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Illusion und Verfremdung: Begriff, Form und Wirkung; Bezogen auf Bertolt Brecht: "Der gute Mensch von Sezuan,"

Folk, Robert E. 01 January 1972 (has links)
Perhaps Bertolt Brecht's most obvious intention in connection with the theater was to help change the economic conditions, under which the people in a capitalistic society live. But, according to him, this could only be possible if the people were to develop a critical attitude and awareness of the contradictions that exist in such a society, in which "exploiters exploit the exploited", to put it in Brecht's straightforward terminology. It was his goal in the theater to help the spectator achieve this critical attitude. However, it was his opinion that this could only be done by rejecting the traditional theater of illusion, in which the spectator identifies completely with the characters and is "manipulated" by the supposed feelings of the hero and by the supposed necessity in the order of occurrences and by the supposed necessity of the occurrences themselves. To be critical means, of course, that not only are the feelings of the spectator involved, but also his thoughts. In order to introduce thought into the spectator, it was necessary for Brecht to break the spectator's illusion that he was participating in the actions on stage and that these actions were real. This led to the most significant of Brecht's theater contributions, which in English is perhaps, best called alienation. Actually, it is more accurate to say that his particular use of this element was his contribution. That is to say that his application of certain illusion-destroying techniques was not simply for aesthetic purposes, but rather for societal purposes. Each of Brecht's "alienations" leads in fact, in the ideal theater situation, to a revealing of some contradiction in the depicted societal conditions. It was my goal in this thesis to analyze the "alienation" as a countermovement to the theatrical illusion. In order to do this, it was necessary to analyze the theatrical illusion as well, which comprises the first part of the thesis. The second part is concentrated on "alienation". On a critical basis of acceptance and rejection of two selected thinkers on the subject of illusion I was able to arrive at a concept of illusion, which would also encompass Brecht's own writings concerning the topic. Since Brecht did not research the concept of illusion in a systematic manner, it was discovered in the course of researching his writings that Brecht was referring to two different phenomena with the same word, "illusion" Further, I discovered that it was possible to divide his "alienation" techniques into two different types, which corresponded to the limitation and hindrance respectively of the two types of illusion. I also attempted to construct a step-by-step process, through which the spectator goes whenever an "alienation" appears in a drama by Brecht. This "alienation-process" begins with application of the "alienation" and proceeds to the hoped for change in society. In the third and last part of the thesis I analyzed the main medium of "alienation" which is the language itself. This was done with the purpose in mind of researching Brecht's "alienation" method where it would be most fruitful. And since I was limited to the written text (a live presentation would reveal less of Brecht than of the director of the play), it was obviously the most appropriate research object for this purpose. In order to simplify it for the reader, I limited by references to specific dramas as much as possible to one play, namely "The Good Woman of Sezuan".
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De la nostalgie de la terre promise à la nostalgie de la terre d'exil chez les Israëlins originaires du Maroc

