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Le rôle de la fermeture utérine en un seul plan sur le risque de rupture utérine lors d'une prochaine grossesse

Bujold, Emmanuel 16 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2009-2010 / OBJECTIF: La rupture utérine lors de l'accouchement constitue l'une des pires urgences obstétricales. Récemment, des études comportant de faibles tailles d'échantillon ont suggéré que la fermeture de l'utérus lors d'une première césarienne pouvait influencer le risque de rupture utérine lors d'un accouchement subséquent. Notre objectif est d'évaluer l'impact d'une fermeture en un plan comparativement à une fermeture en deux plans sur le risque de rupture utérine. MÉTHODOLOGIE: Une étude cas-témoins multicentrique a été réalisée parmi des femmes qui ont eu un essai de travail après une seule césarienne transversale basse antérieure. Nous avons évalué les facteurs associés aux cas de rupture utérine complète incluant: le type de fermeture, le matériel de suture, la raison de la césarienne antérieure, le diabète, un accouchement vaginal antérieur, le déclenchement du travail, la maturation cervicale, l'utilisation de prostaglandine, l'âge et le poids maternel, le poids à la naissance, l'âge gestationnel et l'intervalle entre les grossesses. Pour chacun des cas, trois femmes du même centre hospitalier ayant eu un essai de travail sans rupture utérine ont été sélectionnées Les cas de rupture utérine avec une issue néonatale défavorable (pH<7.0 et/ou Apgar à 5 min <4) ont été analysés séparément dans un deuxième temps. Une régression logistique multivariée incluant les facteurs significatifs dans les analyses uni variées a été complétée. Les résultats ont été rapportés sous forme de ratio de cotes nonajustés et ajustés pour les variables confondantes avec un intervalle de confiance de 95%. RÉSUL TATS: Quatre-vingt-seize cas de ruptures utérines incluant 28 cas avec des issues néonatales défavorables et 288 témoins ont été inclus. Dans les analyses univariées, la fermeture en un plan, un intervalle entre les grossesses <24 mois, un déclenchement du travail avec un col non favorable, l'utilisation d'oxytocine et un poids à la naissance ~ 3500 grammes ont été associés à un risque accru de rupture utérine, contrairement à l'accouchement vaginal antérieur qui avait un effet protecteur. Après ajustement pour les variables confondantes, seule la fermeture en un plan (RC : 2.22,95 % IC: 1.23-4.01) et un . poids à la naissance ~ 3500 grammes (RC: 2.0~, 95 % IC: 1.22-3.30) sont demeurés associés à un risque accru de rupture utérine, alors que l'accouchement vaginal antérieur conservait son effet protecteur (RC : 0.49, 95 % IC: 0.25-0.95). Le seul facteur significatif associé à la rupture utérine avec issue néonatale défavorable était la fermeture en un seul plan (RC : 2.92, 95% IC 1.02-8.33). CONCLUSION: La fermeture en un plan est associée à un risque accru de rupture utérine comparativement à la fermeture en deux plans. La fermeture en un plan devrait donc être évitée chez les femmes qui envisagent un accouchement vaginal après une césarienne lors d'une future grossesse.
