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The biological motivation in Aristotle

Hantz, Harold D. January 1939 (has links)
Thesis (Ph. D.)--Columbia University, 1939. / Vita.
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Questiones longe super librum Perihermeneias

Buridan, Jean, Lecq, Ria van der, January 1983 (has links)
Thesis (doctoral)--Rijksuniversiteit te Leiden, 1983. / At head of title: Johnannes Buridanus. Vita. Text in Latin; introduction and notes in English. Includes indexes. Errata leaf inserted. Includes bibliographical references (p. lviii-lx).
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Critical theoretical inquiry on the notion of act in the metaphysics of Aristotle and Saint Thomas Aquinas /

Lu, Matthias, January 1900 (has links)
Th.--Roma--Pontificia università urbiana, 1946.
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La liberté et la responsabilité dans la pensée d'Aristote

Chassé, François 12 April 2018 (has links)
Le présent mémoire propose une reconstruction de la conception aristotélicienne de la liberté, la liberté étant comprise ici comme la capacité de poser des actions dont on est responsable, et ce dans le but d'identifier la position d'Aristote en regard du problème de la compatibilité de la liberté avec le déterminisme. La poursuite de cet objectif nous amène à étudier la théorie aristotélicienne de la responsabilité et le concept d'action volontaire qui s'y rattache, ce qui suppose en retour d'étudier la théorie aristotélicienne de la causalité et le concept de désir. Nous en venons à soutenir que la liberté se présente chez Aristote comme la puissance relative à l'action dont l'appartenance à un sujet dépend d'une disposition accidentelle de ce sujet et qu'elle apparaît tout à fait compatible avec le déterminisme, et ce même si, par ailleurs, Aristote ne souscrit pas à la thèse déterministe. Nous examinons aussi les fondements de la conception aristotélicienne de la liberté, fondements dont l'étude fait apparaître que le problème de la liberté se présente chez Aristote non pas comme un problème métaphysique, mais plutôt comme un problème politique relié à la question de la fonction des sanctions.
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Aristotle and other pre-modern thinkers on the existence of vacua

Coughlin, R. Glen 13 November 2024 (has links)
Cette thèse met en question l'opinion assez répandue selon laquelle avec Newton se trouvait réfutée de façon définitive la position aristotélicienne sur le lieu (espace) et le vide. L'introduction établit l'ordre de la thèse et considère l'historique du débat. Les premières notions vagues sur le vide seraient à chercher dans la philosophie pythagoricienne. Plus tard, à la suite et comme conséquence de la position éléatique, le vide devient une condition du mouvement, avant de prendre sa pleine force dans la position des atomistes. Par la suite, le développement de la question se lie à la critique qu'en a faite Aristote et aux positions de ses successeurs face à cette critique, À ce chapitre, trois positions se signalent tout spécialement à cause de leur importance historique : celle de Jean Philipon; celle des spéculations théologiques du Moyen Âge; et celle des mathématisants de la révolution scientifique. Le premier chapitre examine les diverses méthodes utilisées pour étudier le problème du vide, et conclue que seule la méthode physique, fondée sur l'observation sensible des phénomènes, peut être admise. Sont donc à exclure les approches mathématiques, théologiques et métaphysiques. Le deuxième chapitre examine les préliminaires à la discussion de la position aristotélicienne : la nature, le mouvement et la finalité--sans lesquels la position d'Aristote resterait inintelligible. Le troisième chapitre discute en détail les ch. 1-5 de la Physique, et tente d'établir le bien-fondé de la réfutation du vide par le rejet de la position qui veut que le lieu soit un espace séparé. Le quatrième chapitre se veut un commentaire sur la Physique, ch. 6-9. Il montre le caractère dialectique et ad hominem des arguments d'Aristote, et justifie cette façon de procéder à la lumière de sa position dans la première partie de ce chapitre. Quelques considérations à la fin permettent d'indiquer les implications métaphysiques à trouver chez les adeptes du vide. Le cinquième chapitre passe en revue les arguments en faveur d'un vide ou d’un espace séparé. Ces arguments sont à rejeter, soit à cause de leur logique fallacieuse, soit à cause de prémisses imparfaites. L'épilogue suggère qu'un travail fructueux sur cette question reste à faire en physique, ainsi que du côté des implications métaphysique du débat.
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Le statut épistémologique de l'éthique comme science pratique selon Aristote / The epistemological status of ethics as a practical knowledge according to Aristotle

