• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 2
  • Tagged with
  • 3
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Part-architecture : the Maison de Verre through the Large Glass

Cheatle, E. J. January 2013 (has links)
My thesis is an examination of a building, the Maison de Verre (Pierre Chareau, Paris, 1928–32), through an artwork, the Large Glass (Marcel Duchamp, Paris, New York, 1915–23).1 Starting from the fact that both are predominantly constructed from glass, I further align the two works materially, historically and conceptually. Ultimately, I challenge the accepted architectural descriptions of the Maison de Verre, providing original spatial and social accounts of its use and inhabitation in the 1930s. The Maison de Verre was designed as a gynaecology clinic and family home for Annie and Dr Jean Dalsace. Utilising a 'free-plan', it spatialised a programme for progressive female sexual health within a domestic setting. In the context of legislation criminalising contraception and abortion, the building was, perhaps by necessity, not visible from the street. The Large Glass, in contrast, is an overt narrative on unconsummated desire, and, I argue, despite being constructed in New York, is Duchamp’s response to 1910–20s Parisian sexual mores. I interrogate these ideas through a method for which I have coined the term ‘part-architecture’, developed from theories of the psychoanalytic ‘L Schema’ and ‘part-object’, after Rosalind Krauss and Jacques Lacan. Partarchitecture is an original architectural production which combines written critical theory and design operations – including fiction writing, drawing, book-arts and audio – to recover the (now invisible) historical, social and sexual interactions occurring in and between the Maison de Verre and the Large Glass. Three central chapters, structured around the materials glass, dust and air – where glass signifies looking, dust the discarded past, and air the activation of invisible registers – recover the works as new accounts. Importantly, part-architecture offers descriptions that suggest the works remain partial, open ended and contingent.
2

Les façades enduites au plâtre d'Île-de-France. Le déclin du plâtre extérieur, du XVIIe au XXe siècle. / Gypsum facades of Ile-de-France. Decadence of external gypsum renders, 17th-20th century.

Le Dantec, Tiffanie 10 January 2019 (has links)
La notoriété du plâtre de Paris dépasse les frontières de la France, son utilisation pour le moulage, la sculpture, les décors architecturaux associés aux productions artistiques françaises lui donnèrent ses lettres de noblesse. Le plâtre est avant toute chose un des matériaux les plus utilisé dans la construction francilienne, et l’un des plus visibles. La moitié des bâtiments parisiens et une grande partie du bâti historique d’Île-de-France offrent encore à la vue du passant des façades enduites en plâtre, datant d’entre le XVIIe siècle et le milieu du XXe siècle. Cependant, les enduits de plâtre sont confondus avec des enduits de ciment ou de chaux, sont appelés à tort plâtre-et-chaux et sont parfois recouverts de peintures épaisses qui brouillent leur observation. De ce fait, les enduits, souvent qualifiés d’ouvrages constructifs mineurs, sont peu étudiés et le plâtre reste un matériau encore ignoré malgré un regain d’intérêt de la part des chercheurs sur les matériaux « pauvres » tels que la chaux ou la terre. Les enduits au plâtre ont pourtant une valeur autre qu’historique et technique. L’esthétique de leur riche ornementation qui cisèle les parements d’ombre et de lumière, mais également leurs couleurs et leurs textures, participent pour beaucoup aux ambiances urbaines. Cette étude se propose d’explorer le déclin de l’utilisation du plâtre en façade à travers l’analyse d’un corpus de soixante édifices soit une centaines de façades décrites et intégrées à une base de données et à un Système d’Information Géographique (SIG). Les enduits observés couvrent trois siècles, de l’âge d’or de la pratique au XVIIe siècle jusqu’à la disparition des savoir-faire suite aux grands conflits du XXe siècle, en passant par les changements drastiques dans la fabrication des matériaux lors de la révolution industrielle. La lecture des traités de construction, des journaux, des brevets d’invention et l’étude de devis de maçonnerie et de procès-verbaux d’experts du bâtiment complètent la recherche de terrain par une étude historique. De 1667 aux années 1980, l’usage du plâtre en extérieur est décortiqué à travers l’évolution de l’extraction, de la fabrication, de la mise en œuvre du plâtre et de la conception des façades. La thèse explore comment, de matériau incontournable à la construction, le plâtre est peu à peu relégué aux décors intérieurs au fur et à mesure de l’altération de sa qualité et de la disparition des savoir-faire locaux. / Plaster of Paris’ notoriety exceeds France’s national borders, its use in moulding, sculpture, architectural ornaments in French artistic production built its reputation. Beyond plaster for moulding, gypsum plaster is one of the most used materials for building construction in the Paris area, and one the most obvious one. In fact, half of Paris ancient buildings and a large part of historical buildings in the region Ilede-France have facades covered with gypsum-based renders and ornaments. However, gypsum renders are still mistaken with lime or cement renders, people call them gypsum-and-lime renders and most of them are covered by thick layers of recent paints, making their observation difficult. Renders are often qualified as minor items in the construction field and are not studied much, while external gypsum plaster is still mostly ignored even though there is a renewal for this kind of materials thanks to wider studies on the uses of earth and lime. Gypsum renders, though, have historical and technical values, but are also aesthetically pleasing. Their rich ornamentation carves facades with lights and shadows, colors and textures. The skin of the buildings shapes the urban atmosphere.Our study will explore the rise and fall of external gypsum renders through the analysis of sixty buildings and one hundred facades which have been put into a database and a Geographical Information System (GIS). The studied facades have been built and rendered over three centuries, from the golden age of the seventeenth century to the loss of know-how in the second half of the twentieth century. The period of the industrial revolution is carefully analyzed as the industrial sector experienced drastic changes in the process of making plaster. This fieldwork is completed with historical research based upon the readings of construction treatises, newspapers, invention patents, building cost estimates and building experts’ statements from various centuries. The use of external gypsum renders is analyzed from 1667 until 1980, through the evolution of the extraction, production and execution processes as well as building conception. This report expresses how gypsum plaster was an essential material for construction and slowly became a fragile one, only good to use in decoration and internal works, as its legendary good quality deteriorated and local know-how disappeared.
3