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Déterminants de la césarienne de qualité en Afrique de l'Ouest / Determinants of an optimal practice of caesarean section in Western African countries

Kabore, Wendyam Charles Paulin Didier 28 November 2017 (has links)
Au Burkina Faso, le taux populationnel de césariennes reste encore faible (2% en 2012). Cependant, depuis l’exemption partielle (80%) pour les familles du paiement à l’acte en 2006, et la mise à disposition de médecins généralistes, sages-femmes et infirmiers formés à la pratique des césariennes dans les hôpitaux les plus reculés, on observe une augmentation constante des taux de césariennes dans les établissements de santé et il est difficile de savoir si toutes ces interventions sont réellement utiles. L’objectif principal de cette thèse est d’identifier les déterminants d’une césarienne de qualité en Afrique de l’Ouest pour orienter les politiques de santé reproductive dans les pays concernés. Les résultats des travaux menés dans le cadre de cette thèse montrent que le niveau de qualification du personnel de santé travaillant dans les hôpitaux du Burkina Faso et son expérience professionnelle déterminent globalement son niveau de connaissance en matière de gestion du travail et de l’accouchement compliqué. De plus, une supervision régulière de son travail semble améliorer sa performance. Le niveau de qualification du personnel de santé au Burkina Faso influence également la pratique de césariennes non médicalement justifiées. Mais l’environnement social joue aussi un rôle dans cette pratique abusive. Les résultats de cette recherche montrent enfin que la pratique systématique d’une césarienne après une césarienne antérieure n’est pas justifiée dans ce contexte. Les résultats de cette thèse ont permis de développer et de mettre en œuvre un essai d’intervention visant à réduire des césariennes sans raison médicale en Afrique de l’ouest. / In Burkina Faso, the national caesarean section rate is still low (2% in 2012). However, since the introduction of caesarean user fee exemption in 2006 and the availability of trained staff to perform a caesarean section in the most remote hospitals, the institutional caesareans rates have risen steadily and it is unclear whether all of these interventions are necessary. The main objective of this thesis is to identify the determinants of an optimal practice of caesarean section in three western African countries that favour access to caesarean section. The results of the work carried out in the framework of this thesis show that the level of qualification of the health personnel working in Burkina Faso hospitals and his professional experience determine globally his level of knowledge in the management of labor and complicated childbirth. . In addition, regular supervision of his work by daily review of clinical records (partograms) seems to improve his performance. The level of qualification of health personnel in Burkina Faso also influences the practice of non-medically justified caesareans. But the social environment also plays a role in this abusive practice. The results of this research show that the systematic practice of cesarean section after an anterior caesarean section is not justified in this context. The results of this thesis led to the development and implementation of a multi-faceted intervention trial aimed at reducing caesareans without medical reason in West Africa.
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Association entre le mode d’accouchement et la transmission verticale du virus du papillome humain

Nantel, Émilie 09 1900 (has links)
Contexte : La littérature suggère que le virus du papillome humain (VPH) puisse être transmis verticalement. Or, le mécanisme exact de transmission verticale demeure inconnu et les données ne permettent pas de savoir dans quelle mesure la transmission verticale est affectée par le mode d’accouchement. L’objectif de l’étude était de mesurer l’association entre le mode d’accouchement et la détection d’ADN du VPH chez les bébés. Méthode : Nous avons utilisé les données de 1052 femmes enceintes de la cohorte HERITAGE. Des échantillons vaginaux auto-collectés ont été obtenus chez les mères durant la grossesse, et des échantillons des muqueuses de la bouche, la gorge, les yeux et de la région anogénitale ont été collectés chez les bébés à la naissance et à 3 mois. Nous avons inclus les 282 femmes ayant eu un test VPH positif au premier et troisième trimestre de grossesse. Tous les échantillons ont été analysés pour la détection d’ADN du VPH par la méthode de réaction de polymérase en chaîne (PCR) avec le test Linear ArrayMC. Les informations sur l’accouchement ont été collectées