• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 140
  • 9
  • 3
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 187
  • 187
  • 133
  • 94
  • 78
  • 78
  • 54
  • 54
  • 52
  • 51
  • 48
  • 41
  • 35
  • 30
  • 28
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
111

Sublimer le temps et les hommes : nouvelles approches pour l'étude du calendrier républicain en Loire-Inférieure

Quesnel, Philippe 11 April 2018 (has links)
À l'automne 1793, les représentants de la Nation française, réunis en Convention nationale, choisissent à l'unanimité de s'emparer du temps. Pour marquer solennellement le passage de la France aux institutions républicaines, les révolutionnaires créent un nouveau calendrier dont les fondements de base se dissocient complètement de la computation grégorienne. Le projet des conventionnels, décrété en pleine Terreur, fut un échec patent sur l'ensemble du territoire. En dépit des efforts des administrations du pays pour appliquer la réforme calendaire, l'ère grégorienne n'a jamais cessé d'exister en filigrane de tous les esprits. Le constat péremptoire d'échec est le discours récurrent de l'historiographie sur le calendrier républicain, mais très rarement, les historiens ont-ils effectué une étude locale pour nuancer leur argumentation et tenter de relativiser la fatalité de cet échec. Le présent mémoire propose de nouvelles approches pour l'étude du calendrier républicain dans le cadre d'un département en particulier : la Loire-Inférieure. Par une analyse comparative de quelques communes, nous nous intéressons à la réception du calendrier révolutionnaire dans des situations diverses de la vie publique et privée. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
112

La religion populaire dans le gouvernement de Québec sous le régime français d'après la pratique des actes surerogatoires

