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Frère Reticius, f.é.c. : le mandat tumultueux d'un visiteur provincial, 1880-86

De Lagrave, François 11 April 2018 (has links)
Consacrer six ans de recherches à mettre en lumière la vie, l'oeuvre et l'influence d'un frère des Ecoles chrétiennes, d'un modeste supérieur religieux, pourrait paraître â première vue une entreprise assez futile et peu susceptible d'enrichir l'historiographie du Canada français. Tel n'est pas le cas. Trois raisons nous permettent de le supposer. Premièrement, nous croyons que, depuis deux décennies, depuis la décroissance numérique des religieux enseignants, il nous est davantage possible d'établir un bilan objectif de l'oeuvre humaine, professionnelle et sociale des congrégations religieuses enseignantes au Québec du siècle dernier. Après la délectation dans les fadaises et les lieux communs, il est temps de se dégager hardiment des préjugés traditionnels et de jeter un regard neuf sur cette classe de la société qui forma tant de générations d'étudiants de la classe moyenne. Deuxièmement, l'avenue de l'histoire des mentalités, qui ne cesse de s'élargir, a vu défiler, depuis la fin de la seconde guerre mondiale, quantité d'historiens de renom, tels Philippe Ariès ou Robert Mandrou, qui ont compris que l'histoire militaire, les biographies des "héros", la description des grands ensembles économiques n'expliquaient pas tout et, en somme, trahissaient la richesse complexe de la trame historique de l'humanité. Enfin, troisièmement, les travaux de M. Philippe Sylvain, depuis une vingtaine d'années, ont bien démontré que le phénomène religieux et les luttes sourdes ou ouvertes entre libéraux et ultramontains nous permettent d'expliquer, de compléter, parfois même de renouveler la compréhension du fait québécois. Pour cet aspect de notre histoire, il y a beaucoup à faire. Et, pour tout le XIX£ siècle canadien français, nous serions tenté de répéter ce que disait M. Marcel Trudel de la période de la Nouvelle-France, â savoir, que l'on peut y trouver "des sujets de recherche pour un siècle ou deux". Afin de porter ce regard neuf sur le religieux enseignant du siècle dernier, nous devons cesser de répéter les classiques de l'hagiographie et retourner aux sources primaires de l'époque. Il nous faut donc, en ce qui concerne les Frères des Ecoles chrétiennes, cesser de nous en remettre à L'Oeuvre d'un Siècle et aller puiser aux sources des archives canadiennes, américaines et même européennes. Bien sûr, le célèbre ouvrage composé sous la direction du frère Cyrille demeurera toujours une précieuse mine de renseignements pour la période de 1837 à 1937, mais il nous faut désormais renouveler l'interprétation qu'il donne de son institut, du plus humble des leurs jusqu'aux principaux supérieurs qui marquèrent leur époque d'une empreinte qui ne s'effritera qu'avec la "Révolution tranquille" du gouvernement Lesage, au cours de la décennie de 1960. Et même dans les divers centres d'archives qu'il nous faut visiter, nous devons être sur nos gardes, car les documents qui nous tombent sous la main demeurent encore empreints de tout un esprit qui menace parfois l'objectivité de notre interprétation. Les périodes de luttes religieuses qui ont suivi la phase tridentine, le désir d'"édifier", voire de "briller", et surtout de ne pas perdre de terrain sur le champ militant de la concurrence religieuse ont souvent porté le necrologue, le supérieur, le chroniqueur religieux à passer sous silence certains faits, à répéter les formules littéraires d'usage, bref, à fignoler le tableau ou le portrait, sinon à le défigurer. Parlant des querelles ultramontaines du dernier quart du XIXe siècle dans la province de Québec, M. Louis-Philippe Audet, dans sa récente édition de l'Histoire de l'Enseignement au Québec, cite "le frère Réticius, des Ecoles chrétiennes" aux côtés de Mgr Ignace Bourget de Montréal, de Mgr Louis-François Lafleche des Trois-Rivières et de Jules Paul Tardivel, rédacteur de La Vérité de Québec, comme les grands coryphées de l'ultramontanisme canadien. M. Pierre Savard, pour sa part, l'auteur dans ces dernières années d'une importante étude sur le rédacteur de La Vérité, fait dix fois allusion â ce religieux français. Il nous fait même observer qu'"il n'existe pas d'étude satisfaisante" sur l'action du frère Réticius au Canada. C'est en 1970, à la suggestion de M. Philippe Sylvain de l'université Laval, que j'ai choisi de faire porter mes recherches sur le FRERE RETICIUS, né LOUIS GONNET dans la commune française de La Rochepot le 6 avril 1837 et mort dans le village belge de Lembecq-lès-Hal le 11 avril 1916. Le travail que nous avons entrepris avec grand sérieux et dont nous vous présentons ici certains chapitres, comblera, croyons-nous, une lacune et apportera une nouvelle vision de l'oeuvre d'un institut religieux d'enseignants et de son insertion dans les grandes luttes religieuses et politiques du XIXe siècle. Dans un premier temps, je traiterai de l'expansion de la congrégation des F.E.C, depuis leur arrivée au Canada en 1837 jusqu'à la venue du frère Réticius en 1880. Puis, dans un deuxième temps, je relaterai la jonction efficace du religieux français avec les forces ultramontaines du Canada français ainsi que les premiers combats qu'il entreprit contre les forces libérales du pays. Enfin, dans un troisième temps, décrivant d'autres combats menés par le frère Réticius, j'analyserai la confrontation de plus en plus agressive et la victoire de moins en moins assurée d'une idéologie dont les aspects radicaux nous étonnent encore. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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El modelo económico de Murra sobre los Andes prehispánicos : alcances y limitaciones