dans les dossiers médicaux. L’association entre le mode d’accouchement et la transmission verticale du VPH a été mesurée par régressions logistiques. Résultats : La probabilité de transmission verticale du VPH a été de 8,9% (25/282), soit 3,7% (3/81) pour les césariennes et 10,9% (22/201) pour les accouchements vaginaux. Chez 21 des 25 enfants positifs au VPH (84%), il y avait au moins un génotype concordant avec leur mère, et tous sont nés par accouchement vaginal. Une augmentation significative du risque de transmission verticale du VPH a été observée pour l’accouchement vaginal, en comparaison avec la césarienne (OR ajusté: 3,63, intervalles de confiance à 95% (IC 95%): 1,03-12,82). Nous n’avons pas observé d’association significative entre la césarienne suivant la rupture des membranes et le risque de transmission, lorsque comparé avec la césarienne avec membranes intactes (OR ajusté : 1,31, IC 95% : 0,10-17,76). Il n’y a pas eu d’association entre la durée écoulée entre la rupture des membranes et la naissance (en heures continues) et le risque de transmission verticale (OR : 1,00, IC 95% : 0,97-1,02). Conclusion : L’accouchement par césarienne a été associé à un risque significativement plus faible de transmission du VPH chez les bébés. La transmission verticale du VPH surviendrait principalement lors du passage dans le canal vaginal car très peu d’enfants nés par césarienne ont été infectés au VPH. Puisque la rupture des membranes avant la césarienne et la durée entre la rupture des membranes et la naissance n’ont pas été associées à un risque de transmission du VPH plus élevé, nos résultats suggèrent que la transmission par infection ascendante après rupture des membranes est probablement rare. / Background: The literature suggests that human papillomavirus (HPV) can be transmitted vertically. However, the exact mechanism of vertical transmission remains unknown and the data do not allow us to know to what extent vertical transmission is affected by the mode of delivery. The aim of the study was to measure the association between mode of delivery and the detection of HPV DNA in infants. Method: We used data from 1052 pregnant women from the HERITAGE cohort. Self-collected vaginal samples were obtained from mothers during pregnancy, and specimens from the mucous membranes of the mouth, throat, eyes and anogenital region were collected from infants at birth and at 3 months. We included 282 women who had both positive HPV tests in the first and third trimester of pregnancy. All samples were analyzed for detection of HPV DNA by the polymerase chain reaction (PCR) method with the Linear ArrayTM assay. Information about the delivery was collected from medical records. The association between the mode of delivery and HPV detection in infants was measured using logistic regressions. Results: The probability of transmission of HPV was 8.9% (25/282); 3.7% (3/81) for caesarean sections and 10.9% (22/201) for vaginal deliveries. In 21 of 25 HPV positive infants (84%), there was at least one genotype concordant with their mother, and all were born vaginally. A significant increase in the risk of transmission of HPV was observed for vaginal delivery, compared to caesarean section (adjusted OR: 3.63, 95% confidence intervals (95% CI): 1.03-12.82). We found no significant increase in the risk of HPV transmission for caesarean section following rupture of membranes, compared to caesarean section with intact membranes (adjusted OR: 1.31, 95% CI: 0.10-17.76). There was no association between the time between rupture of membranes and birth (in continuous hours) and the risk of vertical transmission (OR: 1.00, 95% CI: 0.97-1.02). Conclusion: Caesarean delivery is associated with a significantly lower risk of HPV vertical transmission. Vertical transmission is thought to occur mainly during passage through the vaginal canal, because very few infants born by caesarean section have been infected with HPV. Since rupture of membranes before caesarean section and the time between ruptured membranes and birth have not been associated with a higher risk of HPV transmission, our results suggest that transmission by ascending infection after rupture of membranes is unlikely.
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Déclenchement du travail chez les femmes avec un antécédent de césarienne : une étude multicentrique de cohorte rétrospective au Québec