Cliche, Marie-Aimée 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
113

Les 100 premières années de la charpenterie navale à Québec : 1663-1763

Brisson, Réal 25 April 2018 (has links)
L'histoire de la charpenterie navale sous le régime français s'étend sur un siècle exactement: 1663-1763. Les premières activités de construction et de radoub de bâtiments de mer par des artisans charpentiers de navires sont enregistrés à partir de 1663 avec la venue des «charpentiers du roy» de Rochefort et de La Rochelle. Auparavant, seules des relations de voyage de missionnaires ou d'explorateurs font allusion à quelques embarcations de fortune fabriquées à la hâte par des ouvriers non qualifiés pour faire face surtout à des situations d'urgence. Entre 1663 et 1763 (cette dernière date correspondant à la cession de la colonie française aux autorités anglaises), trois phases déterminent le cheminement et l'évolution de l'industrie navale canadienne. La première période marquante débute sous l'intendance de Jean Talon. Plusieurs ouvriers canadiens vont profiter du séjour des maîtres charpentiers français à Québec pour parfaire leur éducation professionnelle maritime souvent amorcée au foyer. S'ensuit dans le dernier quart du XVIIe siècle une activité maritime axée principalement sur la fabrication de petits bâtiments - barque, chaloupe et «bateau plat» - pour répondre aux besoins du commerce domestique et de circulation des denrées et des troupes du roi à l'intérieur du continent. Le tournant du XVIII° siècle entraîne une deuxième étape significative pour l'économie maritime coloniale. La guerre de succession d'Espagne s'est répercutée jusque dans les colonies d'Amérique et commande la construction de frégates et de brigantins pour faire la chasse aux Anglais qui entravent le commerce en haute mer au large des côtes canadiennes. Cette période-tremplin permet aux charpentiers de navires canadiens d'accéder à un plus haut niveau de compétence technique et architectural. Pour la première fois, ils construisent des bâtiments de haute mer sans l'aide des spécialistes français. Forts de ce nouveau savoir acquis progressivement tout au long du conflit intercolonial qui prend fin avec le traité d'Utrecht en 1713, ils se permettent de varier leur production navale par la suite en fournissant, tant aux bailleurs de fonds locaux qu'étrangers, en plus des habituels bâtiments, des goélettes, corvettes et autres navires de trois cents tonneaux et plus pour le grand commerce. Avec l'ouverture prolongée des marchés français et surtout antillais, la colonie canadienne s'arrache à son isolement et conséquemment la construction navale privée connaîtra sa période la plus stimulante. Le dernier jalon déterminant survient au moment de l'implantation des chantiers navals de l'État à la Saint-Charles en 1738 et au Cul-de-Sac en 1747. Les effectifs maritimes locaux sont alors mis au service de la guerre. Pour la construction des flûtes de plus de 500 tonneaux de même que des vaisseaux de troisième ligne, la cinquantaine de charpentiers de navires de Québec seront appuyés, bien que de façon inconsistante, par des maîtres contractuels français plus au fait des dernières méthodes et connaissances navales. Moins de cent ans séparent les artisans pionniers fabriquants de chaloupes du XVII° siècle des maîtres constructeurs de bâtiments de mer du siècle suivant. Période suffisante pourtant pour caractériser les habitudes de travail, les procédés de construction à partir de l'outillage par exemple ou encore certains comportements professionnels et familiaux propres au milieu maritime colonial canadien. Attitudes et mentalités ne cessent d'évoluer et de s'adapter aux nouvelles situations sociales et professionnelles provoquées par les soubresauts conjoncturaux. Le contraste est manifeste entre le charpentier généraliste du XVII° siècle travaillant en solitaire sur une petite grève de Rivière du-Sud ou de l'Ile d'Orléans et le chef de chantier entrepreneur du XVIIIe siècle évoluant au sein d'une équipe multidisciplinaire dans l'un des chantiers de la basse-ville de Québec. Autant de différences dans les contraintes et exigences professionnelles engagent pour chacune des périodes une définition distincte du statut et de l'identité des artisans charpentiers de navires. La nature de la pratique fixe les choix d'un habitat de même que la place que ces derniers vont occuper dans la hiérarchie des travaux et des rôles en milieu de travail. Enfin, la forte hérédité professionnelle peut inciter les jeunes apprentis et compagnons hors caste à s'associer aux grandes familles de la charpenterie navale qui détiennent généralement le monopole des marchés maritimes les plus importants et les plus payants sur l'ensemble du territoire canadien. À cet effet, l'histoire professionnelle de la famille Badeau étalée sur trois générations de charpentiers de navires pratiquants entre 1680 et 1730 peut servir d'exemple. De 1663 à 1763, plus de cent vingt charpentiers de navires canadiens auront laissé suffisamment de traces de leur vécu économique, familial et professionnel pour autoriser une reconstitution conforme et ponctuelle de l'industrie navale tant royale que privée fournissant ainsi un volet indispensable à la compréhension globale de l'économie maritime coloniale canadienne sous le régime français. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
114

Le marché du livre à Québec, 1764-1839

Lemoine, Réjean 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
115

La nordicité et son influence sur les sciences naturelles aux XVIIIe et XIXe siècles / Nordicité et son influence sur les sciences naturelles aux 18e et 19e siècles / Nordicité et son influence sur les sciences naturelles aux dix-huitème et dix-neuvième siècles

Nadeau, Charles 18 April 2018 (has links)
Les oeuvres scientifiques du Suédois Cari Von Linné (1707-1778) et du Québécois Léon Provancher (1820-1892) s'inscrivent à la fois en continuité et dans des contextes de civilisation analogues. Habitant des environnements nordiques au potentiel agricole limité, ces naturalistes perçoivent et cherchent à pallier aux contraintes imposées par ce que l'on nomme au milieu du XXe siècle « la nordicité ». Leurs recherches répondent à des préoccupations utilitaires immédiates. Leurs travaux fournissent des réponses aux nécessités découlant de la nordicité, des particularités géographiques et de la trame socio-économique de leurs pays respectifs. La nordicité apparaît non seulement comme un élément essentiel de l'identité Scandinave et canadienne, mais également comme un déterminant d'une pensée scientifique distinctive dont l'objectif manifeste est de pallier aux carences imposées par un environnement adverse, et ce avec l'intention ferme d'améliorer la qualité de vie des habitants et de réduire la dépendance de leurs nations aux produits étrangers. Les approches qu'ils ont appliquées aux XVIIIe et XIXe siècles ont émergé en réponse aux nécessités auxquelles ces sociétés traditionnelles étaient assujetties. Cette étude montre qu'elles doivent être considérées comme l'épilogue de la pensée occidentale pré-darwinienne, plutôt que le prélude aux concepts nouveaux qui émergeront de l'ère industrielle et feront suite à l'énoncé de la théorie de l'origine et de l'évolution des espèces. Quoique les oeuvres de Linné et de Provancher précèdent l'émergence du concept d'évolution dynamique de la nature, cette étude montre que dans leur quête, centrée sur l'optimisation des productions locales et l'introduction d'espèces et de méthodes à haut rendement, ils se révèlent être les précurseurs d'un long cheminement qui a conduit à l'énoncé du concept contemporain de développement durable.
116