Elouagagui Elidrissi, Latifa 14 December 1999 (has links) (PDF)
De la nostalgie de la terre promise à la nostalgie de la terre d'exil chez les Israéliens originaires du Maroc<br /><br /><br /><br />La disparition, constatée après coup, des Juifs du Maroc suscita bien des interrogations : les motivations de cette envolée étaient-elles de nature mystique ou sioniste ? Ou la conséquence de persécution ? Dans le Maroc des années 80, le mellah seul en montrait les vestiges et témoignait d'une existence révolue... Un passé proche et lointain gisant dans les mémoires de ceux pour qui le Juif fut du voisinage. <br />Dans le Maroc d'avant le Protectorat, la coexistence judéo-arabe donnait lieu à une organisation socio-économique que l'on peut, malgré tout, qualifier d'interdépendance. L'existence juive en société musulmane était reconnue nécessaire au plan économique. Il en découlait une coexistence dont la nature variait selon les périodes et les règnes entre symbiose et hostilité. Les corps de métiers qu'un musulman ne pouvait ou ne voulait faire étaient laissés aux Juifs depuis l'import-export jusqu'au commerce itinérant. Ce partage de fonction qui est perçu à la fois comme une discrimination et une répartition, comporte en soi l'ambiguïté du rapport juif-arabe. Cette ambiguïté embarrasse le travail du chercheur dans ce domaine. Que le Juif ne fut que toléré, soumis au statut discriminatoire, soit, il n'en demeure pas moins que sa présence était généralement reconnue nécessaire par le Musulman. Parallèlement, le sous-statut politique du Juif dans la société musulmane lui était une force permanente contre l'assimilation et pour le maintien d'un lien ancestral avec la terre antique. Le mellah qui symbolisait l'exclusion, permettait aussi à la communauté juive d'être un groupe social, politique, économique et culturel homogène, une micro-société dont l'identité religieuse se cultivait continuellement et rigoureusement en un ensemble de rites et de pratiques. La tradition véhiculait l'identité ; celle d'être juif, animée par une seule prière celle de retrouver la Terre Sainte.<br /><br />Le fragile équilibre judéo-arabe, méconnu par ceux qui rêvent de coloniser l'Afrique du Nord (à partir du 19ème siècle), se déstabilise avec le Protectorat français (1912-1956) au Maroc. Par son idéologie colonialiste, ce dernier avance une politique éloignant encore plus les Juifs des Musulmans en exacerbant leurs différences religieuses et en affectant leurs rapports.<br />Le Maroc du Protectorat s'ouvre brutalement aux influences extérieures : invasion du capitalisme européen, réformes administratives et modernisme, causent une destruction accélérée des valeurs traditionnelles. La masse populaire s'appauvrit, faute de pouvoir suivre le rythme effréné de cette révolution, tandis que la jeunesse intellectuelle musulmane, privée de ses privilèges traditionnels, élabore des formes de lutte contre la mainmise étrangère sur son pays. La flamme naissante du nationalisme est attisée par la politique dite --berbère-- du Protectorat, dont le projet est de distinguer les berbères du peuple marocain par une possible conversion française et catholique. La lutte anti-coloniale trouve alors sa voie dans une identité islamique accrue qui attire les masses et rallie les leaders marocains aux luttes d'Orient.<br /><br />Dans la communauté juive, l'effet du Protectorat est plus conséquent. Le processus d'occidentalisation attire une élite qui aspire à s'élever au niveau des Européens par le moyen de la langue et de la culture française, et veut légitimement s'affranchir du statut réducteur de la dhimma. Loin de la population de base qui subit le même sort que les musulmans, les privilégiés de la communauté juive s'écartent à la fois de la tradition religieuse véhiculant l'identité juive et des coutumes judéo-arabes séculaires. Cette distinction se traduit par l'instruction et l'éloignement géographique. La nouvelle classe juive européanisée abandonne l'usage de la langue vernaculaire au profit du français et laisse le mellah aux pauvres, non instruits, démunis.<br /><br />Les tensions entre Juifs et Arabes en Palestine, affûtées par la Déclaration de Balfour (1917), alimentent, par effet sympathique, l'identité arabo-musulmane à laquelle s'identifient et adhèrent les nationalistes musulmans. Cette option éloigne la communauté juive de la scène politique et donc des perspectives marocaines d'avenir. Tandis que la masse musulmane est gagnée au combat, la masse juive continue, à l'écart des bouleversements politiques qui secouent le monde arabe, à rêver de la terre Promise et en cultiver la nostalgie. Nostalgie qui trouve son accomplissement à la déclaration de l'Etat d'Israël en 1948 et commence alors la 'aliya marocaine.