Tchoubi, Sébastien 01 September 2023 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 21 août 2023) / Le déclenchement du travail chez les femmes avec une césarienne antérieure pose un défi majeur aux cliniciens, en raison du risque de rupture utérine. Malgré les directives cliniques actuelles de la Société des Obstétriciens et Gynécologues du Canada (SOGC), il n'y a pas suffisamment de données comparant les pratiques pour pouvoir guider les cliniciens. Au Québec, certaines pratiques de déclenchement peuvent être non conformes aux directives SOGC, varier significativement entre les hôpitaux, et être moins efficaces et/ou moins sécuritaires. Ainsi, dresser le portrait des pratiques au Québec permet de conscientiser sur les pratiques y existant, et les comparer peut guider le choix des pratiques optimales. A l'aide des données d'un large récent essai randomisé multicentrique (40 hôpitaux) au Québec ayant évalué le programme Process for decision-making, RISk assessment and MAnagement in obstetrics (PRISMA), une intervention complexe pouvant optimiser la sélection des candidates souhaitant tenter un accouchement vaginal après césarienne (AVAC), nous avons 1) évalué les fréquences et variations inter-hospitalières des méthodes de déclenchement utilisées pour la tentative d'AVAC au Québec; 2) comparé les pratiques, et 3) évalué l'impact du programme PRISMA sur le succès et la sécurité des pratiques. Un total de 2044 femmes ayant tenté un AVAC par déclenchement du travail lors de l'essai PRISMA étaient éligibles à cette analyse secondaire. Nous avons analysé 1319 femmes et 36 hôpitaux pour les fréquences et variations inter-hospitalières des pratiques, et comparé : 1) le déclenchement par a) ballonnet de maturation cervicale (n = 339) ou sans ballonnet (n = 976), b) ballonnet (n = 339) ou ocytocine (n = 245) sur col défavorable ; 2) l'amniotomie associée tôt à l'ocytocine pour l'induction du travail (n = 339) ou tard (n = 472); 3) le déclenchement non conforme (n = 434) ou conforme (n = 881) aux directives cliniques SOGC, et 4) les groupes intervention (n = 891) et contrôle PRISMA (n = 1017). Le critère primaire était l'accouchement vaginal (AV). Les critères secondaires incluaient d'autres issues du travail et les composites de morbidité maternelle et périnatale. Des modèles logistiques à effet mixte étaient utilisés pour l'analyse des variations inter-hospitalières des pratiques. Les pratiques étaient comparées par le risque relatif ajusté (RRa) et l'intervalle de confiance (IC) à 95 % estimés à l'aide d'un modèle marginal de Poisson robuste. L'impact de l'intervention PRISMA était évalué par le rapport des risques relatifs ajusté (RRRa) et l'IC à 95 % comparant les changements dans les groupes entre les périodes pré-intervention et d'intervention, estimé à l'aide d'un modèle multivarié de Poisson robuste. Le déclenchement du travail était plus fréquent par ballonnet (25,7%), ocytocine seule (41,2%) ou avec l'amniotomie (20,7%), rarement par prostaglandines (0,3%), et 33,2% des femmes avaient eu un déclenchement non conforme, en majorité avec ocytocine ou ballonnet non conformes. L'ensemble de ces pratiques, excepté le déclenchement non conforme, tendait à varier entre les hôpitaux, notamment au niveau 2 de soins. L'AV n'était pas différent entre les groupes, excepté une augmentation dans le groupe ocytocine sur col non favorable (RRa = 1,21 ; IC 95 % (1,06 ; 1,38) ; p = 0,005), mais, avec environ trois fois plus de ruptures utérines dans le groupe sans ballonnet et le groupe ocytocine, moins de ruptures utérines dans le groupe amniotomie tôt (RRa = 0,08 ; IC 95 % (0,12 ; 072) ; p = 0,02), et moins de morbidité sévère maternelle dans le groupe non conforme (RRa = 0,45; IC à 95% (0,30; 0,69); p = 0,0002). Le groupe intervention PRISMA avait plus d'AV spontané, moins de morbidité sévère maternelle (RRRa = 0,44 ; IC 95 % (0,22 ; 0,90) ; p = 0,02) et sévère périnatale (RRRa = 0,16 ; IC 95 % (0,04 ; 0,64) ; p = 0,01), et moins de recours au ballonnet. Cette étude a montré les méthodes de déclenchement plus fréquentes au Québec chez les femmes avec une seule césarienne antérieure. Elle suggère des variations inter-hospitalières pour l'ensemble de ces pratiques surtout au niveau 2 de soins, plus de sécurité sur le risque de rupture utérine avec le déclenchement par ballonnet, une amniotomie associée tôt à l'ocytocine pour l'induction du travail, et a démontré une amélioration de la sécurité de la mère et du bébé, avec le programme PRISMA. / Inducing labor in women with a previous caesarean section poses a major challenge to clinicians due to the risk of uterine rupture. Despite the current clinical guidelines from the Society of Obstetricians and Gynaecologists of Canada (SOGC), there is insufficient data comparing practices to guide clinicians. In Quebec, some induction practices may not comply with SOGC guidelines, may vary significantly between hospitals, and may be less effective and/or less safe. Therefore, drawing up the picture of practices