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Enjeux fonciers et développement "durable" au Mali

Chene-Sanogo, Alima 20 December 2012 (has links) (PDF)
Faire du Foncier un fait économique total, et du capital le moteur du développement, c'est donner un blanc-seing à la marchandisation de la terre. Faut-il vraiment que le Mali cède ses terres agricoles et ses ressources foncières pour accéder au développement? Pour quel développement ? Le développement exige-t-il le sacrifice de l'agriculture familiale paysanne et des méthodes traditionnelles séculaires de gestion du foncier ? Depuis son accession à la souveraineté nationale en 1960, le Mali, pays pauvre de l'Afrique au Sud du Sahara cherche à atteindre mais en vain un essor économique, social et industriel et cela par tous les moyens, à l'exception de la mise en place d'un modèle endogène de développement. Dans cette quête, il a dû souscrire au modèle de développement dominant qui n'est autre que celui capitaliste, fragilisé depuis toujours et présentement par les conséquences de ses limites à savoir la succession des crises alimentaire, sociale environnementale financière. Si ce revers du capitalisme a eu des effets sociaux importants dans les pays du sud, il a également conduit certains pays émergents et auteurs de capitaux à s'accaparer des ressources naturelles des pays les plus pauvres. Pris en tenaille entre la préservation de ses spécificités socio-écologiques sur le plan foncier et son envie d'atteindre le développement durable, le Mali voit dans la marchandisation des ressources foncières à grande échelle une véritable aubaine. Ainsi, il va adapter son cadre juridico-politique d'accès aux ressources foncières (au risque de décalage, d'incohérence et de flou entre ses stratégies politiques et la réalité foncière) afin d'attirer de nouveaux acteurs. Il prend par la même occasion le risque d'exposer son peuple aux conséquences prévisibles (la spoliation des droits fonciers coutumiers, l'accroissement de la pauvreté rurale et des inégalités, la destruction de l'agriculture familiale...) de ce passage sans transition à une économie mondialisée alors que les enjeux fonciers bien maîtrisés se révèlent être une véritable stratégie de gestion équilibrée de tout développement et surtout du développement durable.
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De l’accaparement des terres aux investissements agricoles internationaux responsables : la construction de l’acceptabilité sociale

Bohbot, Reine 03 1900 (has links)
Le 25 juin 2011, Kofi Annan, déclare « avec le problème du changement climatique, la sécurité alimentaire et nutritionnelle mondiale est l’enjeu de notre époque ». En effet, les prévisions estiment que la population mondiale atteindra neuf milliards en 2050. Ces propos alarmants placent sur la sellette le phénomène en émergence de transactions internationales agricoles à grande échelle. Alors que la Banque mondiale encourage l’agrobusiness dans les pays en voie de développement, les mouvements sociaux crient à « l’accaparement des terres », avec une superficie totale de terres ayant changé de main, estimée entre 48,9 et 63,1 millions d’hectares. Le monde agricole est en crise, et le sujet de l’accaparement des terres est devenu incontournable dans les médias. Cette recherche interdisciplinaire se veut exploratoire. Elle a pour ambition de dégager comment pourrait s’amorcer la construction de l’acceptabilité sociale de l’industrie agricole à l’échelle internationale, en se basant sur les représentations des acteurs de « l’inacceptabilité de la situation ». Après avoir dégagé les grands enjeux du monde agricole, la question centrale de la légitimité des décisions publiques, c’est-à-dire des décisions ayant une portée publique, qu’elles soient prises par des acteurs privés ou publics, sera abordée. Par la suite, un parallèle sera établi avec le secteur minier, qui est confronté depuis plusieurs années à la notion de « risque social », en se concentrant plus particulièrement sur les instruments de régulation hybride, qui ont émergé en réponse à la crise de légitimité du secteur. La recherche se concentrera donc sur le processus d’homogénéisation du jugement d’acceptabilité sociale, au sein de l’industrie agricole, en analysant la couverture médiatique du phénomène, et en renforçant l’analyse par des entretiens semi-structurés avec différents acteurs oeuvrant dans des ONG internationales, des organisations internationales (comme la Banque mondiale ou la Société financière internationale), une multinationale d’envergure impliquée dans l’exploitation minière, ou des groupes d’investissement responsable. / June 25, 2011, Kofi Annan, said « the problem of climate change, global food and nutrition security is the challenge of our time. » As forecasts estimate the world population will achieve nine billion in 2050, the question of how the world is to be fed is thrust into startling focus. In this context, the emerging phenomenon of international agricultural transactions is on the spot. While the World Bank encourages agribusiness in developing countries, social movements denounce "land grabbing", with a total area of land that changed hands, estimated between 48.9 and 63.1 million hectares. The agricultural world is in crisis, and the subject of land grabbing has become a must in the media. This interdisciplinary research is intended to be exploratory and aims at identifying how the construction of the social acceptability of the agricultural industry at international level could be started, based on the representations of the actors of what is “unacceptable”. Having identified the main issues of the agricultural world, the central question of the legitimacy of public decisions, that is to say decisions having a public scope, whether taken by private or public actors, will be addressed. Subsequently, a parallel will be drawn with the mining sector, which has been confronted for several years with the notion of "social risk", focusing in particular on hybrid regulatory instruments, which emerged in response to the crisis of legitimacy of the sector. The research will therefore concentrate on the process of homogenization of the judgment of social acceptability within the agricultural industry, analyzing the media coverage of the phenomenon, and reinforcing the analysis by semistructured interviews with different actors working in international NGOs, international organizations (such as the World Bank or the International Finance Corporation), a large multinational involved in mining, or responsible investment groups.
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Enjeux fonciers et développement "durable" au Mali / Land issues and sustainable development in Mali