Garaycochea Mejia, Carlos Federico 27 June 2011 (has links)
La tesis tiene como objetivo demostrar, desde las perspectivas de la historia y la teoría económica, que la propuesta de explicación de la organización económica de las sociedades andinas prehispánicas desarrollada por John Murra sólo tiene un alcance particular y no constituye una explicación general. Su propuesta articulada en varios ensayos publicados en 1975 y basada en lo que llamó el «control vertical de un máximo de pisos ecológicos», (modificado posteriormente al concepto más amplio de «complementariedad ecológica»), logro una aceptación general que denominamos «el modelo económico de Murra», cuyo análisis crítico será el tema de esta tesis. La tesis se desarrolla en cuatro capítulos. El primero comprende un análisis historiográfico de la obra de Murra para rescatar las raíces epistemológicas de su enfoque y las preocupaciones centrales de sus investigaciones. En el siguiente capítulo se examina las influencias determinantes que provienen del marco teórico usado por Murra. Luego, en el tercer capítulo, se hace una presentación de su modelo. Finalmente, se realiza el examen crítico de la validez y los alcances del modelo. Al analizar el modelo de Murra, que también es llamado el «ideal andino» o modo de producción que explica la organización de la economía de las sociedades andinas prehispánicas, se consideró cuatro aspectos principales. En primer lugar, la búsqueda de un posible modo de producción andino y las influencias que se derivan del enfoque teórico de Karl Polanyi así como de la antropología social. En segundo lugar, la contrastación del modelo con la diversidad ambiental y geográfica del territorio andino, en particular con la dotación de recursos económicos, sobre todo las tierras de cultivo. Luego se aborda los aspectos esenciales de la teoría económica que son pertinentes al análisis de la realidad prehispánica y que se encuentran ausentes en el modelo de Murra. Finalmente, se examina el sentido histórico que tiene el modelo, es decir, su aporte a la construcción de una posible historia andina.
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Theological evaluations by Christians of the religious faith of non-Christians

Gualtieri, Antonio Roberto January 1969 (has links)
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Wilfred Cantwell Smith's contribution to the study of Islam

