assentimento em que o indivíduo humano peca de acordo com suas intenções; e c) a ética é livre-arbítrio, pois o indivíduo que crê para Abelardo é aquele dotado de existimatio. Defendemos que esta última vertente da ética abelardiana se mantém longe da crítica de subjetivismo recebida da tradição monástica. Sustentamos, ao lado disso, que a verdadeira liberdade para Abelardo consiste em seguir a própria vontade, desde que a mesma esteja de acordo com a vontade divina.

Abailard expanded Anselm's sola ratione methodology, and in so doing he anticipated Renaissance humanism. His theory of abstraction justified the use of dialectic in theology, and was the basis for his entire theological system. He distinguished faith from mere belief by the application of dialectic, and created a theology which focused on the individual. The Renaissance humanists emphasized individual moral edification, which was evident in their interest in rhetoric. Abailard anticipated these rhetorical concerns, focusing on the individual's moral life rather than on metaphysical arguments. His logical treatises developed a theory of language as a mediator between reality and the conceptual order, and this argument was further developed in Sic et non. Sic et non was more than a collection of contradictions; it was a comprehensive theory of language as an inexact picture of reality, which forced the individual to reach his own understanding of scripture. Abailard's development of the power of reason anticipated developments in the Renaissance.

Le titre même de l'opuscule, dans l'unique témoin manuscrit qui nous l'a conservé - ms. Avranches, Bibliothèque municipale 232 -, attribue le Tractatus de intellectibus à Pierre Abélard (1079-1142). La préface à l'édition, qui soutient cette paternité abélardienne du traité en affaiblissant considérablement - à partir de l'analyse du contenu de l'ouvrage - les arguments de ceux qui la contestent, situe la date probable de composition de l'opuscule. Outre l'exposé des raisons pour lesquelles les éditions antérieures ne se prêtaient que très difficilement à une traduction, la section suivante précise les normes qui ont présidé à la nôtre. L'édition critique, précédée des planches des folios où se retrouve le Tractatus (ff. 64r68V), restitue la leçon authentique du manuscrit avec toute l'acribie et la conformité possibles. De plus, l'apparat des sources relie le traité aux autres œuvres qui sont incontestablement d'Abélard, ainsi qu'aux commentaires de Boèce. L'apparat des variantes justifie les interventions du présent éditeur et relève les nombreuses inexactitudes des éditions antérieures. La première traduction intégrale de l'opuscule en français - qui serre au plus près le texte latin par souci de fidélité - fait suite à l'édition et donne, en notes, de nombreuses références à Aristote et à Boèce. L'étude doctrinale, qui met en évidence le souci constant d'Abélard de lier intimement logique et langage, souligne la position de l'auteur au sujet des universaux. Les annexes contiennent un tableau synoptique - qui synthétise la nomenclature abélardienne des intellections-, ainsi qu'une biographie d'Abélard comprenant de nombreuses précisions sur la date probable de composition de ses œuvres. Un Index des mots les plus importants renvoie au paragraphe et à la ligne du texte latin, et précède la bibliographie.

Made available in DSpace on 2016-04-27T17:27:21Z (GMT). No. of bitstreams: 1 Pedro Rodolfo Fernandes da Silva.pdf: 484288 bytes, checksum: 5b611bbfb825a2dfd7ec0cc8ca353b80 (MD5) Previous issue date: 2008-02-25 / Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior / This work presents a reading of the Scito Te Ipsum of Peter Abelard (1079- 1142), focusing the core of morality: the intentio. In Abelard s conception, moral acts are in themselves indifferent. Morality abide exclusively in agent s consent and in the intention that precedes action. When the agent consents, consciously, in the contempt of God, commits sin, although he doesn t execute the action. Sin is not, therefore, in vice, neither in bad will. These, would be better called, a disease of the soul that push man and against which he has to fight to deserve glory s crown / Este trabalho apresenta uma leitura do Scito Te Ipsum de Pedro Abelardo (1079-1142), enfocando o cerne da moralidade: a intentio. Na concepção de Abelardo, os atos morais são em si mesmos indiferentes. A moralidade reside exclusivamente no consentimento do agente e na intenção que precede a ação. Quando o agente consente, conscientemente, no desprezo de Deus, comete o pecado, ainda que não execute a ação. O pecado não está, portanto, no vício, tampouco na má vontade. Estes, melhor se denominariam, uma enfermidade da alma que arrasta o homem e contra a qual se deve lutar para merecer a coroa de glória