in Quebec can raise awareness of existing practices, and comparing them may guide choice of optimal practices. Using data from a large recent multicenter (40 hospitals) trial in Quebec that evaluated the Process for decision-making, RISk assessment and MAnagement in obstetrics (PRISMA) program, a complex intervention that may optimize selection of candidates wishing to attempt vaginal birth after caesarean section (VBAC), we 1) assessed frequencies and inter-hospital variations of induction methods used for attempting VBAC in Quebec; 2) compared practices, and 3) assessed the impact of the PRISMA program on the success and safety of overall practices. A total of 2044 women who attempted VBAC by induction of labor in the PRISMA trial were eligible for this secondary analysis. We analyzed 1319 women and 36 hospitals for frequencies and inter-hospital variations in practices, and compared: 1) induction by a) cervical ripening balloon (n = 339) or without balloon (n = 976), b) balloon (n = 339) or oxytocin (n = 245) on unfavorable cervix; 2) early amniotomy with oxytocin for induction of labor (n = 339) or late amniotomy (n = 472); 3) non-compliant (n = 434) or compliant induction (n = 881) with SOGC clinical guidelines, and 4) PRISMA intervention (n = 891) and control group (n = 1017). The primary outcome was vaginal birth (VB). Secondary outcomes included other labor outcomes and composite risks of maternal and perinatal morbidity. Logistic mixed-effects models were used to analyze inter-hospital variations in practices. Practices were compared by adjusted relative risk (RRa) and 95% confidence interval (CI) estimated using a robust marginal Poisson model. The impact of PRISMA intervention was assessed by the adjusted relative risk ratio (RRRa) and 95% CI comparing changes in groups between pre-intervention and intervention periods, estimated using a robust multivariate Poisson model. Labor induction was most frequent with balloon (25.7%), oxytocin alone (41.2%) or with amniotomy (20.7%), rarely with prostaglandins (0.3%), and 33.2% of women had had a non-compliant induction, mostly with non-compliant oxytocin or balloon. All these practices, except non-compliant induction, tended to vary between hospitals, specially at level 2 care. VB did not differ between groups, except an increased VB in the oxytocin with unfavorable cervix group (RRa = 1.21; 95% CI (1.06; 1.38); p = 0.005), but with approximately three times more uterine rupture in the no balloon and oxytocin groups, fewer uterine ruptures in the early amniotomy group (RRa = 0.08; 95% CI (0.12; 072); p = 0.02), and less severe maternal morbidity in the non-compliant group (RRa = 0.45; 95% CI (0.30; 0.69); p = 0.0002). The PRISMA intervention group had more spontaneous VB, less severe maternal morbidity (RRRa = 0.44; 95% CI (0.22; 0.90); p = 0.02) and severe perinatal morbidity (RRRa = 0.16; 95% CI (0.04; 0.64); p = 0.01), and less balloon use. This study showed the most frequent induction methods used in Quebec for women with a single previous caesarean section. It suggests some inter-hospital variations in all these practices, especially at level 2 of care, an increased safety on the risk of uterine rupture with balloon induction, with early amniotomy with oxytocin for induction of labor, and demonstrated improved safety for mother and baby with the PRISMA program.
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Association entre le mode d’accouchement et le risque du trouble du déficit d'attention avec ou sans hyperactivité chez l'enfant

Ferroum, Malika 07 1900 (has links)
Au Canada, en 2018-2019 la naissance par césarienne s’élève à 29% dépassant ainsi les taux de 10-15% recommandés par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Au cours des dernières années, les naissances par césariennes ne cessent d’accroitre, malgré les risques associés qui sont rapportés dans la littérature pour la mère et l’enfant. Bien que couramment pratiquée, la césarienne reste une intervention chirurgicale avec des risques à court et à long terme. Chez les enfants nés par césarienne, nous retrouvons des taux plus élevés d’asthme, d’obésité, de problème d’allergies etc. Tandis que chez les mères subissant la césarienne, nous retrouvons plus de cas d’infection, d’hémorragie et des risques plus élevées de rupture du placenta et de fausse couche lors des grossesses subséquentes. Puisque la prévalence de la césarienne ne cesse d’augmenter, il est primordial de comprendre son influence sur le développement neurologique de l’enfant. L’association entre le mode d’accouchement et les troubles neurodéveloppementaux tel que le trouble du déficit d'attention et d’hyperactivité (TDAH) chez les enfants