Le régiment "Royal Artillery" à Québec (1759 à 1871)

Rioux, Christian 25 April 2018 (has links)
Cette thèse est la première étape d'une recherche plus globale portant sur la présence d'une garnison britannique à Québec de 1759 à 1871. Nous voulons, à long terme, mieux connaître l'organisation de cette garnison, ses effectifs, son impact sur la ville et les conditions de vie de ses membres. L'étude du régiment "Royal Artillery" à Québec nous donne l'occasion d'entrevoir plusieurs thèmes rattachés à notre problématique tout en nous permettant de mieux circonscrire notre documentation î le fait que ce régiment ait été présent à Québec durant toute la période d'occupation britannique par l'envoi d'une soixantaine de ses compagnies qui ont défilé tour à tour, nous permet d'avoir une vue d'ensemble sur toute la période qui nous intéresse. Dans un premier chapitre, nous situons tout d'abord les compagnies du "Royal Artillery" dans l'organisation générale de l'armée de terre. L'armée britannique, avant 1855 est sous la gouverne de cinq personnages principaux, civils et militaires, qui ont leurs représentants dans les colonies et qui influent directement ou indirectement sur les troupes d'artillerie. A partir de 1855, la direction militaire est regroupée autour du commandant en chef alors que le secrétaire d'Etat à la guerre prend le contrôle de tous les départements administratifs civils ayant rapport avec l'armée. Dans un deuxième temps, nous avons scruté les structures mêmes du régiment "Royal Artillery", sa croissance, son histoire et nous avons replacé les compagnies d'artillerie à Québec dans le contexte du mouvement général des troupes qui s'étend à l'échelle de l'Empire britannique. Dans le second chapitre, nous avons évalué les effectifs du régiment "Royal Artillery" à Québec et au Canada en dégageant les tendances générales des fluctuations de ces effectifs. A long terme, nous avons trouvé des liens entre ces fluctuations et les conjonctures de paix et de guerre : la stratégie a également joué dans la répartition des effectifs au Canada et nous avons pu voir qu'une augmentation d'effectifs au Canada ne signifiait pas nécessairement un accroissement des troupes à Québec. A court terme, nous avons démontré les facteurs qui font diminuer les effectifs d'un mois à l'autre (désertions, mortalités, licenciements) et les mécanismes de renouvellement des compagnies. Nous avons aussi analysé la composition sociale de ces troupes en évaluant la proportion d’officiers, de sous-officiers et de simples soldats qui s'y trouve. A ces hommes, s'ajoute des femmes et des enfants dont nous avons tenté d'estimer le nombre. Le troisième chapitre étudie plus spécifiquement les profils de carrière des deux principaux groupes sociaux que l'on retrouve dans les compagnies du "Royal Artillery " à Québec. D'une part, il y a les officiers qui accèdent aux plus hauts postes de la hiérarchie et, d'autre part, on retrouve la grande masse des soldats qui a peu d'espoirs de promotions et qui n'accède qu'à des postes de sous-officiers. Nous avons donc tracé un tableau de la hiérarchie militaire en y situant bien les deux groupes sociaux. Puis, nous avons traité de chacun de ces groupes en nous demandant dans quels milieux sociaux ils se recrutent et quels genres de carrière leurs membres peuvent envisager. Enfin, nous avons donné l'échelle des salaires qui est un indice pertinent du fossé qui s'établit dans les niveaux de vie de ces deux groupes. Enfin, un dernier chapitre classe et décrit les nombreuses fonctions que les membres des compagnies d'artillerie remplissent à Québec. Ces fonctions sont à la fois communes avec le reste de la garnison (garde de la ville etc.) et réservées au régiment lui-même (maniement des canons etc.). Les activités des soldats diffèrent de celles des officiers. Alors que les officiers commandent, administrent et consacrent assez de temps aux loisirs, les soldats exécutent des taches routinières, s'exercent et ont peu de temps libres. L'horaire d'une journée que nous donnons en exemple donne une bonne idée des contraintes dans lesquelles sont places les soldats. Bref, nous avons étudié le contexte administratif de la présence de troupes d'artillerie a Québec qui est probablement le même que le reste de la garnison. Nous avons étudié les fluctuations des effectifs, la composition sociale des troupes et les activités de garnison. Nous faisons également dans notre conclusion un bilan des recherches qui restent à faire. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
117