Dieter Kober (* 2. Jan. 1920 Halberstadt; † 1. Okt. 2015 Radebeul / Dresden) gehört mit seinem ungewöhnlichen Lebenslauf zwischen zwei unterschiedlichen Welten und seiner Lebensleistung als Musiker, Musikpädagoge, Musikdirektor und Dirigent mit zu den bemerkenswertesten Persönlichkeiten, die inmitten der Kluft einer zerrissenen politischen Welt während und nach dem Zweiten Weltkrieg agierten und ihre Spuren hinterließen. Sein Leben bestand zum einen ganz unter dem Trauma von Flucht, Emigration, Kampf in der US-Armee gegen Hitler-Deutschland stehend, zum anderen war es geprägt durch eine Karriere als Musikdirektor und Dirigent. Mit seinem 1952 von ihm gegründeten Chicago Chamber Orchester (CCO) verstand er es, durch Musikdarbietungen in den USA und auf Tourneen durch Europa und Asien, Brücken der Völkerverständigung zu bauen. In Chicago stieg er zum Musikdirektor und Dirigenten auf. Prof. Dr. Dieter Kober war der am längsten amtierend gewesene Musikdirektor in den USA. Die Familie Kober war nach dem Ersten Weltkrieg, als Angehörige der deutsch-jüdischen Bevölkerungsschicht, aus der preußischen Provinz Posen (Poznań / Polen) geflüchtet, nachdem mit dem Großpolnischen Aufstand im Dezember 1918 Repressalien gegen die deutsche und jüdische Bevölkerung einsetzten. Nach seinem Realschulabschluss verließ Dieter Kober Deutschland und emigrierte in die USA. So erhielt als 16-jähriger ein Erlaubnisvisum nach New York City. Da er noch keine amerikanische Staatsbürgerschaft besaß, erhielt er keine Zulassung zur Aufnahme in das City College of New York und wechselte in den Bundesstaat Nebraska, an die University of Nebraska - Lincoln. Obwohl noch ohne amerikanische Staatsbürgerschaft, wurde er als Student in das staatliche Förderprogramm der Army ROTC (Reserve Offizier Training Corps) an der Universität aufgenommen und in militärwissenschaftlichen Kursen und Führungstrainingslabors für einen Einsatz in der US-Armee vorbereitet. Nach Ausbruch des Zweiten Weltkrieges erfolgte seine Grundausbildung im Camp Kearns in Utah in der Army Air Forces Base. Nach seinem erfolgversprechenden IQ-Test kam er zur weiteren Spezialausbildung in das geheime Trainingslager des Militärgeheimdienstes nach Camp Ritchie im Bundesstaat Maryland, wo sie für die Vernehmung von hochrangigen Häftlingen oder für die Spionageabwehr in Europa ausgebildet wurden. Hier erhielt er im Trainingscenter eine Spezialausbildung und wurde Teil einer geheimen Einheit des Militärnachrichtendienstes, die überwiegend aus deutsch-jüdischen und österreichischen Emigranten zusammengestellt worden war, die später als Ritchie Boys bezeichnet wurden. Er wurde Spezialist des Militärnachrichtendienstes und in den Stützpunkt Fort Hunt in Virginia verlegt (Geheimer Codenamen „P.O. Box 1142“ / Post Office Box 1142). Als Teamleiter des US-Militärgeheimdienstes MIS Y waren er mit teilweise bis zu 40 Mitarbeitern direkt dem Pentagon unterstellt. Die ehemaligen sogenannten Ritchie Boys erhielten nach Kriegsende großzügige staatliche Förderungen. Kober ging an das Musik Conservatory des Chicago College of Performing Arts (CCPA) der Roosevelt University, wo er Musikwissenschaft und Dirigat studierte. Zurückgekehrt an die University of Chicago, gründete er 1952 ein erstes Streicherensemble als Laienorchester für Kammermusik, das Chicago Chamber Orchestra (CCO). 1957 erhielt er die Berufung zum Musikdirektor des Art Institute of Chicago. Große Popularität erreichte Dieter Kober ab 1959 mit der Produktion und Moderation der TV-Sendung „Einladung zur Musik“ im Chicago-Bildungsfernsehen. Ab 1975 wurde er auf dem klassischen Radiosender von Bruce Duffie „WNIB / Classical 97 Chicago“ auch zu einer Radiopersönlichkeit und gestaltete monatliche Sendungen für „Musik des Kammerorchesters“. Kober sah es als seinen Kulturauftrag an, jedem das Recht auf kulturelle Bildung und eine nachhaltige Entwicklung zu ermöglichen, und ermöglichte auch kostenlose Besuche seiner Konzerte. Nach seiner zweiten Eheschließung verlegte er seinen Wohnsitz von Chicago Lakeshore Drive nach Radebeul und richtete in seinem Haus das Büro für das CCO ein. Von hier aus organisierte Dieter Kober nun das Management für das Ensemble des CCO. Nach Chicago kam er zumeist nur noch zum Dirigieren von Konzerten und für Vertragsunterzeichnungen. Anlässlich seines 90. Geburtstages 2010 dirigierte Dieter Kober in der Preston Bradley Hall im Chicago Cultural Center nochmals ein großes, für die Öffentlichkeit zugängliches kostenloses Konzert. Am 12. Mai 2013 übergab Dieter Kober im Alter von 93 Jahren und nach 61-jährigem Wirken als Musikdirektor den Taktstock nach einem letzten großen Abschiedskonzert in der Fourth Presbyterian Church an seinen Nachfolger Robert Turizziani. Dieter Kober verstarb am 1. Oktober 2015 in Radebeul bei Dresden im Alter von 95 Jahren. Entsprechend seines letzten Willens fand er seine letzte Ruhestätte auf dem Friedhof Radebeul-Ost.:Ein Leben zwischen zwei Welten – Ein Leben für die Musik 3 Lebenslinien - eine Familie gezeichnet von Verfolgung, Flucht und Exil 4 Vom Flüchtling vor dem Nazi-Regime zum Kämpfer in US-Uniform 5 Als Ritchie Boy zum Kämpfer per Intelligence 5 Geheimdienst-Operation unter Tarn-Adresse und Codenamen „P.O. Box 1142“ 6 Ehemaliger Ritchie Boy - Selbstbewusster Bürger des neuen Heimatlandes 8 Ein Leben für die Musik - Gründung des Chicago Chamber Orchestra (CCO) 9 Neue Wege – denn „Musik macht uns alle zu besseren Menschen“ 10 „Dirigieren ist mein Leben - man muss eine sehr starke Liebe für etwas haben, was man tut“ 11 Lebensräume – vom Chicago Lakeshore Drive nach Radebeul/ Dresden 13 Ehrungen/Auszeichnungen 14 Kommentare 15 Literatur 15