Rokhsefat, Seyed Mostafa January 1994 (has links)
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La temporalidad en el teatro de Antonio Buero Vallejo

Velozo Alvial, Guille 20 April 2024 (has links)
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Sobre la moral social del teatro de Buero Vallejo : las funciones de los tipos femeninos

Caron, Marie 20 April 2024 (has links)
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Une analyse de questions posées par le professeur Dienes en vue de favoriser l'apprentissage de la mathématique à des enfants de première et de deuxième années de l'école élémentaire

Lepage, Ernestine 25 April 2018 (has links)
L'invention des ordinateurs, l'apparition du loisir comme une composante éducative, l'accélération des changements en éducation remettent en cause tout l'enseignement traditionnel. Cependant, elles n'ont pas remplacé l'école. Celle-ci demeure encore, dans la majorité des milieux, l'endroit où "interagissent" un adulte appelé maître, et des enfants que l'on nomme élèves. Depuis une cinquantaine d'années, différentes recherches ont été menées sur les interactions maîtres-élèves. Leurs résultats permettent d'affirmer que le maître joue le rôle primordial en classe. D parle plus fréquemment que les élèves, s'engage souvent dans de longs monologues, fait peu de place aux questions des enfants. Les interventions tendent à se faire dans un sens unique: du maître à l'élève, ou plus justement, du maître à l'ensemble de la classe. En vue d'analyser le phénomène de l'interaction maître-élèves, Amidon et Flanders (1967, p. 14) ont relevé dix catégories d'interventions en classe. Parmi celles-ci, se trouvent les questions posées par le maître. Même si elle n'est pas toujours employée efficacement, l'interrogation demeure sans aucun doute l'une des techniques de base utilisées pour motiver, guider, évaluer l'apprentissage. L'étude des questions posées en classe a mobilisé plusieurs chercheurs. Certaines de ces recherches révèlent que les interrogations posées en classes sont perçues comme un pré-requis à toute pensée, comme l'instrument le plus important utilisé par le maître, comme le moyen pour celui-ci d'entrer plus efficacement en contact avec ses élèves, qu'elles servent à provoquer la pensée et à stimuler les élèves en vue d'une activité profitable d'apprentissage. Depuis une dizaine d'années surtout, le rôle joué par les questions, et les processus qu'elles développent furent étudiés. Des schémas scientifiquement conçus, ont essayé d'analyser cette réalité dans le contexte scolaire. Au Québec, durant ces mêmes dix dernières années, le problème du renouveau pédagogique en général a mobilisé diverses énergies. La restructuration du système d'éducation s'est opérée parallèlement à la refonte des programmes, à l'introduction de nouvelles méthodes d'enseignement et à la formation des maîtres. Dans ce contexte, divers organismes, comme l'AMQ (Association Mathématique du Québec), l'APAME (Association pour l'Avancement des Mathématiques à l'Elémentaire), les Chantiers pédagogiques, le Centre de Recherches en Psycho-Mathématique à l'Université de Sherbrooke, de même que divers groupes universitaires ont entrepris un immense travail en vue d'informer les maîtres sur la conception moderne de la mathématique et de renouveler son enseignement à travers la Province. Dans ces diverses tentatives d'innovation, l'accent a été mis sur l'enseignement renouvelé de la mathématique, sur le travail d'équipe et sur l'achat de matériel didactique, parfois coûteux. A l'élémentaire surtout, le contenu et la forme de l'enseignement de la mathématique ont été changés. Cependant, le rôle de l'intervention en classe a suscité encore trop peu d'intérêt. On s'est encore bien peu préoccupé d'entraîner les maîtres à poser des questions, si ce n'est dans quelques expériences pilotes, comme celle menée au CPL (Centre Pilote Laval) 1. En conséquence de ces problèmes, le présent travail est axé sur un aspect bien particulier de l'intervention en classe de mathématique, celui des questions. Une alternative s'offrait alors: dresser un inventaire des questions posées par un certain nombre de maîtres de l'élémentaire du Québec ou analyser des questions utilisées par un maître expérimenté. Le premier choix aurait permis de décrire la situation existant dans les écoles, au Québec, d'y étudier divers problèmes et d'ouvrir la porte à certains chercheurs capables d'y apporter des solutions. Le second obligeait à cerner une expérience en cours afin d'y trouver des éléments profitables aux maîtres en exercice. L'analyse d'une expérience en cours a été retenue: celle que mène Monsieur Z. Paul Dienes avec une équipe de spécialistes, à Sherbrooke. Une bonne connaissance du travail effectué par le Centre de Recherches en Psycho-Mathématique que dirige Monsieur Dienes, et de l'influence que celui-ci exerce auprès de plusieurs maîtres, ainsi que le désir de produire un texte utile ont motivé le choix de cette étude. La présente analyse ne prétend pas embrasser l'expérience dans sa totalité; elle ne veut pas non plus cerner le problème global de l'intervention pédagogique dans une classe de mathématique. Elle se restreint à une analyse de questions posées à des enfants de première et de deuxième années de l'école élémentaire, au cours d'un apprentissage en mathématique dite "moderne". Quatre chapitres servent à rendre compte de cette analyse. Le premier, présente le problème et établit les limites à l'intérieur desquelles se situe ce travail. Le deuxième chapitre fait état des publications et des recherches faites sur le sujet étudié. Un troisième chapitre décrit le système d'analyse et les instruments utilisés. Les résultats sont présentés dans le quatrième et dernier chapitre. La conclusion essaie de dégager les grandes lignes de cette recherche et d'ouvrir sur de nouvelles interrogations. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
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Tourments et dépossessions dans le récit Est-ce que je te dérange? d'Anne Hébert