<br /><br />L'exil c'était la grande mémoire, la nostalgie mystique, l'errance et la précarité, le déracinement et l'affirmation du spirituel. L'ancrage marocain ne fut que de circonstance quand bien même il perdura tant et tant de générations, quand bien même les Juifs du Maroc y ont enterré la cohorte de leurs aïeux, créé des us et coutumes partagés, entretenus leurs chers cimetières, forgé leurs langues...et néanmoins le Maroc ne fut, spirituellement, qu'une terre d'attente, un lieu transitoire, un moindre mal dans l'adversité ?<br /><br />Errance et précarité ne sont plus, mais qu'en-est-il de cette terre promise ? Une sève nourricière pour le corps et l'esprit, l'âme et le cœur, a-t-elle monté dans ce nouveau terreau où s'est accompli le réenracinement si longtemps différé ?<br /><br />Dans le grand rassemblement se sont affrontées les composantes de la mémoire plurielle : lieux, mœurs, sentiments, perceptions sociétales, dénonçant au grand jour les lignes de partage, les diversités et les empreintes d'exils, faisant apparaître les disparités socio-théologico-politiques. Disparité que le sionisme, dans son aspiration à l'unité du peuple juif, projetait d'uniformiser et de dissoudre dans l'unicité. Projet qui ne parvint pas sans éviter aux Orientaux le déracinement culturel et la crise d'identité.<br />Envolés vers Israël à partir de 1948, les Juifs marocains rencontrent un modèle occidental établi par les pionniers issus du socialisme européen : les Ashkénazes. Très tôt, la population israélienne est divisée en deux classes ; les Ashkénazes, fondateurs du pays dont ils sont l'élite dirigeante, et leurs coreligionnaires récemment immigrés : les Orientaux, qui durant les vingt premières années de leurs vie israélienne en constitueront le prolétariat.<br />L'idéal messianique qui motivait la 'alya marocaine se heurte à la conception laïque de l'état israélien. Conception qui implique le rejet de l'héritage diasporique et du Juif de l'exil pour une nouvelle nation "normale" à l'image des sociétés occidentales évoluées. L'état, laïque, basé sur une représentation légitime du peuple juif, remplace l'identification religieuse par une identification nationale, statut inconnu des immigrants marocains à peine coupés de leur statut séculaire de minorité religieuse traditionnelle. Au judaïsme de condition succède un judaïsme d'élection et à l'organisation communautaire une organisation étatique complexe et hermétique aux nouveaux citoyens. Aux yeux des immigrés marocains, l'identité juive devait suffire à les intégrer en terre promise, mais une fois là, la mise en présence de différences notables concernant la pratique religieuse, la langue, les coutumes, la tradition, les disparités économiques, produisirent la désillusion du rêve sacré confronté à la réalité concrète : "Au Maroc, il était juif, juif de par l'héritage d'Abraham, d'Isaac et de Jacob, juif empêtré dans la sainte et sacré Loi de Moïse. (...) En Israël, il est devenu --ô farce du destin !- arabe". <br /><br />De cette désillusion naquit la nostalgie, nostalgie de la nostalgie première, nostalgie de l'exil que certains auteurs (Ami Bouganim, Erez Bitton) chanteront sans cesse : "Elle chante l'exil, un embrun nostalgique autour de la voix, l'exil de Jérusalem, l'exil d'Espagne, l'exil du Maroc. (...) Elle passe d'une sérénade en espagnole à une chanson en français, d'une mélopée en arabe à un cantique en hébreu. (...)Sans cesse, les chants de Zohra reconstituent les décors fabuleux de son passé." <br /><br />Reconstituer les décors du passé pour lutter contre l'oubli des morts et la dépersonnalisation des vivants. Retrouver une identité perdue au cours d'un processus d'assimilation qui imposait l'oubli du Juif de la diaspora et la renaissance de l'Hébreu moderne. Ainsi la mémoire retrouve son rôle ; celui de reconstituer une identité et une culture parallèle à l'identité et à la culture nationale israélienne. Et c'est par la mémoire maternelle d'abord que se réactive cette reconstitution, une mémoire domestique faite de coutumes ancestrales, d'odeur de cuisine, de rires, de petits devoirs, de jeu, de musique festives, de superstition et de rumeurs, de blagues en parler local...mémoire folklorique. Car la mère est le personnage de la tradition que le maelström de la 'alya a corrodé le moins.<br /><br />C'est dans l'expression littéraire d'Israéliens issus du Maroc que pointe cette nostalgie avec des personnages qui ne se sentent pas dans une entité israélienne cohérente. Le parler, la culture, la mentalité exacerbent leurs différences et laissent agir leur particularisme.<br /><br />Bien que ce soit une particularité historique, la formation de la société israélienne a subi les règles de l'immigration. Plus qu'ailleurs, le terrain israélien est celui qui, le mieux, se prête à l'examen des problèmes posés par l'immigration : intégration, acculturation, mélange ethnique, en tant qu'hypothèse du devenir des sociétés dans la mondialisation.
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A woman's good works the life of Inez Jessie Turner Baskin and her fight for civil and human rights in the Cradle of the Confederacy /