Journeau, Julie 29 November 2013 (has links)
Ce travail a pour objet d'interroger le statut épistémologique de l'éthique comme science pratique et d'expliciter l'affirmation d'Aristote selon laquelle l'éthique est une science. Nous abordons cette question en deux temps : le premier est celui d'une confrontation de l'éthique avec les autres savoirs aristotéliciens dans le but de spécifier la catégorie de savoir pratique dégagée en metaph. E. 1, le second est une étude des principales particularités du savoir pratique. Dans le but de déterminer ces différentes particularités, nous revenons sur les obstacles à la scientificité de l'éthique et nous analysons ce que nous considérons être des instruments du savoir pratique : le syllogisme pratique, les endoxa, les portraits et les exemples. / In this work, I will question the epistemological status of ethics as practical knowledge and I will explain the Aristotelian affirmation that ethics is a science. I will proceed in two axes : the first one is a confrontation of the ethics to the other knowledges in order to specify the nature of the category of practical knowledge brought out in metaph. E. 1, and the second one is a study of main particularities of practical knowledge. In order to specify those particularities, I will define the impediments to ethics' scientificity and I will analyze what I identified as instruments for the elaboration of a practical knowledge : practical syllogism, endoxa, portraits and examples.
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Commentators and commentaries on Aristotle's Sophistici elenchi : a study of post-Aristotelian ancient and medieval writings on fallacies /

Ebbesen, Sten. January 1981 (has links)
Thesis (doctoral)--Københavns Universitet. / Includes texts in Greek and Latin. Includes indexes. Includes bibliographical references (p. 308-333).
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La conception du bonheur chez Aristote : essai sur la hiérarchie des biens dans l'Éthique à Nicomaque

Camus, Xavier January 2008 (has links) (PDF)
Le mémoire se donne pour tâche de discerner ce qui constitue l'essence du bonheur dans l'Éthique à Nicomaque. Une telle étude rencontre l'un des plus importants défis exégétiques des études aristotéliciennes ; déterminer l'articulation précise entre les modes de vie pratique et théorétique. Nous nous attachons plus spécifiquement au rapport entre praxis et theôria à l'aune du bonheur idéal, « hê teleia eudaimonia », qu'Aristote postule comme étant la fin ultime de la vie pratique. Il s'agit de circonscrire quelle part des biens pratiques et intellectuels pourrait former la vie heureuse d'un être humain. En premier lieu, nous parcourons tout d'abord la littérature récente sur ce sujet, en suggérant une classification opératoire entre quatre interprétations types, partant de la plus permissive jusqu'à la position la plus exclusive. Cette quadripartition s'appuie sur les deux principales écoles rivales de commentateurs qui ont vu le jour depuis Hardie (1965), celles de l'« inclusivisme » et de la « fin dominante ». Selon les tenants de l'inclusivisme « compréhensiviste », le bonheur, tel que défini par Aristote, doit comprendre plusieurs biens intrinsèques, peu importe qu'ils soient de nature morale ou strictement intellectuelle. S'ils restreignent ces biens aux vertus seules, nous les nommons « inclusivistes arétiques ». Tandis que pour les défenseurs de la position dite « dominante », seules les vertus rationnelles sont aptes à fonder notre bonheur, en raison de leur niveau ontologique supérieur. Certains d'entre eux iront encore plus loin, estimant que parmi les facultés de la raison, la sophia obtient un statut d'exception, équivalent au plus haut bonheur accessible à l'homme. Nous ne nous en tenons pas à un exposé critique de ces conceptions de l'eudémonisme aristotélicien. Dans la deuxième partie, nous confrontons directement les lectures « inclusive » et « dominante » au texte nicomachéen. Tout d'abord, en cherchant plusieurs points de raccord significatifs entre les livres l et X, il nous apparaît que le bonheur intellectif défendu au livre X peut recouvrir de nombreux critères du bonheur exposés au livre l, sans pour autant verser dans un inclusivisme pur et simple, incompatible avec la partie conclusive de l'oeuvre. Nous procédons ensuite à une tentative de reconstruction des principaux paliers ontologiques concernant les types de bonheur politique et contemplatif, afin de mettre à l'épreuve l'interprétation exclusiviste, qui a de la difficulté à admettre sa propre radicalité. En fin de parcours, nous traçons un rapide portrait du sophos, de manière à signaler que l'exclusivisme de la sophia semble tout à fait compatible avec une valorisation de la pratique vertueuse, à la condition d'occuper son rang respectif. Et d'après ce motif ontologique, qui respecte une perspective « téléologique », le dieu-sagesse s'avère être un bien indépassable, hê teleia eudaimonia. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Aristote, Éthique à Nicomaque, Bonheur, Éthique, Sagesse.
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Die Gestalt der Lebewesen : Versuch einer Erklärung im Sinne der aristotelisch-scholastischen Philosophie /

Hennen, Anna Maria. January 1900 (has links)
Diss.--Philosophische Fakultät--Aachen--Rheinisch-Westfälische Technische Hochschule, 1998. / Bibliogr. p. 354-376. Index.
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L'autre et l'amitié chez Aristote et Paul Ricoeur : [analyses éthiques et ontologiques] /

Fiasse, Gaëlle. January 2006 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Philosophie--Louvain--Université catholique, 2002. / Bibliogr. p. 285-306. Index.

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