Ouellet, Joanie 16 April 2018 (has links)
Le récit Est-ce que je te dérange? d'Anne Hébert met en scène des personnages démunis, dépossédés du monde et d'eux-mêmes par un passé douloureux qui ne cesse de ressurgir et d'entraver leur rapport au monde. La présente étude, fondée sur une approche à la fois sociocritique et formelle, vise justement à cerner les diverses modalités d'expression de cette dépossession dans le récit. Elle montre d'abord comment les protagonistes, prisonniers d'un discours confus et empreint d'une rhétorique trouble, sont dépossédés au niveau narratif et énonciatif. Ensuite comment, pour différentes raisons qui tiennent à leur mode de vie marginal, ils le sont également sur le plan social. L'analyse se penche en dernière partie sur la dimension psychologique de leur dépossession qui provoque un chevauchement spatio-temporel du passé et du présent, de l'ici et de l'ailleurs et qui les ramène sans cesse aux confins de leur mémoire enfouie.
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Relationship of the apple aphis and other insects to the dissemination of fire blight in apple orchards, with a view to methods of blight control

DuShane, James Ross January 1916 (has links)
Our present knowledge, as indicated by the above data, proves that fire blight is due to a specific organism, a bacterium known in science as Bacillus amylovorus, which manifests itself in the following ways: 1. Blossom blight, due to the bacterial infecting the nectary of the flower and multiplying therein, later passing down into the stem by way of the ovary and pedicel. Apparent by the browning of the flowers, which later become blackened. 2. Twig blight, due to inoculation infections through wounds made by insects or other agencies on the young and tender shoots, blighting from the tips downward, the leaves turning brown and appearing as though scorched by fire. 3. Fruit blight, due to the progress of the bacteria up the pedicel into the pulp of the fruit; appearing as brownish or much darkened areas, later involving the entire fruit. 4. Canker blight, due to the entering of the larger branches by bacteria, conveyed by insect, bird, or mechanical agents, or by the bacillus working back from infected twigs, fruit-spurs, or water-sprouts. These cankers vary in size from barely visible areas to a girdling of the entire limb; they appear roughened and depressed with a distinct line separating the canker from the apparently healthy tissue. They are called "hold-over cankers." 5. Collar blight is nothing more than canker blight which attacks the base of the trunk usually through an infected water-sprout, borers, or mechanical injury. Trees afflicted with collar blight soon take on the sickly appearance of half starved trees, prematurely defoliating (partially or wholly), and finally dying. 6. Leaf blight, due largely to insect injury, the majority of infections the margin, either lateral or terminal, although central lesions are found. The blighted portion of the leaf being a light or yellowish brown with a faint purplish border at the advancing edge, which when active shows a narrow watery zone. During the warm sunny days soon after rains, when the trees are in blossom and the pollen gathering insects are busy visiting the flowers, and the hold-over cankers are exuding drops of the blight bacterial, fire blight begins its havoc. Insects come in contact with this gummy substance and later visit the blossoms, thereby inoculating the flowers with the active organism, blossom blight resulting. Bees are awarded first place in spreading the blight to the flowers