est peu étudié avec des résultats souvent contradictoires ou non concluants. Le TDAH est l'un des troubles neurodéveloppementaux les plus courants chez les enfants avec une prévalence mondiale qui s’élève à 7.2% (IC 95% 6.7-7.8). Ainsi, le projet de ce mémoire a pour objectif d’évaluer l’association entre les modes d’accouchements et le TDAH chez l’enfant, tout en palliant les limites méthodologiques observées dans la littérature présentement. Afin de répondre à cette question, le projet évalue trois modes d’accouchements et ainsi recherche l’association entre l’accouchement par césarienne élective, par césarienne d’urgence ou par voie vaginale assistée et le risque de TDAH chez les enfants comparativement à l’accouchement par voie vaginale non assisté. Cette étude de cohorte rétrospective populationnelle tire l’entièreté de ses données de la Cohorte des Grossesses du Québec (CGQ) sur une période allant de 1998 à 2015. L’étude retrouve une augmentation de 6 % (IC 95% 1.03 - 1.10) du risque de TDAH chez les enfants nés par césarienne d’urgence et une augmentation de 12 % (IC 95% 1.06 - 1.19) du risque de TDAH chez les enfants nés par voie vaginale assisté avec ventouse ou forceps. Aucune association (HRa=0.96 IC 95% 0.91 - 1.01) n’a été retrouvée entre l’accouchement par césarienne élective et l’augmentation du risque de TDAH chez les enfants. Par la suite, plusieurs analyses de sensibilités ont été effectuées pour évaluer la robustesse des résultats, mais aucune n’a significativement alterné nos résultats. En conclusion, l’étude démontre l’existence d’une association entre l’accouchement par césarienne d’urgence et par voie vaginale assisté et le risque de TDAH chez les enfants. Ces résultats renforcent la nécessité d’étudier davantage les répercussions de la césarienne et des accouchements assistés avec des instruments sur l’enfant dans un contexte Canadien, où nous retrouvons peu de recherche sur le sujet. / In Canada the rate of caesarean deliveries is about 29 % of all birth in 2018-2019. Despite the known risk of this major surgery, caesarean section rates are continually rising beyond the recommended rate by the world health organization (WHO) of 10 to 15 %. Scientific research has identified several short- and long-term potential risks associated with this procedure for both the child and mother. For the child, researchers have found higher rates of asthma, obesity, and allergy problems. As for the mother, some of these risks include post-partum infection, hemorrhage and higher risks of placental rupture and miscarriages in future pregnancies. Caesarean section rates have been steadily increasing and it is essential to understand its influence on the neurological development of the child. Few studies have investigated the association between the mode of delivery and neurodevelopmental disorders such as attention deficit hyperactivity disorder (ADHD) in children. Currently the literature shows often contradictory or inconclusive results. ADHD is one of the most common neurodevelopmental disorders in childhood with a worldwide prevalence of up to 7.2% (CI 95% 6.7-7.8). Therefore, the project of this thesis aims to evaluate the association between modes of delivery and ADHD in children while overcoming the methodological limitations observed in the literature. To answer this question, the project is evaluating three modes of delivery by looking into the association between elective caesarean, emergency caesarean or assisted vaginal delivery and the risk of ADHD in children compared to unassisted vaginal birth. This prospective population-based study uses data on pregnancies and children from 1998 to 2015 from The Quebec Pregnancy Cohort (QPC). Our adjusted analyses showed that children born via emergency caesarean and assisted vaginal delivery were 6% (CI 95% 1.03 - 1.10) and 12% (CI 95% 1.06 - 1.19) respectively more likely to have ADHD compared to children born via unassisted vaginal delivery. 6 However, no association was found between elective caesarean birth (HRa=0.96 CI 95% 0.91 - 1.01) and the risk of ADHD in children. Several sensitivities analyze were performed to assess the robustness of these findings, but none significantly altered our results. While a caesarean delivery and assisted vaginal birth are essential and lifesaving procedures, they can put children at risk. As showed in this study, emergency caesarean and assisted vaginal birth increase the risk of ADHD in children. These findings reinforce the need for further research to evaluate the impact of caesarean and assisted deliveries on the children especially in a Canadian context where studies are still limited.

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