Chene-Sanogo, Alima 20 December 2012 (has links)
Faire du Foncier un fait économique total, et du capital le moteur du développement, c’est donner un blanc-seing à la marchandisation de la terre. Faut-il vraiment que le Mali cède ses terres agricoles et ses ressources foncières pour accéder au développement? Pour quel développement ? Le développement exige-t-il le sacrifice de l’agriculture familiale paysanne et des méthodes traditionnelles séculaires de gestion du foncier ? Depuis son accession à la souveraineté nationale en 1960, le Mali, pays pauvre de l’Afrique au Sud du Sahara cherche à atteindre mais en vain un essor économique, social et industriel et cela par tous les moyens, à l’exception de la mise en place d’un modèle endogène de développement. Dans cette quête, il a dû souscrire au modèle de développement dominant qui n’est autre que celui capitaliste, fragilisé depuis toujours et présentement par les conséquences de ses limites à savoir la succession des crises alimentaire, sociale environnementale financière. Si ce revers du capitalisme a eu des effets sociaux importants dans les pays du sud, il a également conduit certains pays émergents et auteurs de capitaux à s’accaparer des ressources naturelles des pays les plus pauvres. Pris en tenaille entre la préservation de ses spécificités socio-écologiques sur le plan foncier et son envie d’atteindre le développement durable, le Mali voit dans la marchandisation des ressources foncières à grande échelle une véritable aubaine. Ainsi, il va adapter son cadre juridico-politique d’accès aux ressources foncières (au risque de décalage, d’incohérence et de flou entre ses stratégies politiques et la réalité foncière) afin d’attirer de nouveaux acteurs. Il prend par la même occasion le risque d’exposer son peuple aux conséquences prévisibles (la spoliation des droits fonciers coutumiers, l’accroissement de la pauvreté rurale et des inégalités, la destruction de l’agriculture familiale…) de ce passage sans transition à une économie mondialisée alors que les enjeux fonciers bien maîtrisés se révèlent être une véritable stratégie de gestion équilibrée de tout développement et surtout du développement durable. / Making the land issue a total economic phenomenon and capital the driving force of development equates to giving free rein to the commodification of the land. Is it really necessary for Mali to sell off its agricultural land and its land resources to access development? For what development? Does development demand that family-run small farming operations and age-old, traditional land management methods be sacrificed? Ever since the country attained national sovereignty in 1960, Mali ‒ a poor country in sub-Saharan Africa ‒ has been seeking in vain to achieve rapid economic, social and industrial development by all the means available, with the exception of the deployment of an endogenous development model. In that quest, Mali has had to subscribe to the dominant development model which is none other than the capitalist model, made vulnerable as it always has been and still is at present by the consequences of its limitations, namely the succession of food, social, environmental and financial crises. If the downside of capitalism has had far-reaching social effects in the southern countries, it has also led certain emerging countries and providers of capital to grab the natural resources of the poorest countries. Caught between preserving its socioeconomic specificities in land terms and its desire to achieve sustainable development, Mali regards the large-scale commodification of its land resources as a real windfall. It is thus going to adapt its legal and political system of access to land resources ‒ at the risk of seeing a blurring of vision, discrepancy and inconsistency between its political strategies and the reality of the land issue ‒ in order to attract new stakeholders. In so doing, Mali runs the risk of exposing its people to the foreseeable consequences of the changeover without transition to a globalized economy, including notably the despoliation of customary law land rights, increased rural poverty and inequality, and the destruction of family-run farming operations, whereas proper control of the land issue is shown to be a true strategy for the balanced management of any development and above all of sustainable development.
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Accaparement des terres en Afrique subsaharienne : une opportunité manquée de développement : la stratégie «gagnant-gagnant» sous le prisme du contrôle étatique

Lallement, Charlotte 08 1900 (has links)
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