but flies and all other insects which visit the bloom are also liable to spread the germ. Later on in the season, as long as the tree is in a vigorous stage of growth, the aphids, ants, leaf hoppers, borers, beetles, and in fact any of the biting or sucking insects which inhabit the apple tree, may spread the organism to the succulent tissue, causing twig blight, fruit blight, leaf blight, or body blight. It is a fact that the insect, which in one section of the country is most troublesome in disseminating blight-bacillus, may not be so important an agent in another section. Different varieties of apple trees may also vary in different sections as to their powers of resistance or susceptibility; the York Imperial being listed as a susceptible variety in Pennsylvania and Virginia while in West Virginia it seems to be quite resistant. We cannot control weather conditions which play so important a part in the spread of blight. The weather may put a tree in a responsive or susceptible condition to inoculation and may also control insect life to a great extent. And it is indeed difficult to try to "harden up" a tree by the application of phosphate and potash fertilizers and by the discontinuing of cultivation, especially when the soil is strong and rains are frequent. Hence the more practical methods must be followed: 1. Fight the insects which spread the disease. Spray with nicotine sulphate or some other tobacco extracts in combination with the early scab or codling moth sprays. Where "Black leaf 40" is used, the recommended strength is 1 to 800 parts of water. 2. Cut out the source of infection,- the hold over cankers--cutting back an inch or two into healthy bark, and disinfect the wound with bichloride of mercury (1-1000). Prune out all blighted branches and if possible cut out all blighted twigs, cutting back several inches into the healthy wood. A severe winter often kills the germs in the twigs. All the waste material should be hauled out of the orchard and burned. 3. It is well to discontinue cultivation and application of manure or nitrogenous fertilizers as soon as blight its appearance. 4. The trees are most susceptible to the attack when planted in low wet ground; hence drain the low spots in the orchard. Many bulletins have stated that winter pruning is inducive to wood and thus favors fire blight. Little attention should be paid to such recommendations for we need trees with good growth which will carry a crop of fruit and allow the sun to penetrate throughout the tree and color up the apples. Many fruit growers have bearing orchards and are not anticipating new ones, so to such,the talk of susceptible and resistant varieties means little. Then too, some of the susceptible varieties are the best commercial apples to raise, and when such is the case it means careful inspection for the hold-over cankers. It is however well to pay some attention to this fact when planting an orchard. What is needed badly is community spirit or cooperation in this difficult work of controlling fire blight. For if one's neighbor does not keep the disease out of his orchard, it is sure to spread to the adjoining orchard. So everyone should "pull together" and control blight which has and is now causing the apple grower heavy losses. / Master of Science
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A study of the influence of the tissues of plants of various species upon bacterial nitrogen fixation, with special reference to Azotobacter

Quantz, Karl Emil Eduard January 1916 (has links)
Master of Science

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