L'architecture dans le comté de Périgord à la Renaissance (fin XVe-début XVIIe) : évolutions, influences, acteurs / Architecture in the county of Périgord in the Renaissance (end of 15th-early 17th) : evolutions, influences and actors / La arquitectura en el condado de Périgord durante el Renacimiento (finales des XV-principios del XVII) : evoluciones, influencias y actores humanos

Lebeaux, Mélanie 25 September 2013 (has links)
La Renaissance en Périgord souffre d’un vide historiographique et scientifique ponctuellement compensé par la publication de monographies et de recherches universitaires. Pourtant, de la fin du XVe siècle au début du XVIIe siècle, le comté de Périgord, vaste territoire à l’est de la Guyenne, se couvre en abondance de demeures civiles et sacrées rénovées ou reconstruites selon les nouveaux critères de confort et d’esthétique. Cette vitalité est assurée par une forte densité nobiliaire qui, grâce aux réseaux d’influences et aux questions de goût et d’imitation, contribuent à sa diversité. Parmi les influences recensées, certaines relèvent simplement des modes à l’instar de l’architecture « à l’antique » et du maniérisme, d’autres plus spécifiques, font écho à des idées artistiques et à des artistes exogènes tels que l’auvergnat Pierre Esclache, les lorrains Jean et Nicolas Rambourg. À cela s’ajoute la culture savante composée des gravures, plaquettes de bronze et écrits théoriques. Au-delà des échanges et des influences, ce sont les acteurs, homme ou femme, qu’il convient de placer au cœur des problématiques. L’artiste est indissociable de ces questions d’échanges. Sa formation, sa culture visuelle et intellectuelle favorisent la création d’une manière propre qu’il diffuse au gré des chantiers et des commandes, accélérant la diffusion des modèles et des idées. Le commanditaire mérite lui aussi toute l’attention. Son réseau familial, sa culture, ses appartenances politiques et religieuses, la volonté d’exposer, à travers des bâtiments munificents et novateurs, son ascension et sa position sociale, participent eux aussi à la diffusion des idées artistiques. / Studies of the Renaissance in Périgord, suffer from an historiographical and scientific void, occasionally compensated by the publication of a monograph or academic research, and yet from the end of the 15th century to the early 17th century, the county of Périgord – a vast territory in the east of Guyenne – has an abundance of private or clerical houses renovated or rebuilt according to the new criteria for comfort and aesthetic quality. This wealth is due to the great number of nobility which, through networks of influence or matters of taste and imitation, contribute to its diversity. Amongst the influences detected, some are mere fashion, such as « classical » architecture and mannerism, whereas others are more specific, responding to exogenous artistic ideas and artists such as Pierre Esclache from the Auvergne, or Jean and Nicolas Rambourg from Lorraine. Furthermore, there is the scholarly culture of engravings, bronze medals and theoretical writings. They are the actors of these influences and exchanges that should be central to the debate. The artist is inseparable from these matters of exchange. His training, his visual and intellectual cultures help form a personal manner that is then disseminated in the course of new commissions and workings, accelerating the communication of models and ideas. The patron also merits considerable attention. The patron's family connections, culture, political and religious allegiances, desire to demonstrate through munificent and innovative buildings his social success and standing also contribute to the dissemination of artistic ideas. / El Renacimiento en Périgord presenta un incómodo vacío historiográfico y científico que se ve compensado de manera puntual por ciertas publicaciones monográficas e investigaciones a nivel universitario. No obstante, de finales del siglo XV a principios del XVII aparecen en el condado de Périgord, extenso territorio situado al este de la Guyena, un gran número de residencias, tanto civiles como religiosas, que son renovadas o reconstruidas según los nuevos criterios de comodidad y estética. Esta vitalidad se ve asegurada por una importante densidad de casas nobiliarias, la cual contribuye al desarrollo de su diversidad gracias a la red de influencias y a cuestiones de gusto e imitación. Entre las influencias registradas algunas están sencillamente relacionadas con las modas de «arquitectura a la antigua» y con el manierismo, otras más específicas se hacen eco de ideas artísticas y de artistas exógenos como Pierre Esclache, de Auvernia, o Jean y Nicolas Rambourg, de Lorena. A esto se añade una cultura erudita que se compone de grabados, planchas de bronce y escritos teóricos. Son sin embargo los actores humanos, más allá de los intercambios y las influencias, los que deben situarse en el centro de las problemáticas. El artista y el intercambio son indisociables: su formación, su cultura visual e intelectual favorecen la aparición de un estilo que difunde a lo largo de obras de construcción y encargos, acelerando la difusión de ideas y modelos. El promotor merece también una atención especial: su red familiar, su cultura, su ideología, su credo, su deseo de mostrar a través de munificientes e innovadores edificios su ascenso y posición social, contribuyen también por su parte a la difusión de ideas artísticas.

Page generated in 0.0252 seconds