L'habitant aux XVII et XVIIIe siècles

Séguin, Robert-Lionel 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
118

L'épée et la plume : Amérindiens et soldats des troupes de la Marine en Louisiane et au Pays d'en Haut (1683-1763)

Balvay, Arnaud 11 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
119

Conversation intime et pédagogie dans Les conversations d'Émilie de Louise d'Épinay

Caron, Mélinda 11 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2003-2004 / Dans Les Conversations d'Émilie (1782), Louise d'Épinay, femme de lettres des Lumières liée au milieu encyclopédique, propose un modèle d'éducation féminine s'incarnant dans une série de vingt dialogues inspirés des conversations pédagogiques qu'elle a partagées avec sa petite fille Émilie. S'appropriant, dans cette œuvre testamentaire, la structure de la conversation philosophique pour l'éducation d'une fillette et ancrant cette structure dans un cadre intime, elle offre une solution de compromis permettant aux femmes un accès à une formation morale et intellectuelle alliant bonheur et utilité sociale. L'intimité devient le terrain d'élection d'une pensée qui cherche son dépassement dans la transmission générationnelle de son modèle pédagogique et son prolongement dans un espace d'amitié et d'intellectualité féminines. Porteur, en point de mire, d'une réforme des possibilités sociales pour les femmes, le modèle de Louise d'Épinay, grâce à sa forme dialogique, s'inscrit pleinement dans ce que l'on pourrait appeler les "Lumières au féminin"
120

Jean-Joseph Riverin, marchand de Québec, 1699-1756

Caron, Jean-François 25 April 2018 (has links)
Ce mémoire propose une analyse de la carrière de Jean-Joseph Riverin (1699- 1756), marchand de Québec. Le but est de reconstituer le profil de sa carrière, d'évaluer son intégration à son milieu social et de retracer l'évolution de son patrimoine familial. Issu d'une famille de marchands, Jean-Joseph Riverin exerça son métier entre 1719 et 1756. Il faisait de l'importation et de la vente au détail de marchandises, surtout de tissus. Il investit aussi dans des entreprises de pêcheries, dans l'achat de terres et dans les fournitures en denrées et marchandises auprès de l'État colonial. Jusqu'en 1744, il tira profit de la période de paix qui prévalait en Nouvelle-France, de l'accroissement démographique général, d'investissements accrus de la part de l'État dans l'économie coloniale et de l'intensification du commerce intercolonial. Par la suite, l'augmentation des dépenses militaires, coïncidant avec le retour de la tension avec les colonies angloaméricaines, devint aussi un facteur d'enrichissement marchand. Dans ce contexte économique, Riverin put mettre en valeur ses connaissances et aptitudes en affaires et laissa à ses héritiers un patrimoine évalué à près de 200 000 livres tournois à l'aube de la guerre de la Conquête. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013

Page generated in 0.0483 seconds