Rabey, Jennifer Ann. Carter, David C. January 2009 (has links)
Thesis--Auburn University, 2009. / Abstract. Includes bibliographic references (p.87-89).
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Poststructural subjects and feminist concerns : an examination of identity, agency and politics in the works of Foucault, Butler and Kristeva

Cooklin, Katherine Lowery, 1967- 02 August 2011 (has links)
Not available / text
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German Jesuit theatre, Brecht, and the concept of Persuasio

Sullivan, Robert G. January 1984 (has links)
No description available.
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Le concept de rôle dans les théories dramaturgiques et sociologiques /

Van Schaik, Catherine Henriette, 1959- January 1984 (has links)
No description available.
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Pour un theatre "dialectique" : étude comparative de deux pratiques esthétiques les Mains sales et Mère courage et ses enfants

Vinciguerra, Maria January 1989 (has links)
This thesis examines the theoretical foundations of Brecht's and Sartre's "dialectical" theatre. Proceeding first from their most significant theoretical writings, it then studies representative plays--Mutter Courage und ihre Kinder and Les Mains sales--in an attempt to make explicit the relationship between theory and artistic practice. The textual analysis proper develops certain aspects of theme, structure and reception which in turn reveal meaningful differences and contradictions. Sartre's "dramatic" theatre in fact evidences a sort of ideological creativity whereas Brecht's "epic" theatre presents a more primordial artistic creativity. Therefore, though the concept of dialectical theatre (essentially political and/or historic) is a common thought-structure to both dramatists, its actualization differs. I will argue that Sartre's work shows a view of the art process as ideologically predetermined and almost ineluctable. Brecht's more primordial work, on the other hand, shows process as a creative anagnorisis, more immediate and archetypal. In the last chapter, I will give an overview of the changes in consciousness produced by these approaches of "dialectical" theatre and substantiate these by criticism that has dealt with the subject.
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Color and credibility Eisenhower, the U.S. Information Agency, and race, 1955-57 /

Grimm, Kevin E. January 2008 (has links)
Thesis (M.A.)--Ohio University, June, 2008. / Title from PDF t.p. Includes bibliographical references.
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Les problèmes de la nouvelle agriculture vietnamienne

Nguyen-van-Hao. January 1963 (has links)
Thesis--Geneva. / Errata slip inserted. eContent provider-neutral record in process. Description based on print version record. Bibliography: p. [221]-224. Bibliographical footnotes.
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As distintas interpretações acerca do projeto de industrialização do Governo Vargas (1951-54) e suas influências no Governo Juscelino Kubitschek (1956-61)

Souza, Felipe Sanches [UNESP] 17 September 2012 (has links) (PDF)
Made available in DSpace on 2014-06-11T19:23:30Z (GMT). No. of bitstreams: 0 Previous issue date: 2012-09-17Bitstream added on 2014-06-13T19:09:20Z : No. of bitstreams: 1 souza_fs_me_arafcl.pdf: 662003 bytes, checksum: cba87256f38a65ab6b618a6c74b5434c (MD5) / Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES) / Nesta dissertação destaca-se e analisa-se as distintas interpretações acerca da forma da industrialização no período que abrange o Governo Getúlio Vargas (1951-54) evidenciando (em concordância com as orientações tecidas de cada autor) quais foram as circunstâncias conjunturais, tanto econômicas, quanto político-institucionais (internas e externas) precedentes à 1951 e do próprio período (1951-54), que, em seu conjunto, tornaram historicamente possíveis as decisões e orientações políticas e econômicas adotadas. O presente trabalho está estruturado em três capítulos que cada um sediará uma das três diferentes interpretações sobre o teor ideológico por trás do projeto de desenvolvimento econômico e industrial adotado pelo Governo de Vargas (1951-54), bem como do conjunto de políticas macroeconômicas postas em prática pelas autoridades à época. O trabalho também destaca a discussão, que em muitas vezes não foi consensual entre os próprios autores que compuseram cada capítulo, das possíveis influências herdadas pelo Governo de Kubitschek do projeto de desenvolvimento industrial implementado por Vargas. Após demonstrar a existência de distintas interpretações acerca do projeto de industrialização do Governo Getúlio Vargas (1951-54) e suas influências no Governo de Juscelino Kubitschek (1956-61), conclui-se que o Ministério da Fazenda, representado pela figura de Lafer detinha um posicionamento pró industrialização que forma que as medidas de contenção (de gastos fiducitários) realizadas não entraram em colisão com a proposta industrializante, ou seja, o que se pôde observar foi o incentivo à ampliação da produção nacional com o apoio decidido das políticas cambial e de crédito. Além do mais, destaca-se que houve, entre os Governos de Vargas e Kubitschek, um movimento... / In this dissertation stands and analyzes the different interpretations about the form of industrialization in the period covering the Getúlio Vargas government (1951-54) showing (in accordance with the guidelines of each woven author) what were the circumstances cyclical, both economic , the political-institutional (internal and external) preceding the 1951 and the period itself (1951-54), which, as a whole, became historically possible decisions and political and economic orientations adopted. This paper is structured in three chapters that each host one of three different interpretations of the ideological content behind the design of economic and industrial development adopted by the Government of Vargas (1951-54), as well as the set of macroeconomic policies put in practice by the authorities at the time. The work also highlights the discussion, which often was not consensus among the authors who composed each chapter, the possible influences inherited by the Government of Kubitschek's industrial development project implemented by Vargas. After demonstrating the existence of different interpretations of the industrialization project of the Government Getúlio Vargas (1951-54) and their influences in the government of Juscelino Kubitschek (1956-61), it is concluded that the Ministry of Finance, represented by the figure of Lafer actually held a position pro industrialization so that containment measures (spending fiducitários) held not come into collision with the proposed industrialization, which gave support to the materialization of an explicit effort to expand domestic production with the decisive support of policies currency and credit. Moreover, it is noteworthy that there was between the governments of Vargas and Kubitschek, a motion continuity plans and actions taken on behalf of the... (Complete abstract click electronic access below)

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